"Heureux l’homme qui endure la tentation ; car après avoir été mis à l’épreuve, il recevra la couronne de vie, que le Seigneur a promise à ceux qui l’aiment."

 

 

De nombreux tableaux de Joseph Turner ont pour thème la nature : l'eau, le ciel, la lumière, les tempêtes.

 

 

En 1842, à l'âge de soixante-sept ans, il décida de modifier son approche des tempêtes. Au lieu de les contempler de loin, il voulut expérimenter personnellement la fureur des éléments.

 Il se fit attacher au grand mât d'un bateau qui se dirigeait droit sur une tempête. Ce fut une expérience intense, qui lui inspira le tableau "Tempête de neige : bateau à vapeur au large d'un port". Comme le fit remarquer l'historien d'art Kenneth Clark : "ll n'existe rien d'approchant dans tout l'art européen, à part, bien entendu, d'autres tableaux de Turner." Si cette œuvre laissa certains critiques perplexes, beaucoup, comme Clark, furent plutôt admiratifs : "Le mouvement est partout. Les rafales de neige et les paquets d'eau tourbillonnent de façon totalement imprévisible."

Ce tableau permet au spectateur de ressentir ce qu'est une tempête. Comme l'a résumé Clark, il "représente l'essence de tout ce que Turner a découvert sur lui-même et sur son art en quarante années de pratique".

 

 

 Dans nos vies spirituelles, Dieu peut permettre que nous essuyions des tempêtes. Nous devons alors avoir confiance en lui. Comprendre que ces tempêtes ont un but. Elles approfondissent notre foi et changent notre caractère. Et si nous persévérons dans les épreuves, nous serons bénis et recevrons "la couronne de vie".

 Dans le même ordre d'idée, Paul affirme que Dieu nous invite à nous glorifier dans les tribulations. Pourquoi ? Parce qu'elles produisent la persévérance. La force de caractère. Et l'espérance.

 

 

 Aujourd'hui, rappelez-vous que Dieu a un plan éternel pour votre vie. Si vous essuyez des tempêtes, gardez la foi. Faites-lui confiance. Laissez-le vous perfectionner, vous enseigner, vous donner un témoignage plus puissant, changer votre vie. Et manifester sa puissance !

 

Une prière pour aujourd'hui

 

Père, aide-moi à persévérer dans chacune des situations. Je ne veux pas baisser les bras, mais au contraire te faire confiance. Je crois que tu me donneras la victoire. Merci parce que tu es fidèle. Au nom de Jésus. Amen.

John Roos

 

Ingrédients

– 1 kg de petit salé (échine, travers, palette)
 - 600 grammes de lentilles vertes du Puy
- 4 saucisses de Montbéliard
- 2 carottes
- 2 gros oignons
- clous de girofle
- 1 bouquet garni
- sel, poivre

 

Préparation

 Si nécessaire faire dessaler la viande (la tremper pendant 2 heures dans l’eau froide, en changeant l’eau de temps en temps). L’égoutter. La mettre dans un faitout, couvrir d’eau, poivrer. Faire cuire à petits bouillons pendant deux heures.

Éplucher les carottes et les oignons. Planter les clous de girofle dans les oignons.

Mettre carottes, oignons, bouquet garni et lentilles dans une cocotte minute, bien recouvrir d’eau, saler légèrement et poivrer. Faire cuire sous pression entre un quart d’heure et une vingtaine de minutes.

A la fin de la cuisson de la viande, la sortir du faitout, l’égoutter, et la découper en gros morceaux. Mettre ces morceaux, ainsi que les saucisses préalablement piquées à la fourchette, dans la cocotte-minute contenant déjà les lentilles. Rajouter 2 verres du bouillon du faitout (pour donner le goût de la viande).

 

 

 

 

 

La flore méditerranéenne et celle de l'Asie occidentale hébergent un grand nombre de lentilles sauvages parmi lesquelles les premiers cultivateurs néolithiques sélectionnèrent des lignées, ainsi obtint-on la lentille cultivée, inexistante à l'état spontané. Elle compte parmi les plus anciens légumes secs.

 

 

Les Egyptiens s'en nourrissaient déjà, aliment courant en Grèce et à Rome. La lentille fut dénigrée par les médecins de cette époque, au IIe siècle , on l'accusait de provoquer des tumeurs.

 

 

Un auteur de la Renaissance conseille encore de la faire cuire, décortiquée, dans de l'eau de pluie, avec de nombreux aromates, pour corriger sa nocivité....

 

On lui reconnait aussi des vertus thérapeutiques peu banales, comme celle de guérir de la variole, et d'entraver l'action des poisons. Au XIXe siècle, un charlatan fit fortune en vendant, sous le nom de "Revalescière", la farine présentée comme un remède universel !

 

Toutes fables reléguées au rayon des curiosités historiques, il reste que la lentille est un aliment de haute valeur nutritive. Ainsi, 100 g de lentilles équivalent sur le plan calorique à 150 g de viande et 150 g de paincomplet. Elle est riche en phosphore, en fer, en vitamines du groupe B. Les dyspeptiques doivent plutôt la manger sous forme de farine. La sauge et la sariette vivace en facilite beaucoup la digestion.

 

 

PROPRIETES : galactagogue, résolutive.

 

 

 

 

Seule commune- département, Paris porte le numéro de l'ancien département de la Seine. D'après César, l'antique Lutèce se situait sur une île de la Seine longtemps identifiée comme étant celle de la Cité. Toutefois des fouilles récentes feraient plutôt de Nanterre la capitale des Parisii. C'est tout de même l'île de la Cité qui fut le coeur de la ville médiévale ceinte de plusieurs murailles successives qui inclurent progressivement ses faubourgs. En 1860, alors que le préfet Haussmann dirige d'immenses travaux, vingt-quatre communes limitrophes (Montmartre, Belleville, Auteuil...) sont annexées en totalité ou partiellement. En attendant une éventuelle extension du Grand-Paris, c'est le périphique qui fait office de rempart, avec tout de même, au-delà de ce dernier, les bois de Boulogne et de Vincennes qui finissent de donner à la commune de Paris une forme d'escargot, accentuée par la numération en spirale de ses vingt arrondissements.

 

 

- LE TEMOIN DES CRUES DE LA SEINE -

 

A la pointe de l'île des Cygnes, la réplique de la statue de la liberté ne risque pas de se retrouver les pieds dans l'eau. Par contre, ce n'est pas le cas du zouave du pont de l'Alma, un autre témoin des incessants va-et-vient des bateaux-mouches, qui ne doivent pas leur nom au fictif Jean Sébastien Mouche, mais au quartier lyonnais de la Mouche. Cette statue, qui honore les zouaves venus d'Afrique du Nord s'étant illustrés lors de la Guerre de Crimée, est surtout témoin des crues de la Seine. En 2001, l'eau lui à chatouillé les chevilles, en 1955 elle atteignit le haut de ses cuisses, et lors des célèbres crues de 1910, il n'eut plus que les épaules et la tête hors de l'eau.

 

 

- TOUR BÖNICKHAUSEN OU TOUR LOECHLIN-NOUGUIER -

 

La célèbre tour Eiffel aurait pu porter un autre nom, si les ancêtres de son concepteur, originaires de l'Eifel en Rhénanie, n'avaient pris l'habitude de se faire appeler Eiffel plutôt qu Bönickhaussen, à leur arrivée en France. Les premiers plans de cette tour, dont l'idée ne séduisait guère Eiffel au départ, ont été réalisés en 1884 par Maurice Koechlin et Emile Nouguier, deux ingénieurs de la société. Au rythme de 12 m par mois, la tour haute de plus de 300 m put être inaugurée pour l'Exposition universelle de 1889, demeurant jusqu'au début  des années 1930 le plus haut monument du monde. Sa démolition avait cependant été envisagé, ce qui n'aurait pas déplu à ses nombreux détracteurs de l'époque, mais l'essor de la radiodiffusion contribua à la sauvegarder. Avec ses différents émetteurs, elle est désormais haute de 327 m.

 

 

- SE MARIER A LA MAIRIE DU 13e ARRONDISSEMENT -

 

A l'époque où Paris ne comptait que 12 arrondissements, la coutume était de dire des couples en concubinage qu'ils s'étaient  "marier à la mairie du 13e arrondissement". A l'extension de la commune en 1860, la logique aurait voulu que le 13e arrondissement englobe le 16e. Mais les influents habitants d'Auteuil et de Passy ne vouaient pas de cette dénomination malheureuse, toute la numérotation des arrondissements fut alors modifiée pour donner celle que l'on connait aujourd'hui.

 

 

- UN NOM DE PLACE POUR LE DEPARTEMENT LE PLUS CIVIQUE -

 

Au pied des ballons des Vosges, la statue du Volontaire de l'An II de Remiremont rappelle que l'ancien arrondissement de la ville fut le premier à envoyer des volontaires pour défendre la patrie en danger en 1792. A la même époque, le département des Vosges s'est également fait remarquer en s'acquittant le premier de ses impôts. C'est alors tout naturellement qu'en 1800, Napoléon rebaptisa l'ancienne place Royale, déjà renommée place des Fédérés puis place de l'Indivisibilité sous la Révolution, du nom de place des Vosges. Le retour de la monarchie rendit temporairement son nom initial à cette place dont la construction fut initiée par Henri IV et achevée sous Louis XIII.

 

 

Texte extrait du livre : La France - Géographie Curieuse et Insolite.

 

 

Le bouc aux enfants

 

Sous bois, dans le pré vert dont il a brouté l'herbe,
Un grand bouc est couché, pacifique et superbe.
De ses cornes en pointe, aux noeuds superposés,
La base est forte et large et les bouts sont usés ;
Car le combat jadis était son habitude.
Le poil, soyeux à l'oeil, mais au toucher plus rude,
Noir tout le long du dos, blanc au ventre, à flots fins
Couvre sans les cacher les deux flancs amaigris.
Et les genoux calleux et la jambe tortue,
La croupe en pente abrupte et l'échine pointue,
La barbe raide et blanche et les grands cils des yeux
Et le nez long, font voir que ce bouc est très vieux.
Aussi, connaissant bien que la vieillesse est douce,
Deux petits mendiants s'approchent, sur la mousse,
Du dormeur qui, l'oeil clos, semble ne pas les voir.
Des cornes doucement ils touchent le bout noir.
Puis, bientôt enhardis et certains qu'il sommeille,
Ils lui tirent la barbe en riant. Lui, s'éveille,
Se dresse lentement sur ses jarrets noueux,
Et les regarde rire, et rit presque avec eux.
De feuilles et de fleurs ornant sa tête blanche,
Ils lui mettent un mors taillé dans une branche,
Et chassent devant eux à grands coups de rameau
Le vénérable chef des chèvres du hameau.
Avec les sarments verts d'une vigne sauvage
Ils ajustent au mors des rênes de feuillage.
Puis, non contents, malgré les pointes de ses os,
Ils montent tous les deux à cheval sur son dos,
Et se tiennent aux poils, et de leurs jambes nues
Font sonner les talons sur ses côtes velues.
On entend dans le bois, de plus en plus lointains,
Les voix, les cris peureux, les rires argentins ;
Et l'on voit, quand ils vont passer sous une branche,
Vers la tête du bouc leur tête qui se penche,
Tandis que sous leurs coups et sans presser son pas
Lui va tout doucement pour qu'ils ne tombent pas.

 

Jean RICHEPIN   (1849-1926)

 

 

 

 

 

Au début des années 1990, le président de la Fédération de Russie, Boris Elsine, lança un audacieux programme de restauration du Grand Palais du Kremlin.

 

 

Dans son état actuel, le bâtiment avait été construit entre 1838 et 1849 par l'architecte Konstantin Ton pour abriter les appartements du tsar Nicolas 1er. Jusqu'à la révolution d'octobre, le palais fut l'une des résidences des souverains.

 

 

Entre 1932 et 1934, Staline fit transformer les salles plus représentatives du régime tsariste, dont les salles Saint André et Saint Alexandre, qui, réunies, formèrent une grande salle rectangulaire de 80 mètres sur 20, avec une capacité de 3000 places, réservées aux séances du Soviet suprême.

 

La restauration récente du Kremlin, qui exigea un budget de 300 millions de dollars et la collaboration de 2 500 personnes, s'appuya sur les documents photographiques conservés dans les archives royales du château de Windsor. Achevés en 2000, les travaux ont rendu au palais l'éclat de ses stucs peints et de ses frises dorées.

 

Pendant des siècles, c'est à l'intérieur du Kremlin que se jouèrent tous les drames qui décidèrent du sort de la Russie. C'est là que résidaient les tsars et les princes, ainsi que les patriarches de l'Eglise orthodoxe. Même après la fondation de Saint-Pétersbourg au début du XVIIIe siècle, c'est à Moscou que les tsars continuèrent à se faire couronner.

 

C'est aussi sur la place Rouge que se déroulaient les défilés militaires qui commémraint la révolution d'Octobre.

 

Et c'est dans le Grand Palais qu'en 1961 Nikita Khrouchtchev fêta le retour de Iouri Gagarine, qui venait de réussir le premier vol orbital autour de la terre.

 

Si les plus anciens vestiges archéologiques découverts dans la région de Moscou datent de l'âge du bronze, les premières traces d'un peuplement slave ne sont pas antérieures au XIe siècle. C'est à cette époque qu'un village fortifié fut construit sur la colline Borovitskaïa, un promontoire dominant le confluent de la Moskova et de la Néglinnaïa.
En 1147, sous le règne de Iouri Dolgorouki, prince de Souzdal, ce premier village s'étendait au-delà de la première enceinte : c'est à cette époque que l'histoire officielle situe la fondation de la ville.

 

 

Néanmoins, ce n'est qu'au XIV e siècle, sous le règne d'Ivan Kalita, que la forteresse fut progressivement perçue comme une partie distincte de la ville, comme le siège de ses institutions.

 

Entre 1367 et 1368, le prince Dmitri Donskoï fit remplacer les murs en rondins de chêne par des fortifications en pierre blanche surmontées par de puissantes tours.

 

Entre 1485 et 1495, le Kremlin fut entiérement reconstruit par Ivan III le Grand, tsar de toutes les Russies. Les murs de pierre blanche furent remplacées par des fortifications de brique, longues de plus de 2 kilomètres, dont une vingtaine de tours sont aujourd'hui conservées. Les édifices civils et religieux à l'intérieur de l'enceinte, qui s'étend sur une superficie de 27,5 hectares, remontent à diverses époques.

 

 

A la fin du XVe et au début du XVIe siècele, les travaux furent confiés à des architectes italiens.

 

Texte extrait du livre : Les plus beaux sites du Patrimoine mondial de l'Unesco.

 

La suite de cet article la semaine prochaine.....

 

Benoît Halbert, Artiste-Peintre professionnel né en 1955 à NANTES,

 

 

 j'ai fait ma première Exposition en galerie en 1983 et j'expose régulièrement tous les ans. Depuis cette date, j'ai participé à de nombreux salons et expositions en France et à l'étranger, ayant obtenu de nombreux prix et distinctions.

 

 

Spécialisé dans le genre dénommé "Natures mortes" que j'ai rebaptisé "Natures silencieuses", j'aime aussi de temps à autres m'installer dans la nature (les rives de l'Erdre où je demeure), mais ma recherche et mon exigence sont toujours les mêmes : la justesse de la Lumière ainsi qu'une atmosphère poétique qui rendent la vérité de la Nature et des objets.

 

Je vous propose quelques-unes de mes réalisations, certaines très récentes et d'autres plus anciennes.

 

Espérant votre intérêt, je vous laisse regarder sereinement, donc dans l'esprit où je les ai "commises" !

Artistiquement  Benoît Halbert

 

 

 

 

Saint Luc, évangéliste : « J’ai décidé…d’écrire pour toi un exposé suivi »

      La lecture des saintes Écritures est un pré spirituel et un paradis de délices, bien plus agréable que le paradis d'autrefois. Ce paradis, Dieu ne l'a pas planté sur la terre, mais dans les âmes des fidèles. Il ne l'a pas placé dans l'Éden, ni en Orient dans un lieu précis, mais il l'a étendu partout sur la terre et l'a déployé jusqu'aux extrémités de la terre habitée. Et puisque tu comprends qu'il a étendu les saintes Écritures sur toute la terre habitée, écoute le prophète qui dit : « Leur voix a retenti par toute la terre et leurs paroles jusqu'aux extrémités du monde » …

 

      Ce paradis a aussi une source comme celui d'autrefois, source d'où naissent d'innombrables fleuves… Qui le dit ? Dieu lui-même qui nous a fait le don de tous ces fleuves : « Celui qui croit en moi, dit-il, selon le mot de l'Écriture, de son sein couleront des fleuves d'eau vive »… Cette source est incomparable non seulement par son abondance, mais encore par sa nature. En effet ce ne sont pas des rivières d'eau, mais les dons de l'Esprit. Cette source se partage entre toutes les âmes des fidèles, mais elle n'en est pas diminuée. Elle est divisée, mais elle n'est pas épuisée… Tout entière chez tous et tout entière en chacun : tels sont en effet les dons de l'Esprit.

 

      Veux-tu savoir quelle est l'abondance de ces rivières ? Veux-tu savoir la nature de ces eaux ? En quoi elles sont différentes des eaux d'ici-bas, parce qu'elles sont meilleures et plus magnifiques ? Écoute à nouveau le Christ parlant à la Samaritaine pour comprendre l'abondance de la source : « L'eau que je donnerai à celui qui croit, dit-il, deviendra en lui source d'eau jaillissant en vie éternelle »…

 

 

Veux-tu aussi connaître sa nature ? Fais-en usage ! Elle n'est pas utile en effet pour la vie d'ici-bas, mais pour la vie éternelle. Passons donc notre temps dans ce paradis : soyons invités à boire à cette source. 

 

 

Saint Jean Chrysostome (v. 345-407), prêtre à Antioche puis évêque de Constantinople, docteur de l'Église

 

 

 

 

 

Ingrédients pour 4 personnes :

 

2 laitues romaines

4 tranches de jambon

15g de beurre

1càs de farine

1.5dl de bouillon de légumes

1.5dl de lait

sel, poivre, paprika

 

Préparation

 

*Faire blanchir les feuilles de laitue 2-3 minutes dans de l'eau salée.

 

 

*Disposer 4-5 feuilles, 1/2 tranche de jambon, rouler.

 

 

 *Faire la sauce béchamel.

*Mettre tout cela dans un plat à gratin.

*Vous pouvez ajouter du gruyère rapé.

 

 

Bon appétit......

 

 

 

Si la scarole dérive d'une espèce sauvage très répandue dans les friches des régions tempérées de l'Europe et de l'Asie, la laitue cultivée, aux pommes rebondies, a une origine imprécise, sans doute ouest-asiatique. Il se pourrait d'ailleurs, qu'elle se rattache génétiquement à la première.

 

 

Les Gecs et les Romains mangeaient déjà des laitues,

 

 

et d'innombrables sélections horticoles ont tant diversifié cette salade qu'il serait avantureux d'en recencer toutes les variétés.

 

 

Riche de 95% d'eau, la laitue est un aliment de piètre valeur, elle est cependant apéritive et rafraîchissante. On aurait tort par ailleurs de négliger ses vitamines, ses minéraux, et ses oligo-éléments, surtout l'iode, le nickel, le cobalt, le manganèse et le cuivre.

 

Cuite et appliquée en cataplasme sur l'épiderme, elle se montre adoucissante.

 

Comme les espèces sauvages, mais en moindre quantité, les laitues cultivées renferment du lactucarium dans leur suc laiteux. Cette substance analgésique, sédative et hypnotique qui rend la salade salutaire, au repas du soir.

 

Cuite, en purée, la laitue constitue un excellent plat léger et digestible.

 

PROPRIETES : adoucissante, analgésique, antispasmodique, hypnotique, sédative.