• Provence d'Antan  - Les Grandes Cités -  ARLES

     

    Merveilleusement située au sommet du delta du Rhône, Arles est un carrefour sur la route qui relie l'Italie à l'Espagne. Capitale de la Camargue, elle est un lien précieux entre voie fluide et Méditerranée. Ville du soleil, elle exprime ses propres traditions à travers de nombreuses fêtes populaires. Au cours du XIXe siècle, la ville connaît des transformations considérables. Le plus grand des bouleversements est sans doute l'apparition du chemin de fer.

     

    Provence d'Antan  - Les Grandes Cités -  ARLES

     

    La ville s'étend hors ses murs qu'elle détruit pour laisser place aux grands cours. A la Belle Epoque, Arles est devenue une cité ouvrière qui a su conserver son centre historique en lui donnant vie grâce à la fête. Les arènes en sont le coeur : en cinq ans, elles sont dégagées de 212 maisons et de deux chapelles qui les occupent.

    Dès 1830, une première course de taureaux y est organisée devant 20 000 spectateurs enthousiastes. Les Arlésiens renouent avec ce passé festif et leur amphithéatre devient la scène de fêtes populaires et traditionnelles. "Féria" fête des Gardians et autres représentations sont autant d'occasions pour le Arlésiens de revêtir leurs plus belles parures. Les plus prestigieuse des courses taurines est celle de la Cocarde d'or. Depuis 1930, elle embrase l'arène chaque année le lundi suivant la fête du costume - qui a lieu chaque premier dimanche de juillet dans le théatre antique.

     

     

     

    A l'aube du XXe siècle, après 75 ans de travaux de déblaiement, le théatre antique retrouve également sa vocation de scène. Erigé au 1er siècle avant notre ère, il est d'environ 100 ans l'âiné de l'amphithéatre. Dans les premières années du XXe siècle, sa principale attraction est la "festo vierginenco" ou fête des Vierges. Née en 1903 sous l'impulsion de Frédéric Mistral elle glorifie les jeunes filles qui portent pour la première fois le costume d'Arlésienne adulte avec le ruban. Les plus beaux et les plus riches costumes sont alors à l'honneur.

     

     

     

    Autour de ces deux monuments antiques, la vieille ville conserve sa structure médiévale formée de ruelles sinueuses. A la Belle Epoque, deux places réunissent élégantes et promeneurs : celle de la République, ornée de la fascinante façade romane de la cathédrale Sainte-Trophine, et celle du Forum. Celle-ci voit naître deux luxueux hotels au tournant du siècle et, le 30 mai 1909, Frédéric Mistral y inaugure lui-même sa statue. Artistes et voyageurs aiment s'y retrouver à l'ombre des platanes, sur les terrasses des cafés.

     

    Texte extrait du livre : La Provence d'Antan

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  • Il n'y a qu'une espèce du genre "Phyllitis" le Scolopendrium (scolopendre) intéressante à cultiver en appartement. Des touffes de frondes se déroulent à partir d'un rhizome dressé et ramifié, en partie enfoui dans le mélange. Ce rhizome couvert d'écailles brunes et velues est d'habitude caché par les tiges des frondes. Selon leur âge et leurs conditions de culture, les tiges mesurent de 3 à 25 cm de long, par ailleurs leur couleur passe du noir au vert sombre quand elles se transforment en rachis. Le limbe, d'un vert moyen, est rubanné et pointu au sommet.

    Dans la nature, les frondes peuvent atteindre 50 cm sur 15, mais en pot, elles ne dépassent pas le moitié de ces dimensions. D'abord dressées, elles s'arquent en allongeant. La plupart portent au revers des sporanges disposés en chevrons. Leur marge est ondulée, parfois plissée et leur sommet pointu ou crêté. On peut trouver toutes ces formes sur une même plante. C'est principalement cette dernière caractéristique qui plaît aux amateurs.

    Assorti à des plantes florifères le scolopendrium par son port gracieux et ses frais coloris, crée d'intéressants contrastes.
    La croissance des phyllitis, bien que continue, connaît un léger ralentissement en hiver

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    Plusieurs variétés de Scolopendrium présentent des frondes dont la forme ne varie pas :

    - celles du "Capitum " sont ondulées avec une pointe crétée

    -celles du "Crispum" ont des marges très dentées et fortement ondulées ou plissées comme une collerette de l'époque élisabéthaine, avec une pointe simple

    -celles de "Crispum cristatum" ont des pointes crêtées et des marges très serrées.

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    Avant le rattachement du Comté de Nice à la France en 1860, le cours du Var marquait la limite orientale du département auquel il a laissé son nom. Mais il fut décidé de lui retirer l'arrondissement de Grasse, pour créer les Alpes-Maritimes, si bien que désormais le département du Var doit son nom à un fleuve qui ne la traverse plus. Les premiers chefs-lieux du Var furent Toulon, Grasse puis Brignoles, et Draguignan de 1797 à 1974. La côte varoise est surplombée par les massifs de la Sainte-Baume, des Maures et de l'Estérel. Dans l'arrière-pays, des plateaux calcaires, comme le plan de Canjuers, côtoient les gorges du Verdon et la montagne de Lachens, point culminant du département (1 714 m).

     

     

    LE VOEU D'ANNE D'AUTRICHE ET DE LOUIS XIII

    Roi de France de 1610 à 1643, Louis XIII a longtemps attendu un fils de son épouse Anne d'Autriche. Sur le conseil d'un moine qui aurait été témoin de deux apparitions de la Vierge, Anne d'Autriche est venue en l'église de Notre-Dame-de-Grâce en décembre 1637 invoquer la vierge de Cotignac, dont la réputation était de rendre les femmes fécondes. Neuf mois plus tard, elle accoucha d'un garçon prénommé Louis-Dieudonné et qui deviendra Louis XIV. Dès lors, Louis XIII fit de la fête de l'Assomption une fête nationale pour associer la France à la Vierge Marie. C'est également suite à cette naissance que fut construite l'église du Val-de-Grâce à Paris.

     

     

    LA RADE DE TOULON

    Le site de la rade de Toulon offre une position d'abri qui a été propice au développement du premier port militaire français. Protégée à l'est par la presqu'île de Giens et fermée au sud par celle de Saint-Mandrier, elle constituait déjà un mouillage pour les navires grecs et romains. La petite rade, aux abords immédiats du port, se distingue de la grande rade. De nombreux caps qui la cernent, comme celui de Carquerianne et les monts qui la dominent, comme le mont Faron, abritent de nombreux ouvrages fortifiés.

     

     

    LES FORETS DU VAR

    Le département du Var est le plus boisé de France métropolitaine. Avec un couvert forestier proche de 70 %, il devance de peu celui des Landes. Dans les massifs forestiers des Maures et de l'Estérel, on retrouve différentes espèces de pins et de chênes, parmi lesquels figure le chêne-liège, qui fait du Var le premier producteur français de liège. Cette production doit faire face aujourd'hui à la concurrence de pays plus méridionnaux, mais aussi à celle des matières synthétiques.

     

     

    LE DOUBLE TOMBOLO DE GIENS

    La côte varoise présente une formation géologique rare au niveau de la presqu'île de Giens : un double tombolo. Un tombolo est un cordon sableux reliant une île au continent. Giens est ainsi rattaché, depuis quelques milliers d'années, au continent par deux cordons, séparés par l'étang des Pesquiers. Les îles d'Hyères un peu plus éloignées du rivage n'ont pas encore connu le même sort.

     

     

    Texte extrait du livre : La France - Géographie Curieuse et insolite

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  • Cet affluent de l'Aude a creusé dans le plateau de Sault, recouvert de forêts, une série de gorges et de défilés. A 11 km au sud de Quillan, on quitte la vallée de l'Aude et la N. 117 par la D. 107 à droite qui remonte le Ribenty.

    Le premier étroit à 13 km forme le défilé de Joucou, puis un moulin marque l'entrée du défilé d'Able suivi du défilé de Niort, très escarpé, enfin le défilé d'Adouxes, couloir étroit, encaissé entre des rochers de couleur rourge et recouvert de sapins termine ce long couloir à La Fajolle.

    La N. 117 continue jusqu'au col du Pradel à 1 680 m (panorama) d'où une route difficile jusqu'à l'Eycherque permet de redescendre à Ax-les-Thermes.

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  • Peter Thomas est né en 1953. Formé à Uppingham School, il a étudié la sculpture et les différentes techniques d'impression pour sa licence à Kingston.

     Après avoir réussi le "Art Teacher's Certificate course" à Brighton, il est devenu Artiste en résidence à Felsted School, puis a enseigné l'Art et le Design à Uppingham jusqu'en 1981, année de son départ en Dordogne.

    Arrivé en Dordogne en 1981, il rénove une vieille grange avec ses dépendances, les transformant en maison d'habitation et en atelier de travail.

    Il aime à observer la nature qui l'environne et attache une grande importance à traduire les variations de luminosité ambiante.

    Paysagiste, Peter Thomas travaille essentiellement avec des pastels.

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  • Belle île quelque part

     


    "La ville n'a besoin ni du soleil ni de la lune pour l'éclairer; car la gloire de Dieu l'éclaire, et l'agneau est son flambeau." Apocalypse 21.23

     

    Un dimanche matin de 1897, Jessie Brown Pounds ne se sentait pas bien. Elle était mariée depuis peu, et son mari, John, pasteur de leur paroisse à Indianapolis, dans l'Indiana, n'avait d'autre choix que de partir sans elle à l'église. Jessie était malheureusement habituée à la maladie et à la douleur. Elle était née en 1861 à Hiram, dans l'Ohio, et son enfance avait été marquée par de fréquentes maladies. Cependant, sa foi en Dieu était solide et elle se tournait souvent vers la poésie pour exprimer ses pensées et ses sentiments. Elle avait écrit également les paroles de nombreux cantiques.

     Assise seule, ce matin-là, elle réfléchissait aux problèmes qu'elle affrontait. Bientôt, sa pensée se tourna vers le ciel. Elle pouvait bien souffrir, elle savait toutefois que "quelque part, le soleil brille ; quelque part, les oiseaux chantent". Elle pouvait bien être remplie de "pensées moroses et tristes", elle savait que "Dieu est vivant et tout est bien".

     Dans cette vie, nous pouvons connaître la maladie et le chagrin, mais Jessie regardait à l'éternité qu'elle pourrait passer dans le "pays du véritable où nous revivrons ". Dans cet endroit, il n'y a plus de nuits ; "les fardeaux sont enlevés", les "nuages sont écartés" et les "anges chantent".

     Jessie acheva son texte avant le retour de son mari de l'église et ses paroles devinrent très vite un cantique : "Beautiful Isle of Somewhere" (litt. "Belle île quelque part").

     Aujourd'hui, ne laissez pas les problèmes de ce monde vous envahir. Par sa parole, Dieu vous a donné une image du ciel afin que vous possédiez une espérance. Dans sa présence se trouve la paix parfaite. Laissez-le vous guider, combler vos besoins et vous soulager de vos fardeaux. Souvenez-vous, Dieu est vivant. Tout est bien.

    Une prière pour aujourd'hui

     Père, aide-moi à ne plus penser aux choses de ce monde mais à penser à ton royaume. Je te consacre ma vie. Aide-moi à te servir dès maintenant. Au nom de Jésus. Amen.

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  • Autour du centre historique de la cité pontificale se dressent les remparts, élevés au cours du XIVe sièce. Avignon est alors capitale de la chrétienté et les papes décident de se protéger par une enceinte longue de plus de 4 km, délimitant ainsi une cité élargie par rapport aux tracés du XIIIe siècle. A la Belle Epoque, ces remparts médiévaux sont perçus comme un obstacle au développement et à la modernisation de la ville. Deux des douze portes sont détruites, on comble les fossés, on réhausse les terrains qui les bordent et les brèches sont ouvertes.

    Toujours tournée vers le Rhône et le trafic maritime, Avignon découvre, au milieu du XIXe siècle, un nouveau moyen de communication : le rail. La toute jeune gare, située au sud de la cité, se dresse telle une halle géante face aux remparts. Elle devient le nouveau coeur de la ville, à laquelle on accède par la porte de la République, aménagée en 1855. Grâce au chemin de fer, Avignon conserve son rôle de ville-carrefour qu'elle jouait déjà grâce à sa voie fluviale. Devant la gare, les hippomobiles se tiennent prêtent à accueillir les voyageurs, les deux buvettes concurrentes s'y préparent aussi.

     

    Un peu plus loin, la porte Saint-Michel et son boulevard accueillent réguliérement les marchés sur lesquels les Avignonnais aiment se retrouver. Au bord du Rhône, la promenade des Remparts est fort appréciée : les familles s'y baladent du pont Bénezet aux allées de l'Oulle. La porte de l'Oulle, elle, est démolie en 1900 pour cause de risque d'effondrement.

    Le pont Saint-Bénezet, construit entre 1177 et 1185, a subi de nombreux dommages et a été reconstruit à maintes reprises. A la Belle Epoque, les enfants aiment danser sur le plus célèbre des ponts d'Avignon comme le veut la comptine populaire. Un autre pont suspendu, accueille promeneurs, vélos et attelages. Il relie le Gard au Vaucluse, Avignon à Villeneuve-lès-Avignon. Ouvert en 1843, c'est un pont à péage qui est aujourd'hui remplacé par le pont Daladier.

    Depuis sa création, il enjambe une île champêtre : la Barthelasse, lieu de loisirs sur laquelle les adeptes de guinguettes, jeux de boules et courses taurines côtoient les bergers et leurs troupeaux de moutons. Elle est reliée à la cité des Papes par un bac à traille : en cinq minutes, les Avignonnais atteignent l'autre rive pour s'y divertir.

    Texte extrait du livre : La Provence d'Antan

     

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    Les trois espèces du genre "Phoenix" que l'on peut cultiver en appartement sont des plus décoratives. De croissance plutôt lente, elles gardent plusieurs années une taille raisonnable. A la longue, bien sûr, elles grossissent beaucoup. Elles présentent toutes des frondes pennées, c'est-à-dire divisées en folioles, et très arquées. Le tronc est trapu, presque bulbeux. Le fil brun qui relie les folioles de chaque fronde tombe lorsque celles-ci s'ouvrent. Les folioles elles-mêmes sont en partie repliées ou nervurées au point d'insertion sur le pétiole. Les phoenix produisent des fleurs et des fruits (dattes) lorsqu'ils sont très vieux, mais pas à l'intérieur.
    Les palmiers du genre "phoenix" diffèrent beaucoup les uns des autres, soit à cause de différences naturelles, soit parce qu'ils s'hybrident facilement. Plusieurs d'entres eux sont d'ailleurs des hybrides.

    - ESPECES RECOMMANDEES -

    -CANARIENSIS - ressemble un peu au palmier-dattier. Son stipe court, fort et trapu se compse de larges feuilles vert émeraude, engainantes à la souche et particuliérement couvertes de poils fibreux bruns. Les frondes, d'un beau vert sombre, sont profondément divisées, elles sont portées par des pétioles d'un vert plus clair. Les folioles plutôt rigides sont pourtant assez robustes. Elles sont disposées en chevrons, certaines opposées, d'autres pas. Leur taille varie beaucoup : elles sont plus courtes à la base et au sommet de la fronde, et sont plus longues au centre. Dans un bac, ce palmier atteint 1,80 m de haut, et ses frondes 90 cm de long.

     

     

    - DACTYLIFERA - (dattier, palmier-dattier) se distingue par des frondes bleu-vert et des folioles à piquants, mais non épineuses. Elles s'élancent d'un stipe vert, très effilé. Ce palmier croît plus vite que le "canariensis", mais il est moins beau.

     

     

    - ROEBELENII - (parfois confondu avec le "loureirii") est un palmier d'appartement très répandu. Cette gracieuse plante de petite taille, presque dépourvue de tige dans sa jeunesse, porte une couronne de frondes étroites, vert sombre et arquées, recouvertes d'une fine couche d'écailles blanches. Avec l'âge, le stipe devient rugueux et parfois se ramifie. Il est préférable de couper sans tarder ces rameaux latéraux pour ne garder qu'une seule couronne de feuilles. L'espèce dépasse rarement 90 cm de hauteur, mais son étalement peut atteindre 1,20 m, alors que ses frondes peuvent avoir jusqu'à 90 cm de hauteur.

     

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    Les "bouches" du Rhône prennent la forme d'un delta juste en aval d'Arles, où le Grand Rhône et le Petit Rhône se séparent et se jetent dans la Méditerranée de part et d'autre de la côte camarguaise. Vers l'est, celle-ci laisse la place à la Côte Bleue de l'embouchure de l'étang de Berre jusqu'à Marseille, puis aux premiers escarpements de la Côte d'Azur notamment au Cap Canaille où les falaises de Soubeyrannes, les plus hautes de France, dominent la mer de près de 400 m. Dans l'intérieur des terres, au-delà de la plaine de la Crau, s'étend le massif des Alpilles, et non loin d'Aix-en-Provence, qui fut le premier chef-lieu du département, le massif de Trévaresse fait face à celui de la Sainte-Victoire chère à Cézanne.

     

     

    L'ALUMINE DES BAUX

    Le village des Baux-de-Provence dans les Alpilles a laissé son nom à la bauxite, principal minerai dont on tire l'aluminium. En 1821, près de ce somptueux village provençal, le géologue Pierre Berthier découvrit les propriétés de ce qu'il appela d'abord la terre d'alumine des Baux.

     

     

    LA CIOTAT, UN DES BERCEAUX DU CINEMA ET DE LA PETANQUE

    Si les frères Lumière étaient lyonnais, ils possédaient une villa à la Ciotat. C'est ainsi qu'ils ont tourné un des premiers films de l'histoire  "l'arrivée du train en gare de la Ciotat" probablement en 1895. La "cité", -signification en provençal de "ciutat" - abrite également l'Eden, le plus ancien cinéma au monde encore existant. La Ciotat revendique aussi la paternité de la pétanque. De tout temps, des jeux de boules plus ou moins proches de la pétanque ont existé, mais le terme "pétanque" aurait été officialisé en 1910 lors du premier concours officiel qui s'est tenu à la Ciotat. Le terme d'origine provençale "pétanque" dérive de "pieds tanqués" signifiant "pieds-joints".

     

     

    LA PLUS GRANDE CATASTROPHE SISMIQUE

    Le tremblement de terre de Provence de 1909, dont l'épicentre était situé près de Lambesc, est généralement considéré comme la plus grande catastrophe sismique du xxe siècle en France métropolitaine : 46 morts et 250 blessés furent à déplorer.

     

     

    LE BIEN NOMME ARCHITECTE DE LA "BONNE MERE"

    S'étendant de la chaîne de l'Estaque qui a inspiré de nombreux peintres jusqu'à l'anse de Callelongue près des premières calanques, Marseille est dominée par la basilique Notre-Dme-de-la-Garde, dont le site accueille une chapelle depuis le XIIIe siècle. La "bonne mère" a été achevée en 1853, répondant au projet d'un jeune architecte nimois : Henri Espérandieu ! Quand à la célèbre Canebière, elle doit son nom au commerce du chanvre qui y était jadis réalisé, le nom commun "canebière" désignant une plantation de chanvre

     

     

    LES GRANDS ESPACES CAMARGUAIS

    La Camargue, formé par le delta du Rhône, abrite les deux plus grandes communes de France métroplolitaine : tout d'abord la commune d'Arles connue pour ses nombreux monuments romains et pour la découverte dans le Rhône du plus ancien buste de César, suivie par les SaintesMarie-de-la-Mer, célèbres pour le pélerinage des Gitans qui depuis le XIXe siècle viennent y honorer la Vierge noire, sainte Sara.

     

     

    Texte extrait du livre : La France -Géographie Curieuse et insolite

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