-
Par chezmamielucette le 14 Avril 2017 à 00:00
1ère station
Jésus est condamné à mort.V. Nous vous adorons, ô Christ, et nous vous bénissons.
R. Parce que vous avez racheté le monde par votre sainte Croix.O doux Jésus, vous avez accepté d’être jugé par des hommes et condamné, vous l’Agneau sans tâche, le Fils du Père, et votre bouche n’a proféré aucun jugement, aucun reproche. Vous n’aviez pour vos bourreaux que pitié et miséricorde. Donnez-nous, Seigneur, de pleurer nos péchés, de demander pardon et de pardonner.2ème station
Jésus est chargé de la Croix.V. Nous vous adorons, ô Christ, et nous vous bénissons.
R. Parce que vous avez racheté le monde par votre sainte Croix.O Jésus, vous avez porté sur vos épaules tous nos péchés. Ce poids est tel qu’aucune parole ne peut l’exprimer. Donnez-nous, Seigneur, de porter cette croix avec vous, de ne jamais la rejeter, mais d’en faire notre bien le plus précieux.3ème station
Jésus tombe sous le poids de sa Croix.V. Nous vous adorons, ô Christ, et nous vous bénissons.
R. Parce que vous avez racheté le monde par votre sainte Croix.O Seigneur, comment ne pas pleurer en vous voyant passer, vous le plus humble, le plus petit des petits, sur le chemin du Calvaire et tomber sous le poids de nos fautes? Que nos chutes, Seigneur, ne nous conduisent pas au désespoir, mais que, confiants en votre amour, nous nous relevions et continuions à avancer sur le chemin de la sainteté!4ème station
Jésus rencontre sa très Sainte Mère.V. Nous vous adorons, ô Christ, et nous vous bénissons.
R. Parce que vous avez racheté le monde par votre sainte Croix.Cette rencontre de deux coeurs douloureux, unit dans l’offrande totale pour la rédemption du monde, nous invite à tous donner, à aimer le Christ comme sa Mère l’a aimé et à aimer Marie comme le Christ l’a aimée. Purifiez, ô Marie, nos relations affectives, afin que nous puissions aimer en toute liberté notre Seigneur Jésus-Christ et notre prochain comme nous-mêmes.5ème station
Simon le Cyrénéen aide Jésus à porter sa Croix.
V. Nous vous adorons, ô Christ, et nous vous bénissons.
R. Parce que vous avez racheté le monde par votre sainte Croix.O Seigneur, que sans hésiter nous acceptions de prendre part à votre Passion, que nous portions, dans la joie, notre croix et celles des autres, pour la gloire de Dieu!6ème station
Véronique essuie la sainte Face de Jésus.V. Nous vous adorons, ô Christ, et nous vous bénissons.
R. Parce que vous avez racheté le monde par votre sainte Croix.Seigneur, imprimez en nos âmes votre Visage, afin qu’en nous voyant, le monde vous voie et que les coeurs durs se brisent.7ème station
Jésus tombe une seconde fois.
V. Nous vous adorons, ô Christ, et nous vous bénissons.
R. Parce que vous avez racheté le monde par votre sainte Croix.O Seigneur, écrasé par le poids de nos péchés, vous tombez une deuxième fois. Pardon, Seigneur, pour nos fautes, pour les offenses qui vous sont faites et les blessures que nous nous infligeons les uns les autres. Que par votre grâce, nous nous convertissions tous les jours et guérissions de tout mal!8ème station
Jésus console les filles d’Israël.V. Nous vous adorons, ô Christ, et nous vous bénissons.
R. Parce que vous avez racheté le monde par votre sainte Croix.Jésus, qui avez dit aux femmes de Jérusalem: « Ne pleurez pas sur Moi, mais sur vous et sur vos enfants », donnez-nous la grâce de la vraie contrition qui transforme le coeur et l’esprit et de contribuer ainsi à la transformation du monde.9ème station
Jésus tombe pour la troisième fois.V. Nous vous adorons, ô Christ, et nous vous bénissons.
R. Parce que vous avez racheté le monde par votre sainte Croix.Une dernière fois, Seigneur, tu tombes. Comment demeurer insensible devant tant de douleurs? Comment ne pas vouloir tout donner pour soulager, ne serait-ce qu’un instant, le Coeur souffrant du Christ? Seigneur, que nous consolions ton pauvre Coeur, en faisant de votre vie un chant d’amour et de louange et qu’en toi nous trouvions le repos!10ème station
Jésus est dépouillé de ses vêtements.V. Nous vous adorons, ô Christ, et nous vous bénissons.
R. Parce que vous avez racheté le monde par votre sainte Croix.Jésus, pardon pour l’impureté qui habite nos coeurs, pour les offenses contre la pudeur. Apprends-nous le respect de la dignité humaine et aide-nous à grandir dans l’amour authentique du prochain.11ème station
Jésus est cloué sur la Croix.V. Nous vous adorons, ô Christ, et nous vous bénissons.
R. Parce que vous avez racheté le monde par votre sainte Croix.Seigneur, tu n’étais ni beau, ni brillant, tu n’avais rien pour attirer les regards, mais c’est toi et toi seul qui nous sauves. Tu es l’unique Médiateur, le seul Sauveur, le Chemin et la Vie. Que jamais nous n’oubliions que sans la Croix, sans le don entier de notre vie, il n’y a pas de bonheur possible!12ème station
Jésus meurt sur la Croix.
V. Nous vous adorons, ô Christ, et nous vous bénissons.
R. Parce que vous avez racheté le monde par votre sainte Croix.Seigneur, vous avez vaincu le mal, à jamais nous sommes réconciliés avec le Père. Vous avez accompli la volonté du Père jusqu’au bout. Accordez-nous, Seigneur, une vie telle qu’au moment de la mort, consumés d’amour, nous puissions contempler votre Visage. Merci de nous avoir donné, avant de mourir, une Mère, votre Mère, pour nous guider vers vous.13ème station
Jésus est remis à sa Mère.V. Nous vous adorons, ô Christ, et nous vous bénissons.
R. Parce que vous avez racheté le monde par votre sainte Croix.O Notre-Dame, c’est par notre faute que votre Fils a été crucifié; mais dans votre Coeur, aucune haine, aucun ressentiment, seulement l’infinie douleur d’une Mère pour son Fils et la soumission d’une fille à la volonté du Père. Merci, Marie, de nous aimer, au pied de la Croix, d’un amour que nous ne pouvons comprendre.14ème station
Jésus est mis au tombeau.V. Nous vous adorons, ô Christ, et nous vous bénissons.
R. Parce que vous avez racheté le monde par votre sainte Croix.Les apôtres, effrayés, se sont cachés, croyant que tout est perdu. Pardon, Seigneur, pour le doute, le manque de confiance en ta Parole. Donne-nous de demeurer toujours dans l’espérance et rends-nous la joie d’être sauvés aux jours de désert.
18 commentaires -
Par chezmamielucette le 13 Avril 2017 à 00:00
Née d’un songe, la villa Kérylos et son jardin, au pied duquel viennent battre les flots de la Méditerranée, constituent un véritable hommage à l’héritage hellénique et aux esprits qui, pour les Anciens, peuplaient la terre et les eaux.
Reconstitution originale d’une demeure antique, la "Villa grecque" Kérylos est la réalisation d’un rêve, celui de Théodore Reinach, archéologue fasciné par la civilisation grecque, et le fruit d’une collaboration exemplaire avec son ami, l’architecte Emmanuel Pontremoli (membre de l’Académie des beaux-arts).
Conçue et réalisée entre 1902 et 1908, sur le modèle des maisons nobles de l’Île de Délos au IIe siècle av. J.-C., la villa Kérylos n’est pas une simple reproduction mais plutôt une réinvention de la Grèce antique. Il ne s’agissait pas pour les deux hommes de procéder à un pastiche mais de créer une œuvre originale en "pensant grec".
Organisée autour du traditionnel péristyle, la Villa est constituée des matériaux les plus précieux : stucs à l’antique, marbres de Carrare ou de Sienne et bois exotiques pour le mobilier. La décoration est somptueuse : mosaïques et fresques sont directement inspirées de documents antiques, des scènes de vases à peintures célèbres se reconnaissent au long des murs, illustrant les grandes légendes des dieux et des héros classiques.
Au milieu de ce luxe extraordinaire, Emmanuel Pontremoli a su habilement aménager la Villa avec le confort moderne de la Belle Époque : le bassin est alimenté en eau par des robinets dissimulés sous des grilles rondes ; il fait réaliser également par Pleyel un étonnant piano pliant dont la mécanique est cachée dans un coffre en citronnier.
Située sur l’un des caps de Beaulieu-sur-mer, derrière lequel se dressent les monumentales falaises d’Èze rappelant les roches phédriades de Delphes, la Villa Kérylos, dont le nom désignerait une hirondelle des mers, est une véritable invitation au voyage
11 commentaires -
Par chezmamielucette le 12 Avril 2017 à 00:00
La pervenche
Pâle fleur, timide pervenche,
Je sais la place où tu fleuris,
Le gazon où ton front se penche
Pour humecter tes yeux flétris !C'est dans un sentier qui se cache
Sous ses deux bords de noisetiers,
Où pleut sur l'ombre qu'elle tache
La neige des fleurs d'églantiers.L'ombre t'y voile, l'herbe égoutte
Les perles de nos nuits d'été,
Le rayon les boit goutte à goutte
Sur ton calice velouté.Une source tout près palpite,
Où s'abreuve le merle noir;
Il y chante, et moi j'y médite
Souvent de l'aube jusqu'au soir.O fleur, que tu dirais de choses
A mon amour, si tu retiens
Ce que je dis à lèvres closes
Quand tes yeux me peignent les siens!Alphonse de Lamartine
14 commentaires -
Par chezmamielucette le 11 Avril 2017 à 00:00
Ancienne ville drapière, restée à l'écart de l'industrialisation, Arras est mondialement réputée pour ses deux superbes places :
la Grande Place
et la Place des Héros.
Elles sont toutes deux encadrées par de demeures à arcades de style flamand.La ville passant définitivement sous l'autorité du roi de France en 1659, ce dernier ordonne la construction d'une citadelle, conçue par Vauban.
Son implantation à la convergence de deux ruisseaux permet d'inonder les environs en cas d'attaque. L'architecture des bâtiments témoigne de la rencontre entre le style classique et les traditions locales.
10 commentaires -
Par chezmamielucette le 10 Avril 2017 à 00:00
Henriëtte Ronner-Knipp, née le 31 mai 1821 à Amsterdam et morte le 2 mars 1909 à Ixelles, est une peintre animalière belgo-néerlandaise.
Henriëtte est le deuxième enfant du peintre Josephus-Augustus Knip (1777-1847) et de Cornelia van Leeuwen (1790-1848). Élève de son père, elle débute très jeune par la peinture d'animaux, de paysages et de natures mortes.
Henriëtte épouse le 14 mars 1850 à Amsterdam Feico Ronner (1819-1883), originaire de Dokkum. Ils eurent six enfants, Marie-Thérèse, Alfred Feico, Edouard, Marianne Mathilde, Alice et Stéphanie-Emma. Alfred, Alice et Emma devinrent artistes et Edouard avocat.
Henriëtte et Feico Ronner s'installent à Bruxelles en 1850, après leur mariage,
Peintre animalier spécialisé dans la peinture des chats
Elle se spécialise dans la peinture animalière, au début surtout des chiens puis, à partir de 1870, presque exclusivement des chats, pour lesquels elle parvient avec une grande virtuosité à représenter le détail du pelage.
Elle reçoit de nombreuses commandes notamment de la Cour belge mais aussi de notables anglais.
15 commentaires -
Par chezmamielucette le 9 Avril 2017 à 00:00
Le dimanche des Rameaux est un jour de fête pour la communauté chrétienne.
Il est célébré, comme son nom l’indique, le dernier dimanche avant Pâques et inaugure la Semaine Sainte.
Le dimanche des Rameaux est un jour symbolique qui commémore l’entrée solennelle de Jésus au sein de la ville de Jérusalem. Selon les évangiles, Jésus avait prévu de réaliser son entrée pendant la période de fête de Pessa’h, la Pâque juive. Il avait donc organisé avec soin son arrivée sur un petit âne en signe de modestie, accompagné de deux de ses disciples. Acclamé par les foules, qui brandissaient des branches d’arbres en signe de joie, le messie traversa les rues de la ville remplies de branches de palmier, de vêtements et autres offrandes symbolisant l’amour et le respect.
Cette fête est à la fois très joyeuse et chargée d’émotion, car peu de temps après ce grand moment de joie, Jésus fut arrêté pour être mis à mort. C’est pourquoi le dimanche des Rameaux commémore également la Passion du Christ et sa mort sur la croix.Afin de se remémorer l’histoire du Christ, on célèbre aujourd’hui cette fête avec une grande messe de bénédiction des Rameaux.
Ces branchages symboliques, signes de vitalité et de renouveau, sont distribués dans les églises en souvenir de ce jour glorieux. Souvent tressées et ornées de rubans rouges, les feuilles sont couplées à la couleur sang afin de rappeler le triste jour de sa mort. En France et dans le monde, on a pour tradition d’exposer des rameaux verdoyants à l’intérieur des maisons.
Selon les pays et régions, les branchages choisis varient. En France, on coupe des branches de buis, de laurier ou d’olivier. Au Québec, ce sont plutôt des rameaux de palmier. Au Vietnam, ce sont des feuilles de cocotier et dans l’Europe de l’Est, des branches de saule.
8 commentaires -
Par chezmamielucette le 8 Avril 2017 à 00:00
Ingrédients
Base24 Crevettes
Vinaigrette à huile d’olive
Sel / Poivre
Mousse2 Avocats bien mûrs
15 cl de crème
Jus de citron
Tabasco
Tartare20 Asperges vertes
2 Tomates
1 Concombre
40g de câpre
Vinaigre de Xérès
Mousse d’avocat
PréparationPour la mousse, couper les avocats en deux dans la longueur et ôter les noyaux à l’aide d’un couteau.
Avec une cuillère, retirer la chair des avocats et la passer au mixeur avec le jus de citron, puis assaisonner avec le sel, le poivre et le tabasco. Réserver au frais.
Décortiquer les crevettes puis les faire mariner rapidement dans la vinaigrette à l’huile d’olive le temps d’effectuer le reste de la recette. Réserver au frais.
Pour le tartare, peler les asperges, et les cuire à l’anglaise en les jetant dans une casserole d’eau bouillante pendant 8 à 10min puis les rafraichir immédiatement dans de l’eau glacée.
Garder une pointe par vérine pour la déco et couper le reste en petits dés. Couper également la tomate (préalablement pelée serait un plus), le concombre et écraser les câpres.
Lier le tout avec une ou deux cuillères de mousse d’avocat, un filet de vinaigre puis assaisonner également en sel et poivre.
Placer le tartare dans le fond des vérines. Déposer une ou deux crevette (entière ou en dés) par-dessus et recouvrir de mousse avec une poche à douche cannelée.
Décorer avec une pointe d’asperge coupée en deux et une crevette par exemple. Laisser votre imagination décider.
Bon appétit !
10 commentaires -
Par chezmamielucette le 7 Avril 2017 à 00:00
La pervenche forme souvent dans les bois de vastes tapis toujours verts d'où s'élèvent dès février de courts rameaux dressés portant leurs fleurs solitaires, aux corolles d'un bleu rare.
Fleur des sorcièrs et des poètes, elle entrait dans la composition des philtres d'amour au Moyen-Age. En médecine aussi, son emploi est ancien : Agricola, en 1539, la recommande contre les angines,et Matthiole, en 1554, contre les saignements de nez.
On l'a longtemps crue efficace dans les maladies pulmonaires, et Mme de Sévigné conseillait à sa fille " d'en raffraîchir sa poitrine enflammée".
En fait, la pervenche est surtout un bon tonique amer, et son usage se justifie lors d'anémies banales, de convalescences difficiles ou de manque d'appétit.
Des recherches modernes ont démontré l'action d'un alcaloïde extrait de la petite pervenche, la vincamine, parce qu'elle abaisse la tension artérielle et dilate les vaisseaux, la médecine officielle l'a, sans tarder, incluse dans son arsenal thérapeutique.
Par ailleurs, des substances extraites d'une espèce exotique de pervenche se montrent actuellement utiles dans la lutte contre diverses formes de cancers.HABITAT
- Europe centrale et méridionale, forêts, haies, sols argileux ou calcaires, jusqu'à 1 300 mètresIDENTIFICATION
- Hauteur : 0,15 à 0,20 mètre. Vivace- Tige rampante de 1 à 3 mètre, couchée, radicante
- Feuilles opposées, ovales, elliptiques, luisantes, persistantes
- Fleurs bleu violet (février-mai) isolées, édonculées à l'aisselle des feuilles, 5 sépales pointus, 5 pétales étalés, coupés obliquement, 5 étamines, 1 style, 1 stigmate plat
- Fruit rare, follicule double à plusieurs graines.PARTIES UTILISEES
- Feuilles mondées ( toute saison), mars pour la conservationCONSTITUANTS
- Glucides, sels minéraux, acides organiques, vitamine C, pectine, tanin, alcaloïde (vincamine)PROPRIETES
- Antidiabétique, antilaiteuse, astringente, hypotensive, vaso-dilatatrice, vulnéraire
12 commentaires -
Par chezmamielucette le 6 Avril 2017 à 00:00
La ligne de Cerdagne, est une ligne de chemin de fer à voie métrique longue de 62,5 km qui, dans le département de Pyrénées-Orientales, relie la gare de Villefranche-de-Conflent à celle de Latour-de-Carol- Enveitg via Font-Romeu en suivant le cours de la Têt.
Le train jaune a été créé en 1910, afin de desservir tout le département des Pyrénées-Orientales, c'est-à-dire relier les hauts plateaux de la Cerdagne et du Capcir à la préfecture (Perpignan) et à Prades (Conflent).
C'est la plus haute voie ferrée de France (sans crémaillère) et elle dessert la gare SNCF la plus haute de France: Bolquère, à 1592 m. Elle a un rail électrifié sur le côté (comme les voies ferrées anglaises), et l'énergie provient de centrales hydro-électriques privées (SHEM) réparties régulièrement le long de la voie (en particulier en aval du barrage du lac des Bouillouses). Le courant est de 850V continu. L'alimentation électrique est gérée depuis Montpellier (chef de secteur SNCF).
La voie remonte les gorges de la Têt depuis Villefranche-de-Conflent (où elle relie le réseau SNCF normal), jusqu'à Mont-Louis, puis elle franchit le col de la Perche pour rentrer en Cerdagne. Après avoir longé Font-Romeu, elle descend vers Saillagouse, Osséja, Bourg-Madame, Ur, et finit à la gare Latour-de-Carol où passe le "Transpyrénéen" (voie Paris-Toulouse-Barcelone). Elle fait 62 km de long, traverse 19 tunnels et franchit 2 viaducs: le Pont Séjourné (du nom de l'ingénieur qui l'a construit) et le pont Gisclard.
Son système de freinage est unique au monde; il est le premier à avoir utilisé l'électricité: freins "aéro-statiques", c'est un courant induit qui freine par électro-magnétisme les bobines, la chaleur est dissipée dans d'énormes résistances refroidies par l'air et situées sous la machine (descentes, entre Olette et Saillagouse). Malgré les fortes et longues pentes (60 m/km, soit 6%), il n'y a eu à déplorer aucun accident, sauf le jour de son inauguration en 1910.
C'est un système à voie unique, et les trains doivent se croiser à certaines gares : Olette, Fontpédrouse, Mont-Louis, Odeillo, Saillagouse, Bourg-Madame. Le conducteur demande à chaque arrêt par radio l'autorisation de repartir au chef de ligne basé à Villefranche.
11 commentaires -
Par chezmamielucette le 3 Avril 2017 à 00:00
Gregory Frank Harris, peintre réaliste, est né en 1953 en Californie.
Fils d'un père mineur et d'une mère peintre, il s'adonne au dessin dès l'âge de cinq ans.
En 1977, la lecture d'un livre sur les impressionnistes français le marque au point de lui donner l'envie de les imiter. Il commence par copier les grands maîtres du genre et finit par développer son propre style.
La couleur, généreuse, est sublimée par d'intenses effets de lumière. Ses personnages privilégiés sont des gens de la terre, vivant au grand air, à l'ouvrage ou au repos, mais toujours dans la quiétude méditative.
Des scènes de campagne véritablement idylliques qui respirent la vie simple et honnête.
Mais il nous gratifie également de quelques fameux bords de mer qui vous feraient presque regretter les plages de l'été ! Du grand art.
15 commentaires
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique