Hier tantôt, je suis allée jusquà la Ferté-Vidame afin de voir les vestiges de ce château. Nous pénétrons dans le domaine par une grande grille.

Une allée conduit au parc, sur le côté se trouve un plan

Nous voyons en premier les ruines du château

J'ai retrouvé une peinture montrant le chateau dans toute sa splendeur.

Sur la gauche se trouve un eau plan d'eau

En revenant sur nos pas, nous trouvons à droite les communs (qui sont bien conservés).

En sortant du parc, nous parcourons quelques centaines de mètres pour trouver l'église Saint-Nicolas

. Cette église a été construite à la demande du premier duc de Saint-Simon. Elle constitue l'un des plus beaux spécimens de l'architecture classique de la région   

Par chance l'élise était ouverte j'ai pu photographier le choeur.

 

En face de l'église ayant appartenu au duc de Saint-SIMON

La Ferté-Vidame est située à 15 km au sud de Verneuil sur Avre, dans le département d'Eure-et-Loir.La ville est connue par son château et sa superbe forêt domaniale.

   

Aucune ville au monde n'a autant inspiré les artistes que Paris. Poètes, peintres, romanciers et cinéastes ont célébré les charmes de la ville lumière. Tout à Paris incite à la romance : les bords de Seine, avec leurs quais pavés et leurs bouquinistes, où il fait bon flaner en amoureux, les terrasses des cafés, les bistrots propices aux rendez-vous....Et la majesté des monuments, avec la silhouette de la tour Eiffel toujours à l'arrière-plan, compose un décor cinématographique.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Paris était à l'origine une bourgade gallo-romaine, Lutèce établie sur l'ile de la Cité. A la fin du XIIe siècle, lorsque débuta la construction de la cathédrale Notre-Dame, la cité était déja la plus grande ville d'Europe. La majestueuse cathédrale dresse toujours sa masse importante au-dessus de la Seine.

Ayant subi de graves déprédations durant la Révolution française -de nombreuses statues ornant la façade avaient été détruites ou endomnagées-, elle tombait presque en ruine en 1831 lorsque Victor Hugo publia son roman "Notre Dame de Paris" qui suscita un regain d'intérêt pour le monument.

Dans la seconde moitié du XIXe sècle, la cathédrale bénéficia de travaux de restauration. Aujourd'hui les visiteurs peuvent monter en haut des tours et admirer les chimènes gothiques qui scrutent les toits de Paris depuis la galerie supérieure.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

A l'époque où les tours de Notre-Dame s'élevaient sur l'ile de la Cité, une imposante forteresse était édifiée sur la rive droite de la Seine. Ce chateau - le Louvre- allait être agrandit au fil des siècles et transformé en un impressionnant palais par les souverains successifs - notamment par François 1er. Le palais devint un musée sous la Révolution - il compte depuis parmi les plus grands du monde. Le musée du Louve, qui n'a cessé de s'agrandir, abrite un ensemble extraordinaire de chefs d'oeuvre, au premier rang desquels figure la "Joconde" de Léonard de Vinci, peinte entre 1503 et 1506.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Au cours de la seconde moitié du XIXe siècle, Paris fut transformé de fond en comble par le baron Haussmann : le labyrinthe médiéval du vieux Paris céda la place à de larges boulevards, de vastes places et des jardins publics.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Quelques enclaves du Paris préhaussmannien subsistent ça et là, tel le dédale des petites rues situé à l'ombre de Notre-Dame de Paris, dans l'ile de la Cité, ou encore, de l'autre côté du fleuve, le Marais aujourd'hui l'un des quartiers les plus "branchés" de la capitale, où nombre d'hotels particuliers abritent à présent des musées.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Sur la place de la Bastille, plus à l'est, s'élevait la forteresse du même nom dont le peuple de Paris s'empara le 14 juillet 1789, en prélude à la Révolution française. Ce symbole du despotisme royal fut démoli. L'Opéra Bastille, qui s'élève aujourd'hui en bordure de la place, a été construit à l'occasion du bicentenaire de la prise de la Bastille.

 

La butte Montmartre, dans le nord de Paris, a longtemps été un haut lieu de la vie nocturne parisienne. Au début du XXe siècle, Montmartre était un creuset de la création artistique, attirant peintres, écrivains et intellectuels qui fréquentaient ses tavernes et ses music-halls. Si de nos jours la butte a perdu son charme canaille, ses ruelles en pente, ses balcons fleuris et les vues magnifiques qu'elle offre sur la ville méritent toujours le détour.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ainsi se termine notre visite de Paris......

La Loire coule paisiblement dans une large vallée couverte de vergers et de vignes. Les rives du fleuve sont jalonnées de dizaines de splendides chateaux tout droit sortis des contes de fées. On en a jadis compté plus de trois cents en Val de Loire, de nos jours, il n'en reste plus qu'une cinquantaine. La plupart ont été construits au XVIe siècle, certains sur les restes d'anciens chateaux forts. Leur élégance raffinée, l'audace de leur architecture et la splendeur de leurs jardins exaltent les idéaux de la Renaissance, lorsque l'éclat de la cour de France éblouissait toute l'Europe.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Surgissant tel un mirage au coeur d'une épaisse forêt, Chambord est le plus spectaculaire de ces chateaux. A l'origine, il ne devait être qu'une fastueuse résidence de chasse pour François 1er (1494-1547). Inspiré du style des chateaux construits dans le nord de l'Italie au début de la Renaissance Italienne  - Léonard de Vinci, ramené d'Italie par François 1er, aurait été à l'origine de sa conception -, le chateau compte 426 pièces et 77 escaliers, dont le plus extraordinaire est l'escalier de marbre à double révolution situé au centre de l'édifice.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le chateau de Chambord ne fut qu'un des nombreux projets de construction entrepris par François 1er.

Le chateau d'Amboise, où le roi passa son enfance, était un ancien chateau fort du VIIe siècle transformé en un vaste palais gothique par Charles VIII (1470-1498). C'est au cours des premières années du règne de François 1er qu'Ambise parvint à l'apogée de sa splendeur. Le roi invita Léonard de Vinci à résider au Clos-Lucé, un grand manoir situé à 500 mètres du château, auquel il était relié par un passage souterrain. Au XIXe siècle, les propriétaires, incapables d'assumer l'entretien du bâtiment aussi vaste, en détruisirent des ailes entières.Même amputé des deux tiers, le château d'Amboise perché sur un escarpement rocheux au-dessus de la Loire, offre encore aujourd'hui un spectacle de toute beauté.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L'histoire du château de Blois rappelle celle de son voisin d'Amboise : ancienne forteresse du IXe siècle, il fut réaménagé par Charles d'Orléans, pour son fils Louis XII. François 1er y ajouta une aile dont l'élément le plus remarquable est l'escalier monumental donnant sur la façade intérieure. C'est dans ce château que grandit Marie Stuart; sa redoutable belle mère, Catherine de Médicis, le préférait à toutes les autres résidences royales. On peut encore voir  à Blois le cabinet dans lequel, selon la légende, étaient dissimulés les poisons dont elle usait pour se débarrasser de ses adversaires.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le délicieux petit château d'Azay-le-Rideau, construit entre 1510 et 1527, est un pur joyau. Mélant l'inspiration italienne et les références féodales, il fut construit pour le compte de Gilles Berthelot, le trésorier de François 1er - qui confisqua le château après que ce dernier eut été accusé de malversations. Longtemps oublié et laissé à l'abandon Azay-le-Rideau est devenu célèbre grâce aux artistes et aux écrivains romantiques du XIXe Siècle......

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les Incas bâtirent le plus grand empire qu'ait jamais connu l'Amérique précolombienne. Son étendue et son organisation l'ont fait comparer à l'Empire romain. Son territoire dessinait un croissant de 3000 km dans la partie ouest du continent sud-américain; un réseau de chaussées pavées reliait les contrées les plus reculées de l'empire à la capitale, Cuzco. Cet empire fut toutefois de courte durée. Il prit son essor en 1438, sous le règne du roi Pachacutec qui imposa la domination inca, un siècle plus tard, les conquistadors s'emparaient de Cuzco et installaient sur le trône un fantoche à leur solde. Les espagnols massacrèrent des milliers d'incas, réduisirent les autres en esclavages dans les mines d'or et d'argent et apportèrent d'Europe des maladies, notamment la variole, qui décimèrent la population.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La disparition de l'empire n'a pas effacé la culture inca qui subsiste dans son berceau d'origine, dans les hauteurs des Andes péruviennes. Les parures incas survivent dans les costumes traditionnels, et la langue inca, le quechua demeure la langue améridienne la plus parlée. Les espagnols ont détruit Cusco, mais le réseau de routes pavées parcourant les montagnes, avec ses ponts et ses tunnels, qui rendait de précieux services à l'envahisseur, est resté largement intact. L'Inca Trail -"la piste de l'Inca" - l'un des treks les plus célèbres et les plus spectaculaires du monde, emprunte certains segments de ces chaussées. Jalonné de ruines, ce parcours long de 45 km remonte la vallée de l'Urubamba, franchissant des torrents et des cols et traversant des jungles et des forêts de nuages. Son point cuminant est le col de Warniwanusca -de "la femme morte" - à 4200 Mètres d'altitude.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La piste de l'Inca aboutit à Machu Picchu, une citée de pierre perchée au-dessus de la vallée de l'Urubamba. On estime à un millier le nombre d'habitants de la ville. La construction de Machu Pichu a débuté au XVe siècle, sous le règne de l'empereur Pachacutec. La ville a été abandonnée après l'arrivée des espagnols, pour des raisons encore mal élucidées. Perdue sur son promontoire rocheux entouré de nuages, la cité inca a été peu à peu ouliée.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Pendant quatre siècles, seuls les habitants de la région connaissaient son emplacement. Le premier étranger à contempler de ses yeux ces ruines magnifiques fut l'explorateur américain Hiram Bingham, en 1911, lorsqu'il cherchait les ruines de Vilcabamba, le dernier refuge de résistance inca, tombé aux mains des Espagnols en 1572. Le site est visité chaque année par des centaines de milliers de touristes.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le role exact de Machu Picchu demeure obscur. Certains pensent que la cité était la résidence d'hiver des empereurs incas - elle est situé à 2450 mètres d'altitude, soit un millier de mètresplus bas que Cuzco, d'autres y voient une citadelle assurant la protection d'une voie commerciale importante, Machu Picchu aurait pe être un sanctuaire religieux, comme le suggère le fait que les bâtiments les plus imposants de la cité, le temple du Soleil, le temple des Trois Fenêtres et l'Intihuatana, se trouvent dans le quartier sacré.......

Situées à la frontière entre le Brésil et l'Argentine, les chutes d'Iguaçu -Carataras do Iguaçu en portugais- sont les cinquièmes plus hautes chutes d'eau du monde. Contrairement à d'autres cataractes célèbres comme les chutes Victoria, celles d'Iguaçu ne forment pas un rideau d'eau continu. Elles sont constituées d'une juxtaposition de 275 cascades qui présentent un front de 2500 mètres de large. Des passerelles et des plates-formes aménagées des deux côtés des chutes offrent de nombreux points de vue différents sur le site - notamment un mirador entouré de cataractes. Les plus grandes chtes sont situées du côté argentin, mais c'est le côté brésilien qui offre les vues les plus spectaculaires.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Iguaçu signifie "les grandes eaux" dans la langue des indiens guarani. Une légende guarani raconte qu'un puissant dieu serpent tomba un jour amoureux d'une jeune fille nommée Naipi et la demanda en mariage. Mais la belle s'enfuit en pirogue avec son amoureux Taroba. Furieux, le dieu serpent, frappa la rivière de sa queue, creusant une énorme gorge dans laquelle la rivière chuta. Naipi fut transformée en un rocher flagellé par les eaux pour l'éternité, et Taroba en un palmier penché sur le rebord de la falaise.

Le premier Européen à avoir contemplé les chutes fut l'explorateur espagnol Alvar Numez Cabeza de Vaca, en 1541, -l'une des cascades située du côté argentin porte aujourd'hui son nom. Les chutes sont ensuitetombées dans l'oubli jusqu'à leur découverte au XIXe siècle. Elles sont alors devenues une attraction touristique  : le site est aujourd'hui l'un des plus visités d'Amérique du Sud

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

De toutes les cataractes d'Ignaçu, la plus spectaculaire est celle de la Garganta del Diablo -la gorge du diable-. Elle s'effondre au fond du canyon avec une telle puissance qu'elle est généralement surmontée d'un nuage d'embruns zébré d'arc en ciel haut de 30 mètres. Formant un fer à cheval large de 80 mètres et haut de 150 mètres, elle donne au visiteur l'impression que l'eau tombe tout autour de lui. Le bruit est assourdissant -les chutes d'Ignaçu comptent parmi les plus puissantes du monde, avec un débit pouvant atteindre 6500 mètres cubes à la seconde.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

C'est depuis une plate-forme d'observation située à l'extrémité d'une longue passerelle en planches, côté brésilien, que l'on a la meilleure vue d'ensemble sur cette cascade. Pour la voir de plus près encore, on peut emprunter un chemin qui longe la rivière du côté argentin : les sensations fortes sont garanties, et l'on se fait copieusement arroser. Approcher les cascades en bateau est une expérience particuliérement excitante, des promenades en jet-boat sont organisées des deux cotés de la frontière.

Vous aimerez également survoler la cataracte en mongolfière.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Surnommé "le géant blanc", le glacier Pédrito Mreno est l'un des plus grands des 356 glaciers du Parque National de los Glaciaires, en Argentine, et de loin le plus célèbre. Il est long de 30 kilomètres, et son front est large de 5000 mètres. Le parc national des Glaciers s'étend sur une superficie de 5400 kilomètres carrés, dont pratiquement un tiers est recouvert de glace. Ce gigantesque ensemble compte 47 grands glaciers : le plus grand est l'Upsala; qui est le plus long de 50 kilomètres, mais le Pédrito Moreno est le plus accessible. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le Pedrito Moreno qui avance de 2 mètres par jour, est environ 700 mètre par an, est l'un des trois seuls glaciers de Patagonie à ne pas être en régression. Cela le rend particulièrement intéressant pour les scientifiques qui étudient le réchauffement climatique.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le front du glacier s'élève majestueusement au-dessus des eaux bleu foncé du lac Argentino, le plus grand lac du pays, environné de pics recouverts de neige. La caractéristique principale du Pédrito Moreno qui fait sa célébrité, réside dans le fait que sa langue de glace s'étend à travers du lac, formant un barrage qui coupe celui-ci en deux. La pression de l'eau provoque périodiquement une rupture spéctaculaire du barrage de glace qui s'effondre dans un bruit de tonnerre audible à des kilomètres à la ronde. Le phénomène se produit tous les quatre à cinq ans en moyenne.

La grande cité de pierre de Chichen Itza, dans le nord du Yucatan, au Mexique, est l'une des plus remarquables réalisations de la civilisation maya. Importante dès le VIIe siècle de notre ère, la ville est parvenue à l'apogée de sa puissance et de son influence entre le Xe et le XIIe siècle. Abandonnée par la suite, Chichen Itza était presque totalement engloutie par la jungle lorsqu'elle fut explorée et restaurée au début du XXe siècle. Les fouilles se poursuivent et la grande cité maya continue de soulever des questions, qui pour le moment restent sans réponse.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les Mayas ont compté parmi les plus évolués et les plus dynamiques des civilisations méso-américaines.Développant des savoirs hérités des civilisations précédentes, notamment des Olmèques, ils avaient atteint un niveau de connaissances remarquables en matière d'astronomie et de calendrier, et conçu un système d'écriture très élaboré. Les Mayas excellaient également dans les domaines de l'agriculture, du tissage et de la poterie, et ils étaient de grands batisseurs, comme en font foi leurs imposants temples pyramidaux aux riches décors sculptés. Fait remarquable, les Mayas ont bati ces impressionnants édifices sans utiliser d'outils en métal ni recourir à des animaux de trait- et sans connaitre l'usage de la roue. Les temples de Chichen Itza, ses "observatoires" soigneusement orientés en fonction de de la course du Soleil et de la Lune, témoignent de leur extraordinaire savoir-faire.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Chichen Itza a été construite à proximité de deux gouffres emplis d'eau douce appelés "cénotes". Ceux-ci fournissaient de l'eau tout au long de l'année et jouaient également un rôle important dans les cultes religieux des Mayas. Le plus grand des deux, le Cénote Sagrado- le "cénote sacré"- recevait des sacrifices faits au dieu de la pluie, Chac. On a retrouvé au fond du gouffre des objets d'or et de jade et des ossements humains.

 

L'édifice le plus important de Chichen Itza est la pyramide à neuf degrés haute de 24 mètres, surmontée par le "chateau". Sa construction obéit à des données astronomiques précises. Le temple était dédié à Kukulkan, le serpent à plumes, dieu de le ville. Les escaliers qui gravissent les quatre faces de la pyramide comprennent 365 marches égal au nombre de jours de l'année.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La base de l'escalier nord est orné de deux grosses têtes de serpent: chaque année à l'équinoxe du printemps et à l'equinoxe d'automne, l'ombre portée de l'arête de la pyramide sur l'escalier se situe dans le prolongement des têtes sculptées, créant l'illusion d'un gigantesque serpent ondulant sur les marches.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

                                 Et voici, encore un beau voyage de terminé......

La nature offre chaque automne un merveilleux spectacle dans les forêts de la Nouvelle Angleterre. A partir de la fin septembre, les feuillages se parent d'une infinie variété de teintes éclatantes - rouge, or, orange et ocre - qui flamboient sous les rayons de soleil de l'automne. Les six Etats qui forment la Nouvelle-Angleterre -le Connecticut, le Maine, le Massachusetts, le New-Hampshire, Rhode Island et le Vermont- comptent parmi les plus anciens Etats de l'Union.C'est pourquoi bon nombre des villes et villages de la région ont une longue histoire - qui remonte souvent au XVIIe siècle, date de l'arrivée des premiers colons européens dans le Nouveau Monde.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La majorité des habitants de la Nouvelle Angleterre vivent à Boston ou sur la côte. L'arrière pays montagneux est peu peuplé et la nature y reste intacte. La région est en grande partie couverte d'épaisses forêts d'arbres à feuilles caduques, qui attirent en automne de nombreux visiteurs. La Nouvelle Angleterre est réputée pour ses gites ruraux et ses "bed and breakfast" pour la courtoisie un peu surannée et le mode de vie tranquille de ses habitants -toutes choses qui en font une destination de vacances idéale.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La région offre plusieurs magnifiques itinéraires dont certains sont classés parmi les routes touristiques d'intérêt national. La Kancamagus Highway, qui traverse les White Mountains, au coeur du New Hamsphire, est l'une des plus belles. Elle est reliée à la White Mountain Trail, elle aussi spectaculaire. Dans  cette région, c'est entre la mi-septembre et la mi-octobre que les feuillages sont les plus beaux. Le sommet de la Loon Mountain, que l'on atteint en empruntant une télécabine, offre une vue merveilleuse sur la forêt et les sommets environnants.

 

 

 Dans le Connecticut, la route de la Last Green Valley, qui relie Brooklyn et Lincoln, traverse certains des villages les plus jolis et les plus anciens de la région. Les feuillages de l'automne dressent un écrin doré aux demeures cossues, aux maisons de quakers et aux églises, toutes de style colonial.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Dans l'ouest du Maine, la route des Rangeley Lakes effectue un magnifique parcours dans un décor de lacs, de forêts, de montagneset de petits villages pittoresques.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Elle passe notamment par le height of Land, d'où l'on découvre les plus beaux panoramas de la Nouvelle Angleterre. Peut-être les visiteurs apercevront-ils un orignal au bord de la route- ces cervidés sont familiers de la région.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

De bien beaux paysages qu'il doit être agréable de découvrir.........

Petite bourgade de moins de 1000 habitants, CHURCHILL est l'une des agglomérations les plus isolées du Canada. Elle est située sur les rives de la baie d'Hudson, à l'embouchure de la Churchill River, aux confins nord de l'Etat du Manitoba.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Chaque automne, les ours polaires affluent par centaines dans les environs de ce petit port tranquille, attendant que la baie d'Hudson soit prise par les glaces -c'est en effet sur cette banquise qu'ils chassent les phoques qui constituent leur principale source d'alimentation. Près d'un millier d'ours blancs se rassemblent ainsi chaque année sur la côte aux abords de Churchill entre le début du mois d'octobre et la mi-novembre.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Pendant cette période, le village, qui s'est fiérement proclamé "capitale mondiele de l'ours polaire", connaît une activité intense. La "saison des ours" attire chaque année à Churchill pas moins de 10.000 visiteurs.

En hiver et jusqu'au début de l'été, les ours polaires se nourrissent de phoques qui abondent sur la banquise de la baid d'Hudson. Lorsque l'été arrive, celle-ci fond et se disloque en plaques qui dérivent et les ours avec elle, vers le sud-ouest de la baie. De retour sur la terre ferme, les ours y survivent précairement, se nourrissant de plantes, d'algues et de charognes.

   

Lorsque la température recommence à baisser, ils prennent le chemin du nord. Les effets du réchauffement climatique sur la formation de la banquise affectent gravement les ours polaires dont le nombre est en diminution.

La faim peut rendre les ours agressifs. Autrefois, on les laissait déambuler librement dans Churchill, mais, à la suite de plusieurs incidents provoqués par des ours affamés , les autorités les regroupent à présent dans un lieu protégé.

                                                    Les animaux capturés dans le périmètre du village y sont enfermés jusqu'à ce que la baie soit prise par les glaces. Les touristes peuvent quand à eux observer les ours de près en toute sécurité en embarquant à bord de véhicules tout-terrain spécialement conçus. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 La région est également un paradis pour les amateurs d'ornithologie qui affluent à Churchill au printemps et au début de l'été. Plus de 270 espèces différentes ont été recensées dans le rayon de 40 kilomètres autour du village, en voici quelques uns

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Et vous verrez peut-etre une aurore boréale

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

ainsi que ce magnifique ciel au dessus de l'eau......

Les Rocheuses canadiennes comptent parmi les plus belles contrées sauvages de la planète. La majeure partie de cette spectaculaire chaîne de montagnes est protégée au sein de plusieurs parcs nationaux. Les plus célèbres sont ceux de Jasper et de Banff. Ces deux parcs contigus couvrent une grande partie des Rocheuses situées dans l'Etat d'Alberta. On y trouve des paysages grandioses, de superbes stations de ski, et une faune étonnamment variée - dont les grizzlys et les loups sont les vedettes.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Crée en 1885, le Banff National Park est le plus ancien parc national du Canada. Il est immense, s'étendant sur plus de 6600 kilomètres carrés de pics enneigés, de glaciers, d'alpages et de forêts. Banff est devenue une station touristique dès les années 1880, après qu'on y a découvert des sources thermales. Le parc totalise plus de 1000 kmp de sentiers de randonnées dans des paysages magnifiques où les occasions d'observer la faune et la flore ne manquent pas. La zone des lacs Vermillon, notamment constitue un enbdroit unique pour observer les oiseaux.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le parc national de Banff est relié au grand parc de Jasper, au nord par la célèbre Icefields Parkway Drive - la route des Glaciers- un itinéraire touristique de 230 kilomètres de long qui traverse de splendides paysages de montagne émaillés de cascades. La route borde notamment le champ de glaciers Columbia, qui en comprend huit majestueux -c'est le plus vaste ensemble glacier existant entre le cercle polaire et l'équateur.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Jasper est le plus grand parc national des Rocheuses canadiennes. Il est réputé pour la richesse de sa faune -élans, cougars, grizzlys et ours noirs notamment. Le parc accueille chaque année trois millions de visiteurs. Le parc Jasper compte 1200 kilomètres de sentiers balisés et de nombreux itinéraires de randonnée en montagne. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Vous irez peut-être visiter cette région en empreintant ce train qui sepente au pied de la montagne.....