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L'hiver est l’une des quatre saisons de l’année dans les zones tempérées et polaires de la Terre. L'hiver suit l'automne et précède le printemps.
Il existe plusieurs définitions de l'hiver : astronomique (saison comprenant les jours les plus bas de l'année), météorologique (saison comprenant les mois les plus froids de l'année), et calendaire (dont les dates varient selon les pays).
Dans l’hémisphère nord, l'hiver se situe entre le dernier trimestre de l'année et le premier de l'année suivante. Dans l'hémisphère sud, il se situe entre les deuxième et troisième trimestres de l'année.
Quelle que soit la définition, c'est la période du repos des plantes, de l'hibernation des animaux et des sports d'hiver.
Météorologique
Du point de vue météorologique, l'hiver correspond à la période la plus froide de l'année. Dans l'hémisphère nord, l'hiver météorologique comprend donc les mois de décembre, janvier et février. En France métropolitaine, le mois le plus froid est celui de janvier ; le 2e mois le plus froid est, selon les régions, le mois de décembre (c'est par exemple le cas à Lyon) ou le mois de février (c'est le cas, par exemple, à Paris).
Dans l'hémisphère sud, l'hiver météorologique austral est inversé et se situe donc aux mois de juin, juillet et août.
Caractéristiques de l'hiverDans de nombreuses parties du monde, l'hiver est associé à la neige et à la glace.
L'hiver météorologique coïncide avec les jours les plus courts et les températures les plus basses. Certaines régions connaissent les précipitations les plus fortes en hiver, ainsi qu'une humidité prolongée du fait que les basses températures ralentissent l'évaporation.Les accumulations de neige et de glace sont principalement associées à l'hiver dans l'hémisphère nord, du fait des grandes masses continentales qui s'y trouvent. Dans l'hémisphère sud, le climat plus maritime et la relative absence de masses continentales en dessous de 40° S rend les hivers plus doux ; la neige et la glace sont plus rares dans les zones habitées de l'hémisphère sud. On en trouve toute l'année dans les régions élevées, comme les Andes, la Cordillère australienne et les montagnes de Nouvelle-Zélande, et parfois dans le sud de la Patagonie.
De façon générale, plus on se rapproche des pôles, et plus on s'éloigne vers l'est dans les masses continentales de l'hémisphère nord, plus l'hiver est réputé rigoureux. Cela est également vrai en montagne lorsque l'altitude augmente.
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Ingrédients
1 salade
150 g de roquefort
quelques noix (environ 3 par assiette)
2 belles tiges de ciboule (à défaut : ciboulette)
1 sachet de croutons (environ 90g)
1 cuillère à café de moutarde en grains
1 cuillère à soupe de vinaigre de vin rouge
2 à 3 cuillères à soupe d'huile d'oliveRecette
Éplucher la salade, la laver à l'eau vinaigrée, rincer et bien l'essorer.
Dans un saladier, préparer la sauce en mélangeant la moutarde avec le vinaigre puis l'huile.
Mettre la salade dans le récipient et bien mélanger.
Répartir la salade dans les assiettes, puis ajouter le roquefort coupé en morceaux, ainsi que les croutons et les cerneaux de noix.
Finaliser avec de la ciboule coupée en morceaux.
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Arbre du sud-est européen et asiatique, dont l'aire très vaste s'étend des Balkans et de la Crête au nord de la Chine, le noyer fut chassé d'Europe occidentale par la dernière glaciation quaternaire. Il réapparaît en France à la fin de l'âge de bronze, et vers l'an 800 av. J.C dans la région de Grenoble.
Très décriée, comme la plupart des fruits par les médecins de l'Antiquité et du Moyen Age, la noix n'en tint pas moins un grand rôle dans l'alimentation ancienne, son huile en particulier, qui fut employée avec celle de la faine dans l'Europe non méditerranéenne.
La noix est le fruit sec le plus nutritif, puisqu'il contient, en outre, des protides et des glucides, des sels minéraux, surtout du zinc et du cuivre, des vitamines A,B1, B2, B5, PP. Reconstituant, il est à mettre au menu des déficients, des convalescents, des enfants et des vieillards. C'est un vermifuge efficace contre le ténia.Malheureusement, huile et noix rancissent très vite et deviennent alors indigestes.
Le noyer combat la chute des cheveux et des pellicules, mais son pouvoir colorant le réserve aux bruns.
Ce sont les feuilles et l'écorce verte des fruits, le brou, qui font surtout l'intérêt du noyer médicinal.PROPRIETES : antiseptique, astringent, cicatrisant, dépuratif, détersif, hypoglycémiant, tonique, vermifuge.
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Au coeur des Petites Antilles, au sud de la Guadeloupe et plus précisément entre Dominique et Sainte-Lucie, la Martinique a été découverte par Christophe Colomb en 1502, avant de devenir française en 1635. Son nom serait une déformation du nom Martinino que lui donnaient les autochtones. La partie nord de l'île est dominé par la montagne Pelée qui culmine à 1 397 m, depuis sa dernière éruption en 1929. Près de Fort-de-France, sa plus grande ville qui s'appelait jadis Fort-Royal, la commune voisine de Case-Navire a pris le nom de Schoelcher en 1888, en l'honneur du combat de Victor Schoelcher contre l'esclavage qu'il fit abolir en France et dans les colonies en 1848. La population se concentre plutôt sur la côte Ouest, dite "sous le vent", par opposition à la côte Est "au vent", exposée aux alizés.
- LA CANNE DONT ON FAIT LE RHUM -
La surface agricole de cette île au climat tropical est surtout occupée par des plantations de bananiers (1/6- de la surface de l'île) et de canne à sucre. Les 3/5 de la production de canne sont destiné aux distilleries de rhum, boisson élaborée sur l'île depuis le XVIIe siècle, grâce notamment au père Jean-Baptiste Labat. Le reste est consacré à la production de sucre. Le jus obtenu en écrasant la canne est le vesou. Il est à la fois la base de la cassonade et du rhum agricole, qui se distingue du rhum industriel produit à partir de la mélasse, résidu des sucreries.
- 1902 -
Le 8 mai 1902, jour de l'Ascension, la ville de Saint-Pierre fut entièrement détruite par une nuée ardente échappée du sommet de la montagne Pelée. Il y aurait eu près de 30 000 morts, et au moins 2 survivants dans la ville, où l'on peut toujours voir le cachot dont les épais murs ont protégé le prisonnier Louis Auguste Cyparis. Gravement brulé, il fut plus tard engagé au cirque Barnum avant de mourir en 1929, année où le volcan martiniquais s'est à nouveau réveillé.
Cette catastrophe eut une importance majeure sur l'organisation de l'île, Saint-Pierre, qui compte à peine plus de 5 000 habitants aujourd'hui, perdit son statut de capitale économique au profit de Fort-de-France.
Texte extrait du livre : La France - Géographie Curieuse et Insolite
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Pour fêter le retour normal de l'âpre hiver
Pour fêter le retour normal de l'âpre hiver,
J'ai gravi, dès le jour, ma montagne rouillée.
Le vent du nord-ouest a souffle tout hier.J'en voulais savourer la rafale mouillée,
Jeux de pluie aux clartés du ravin partiel,
Sur le treillis brumeux des branches dépouillées.La lumière est instable aux décors irréels
Des vallons d'ombre ensoleillés de claire brume
Où se joignent, pour fuir, des lambeaux d'arc-en-ciel.Le roc ruisselle et luit et les pics d'argent fument.
Sous le vent brusque obstinément ailé de nuit,
Et l'aile sombre éteint le rayon qui s'allume ;Et tout le paysage pâle tourne et luit,
Cependant qu'au taillis fauve des petits chênes
Chaque feuille légère et plaintive bruit.Et le mont tout entier pleure des larmes vaines.
Olivier CALEMARD de la FAYETTE (1877-1906)
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Chaque année, le jour de l'ouverture officielle du Parlement britannique, des gardes en costumes du XVIIe siècle effectuent une minutieuse perquisition des sous-sols du palais de Westminster. La cérémonie commémore la manière dont fut déjouée la Conspiration des Poudres, le 5 novembre 1605, le jour où Guy Fawkes s'apprêtait à faire sauter le Parlement.
Pour les sujets de Sa Majesté, le respect religieux de l'histoire est une constante. Et l'histoire, tourmentée, du palais de Westminster est vieille de neufs cents ans.Aujourd'hui, l'édifice monumental compte 1 200 pièces, 100 escaliers et 3 kilomètres de couloirs. Mais il ne reste guère de traces du palais qui, du milieu du XIe siècle au début du XVIe siècle, fut la résidence principale des rois d'Angleterre. En 1512, un incendie détruisit le palais royal, à l'exception du Westminster Hall (XIe siècle), de la chapelle Saint Etienne (XVIe siècle) et de la Jewel Tower -la tour du Trésor- (1366). Reconstruit, le bâtiment devint le siège de la Chambre des lords, alors que la Chambre des Communes se réunissait dans la chapelle Saint-Etienne.
En 1834, le palais fut de nouveau détruit par un incendie qui, encore une fois, épargna le Westminster Hall. Sa reconstruction fut confiée à l'architecte Charles Barry, qui en hommage à l'abbaye voisine de Westminster, adopta le style néogothique.
Détruite au cours des bombardements de la Seconde Guerre mondiale, la Chambre des Communes fut reconstruite à partir de 1948 selon les projets originaux de Charles Barry.
Le complexe s'organise autour de la grande salle octogonale à laquelle on accède par l'entrée principale, la Stephen Entrance, chef d'oeuvre de l'architecture victorienne. De là partent deux couloirs : l'un, au nord, mène à la Chambre des Lords, l'autre, au sud, à la Chambre des Communes.
Construite en 1847, la Chambre des Lords est une grande salle de de 24 mètres de long et de 14 mètres de large; au fond se trouve le trône néogothique où la Reine se tient quand, en novembre, elle prononce le discours d'ouverture de la session parlementaire.
La Chambre des Communes, longue de 21 mètres et large de 14 mètres, rappelle le style de la chapelle Saint-Etienne. Les députés y siègent sur des bancs opposés, dont les uns sont encore occupés par la majorité gouvernementale et les autres par l'opposition. Au centre de la salle se trouve la table sur laquelle, avant les séances, un huissier dépose une masse d'armes, symbole de l'autorité de la Couronne. Sous la table se trouve un tapis marqué de deux lignes rouges, distantes de deux longuerurs d'épée : pour éviter que les débats ne dégénèrent, il est interdit aux députés de les franchir.Le Westminster Hall, dont les murs furent érigés en 1097, fut doté d'une magnifique toiture de poutres au XIVe siècle.
Destiné à l'origine aux fêtes du couronnement, il occupe une surface de 1 500 mètres carrés.
A partir du XIIIe siècle, il fut le siège des grands tribunaux du royaume : c'est là que furent jugés Thomas More, ainsi que les organisateurs de la Conspiration des poudres. Durant ces procès, envahi par les vendeurs et les marchandises, il devenait un des centres de la vie solciale londonienne.
Aujourd'hui, il accueille les grandes cérémonies officielles, comme celles qui célébrèrent les vingt-cinq ans du règne d'Elisabeh II, en 1977, ou la visite de Nelson Mandela en 1996.Texte extrait du livre : Les plus beaux sites du patrimoine mondial de l'Unesco
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Merci à tous d'avoir pris le temps de parcourir mon site et d'arriver jusqu'à cette page.
Au lieu d'un texte lyrique et pontifiant, je vais tout simplement vous parler avec mon coeur, de ma peinture.Je peins depuis bientôt quinze ans, fille de deux peintres abstraits, il semble fou de ne peindre que des fleurs et des étoffes, cepandant je ne pense pas être arrivée à être suffisamment pure picturalement pour tenter le magnifique saut dans le vide qu'est l'abstraction, un jour peut-être.
En attendant, je peins ce qui m'émeut : les fleurs en friche, la nature buccolique, son poëtique désordre ainsi que les tutus abandonnés de façon disparate.La nature archaïque, comme la façon iconoclaste de représenter les tutus de guingois sur leurs cintres déglingués ne signifieront rien pour la plupart d'entre nous, rien que de l'accident, une erreur de l'homme ou de la nature.
Pourtant, Jean Cocteau, dans "lettres à mitoraj" écrivait : "sanctifiez vos erreurs". Ceci décrit parfaitement ma démarche picturale, d'une façon impressionniste en laissant libre court à l'imaginaire, au désordre, à l'anarchie du tachisme qui tel un enfant gâtéira se placer là où mon conscient ne l'attend pas, mais dont mon inconscient se délectera, et répercutera de tâche en tâche , d'accidents en coups de pinceaux débridés, ce que la toile qui frémit exige de moi, une sereine liberté, un frisson d'absolu.
Chaque toile, à force de recevoir strates de couleurs et déglacis, finit presque par acquérir son âme.
Humblement j'essaie de lui obéir, ne deviens que le vecteur de l'instant.
Je remercie la vie et tous ceux qui m'ont soutenue pour pouvoir ainsi chaque jour dans mon atelier ressentir cette liberté d'entreprendre à chaque création, une merveilleuse aventure.
Laurence amelie
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« Faites-vous des amis avec l'argent trompeur »
« Abraham était assis à l'entrée de sa tente, nous dit l'Écriture, il y était assis au plus chaud du jour ». Les autres se reposaient ; lui guettait la venue d'hôtes éventuels. Il méritait bien que Dieu vienne à lui au chêne de Mambré, celui qui cherchait avec tant d'empressement à exercer l'hospitalité...
Oui, l'hospitalité est bonne, elle a sa récompense particulière : elle s'attire d'abord la gratitude des hommes ; elle reçoit aussi — ce qui est plus important — un salaire de la part de Dieu. Nous sommes tous, en cette terre d'exil, des hôtes de passage. Pour un temps, nous avons à loger sous un toit ; bientôt, il faudra en déloger.Prenons garde ! Si nous avons été durs ou négligents dans l'accueil des étrangers, une fois écoulé le cours de cette vie, les saints pourraient bien, à leur tour, refuser de nous accueillir. « Faites-vous des amis avec l'argent malhonnête, dit le Seigneur dans l'Évangile, afin qu'ils vous reçoivent dans les demeures éternelles »...
D'ailleurs, sais-tu si ce n'est pas Dieu que tu reçois, alors que tu penses n'avoir affaire qu'à des hommes ? Abraham accueille des voyageurs ; en réalité il reçoit chez lui Dieu et ses anges. Toi aussi, qui accueilles un étranger, c'est Dieu que tu reçois.Le Seigneur Jésus l'atteste dans l'Évangile : « J'étais un étranger et vous m'avez accueilli. Ce que vous avez fait à l'un de ces tout-petits, c'est à moi que vous l'avez fait ».
Saint Ambroise (v. 340-397), évêque de Milan et docteur de l'Église
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Ingrédients
200 g de farine
150 g de jambon
poivre
150 g de maïs en grain
2 c. à soupe de fines herbes
3 œufs
2 c. à soupe de moutarde
10 cl d'huile
sel
Préparation
Je préchauffe le four à 180°C (Th. 6).
Dans un saladier, je casse les œufs. J'ajoute la farine, l'huile, le sel, le poivre, la moutarde, et je mélange jusqu'à obtenir une pâte lisse et homogène.
Je coupe le jambon en dés, je l'ajoute, ainsi que les herbes et le maïs bien égoutté. .
Je beurre abondamment un moule à cake et y verse la préparation.
Je mets le moule au centre du four pour 30 minutes. La lame d'un couteau doit ressortir sèche, sinon je prolonge la cuisson de quelques minutes.
Je démoule tiède et sers ce cake tiède ou froid avec une salade.
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L'histoire des origines du maïs accrédite presque la légende des Indiens qui voyaient en lieu le don du dieu Hiawatha : non seulement on ne connaît nulle part à l'état sauvage, mais de surcroît, il est très distinct des graminées qui s'y apparentent le plus.
L'Amérique centrale, et en particulier le Mexique, est très problablement le centre de dispersion du maïs cultivé. Des sites prehistoriques de Nouveau Mexique ont livré des restes de maïs vieux de 7500 ans, et l'on suppose que les tribus indiennes du sud ouest des Etats-Unis le connaissaient déjà voici des millénaires. Chez ces civilisations, le maïs revêt la même importance que le blé pour les Européens.C'est aujourd'hui une céréale cultivée dans le monde entier, et particulièrement en Europe où elle est utilisée pour l'alimentation du bétail.
Le maïs doux américain, consommé jeune, est aussi savoureux que les petits pois. Il est très énergétique et nutritif, mais moins bien équilibré que le blé. Ralentissant l'activité de la thyroïde et agissant comme modérateur du métabolisme, le maïs n'est nullement comparable au blé comme base alimentaire exclusive.
L'amidon de maïs entre dans de nombreux produits diétiques pour nourrissons. Le germe du grain de maïs renferme de l'huile qui, comme celle du tournesol, a une action anti-cholestérol.
Les styles qui emperruquent les épis fructifères, appelés "cheveux de maïs" ou "barbe de maïs" ont une action diuritique et adoucissante. Ils contiennent de l'acide salicylique, analgésique et anti-inflammatoire, et de la vitamine K.
PROPRIETES : adoucissant, analgésique, antihémorragique, diurétique, hypocholestérolémiant, hypoglycémiant.
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