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Par chezmamielucette le 17 Décembre 2010 à 00:00
MAGNIFIQUES CIVILISATIONS DE L'ORIENT
Persépolis (grec ancien Περσέπολις [Persépolis], « la cité perse »), Parsa en vieux-persan, (persan تخت جمشید [Takht-e Jamshid], « le Trône de Jamshid »), était une capitale de l’empire perse achéménide. Le site se trouve dans la plaine de Marvdasht, au pied de la montagne Kuh-e Rahmat, à environ 70 km au nord-est de la ville de Shiraz, province de Fars, Iran.
Sa construction commence en 521 av. J.-C. sur ordre de Darius Ier. Elle fait partie d’un vaste programme de construction monumentale visant à souligner l’unité et la diversité de l’empire perse achéménide, et à asseoir la légitimité du pouvoir royal. Elle fait appel à des ouvriers et artisans venus de toutes les satrapies de l’empire. L’architecture résulte d’une combinaison originale des styles issus de ces provinces créant ainsi le style architectural perse ébauché à Pasargades, également retrouvé à Suse et Ecbatane. Cette combinaison des savoir-faire marque également les autres arts perses, comme la sculpture ou l’orfèvrerie. La construction de Persépolis se poursuit pendant plus de deux siècles, jusqu’à la conquête de l'empire et la destruction partielle de la cité par Alexandre le Grand en 331 av. J.-C.
Persépolis comprend un vaste complexe palatin érigé sur une terrasse monumentale qui supporte de multiples bâtiments hypostyles. Ces palais ont des fonctions protocolaires, rituelles, emblématiques, ou administratives précises : audience, appartements royaux, administration du trésor, accueil. À proximité de la Terrasse se trouvaient d’autres éléments : habitations de la ville basse, tombes royales, autels, jardins.
De nombreux bas-reliefs sculptés sur les escaliers et portes des palais représentent la diversité des peuples composant l’empire. D’autres consacrent l’image d’un pouvoir royal protecteur, souverain, légitime, et absolu, ou désignent Xerxès Ier comme successeur légitime de Darius le Grand. Les multiples inscriptions royales persépolitaines cunéiformes rédigées en vieux-persan, babylonien, ou élamite, gravées à divers endroits du site, procèdent des mêmes buts, et précisent également pour certains bâtiments le roi ayant ordonné leur érection.
L’idée que Persépolis n’avait qu’une occupation annuelle et rituelle dédiée à la réception par le roi des tributs offerts par les nations assujetties de l’empire à l’occasion des cérémonies du nouvel an perse a longtemps prévalu. Il est maintenant certain que la cité était occupée en permanence et tenait un rôle administratif et politique central pour le gouvernement de l’empire. De nombreuses archives écrites sur des tablettes d’argiles découvertes dans les bâtiments du trésor et les fortifications ont permis d’établir ces rôles, et livrent des renseignements précieux sur l’administration impériale achéménide et la construction du complexe. Persépolis est classée patrimoine mondial de l’humanité par l’UNESCO depuis 1979.
lA VISITE S'ACHEVE, DEMAIN NOUS IRONS DANS UNE AUTRE ANCIENNE CITE.........
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Par chezmamielucette le 16 Décembre 2010 à 00:00
MAGNIFIQUES CIVILISATIONS DE L'ORIENT
Le temple d'Amon à Louxor ou Opet du sud[1] est un temple égyptien voué au culte d'Amon. Situé au cœur de l’ancienne Thèbes, il fut construit pour l’essentiel sous les XVIIIe et XIXe dynasties. Il était consacré au dieu dynastique Amon sous ses deux aspects d’Amon-Rê céleste et d'Amon-Min (divinité ithyphallique). Les parties les plus anciennes actuellement visibles remontent à Amenhotep III et à Ramsès II. Par la suite, de nouveaux éléments furent ajoutés par Chabaka, Nectanébo Ier et les Lagides
Les temples d'Abou Simbel[1] sont deux temples de l'Égypte antique construits par le pharaon Ramsès II (-1304 / -1213, XIXe dynastie) pour son culte ainsi que celui de dieux égyptiens et de son épouse Néfertari à Abou Simbel, en Égypte, au nord du lac Nasser sur le Nil, à environ soixante-dix kilomètres de la deuxième cataracte du Nil.
Thèbes (aujourd'hui Louxor) est le nom grec (Thebai) de la ville d'Égypte antique Ouaset (« Le sceptre » ou « La Puissante »), appartenant au quatrième nome de Haute-Égypte.
D'abord obscure capitale de province, elle prend une importance nationale à partir de la XIe dynastie. Elle est en effet la ville d'origine des dynastes de la famille des Antef, qui fondent la XIe dynastie, des Montouhotep I - II, liquidateurs de la première période intermédiaire et rassembleurs des Deux Terres[1], c'est-à-dire de la Haute et de la Basse-Égypte.
Thèbes est également la patrie de Séqénenrê Taâ II dit « le Brave », dont les successeurs, Kamosé et Ahmôsis, vont libérer l'Égypte des Hyksôs et clore la deuxième période intermédiaire.
La visite de l'Egypte est terminée, demain nous irons dans une autre région du globe
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Par chezmamielucette le 15 Décembre 2010 à 00:00
MAGNIFIQUES CIVILISATIONS DE L'ORIENT
La pyramide du roi Djoser, la plus ancienne pyramide égyptienne – elle fut construite en 2600 avant Jésus-Christ – révèle sans doute les tous premiers pas de ce qu’on appelle l’architecture, comme pratique savante, distincte de la simple construction.
La tombe - mastaba de Ty à Saqqara est l'une des plus célèbres de l'Ancien Empire, remarquable par la diversité et l'intérêt des sujets traités, ainsi que par la qualité d'exécution de ses reliefs et leur état de conservation.
Le mastaba, identifié comme N°60 (selon Jacques de Morgan) ou D22 (selon Mariette), est situé à Saqqara, à quelques centaines de mètres au nord-ouest de la pyramide à degrés de Djoser et à environ 150 mètres du dromos menant au Sérapeum, cet ensemble de galeries souterraines où étaient enterrés les Apis, taureaux sacrés considérés comme l'hypostase du dieu Ptah de Memphis.Temple d'Isis à Philae
L'un des sanctuaires majeurs de la déesse en Égypte et ultime lieu de culte de la déesse est à Philæ. Il a été construit c. -380 à 100. La fermeture du temple est ordonnée par l'empereur Justinien en 550. Un autre sanctuaire majeur est le temple d'Isis à Behbeit El-Hagara.
A demain, nous irons encore en Egypte à la découverte d'autres temples.......
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Par chezmamielucette le 14 Décembre 2010 à 00:00
MAGNIFIQUES CIVILISATIONS DE L'ORIENT
L'agriculture était née aux sources des grands fleuves du Moyen-Orient, puis elle avait gagnée les bassins fertiles du Tigre et de l'Euphrate, du Nil.... Alors, les sociétés hiérarchisées succèdèrent aux communautés agricoles, elles inventèrent l'écriture et la vie urbaine. Et la civilisation parut !
C'est le début de l'Antiquité en Orient, vers 3500 avant J.C. Dans les plaines à céréales, les tells - ces collines artificielles qui témoignent des constructions succéssives depuis les VIIIe et VIIe millénaires avant J.C. - resteront pendant longtemps des carrefours commerciaux. Car la civilisation s'épanouit en Mésopotamie et en Egypte, puis dans l'Elam (Iran), la vallée de l'Indus (Pakistan) en Crête et en Asie Mineure. On mesure ses progrès à travers la diffusion de l'écriture cunéiforme et des hiéroglyphes, et ôcombien par le gigantisme des monuments.
Avec les villes, en effet, se sont batis des empires : l'Assyrie, Babylone, l'Egypte pharaonique et la Nubie, mais aussi l'Empire des Hittites (Turquie). Depuis le port de Byblos (Liban), les phéniciens ouvrent les routes du commerce maritime en Méditerranée, avant de fonder Carthage. Plus tard, le commerce terrestre entre l'Arabie, l'Egypte et la Syrie-Phénicie assurera la prospérité des fantastiques cités
nabatéennes de Pétra et de Néguev.
De nouveaux foyers de civilisation continuent de surgir au 1er millénaire avant J.C avec les Etrusques, établis dans la péninsule italienne, l'empire Perse de Cyrus, ou l'Etat dace formé par les cavaliers thraces sur les rives du Danube. ..... L'archéologie n'a pas finie de nous livrer d'autres vestiges prestigieux de l'Orient et du rayonnement, au début de notre ére, de l'Empire parthe, du royaume d'Axoum, de l'age d'or des Sassanides, des O meyrades ou des Berbères hammadides......
Ceci est le début d'une série de voyages dans les civilisations de l'Orient
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Par chezmamielucette le 13 Décembre 2010 à 00:00
LES PREMIERES TRACES DE L' HOMME
Grotte de Lascaux
Chapelle sixtine de la Préhistoire
La découverte
Découverte en septembre 1940, par quatre adolescents (Marcel Ravidat et trois compagnons),
la grotte sera rapidement examinée par les abbés Breuil et Bouyssonie, le Dr Cheynier et D. Peyrony. Devant l'importance de la découverte, la grotte de Lascaux est classée monument historique le 27 décembre de la même année !
En 1950, la grotte de Lascaux va être l'un des premiers sites a bénéficier d'une nouvelle méthode de datation : le Carbone 14. Attribuée au paléolithique supérieur, elle devient la grotte préhistorique de référence, le véritable "chef d'oeuvre de l'humanité"Visite de Lascaux en images
La salle des taureaux ou rotonde
L'auroch, puissant et grandiose, semble être le roi de cette salle : le plus grand mesure 5 mètres de longs !!! Toutes les autres représentations (chevaux ou bovidés) sont de petite taille... Une curiosité: la présence d'un animal flanqué de 2 longues cornes. Non identifié il a été surnommé "La licorne" et excite toujours la curiosité...
Face à face d'aurochsAuroch (détail)La fameuse "Licorne"Le diverticule axial
Les peintures du diverticule axial sont trop hautes pour avoir été peintes par un homme debout. Des trous dans la paroi, à environ 2 mètres du sol, montrent que les artistes ont monté un échafaudage pour atteindre le plafond. On a retrouvé des restes de chêne démontrant que les hommes avaient utilisé des solives de ce bois pour soutenir un plancher surélevé.Le Cheval typique de LascauxVison globale du diverticule axialVacheLa nef
Etonnante frise de cerfs qui peut être décryptée de deux façons. La première explication imagine que ces cervidés traversent un cours d'eau, seules leurs têtes dépassent de l'onde. La seconde découpe le mouvement, et fait de cette frise la première bande dessinée de la préhistoire !
Tout aussi étonnant, les blasons de Lascaux, figures géométriques, ont fait l'objet de nombreuses spéculations : signature de l'artiste, sorte de panneaux de signalisation... Ce que nous savons, c'est que nous ne savons rien !!!
Les cerfs qui semblent traverser un cours d'eau
Détail de la frise des cerfs
vous venez de visiter la grotte de Lascaux, elle se trouve dans la vallée de la Vézère, en France.L'ensemble du site préhistorique compte 27 Grottes ornées.
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Par chezmamielucette le 12 Décembre 2010 à 00:00
LES PREMIERES TRACES DE L'HOMME
Les Moais est le nom des fameuses statue de l'île de Pâques. Il y en a environ 300 sur l'île mais un grand nombre d'entre eux ont été mis à terre lors des multiples guerres tribales. La matière première de ces gigantesques statues qui recouvrent l'île est avant tout le basalte qui provient du volcan Rano Raraku ( dont le cratère est aujourd'hui envahit par les joncs ). Leurs yeux étaient fais d'os ( de requins ou autres vertébrés ) et les pupilles étaient faites par une incrustation de corail ou d'obsidienne. Ils étaient taillés à l'aide de hache "Toki"
Leur taille se situe en général entre 4 et 8 mètres, certaines allant jusqu'à une dizaine de mètres. Ils portaient tous leur de leur édification une coiffe qu'ils au sommet de leur tête, un Pu Kao ( un chignon ) pèsant dans les 1,5 tonnes. Cette coiffe n'était pas taillée dans le même basalte, c'est une pierre rouge provenant de la face ouest de l'Ile, ils étaient taillés sur place puis transportés. On ne connait pas le rôle des Moais. Peut-être des statues idoles vénérant un ou plusieurs dieux ou protectrices de l'île ou encore un rituel pour les morts... Ils sont tous tournés vers l'intérieur de l'île le dos face à la mer et leur regard se dirige toujours vers le ciel, on les surnomme régulièrement par " ceux qui regardent les étoiles ".
Il y a une exeption cependant, le " Ahu Akivi ", un alignement de 7 Moaïs qui regardent en direction de la mer. Ils n'ont pas de caractéristiques physiques des Polynésiens. Ils ont des nez aquilins, des lèvres fines, des fronts hauts et de la barbe. Des scientifiques pense que l'île à subit deux vagues de migrations, l'une venant de polynésie et l'autre d'Amérique du Sud probablement du Pérou. Le transport depuis le volcan jusqu'à leur destination finale ( jusqu'à 20 kilomètres ), demeure un mystère encore aujourd'hui. Les Moaïs devaient être emmenée sur des " Ahu ", en pierre qui leur servaient de support. Les Ahu étatient très certainement d'anciens autel transformés, le plus vieil Ahu est daté de 857 après J.C. Ce sont des édifices religieux assez proches des Maraes que l'on trouve en polynésie.
J'espère que ces statues monumentales vous ont plu, demain nous irons à la découverte d'autres traces de ces premiers hommes..........
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Par chezmamielucette le 11 Décembre 2010 à 00:00
À la frontière du Tassili n'Ajjer algérien, également site du patrimoine mondial, ce massif rocheux est riche de milliers de peintures rupestres de styles très différents dont les plus anciennes remontent à 12 000 ans environ av. J.-C., les plus récentes pouvant être datées du Ier siècle de l'ère chrétienne. Ces peintures reflètent les modifications profondes de la faune et de la flore, ainsi que les divers modes de vie des populations qui se sont succédé dans cette partie du Sahara.
Le massif du Tadrart Acacus possède des milliers de peintures rupestres de différents styles, datables entre 12000 et 100 av. J.-C., qui reflètent les changements importants intervenus dans la flore, dans la faune, ainsi que dans le style de vie des populations qui se succédèrent dans cette zone du Sahara.
Cette vaste région montagneuse de plus de 250 km2, qui est aujourd'hui un désert, se trouve dans le Fezzan, à l'est de la ville de Ghat. C'est l'un des plus extraordinaires panoramas au monde, qui renferme d'innombrables merveilles naturelles : dunes, pitons isolés émergeant d'étendues de sable et érodés selon les formes les plus étranges, arches pétrifiées, canyons creusés par d'anciennes rivières.
Les peintures rupestres et les gravures de différents styles sont disséminées dans presque toutes les vallées. Elles représentent des scènes de chasse ou de la vie quotidienne, des danses rituelles, ou encore des animaux. Le site inclut aussi le désert de Murzuch, qui a conservé des traces des différentes phases du paléolithique
Comme dans le Tassili n'Ajjer, en Algérie, différents changements climatiques ont porté à des modifications dans la flore et dans la faune, ainsi que dans le style de vie des populations locales, qui permettent de définir différents styles artistiques :
- au cours de la phase naturaliste, correspondant à la dernière phase du pléistocène (12000-8000 av. J.-C.), de nombreuses gravures rupestres représentent les grands mammifères de la savane : éléphants, rhinocéros, etc.
- au cours de la phase des têtes rondes (vers 8000-4000 av. J.-C.), gravures et peintures rupestres ont coexisté, et des scènes religieuses apparaissent ; la faune était alors typique des climats humides.
- la phase pastorale, à partir de 4000 av. J.-C., est la plus importante en terme de nombre de peintures et de gravures ; les parois décorées des grottes et des abris sous roche présentent alors de nombreux troupeaux de bovidés.
- la phase du cheval, à partir de 1500 av. J.-C., est caractéristique d'un climat semi-aride qui entraîna la disparition de certaines espèces, et l'apparition du cheval domestique.
- la phase du chameau (Ier siècle av. J.-C.) correspond à une intensification du climat désertique. Le dromadaire, alors apparu dans la région, devint le sujet principal des dernières peintures rupestres.
lA VISITE DE tADRART EST TERMINEE DEMAIN NOUS DECOUVRIRONS UNE AUTRE REGION.........
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Par chezmamielucette le 10 Décembre 2010 à 00:00
LES PREMIERES TRACES DE L'HOMME
Les temples de Tarxien datent de 3600-2500 av. J-C et sont les plus complexes de tous les sites de Malte. Ils se composent de quatre structures mégalithiques et sont célèbres pour le détail de leurs sculptures, qui incluent des animaux domestiques sculptés en relief, des autels et des cloisons décorées avec des dessins en spirales et autres modèles. L’une des chambres placée dans l’épaisseur du mur entre les temples sud et central, est particulièrement remarquable. Elle est célèbre pour ses reliefs de deux taureaux et d’une truie.
Il semble que le site ait été très utilisé pour des rituels, qui impliquaient certainement le sacrifice d’animaux. Tarxien est également intéressant car il offre un aperçu de la manière dont les temples furent construits : on utilisait certainement les treuils laissés hors du temple pour transporter les mégalithes. Des restes de crémations ont également été retrouvés au centre du temple sud de Tarxien, ce qui indique que le site fut réutilisé à l’Age de Bronze comme incinérateur.
Nous allons visiter maintenant le temple de Mnajdra
Mnajdra est un mégalithique complexe de temples découverts sur la côte sud de la Méditerranée île de Malte. Mnajdra est d'environ 500 mètres de la Hagar Qim mégalithique complexe. Mnajdra a été construit autour du quatrième millénaire avant notre ère, les temples mégalithiques de Malte sont parmi les plus anciens sites religieux sur la Terre,[1] décrit par le Comité du patrimoine mondial des sites "en tant que chefs-d'œuvre architecturaux uniques".[2] En 1992, l'UNESCO a reconnu la Mnajdra complexe et de quatre autres structures mégalithiques de Malte comme sites du patrimoine mondial de l'UNESCO.[3] En 2009, le travail a été achevé sur une tente de protection.[4]
Les temples de Mnajdra de Malte sont d'intérêt architectural pour un certain nombre de raisons. Leur période de temps et systèmes structuraux sont semblables à ceux d'autres constructions européennes de megalith, mais d'autres dispositifs sont distincts des manières intéressantes. Les temples contiennent des « meubles » comme la pierre met hors jeu et les tables qui donnent des indices à leur utilisation. Le troisième temple est probablement le meilleur exemple de l'architecture megalithic en général maltaise, avec son utilisation des portes de coupe-circuit plutôt que des entrées de poteau-et-linteau, et découpage complexe d'impression caractéristique de l'île. Beaucoup d'objets façonnés ont été récupérés de dans les temples, aussi bien que de Ħaġar Qim, suggérant que ces temples aient été utilisés pour des buts religieux, peut-être pour guérir la maladie et/ou pour favoriser la fertilité. Les temples de Mnajdra contribuent à notre arrangement des vies des habitants préhistoriques de Malte et à notre connaissance générale de l'histoire architecturale européenne.
C'est sur ces photos que nous terminerons notre visites des temples maltais...... à demain.....
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Par chezmamielucette le 9 Décembre 2010 à 00:00
LES PREMIERES TRACES DE L'HOMME
Le parc archéologique de San Agustín est un ensemble de monuments religieux et de sculptures mégalithiques au cœur des Andes, à San Agustín dans le département de Huila en Colombie. 300 sculptures monumentales réalistes ou abstraites parsèment ce parc de 2 000 km², témoignant de l’art d’une civilisation qui atteignit son apogée durant les huit premiers siècles de notre ère. Le parc est inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 1995.
La première description de ce site archéologique a été faite par le frère capucin Fray Juan de Santa Gertrudis dans son ouvrage "Merveilles de la nature", lorsqu'il visitait la région en 1756.
Les statues, dont certaines font plus de 4 mètres de hauteur et pèsent plusieurs tonnes, ont été sculptées dans le tuf et l’andésite volcanique. Elles gardent l’entrée de chambres funéraires.
Le parc est également constitué de forêts exubérantes où coulent des cascades dans un décor magnifique.
La visite est terminée, à demain pour une autre destination........
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Par chezmamielucette le 8 Décembre 2010 à 00:00
LES PREMIERES TRACES DE L'HOMME
Newgrange est l’un des plus célèbre sites archéologiques d'Irlande, situé dans le Comté de Meath, au nord de Dublin. C’est un tumulus de 85 mètres de diamètre à l’intérieur duquel on atteint la chambre funéraire par un long passage couvert.Il a été construit autour de 3200 avant JC, soit près de 600 ans avant la grande pyramide de Gizeh en Égypte et près de 1 000 ans avant Stonehenge en Angleterre.
Le site consiste en un gros tumulus circulaire au centre duquel se trouve une chambre mortuaire à laquelle on accède par un très long couloir couvert. Le mur extérieur du tumulus est flanqué de pierres monumentales sur lesquelles il est possible d'observer des dessins en spirale et quelques triskell. Chaque année (selon l'observation de sir Norman Lockyer en 1909), le jour du solstice d’hiver (le 21 décembre), à 9 h 17 du matin le soleil pénètre directement dans la chambre centrale pendant à peu près 15 minutes. La précision dans l'orientation de l'édifice est donc spectaculaire. L'objectif de la construction semble avoir été de "réveiller" les ancêtres, les personnages importants dont les corps étaient déposés dans la chambre funéraire centrale, pour qu'ils interviennent et que les jours recommencent à croître (la peur était que la durée du jour ne cesse de diminuer jusqu'à l'obscurité permanente).
Nous allons maintenant aller à Knowth, à quelques kilomètres de là...
Knowth (en irlandais Cnobha) est le site d'une tombe à couloir néolithique, qui se trouve dans la vallée de la Boyne, dans le comté de Meath en Irlande Knowth possède la plus grande de toutes tombes à couloir situées dans le complexe de Brú na Bóinne. Le site se compose d'un grand tertre, appelé le Site 1, et de 17 tombes satellites plus petites. Le site 1, le tertre, couvre une surface d'environ 1 hectare. Il possède deux couloirs, placés sur une ligne orientée est-ouest. Il est ceinturé par 127 pierres de parement, 3 d'entre elles manquent et 4 sont sérieusement endommagées.
Les couloirs sont indépendants l'un de l'autre (ils ne se croisent pas), et chacun d'eux conduit à une chambre funéraire. Le couloir est mène à une chambre cruciforme, semblable à ce que l'on trouve à Newgrange. Elle compte trois renfoncements et trois bassins de pierre, à l'intérieur desquels étaient placés les restes incinérés des défunts.
Les sites préhistoriques de la vallée de Boyne forment l'ensemble mégalithique le plus important d'Europe.Ils comprennenr des monuments funéraires et religieux, mais aussi profanes..............
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