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« Gentiane » est un nom vernaculaire qui désigne en français plusieurs espèces de la famille des Gentianaceae (Gentianacées), appartenant aux genres Gentiana, Gentianella ou Gentianopsis.
Les gentianes appartiennent avant tout au monde sauvage, mais certaines espèces sont cultivées pour leurs fleurs en forme de trompette qui sont le plus souvent d'une couleur bleue inimitable.
D'autres espèces de plus grande taille ont des fleurs de couleur jaune
ou rouge.
Beaucoup de gentianes sont protégées dans de nombreuses régions de France : leur cueillette et leur arrachage sont interdits.
Les racines de la grande gentiane (Gentiana lutea), macérées et/ou distillées, sont utilisées dans la fabrication de liqueurs ou d'apéritifs, comme la « Suze », l’« Avèze », la « Salers », le « Bonal », le « Picon », la « Fourche du Diable », en France.
Et entre dans certains autres produits.
La racine de la gentiane est employée depuis l'antiquité pour ses vertus apéritives, digestives et toniques. Elle est utilisée en phytothérapie en application externe et elle agit localement. Autrefois, les utilisations pouvaient être médicinales, notamment comme un des multiples constituants de la thériaque et du diascordium de la pharmacopée maritime occidentale au XVIIIe siècle.
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L’Ascension désigne la montée de Jésus au ciel, comme le décrivent l’Évangile (Lc 24, 50 ; Mc 16, 19) et les Actes des Apôtres (9, 12) : à Béthanie, Jésus bénit ses Apôtres et se sépare d’eux…
Il disparaît et n’apparaîtra plus à ses Apôtres. Du coup, le mot désigne aussi la fête, 40 jours après celle de Pâques, un jeudi, que l’Église célèbre pour fêter l’événement.
Il s’agit-là d’en dire le sens pour les chrétiens : l’accomplissement du mystère de la Pâque. Pour nous, Jésus s’est abaissé jusqu’à la mort (Ph 2, 7-9), afin que nous soyons élevés jusqu’à la gloire divine, rien de moins !
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Nichée au cœur de l’Auvergne, Bourbon l’Archambault est une petite ville thermale connue depuis les Romains. Berceau des rois de France, elle dispense depuis plusieurs siècles, des eaux thermales réputées, fréquentées par de nombreuses personnalités historiques. Bourbon est également célèbre pour la beauté de son établissement thermal, classé Monument Historique, rénovés récemment, ces derniers ont conservé leur décor empreint d'histoire. A l'entrée, la lumineuse voûte des Thermes, relativement élevée, met en valeur son magnifique plafond à caissons de bois ouvragé. Les panneaux céramique aux couleurs chatoyantes et aux décors exotiques attirent l'attention. Ici, la nymphe des sources et les oiseaux de paradis veillent sur les visiteurs..
La ville de Bourbon est aussi jolie et pittoresque que les Thermes, avec son château médiéval, ses placettes historiques et se bâtisses anciennes.
La visite pittoresque de la forteresse médiévale des ducs est incontournable au cours de votre cure. Sept salles aménagées dans les trois tours nord du monument permettent, sous la conduite érudite d’un guide costumé, de remonter au XIIIe siècle pour partager la vie quotidienne des gens du château fort (salle des vivres, chambre des soldats, salle des armes…).
Berceau de la famille des Ducs de Bourbon (famille royale de France). Le château représente une des ruines féodales les plus imposantes de France. Il servit, autrefois, essentiellement à la défense militaire. Après le XVIème siècle, le château fut abandonné et tomba en ruines. Le bâtiment fut confisqué durant la Révolution de 1789 et fut revendu comme bien national vers 1794. En 1832, le poète régional, Achille Allier, sauva de la destruction les trois tours du nord et la salle qui les précède, seuls témoignages actuels.
Aujourd'hui les ruines du château attirent les visiteurs et font de Bourbon-l'Archambault un haut lieu touristique. Seules trois des vingt-quatre tours dominent encore la ville, grâce à l'écrivain bourbonnais, Achille Allier, qui réussit au XIXème siècle, a sauver le château d'une destruction totale.
On appréciera aussi la visite passionnante de l’église Saint-Georges. Des chapiteaux chargés de symboles à l’orgue sur lequel joua Camille Saint-Saëns, l’on découvre la richesse méconnue apportée depuis le XVIIe siècle par la Marquise de Montespan et les grands personnages de la cour royale venus à Bourbon « prendre les eaux ». À ne pas manquer : la découverte des Reliques de la Sainte-Croix, un morceau de la Sainte-Croix et une épine de la Sainte-Couronne apportés par un des fils de Saint Louis en 1287.
La visite du vieux Bourbon se fait à pied. Vous déambulerez parmi les ruelles et parcs publics pour découvrir l’histoire et la légende attachées à cette petite ville au grand nom.
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Anita Bentley est né à Adelaide, Australie. Son intérêt et sa capacité sur la peinture se sont manifesté à un âge précoce.
Elle a poursuivi une formation académique, plutôt qu' artistique, ce qui l'a conduit finalement à travailler dans le domaine du génie civil et de la gestion de projets dans diverses pratiques de conseil depuis de nombreuses années. En 1992, Anita est diplômée de l'Université d' Australie du Sud avec une maîtrise en administration affaires (MBA).
En 2002, Anita a eu un changement dans sa carrière de l'ingénierie ce qui l'amène à poursuivre sérieusement l'ambition de sa vie d'être une artiste professionnelle.
Anita est une artiste travaillant principalement l'aquarelle. De 2003 à 2006 Anita expose ses œuvres à la Drosera Studio Gallery, à Ashbourne.
Maintenant, résidant dans la Cité parlementaire Hutt Street à Adélaïde, et avec des voyages outre-mer récents en France, en Grèce, au Royaume-Uni, en Italie et en Turquie, Anita a ajouté la rue et des scènes urbaines à la liste des sujets préférés à peindre. Les collines d'Adélaïde, la péninsule de Fleurieu et Flinders Ranges continuent d'être parmi les sujets préférés d' Anita.
Les peintures d'Anita sont réunies dans de nombreuses collections privées en Australie et à l' étranger. Anita est un membre du jury et membre de la Société internationale Aquarelle et administrateur principal et membre fondateur d'Adelaide Urban Sketchers.
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Les roses blanches
Au dernier printemps , le destin brutal
Vint frapper la blonde ouvrière
Elle tomba malade et pour l'hôpital
Le gamin vit partir sa mère
Un matin d'avril parmi les promeneurs
N'ayant plus un sous dans sa poche
Sur un marché le pauvre gosse
Furtivement vola quelques fleurs
La fleuriste l'ayant surpris
En baissant la tête, il lui dit
C'est aujourd'hui dimanche et j'allais voir maman
J'ai pris ces roses blanches elle les aime tant
Sur son petit lit blanc, là-bas elle m'attend
J'ai pris ces roses blanches, pour ma jolie maman
La marchande émue, doucement lui dit
Emporte-les je te les donne
Elle l'embrassa et l'enfant partit
Tout rayonnant qu'on le pardonne
Puis à l'hôpital il vint en courant
Pour offrir les fleurs à sa mère
Mais en le voyant, une infirmière
lui dit tu n'as plus de maman
Et le gamin s'agenouillant dit
devant le petit lit blanc
C'est aujourd'hui dimanche, tiens ma jolie maman
Voici des roses blanches, toi qui les aimais tant
Et quand tu t'en iras, au grand jardin là-bas
Toutes ces roses blanches, tu les emporteras"
et voici quelques créations
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Ingrédients :
* 350 g de fraises
* 2 sachets de sucre vanillé
* 4 cuillères à soupe de coulis de fraise
* 200 g de fromage blanc
* 30 g de sucre
Préparation :
1/ Lavez et équeutez les fraises.
2/ Mettez-les dans un bol avec les 2 sachets de sucre vanillé. Mélangez bien.
3/ Versez une cuillère à soupe de coulis de fraises (acheté en grande surface) dans le fond des verrines. Mettez ensuite 2 cuillères à soupe de fraises au sucre vanillé dans chacune.
4/ Dans un bol, mélangez le fromage blanc et les 30g de sucre.
5/ Répartissez cette préparation sur les fraises et tassez légèrement avec une cuillère pour donner cet effet marbré sur le côté des verrines.
6/ Recouvrez le fromage blanc avec le restant de fraises au sucre vanillé.
Bon appétit !!!
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Bien que le ciel soit menaçant nous sommes allées nous promener aux Semboules.
Les genêts sont en fleurs ainsi que l'aubépine et autre fleur...
L'herbe des talus n'a pas été tondue et des petites fleurs s'épanouissent
Notre promenade est terminée, nous voici sur le chemin du retour
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Érigée à la fin du XIIe siècle - début du XIIIe, sur un piton calcaire dominant l'Allier, entrée un siècle plus tard dans le patrimoine des Bourbons, la forteresse de Billy au centre du village est l'archétype du château à cour fermée où les habitations s'appuient sur les murailles. Autrefois l'une des plus importantes des dix sept châtellenies du Bourbonnais, cette forteresse unique comptait trois enceintes protectrices.
Le chemin de ronde offre une vue panoramique sur la vallée de l'Allier et les collines qui protègent le village médiéval.
En en faisant le tour on peut deviner ces enceintes à la fois dans le maillage des rues du village et parmi les vestiges intégrés au bâti.
La visite s'effectue aujourd'hui principalement à ciel ouvert ; pour autant le château n'a rien perdu de sa majesté. La cité blottie autour de la forteresse a conservé tout son charme.
On peut voir les vestiges de la chapelle du château lors de la visite guidée.
D'origine très ancienne, antérieure au château, l'église paroissiale contient divers objets classés. Les visiteurs peuvent descendre dans la crypte romane du XIème siècle, la "Cave Saint Georges", du nom du saint attaché à la source qui jaillissait au pied de l'église et parce que les vignerons y entreposaient le vin. L'église de Billy adhère au réseau européen des sites casadéens qui dépendaient autrefois de l'abbaye de la Chaise-Dieu.
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