Jésus est ressuscité

 

"Jésus lui dit : Moi, je suis la résurrection et la vie… Celui qui croit en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela ?" Jean 11.25
J'aimerais partager ce magnifique poème d'une jeune femme de mon église, Débora Perraud. Il s'intitule :

Jésus est ressuscité

 

 

Oui, Jésus est réellement ressuscité et la puissance qui a ressuscité Jésus est en nous aussi ! Oui, notre foi n'est pas vaine. Un vieux chant disait : "ma foi est vivante en un Dieu vivant…" Oui, nous croyons en un Dieu tout puissant, agissant et omniscient. Et c'est ce Dieu qui vit en nous par son Esprit ! Notre vie est une vie de victoire en Jésus.
 

Pourquoi parmi les morts, cherchez-vous Le vivant ?
 Pourquoi ici encore, croire que je vous attends ?
 Pourquoi vous comporter comme si c'était fini ?
 Je suis ressuscité comme je vous l'avais dit !

 

 

 Oui, je suis mort pour vous, c'est là que tout commence !
 Arrêtez, levez-vous, croyez en ma puissance !
 Oui je me suis livré pour vous prouver mon amour.
 Je suis ressuscité pour vous porter secours !

 Réjouissez-vous car, oui, j'ai vaincu la mort !
 Je vous donne mon pouvoir, qu'attendez-vous encore ?
 Oui une vie de victoire est pour vous désormais
 Et un nouveau départ pour vous tous qui croyez !

 

 

 Je suis la résurrection et la vie, croyez en moi !
 J'ai tout accompli, ayez confiance en moi !
 Votre vie est entre mes mains désormais !
 N'ayez crainte, tout pouvoir m'a été donné !

 Je vous donne ma paix, mon Esprit vous guidera.
 Ma présence est certaine, vous ne chancèlerez pas.
 Je vous donne la vie éternelle, vous ne mourrez pas.
 Je reviens pour vous chercher, on se retrouvera !

 

 

 Je suis le Dieu vivant, courez donc l'annoncer !
 Je suis le Dieu puissant, allez le proclamer !
 Je suis le Dieu aimant, toujours à vos côtés
 Je vis éternellement, je suis ressuscité !

 

Une prière pour aujourd'hui

 

Seigneur, je crois que ta victoire est ma victoire ! Tu es vivant et tu agis encore aujourd'hui avec puissance en moi. Que ta vie coule en abondance dans ma vie afin qu'elle t'honore ! Amen.

Patrice Martorano

 

 

 

Bien enchâssé dans ses remparts construits sous François 1er, Saint-Paul-de-Vence reste le chef d'oeuvre incontournable, mythique, à visiter en détail, musée vivant des ateliers de tous les artistes, dont toutes les petites rues constituent de délicieux labyrinthes qui permettent au visiteur d'aller de découverte en découverte, sans jamais épuiser l'inventaire de toutes ses richesses.

 

============================

 

Saint-Paul-de-Vence, sans doute le village le plus visité de la Côte d'Azur, immortalisé par les peintres, célébré par les poètes, magnifié par le cinéma, superbement conservé dans sa ceinture de remparts construits sous François 1er, et dont les chemins de ronde permettent d'admirer en contrebas les ruelles tortueuses où foisonnent les ateliers d'artistes et les boutiques de souvenirs tout autour du fameux hôtel de la Colombe d'Or.

 

 

Mais encore Vence, Gattières, Tourettes-sur-Loup, et combien d'autres petits villages de moyenne montagne où l'on retrouve chaque fois les mêmes ingrédients d'un décor de charme :

 

 

la petite église souvent baroque,

 

 

la placette bien ombragée sous les platanes où se retrouvent les joueurs de pétanques pendant les heures chaudes de l'après-midi,

 

 

la fontaine municipale avec son murmure d'eau fraîche,

 

 

le campanile de fer forgé qui domine le village et peut être traversé par les vents les plus violents sans être décoiffé,

 

 

les arcades où se tenait autrefois le marché local par tous les temps,

 

 

le cadran solaire, vestige d'une époque où la possession d'une montre était un luxe pour les petites gens qui se contentaient de vivre à l'heure du soleil,

 

 

les ruelles ombragées où se faufilent quelques chats soupçonneux dérangés dans leur sieste,

 

 

les tonnelles minuscules comme des jardins de curé, qui servent de salons d'extérieur à la belle saison.

 

On voudrait pouvoir emporter avec soi tous ces éléments harmonieux d'une vie paisible qui s'écoule encore au rythme des saisons, loin des fracas du monde d'en bas.

 

Tous les Méridionaux connaissent bien les armes absolues à utiliser pour lutter contre la canicule : l'ombre qui rafraîchit et l'eau qui désaltère, pour attendre sans s'émouvoir la fin des heures torrides de l'après-midi.

 

Texte extrait du livre :Côte d'Azur

 

 

Le genre "Vriesea" comprend de nombreuses plantes d'intérieur, cultivées pour leur feuillage ornemental et leurs magnifiques inflorescences. Les feuilles coriaces, enforme d'épée et lisses, sont disposées en une rosette lâche à coupe centrale profonde. Comme la plupart des broméliacées, les vrieseas mettent plusieurs années à fleurir. Les épis floraux, généralement érigés, apparaissent à diverses périodes de l'année selon les conditions culturales. Leur beauté réside surtout dans leurs bractées aux couleurs vives, qui durent très longtemps. Les fleurs de forme tubuleuse, sont éphémères.

 

- ESPECES RECOMMANDEES -

 

- FENESTRALIS -

Présente une vingtaine de feuilles brillantes et arquées de 45 cm sur 5, vert clair, marquées de vert pâle au-dessus et de pourpre au revers. La hampe de 45 cm se termine par un épi qui peut compter jusqu'à 20 bractées horizontzles vertes, maculées de pourpre sombre. Les fleurs jaunes ou orange clair mesurent 6 cm. Le fenestralis se cultive surtout pour son feuillage.

 

 

- HIEROGLYPHICA -

 

Est également renommé pour son feuillage. Les feuilles d'un vert vif et brillant, sont marquées de bandes irrégulières pourpre foncé, elles peuvent mesurer 75 cm de long sur 8 de large. Une rosette adulte de 20 à 30 feuilles atteint 90 cm d'étalement. La hampe de 60 cm se ramifie sur son tiers supérieur. Les ramifications portent des bractées vert pâle de 2,5 cm dissimulant en partie les fleurs tubuleuses jaunes.

 

 

- PSITTACINA -

 

Présente 15 à 20 feuilles tendres, de 20 à 25 cm de long sur 2,5 de large. Elles sont vert clair et se colorent de bleu violacé près du centre de la rosette. L'inflorescence vert, rouge et jaune, de 5 cm de large, est montée sur une hampe de 25 cm. Les fleurs jaune sont maculées de vert.

 

 

- SAUNDERSII -

 

Présente 20 à 30 feuilles coriaces de 20 à 30 cm de long sur 4 de large. Leur extrémité pointue est recourbée. Le limbe vert-gris mat est fortement tacheté de pourpre rosé au revers. La hampe florale, de 30 à 40 cm, porte des fleurs jaunes, adossées à des bractées jaunâtres de 2,5 à 5 cm de long.

 

 

-SPLENDENS -

 

Se caractérise  par une rosette lâche d'une vingtaine de feuilles de 40 cm sur 4 ou 5; vert foncé à zébrures transversales pourpres, presque noires. La hampe de 60 cm est couronnée d'un épi aplati de 30 cm, composé de bractées rouge vif d'om émergent des fleurs jaunes de 4 à 5 cm. Certaines variétés de "splendens" ont l'épi floral de couleur différente.

 

 

 

 

A l'exception du sud-est du département, appartenant au Perche, l'Orne se compose principalement de terres normandes. Le fleuve dont l'Orne tire son nom naît dans le centre du département, près de Sées, puis prend la direction du Calvados, où il se jette dans la Manche après avoir traversé Caen. Sur son parcours se trouve Argentan, sous-préfecture et ville natale du peintre Fernand Léger, mais aussi la Suisse normande, région ainsi nommée en raison de ses paysages accidentés, parmi lesquels figure le somptueux panorama offert par la roche d'Oëtre. Comportant de nombreuses zones boisées, telle la giboyeuse forêt d'Andaine à l'Ouest, le département culmine au Signal d'Ecouves (413m), dans la forêt du même nom.

 

 

- BAGNOLES-DE-L'ORNE -

 

Au XIXe siècle, Bagnoles-de-l'Orne est une destination de choix pour les adeptes du thermalisme. La nature se manifeste dans l'architecture des opulentes villas du quartier Belle Epoque, édifié à partir de 1886, avec le recours à des matériaux locaux et des couleurs se rapportant aux éléments naturels. D'ordinaire calme, Bagnoles-de-l'Orne a néanmoins été en 1937 le théâtre de l'assassinat du socialiste italien Carlo Rosselli et de son frère Nello par des membres du groupe terroriste de la Cagoule.

 

 

- LA DENTELLE D'ALENCON -

La région d'Alençon possédait déjà un riche savoir faire dentelier quand Colbert décida en 1655, d'y installer une manufacture royale de dentelles. Réalisée à l'aiguille et avec un fil de lin, la dentelle d'Alençon a pris peu à peu un style propre baptisé  "point d'Alençon" . Qualifiée de "dentelle des reines et reine des dentelles" à l'exposition universelle de Londres en 1851, la dentelle d'Alençon continue aujourd'hui d'être produite par une dizaine de dentellières  expertes à l'Atelier national du point d'Alençon.

 

 

- MARIE HAREL ET LE CAMEMBERT -

 

Bien que Thomas Corneille, frère de l'illustre dramaturge, mentionne "les excellents fromages de Livarot et Camembert" en 1708 dans son dictionnaire géographique, la maternité du camembert est généralement attribuée à Marie Harel, pourtant née en 1761 à Crouttes, près du village de Camembert, où en 1791 un prêtre l'aurait conseillée pour concevoir le célèbre fromage normand. Grâce à elle et à ses enfants, le camembert a connu un bel essor, arrivant jusqu'à la table de Napoléon III.

 

fabrication du camembert

Bonne dégustation !...

 

- LE HARAS DU PIN -

 

 

Le Haras du Pin, parfois surnommé le "Versailles du cheval", est le plus ancien des haras nationaux. Son domaine comprend un château construit de 1719 à 1724 et s'étend surplus de 1 000 ha. D ans ses écuries, on trouve aujourd'hui environ trente étalons représentant une dizaine de races. Parmi celles-ci, un cheval régional, le percheron, obtenu au XIXe siècle par croisements avec des étalons arabes. Puisant tranquille, ce cheval de trait peut être attelé qu'oeuvrer aux travaux agricoles.

 

Texte extrait du livre : La France - Géographie Curieuse et Insolite.

 

 

 

 

 

La Poule aux oeufs d'or

 

L'avarice perd tout en voulant tout gagner.
Je ne veux, pour le témoigner,
Que celui dont la Poule, à ce que dit la Fable,
Pondait tous les jours un oeuf d'or.
Il crut que dans son corps elle avait un trésor.
Il la tua, l'ouvrit, et la trouva semblable
A celles dont les oeufs ne lui rapportaient rien,
S'étant lui-même ôté le plus beau de son bien.
Belle leçon pour les gens chiches :
Pendant ces derniers temps, combien en a-t-on vus
Qui du soir au matin sont pauvres devenus
Pour vouloir trop tôt être riches ?

 

Jean de la Fontaine

 

 

 

 

 

Où trouver le vrai visage de cet énigmatique et fascinant Morbihan : dans l'incroyable - et inexplicable - concentration de mégalithes sur un modeste territoire ? Dans la douceur du climat et l'aimable paysage du golfe et de la presqu'île de Rhuys ? Dans la tonifiante vigueur des embruns de Quiberon ? Dans la ferveur séculaire des pèlerins de Sainte Anne ? Dans ces multiples témoins des combats qui opposèrent républicains et chouans, les bleus et les blancs, ce bleu du ciel et ce blanc des nuages, incomparable toile de fond de ce pays de terre et d'eau ?

 

Itinéraire n° 1

 

-VANNES -

 

S'étage au fond du golfe du Morbihan. C'est la nuit, lors des illuminations qu'il faut admirer les remparts enserrant la cathédrale St-Pierre et les vieilles maisons. Le château Gaillard, ancien hôtel du Parlement de Bretagne, abrite un musée archéologique, où sont rassemblés de nombreux objets préhistoriques. Le Golfe du Morbihan, où la marée basse découvre une vaste étendue de tourbières, est parsemé de nombreux îles et îlots. Passé Saint-Colombier, la blancheur du château de Kerlevenan surprend dans ce pays voué au granit.

 

 

-PORT-NAVALO -

 

Dans un site de rochers et de cyprès à la pointe de la presqu'île de Rhuys, n'est séparé de Locmariaquer que par un chenal large de 1 km. De la pointe de Port-Navalo, vue splendide sur le golfe.

 

 

- SAINT-GILDAS-DE-RHUYS -

 

Avec ses falaises et ses plages, occupe une agréable situation en bordure de la presqu'ile de Rhuys. Dans l'ancienne abbatiale, le magnifique trésor recèle des reliquaires du fondateur et une croix de vermeil sertie d'émeraudes.

 

 

- CHÂTEAU DE SUSCINIO -

 

Le château de Suscinio à Sarzeau a été bâti entre le XIIIe et le XIVe siècle. Il était la résidence d'été des Ducs de Bretagne. Le château a été à l'origine conçu comme une demeure de loisirs, principalement pour la chasse, il fût fortifié par la suite. Il passa à la couronne de France en 1520, puis tombât peu à peu en ruines. Il devint même une carrière de pierres, jusqu'à ce que son rachat en 1965 par le Conseil Général du Morbihan marque le début de sa restauration. Après 40 années de travaux, le château a retrouvé sa superbe d'autrefois. Vous y découvrirez des expositions et des spectacles.

 

 

- POINTE DE PEN-LAN -

 

Elle commande l'extrémité nord de l'embouchure de la Vilaine. Beau point de vue à partir du phare. De l'ancienne abbaye de Prières (XVIIIe s.) subsistent les communs, une tour carrée, un petit château....

 

 

Texte extrait du livre : La France des Routes Tranquilles.

 

 

 

 

Lin Ching Che est né en 1987 à Taipei - TAÏWAN -

 

Il a reçu sa première éducation à l'école élémentaire, ensuite il a été dans des hautes écoles : " The National University of the Arts" et l' "Institut National des Arts de Taïwan".

 

 

Maintenant, cet artiste est membre de plusieurs associations de peintres aquarellistes.
A partir de l'âge de 12 ans, il participe régulièrement à des expositions.

 

 

Les rues pluvieuses de la cité ne sont pas mélancoliques no tristes car il utilise des brosses pour peindre  la pluie...Lin Ching Che peint avec des couleurs pastelles, multiples, tons de la peinture à l'eau; il fait voir les beautés des villes.

 

 

 

Les paysages pluvieux ne dégagent pas de mélancolie mais une tranquillité certaine, et le peintre réconcilie la réalité de l'automne....

 

« Quand tu pries, retire-toi au fond de ta maison, ferme la porte, et prie ton Père qui est présent dans le secret »

      Ceux qui cherchent le Dieu invisible le cherchent dans leur cœur et dans leurs pensées secrètes, non dans des paroles bruyantes, comme s’il était loin d’eux. Ils ont l’habitude de se retirer là où aucun œil humain ne les voit ; là, humbles et pleins de foi, ils peuvent rencontrer celui qui se tient « près de leur sentier, près de leur lit, et qui voit toutes leurs démarches ». Et Dieu, « qui sonde les cœurs » (Rm 9,27), les récompensera au grand jour. La prière faite dans le secret, selon la volonté de Dieu, est conservée comme un trésor dans son Livre de Vie (Ps 68,29). Peut-être que cette prière a demandé une réponse ici-bas et ne l’a pas trouvée ? Peut-être que celui qui l’a formulée l’a même oubliée, et que le monde ne l’a jamais connue ? Mais Dieu, lui, s’en souvient toujours ; et au dernier jour, quand les livres seront ouverts (Dn 7,10; Ap 20,12), cette prière sera dévoilée et récompensée devant le monde entier…

 

 

      Nous savons bien que nous sommes tenus d’être, en un certain sens, en prière et méditation tout au long du jour (Lc 18,1) ; mais…devons-nous prier à certaines heures du jour d’une manière déterminée ?... Même si des heures et des formules précises ne sont pas absolument nécessaires pour la prière privée, elles sont d’une grande aide, ou plutôt elles nous sont commandées par notre Seigneur quand il dit : « Toi, quand tu pries, retire-toi au fond de ta maison… » Même notre Sauveur avait des moments privilégiés de communion avec Dieu. Ses pensées étaient bien un service divin continuellement offert à son Père, mais nous lisons qu’il « est monté dans la montagne, à l’écart, pour prier » et qu’il « a passé toute la nuit à prier Dieu » (Mt 14,23; Lc 6,12).

 

 

      Il faut insister sur ce devoir de respecter des moments précis de prière privée, parce qu’au milieu des soucis et des tensions de la vie, nous avons souvent tendance à les négliger, et ce devoir est bien plus important qu’on ne le pense d’habitude, même parmi ceux qui l’accomplissent.

 

Bienheureux John Henry Newman (1801-1890), théologien, fondateur de l'Oratoire en Angleterre

 

 

 

Dans l'immédiat arrière-pays niçois, le village de Peillon, entièrement classé et parfaitement conservé est le plus bel exemple de l'architecture d'un  "village perché"  avec ses multiples astuces architecturales permettant d'utiliser l'espace au maximum dans un espace abrité.

 

===================

 

De Cannes au pays de Vence

 

 

Avant de redescendre sur Cannes, jetons un dernier regard sur l'arrière-pays de la Côte d'Azur et ses villages fortifiés, vestiges d'une époque troublée : Peillon, perché comme un nid d'aigle sur un éperon rocheux, certainement imprenable, avec un habitat serré au maximum pour utiliser l'espace et n'en rien laisser perdre, peuplé de pontis voûtés qui enjambent sans fin les ruelles étroites.

 

 

Sospel, autrefois point de passage obligé sur la route du sel par où transitaient obligatoirement toutes les marchandises de Turin à Menton, a su conserver son vieux pont à péage à deux arches, surmontées d'une tour centrale de contrôle construite sur la pile au milieu de la rivière.

 

 

Le Broc, autrefois point de contrôle stratégique au bord du cours du Var, village médiéval serré autour d'une placette à arcades où se tenait au Moyen Age un important marché local.

 

 

Un autre village fortifié dont le clocher roman à pyramide tenait lieu de donjon, c'est-à-dire d'ultime refuge : Le Broc, dont les maisons ont fini par déborder de l'enceinte de protection, comme l'ont fait tous ces petits villages de l'arrière-pays lorsqu'ils ont cessé de subir les invasions dévastatrices.

 

Texte extrait du livre : Côte d'Azur.

 

Les veltheimia sont des plantes bulbeuses qui présentent des feuilles caduques et un épi floral caractéristique. On plante généralement les bulbes à la fin de l'été, le cycle végétatif commençant à la fin de l'automne. Les feuilles viennent d'abord, suivies d'un bel épi floral dont les fleurettes tubuleuses s'épanouissent durant plusieurs semaines. A la fin du printemps, le bulbe entre en dormance et les feuilles jaunissent. Elles tombent au début de l'été mais, quelques mois plus tard, la croissance reprend.

 

- ESPECES RECOMMANDEES -

 

- CAPENSIS - présente des feuilles vert bleuté à marges très ondulées pouvant atteindre 30 cm sur 5. La hampe florale robuste est maculée de pourpre, elle mesure 30 cm de long et porte en épi terminal des fleurs retombantes rose pâle.

 

 

- VIRIDIFOLIA - a des feuilles vert vif, vernissées, elles sont moins ondulées que celles du capensis et peuvent atteindre 38 cm sur 10. La hampe florale, qui peut avoir 60 cm de long, porte un épi de fleurs pourpre rosé.