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Par chezmamielucette le 11 Juillet 2018 à 00:00
Un rêve de bonheur…
Un rêve de bonheur qui souvent m’accompagne,
C’est d’avoir un logis donnant sur la campagne,
Près des toits, tout au bout du faubourg prolongé,
Où je vivrais ainsi qu’un ouvrier rangé.
C’est là, me semble-t-il, qu’on ferait un bon livre.
En hiver, l’horizon des coteaux blancs de givre ;
En été, le grand ciel et l’air qui sent les bois ;
Et les rares amis, qui viendraient quelquefois
Pour me voir, de très loin, pourraient me reconnaître,
Jouant du flageolet, assis à ma fenêtre.François Coppée
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Par chezmamielucette le 9 Juillet 2018 à 00:00
Ancien élève des Beaux-arts de Montpellier, j'ai découvert l'aquarelle en 1992 .
Fasciné par cette technique pleine de surprise et de transparence, je m'y consacre pleinement depuis une quinzaine d'années..Enseignant la peinture et l'aquarelle dans divers ateliers en Vaucluse,
je suis inscrit à la Maison des artistes depuis 2006.Progresser et transmettre.. C’est essentiellement le but de mon parcours à l’aquarelle. Essayer de vivre de son art n’est pas facile, il faut gérer le côté créateur et le côté vendeur qui sont des choses différentes..
Enseigner sa technique est aussi épanouissant mais il faut composer avec les niveaux et les personnalités de chacun ; j’essaye de faire de mon mieux depuis des années, en toute simplicité…
Aquarelliste plusieurs fois primé lors de diverses expos dans le Vaucluse et ailleurs, j’ai commencé par la peinture à l’huile en 1984 peu avant mon entrée aux Beaux-arts de Montpellier.La découverte de l’aquarelle en 1992 fut une révélation.
D’une enfance martiniquaise, j’ai gardé l’amour de la couleur et de la lumière..Depuis mon installation dans le Vaucluse, en 1994, mes aquarelles rendent hommage à la beauté des paysages provençaux, mais aussi à la délicatesse des fleurs, l’harmonie de couleur des fruits..
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Par chezmamielucette le 8 Juillet 2018 à 00:00
La Fontaine est aujourd’hui le plus connu des poètes français du xviie siècle, et il fut en son temps, sinon le plus admiré, du moins le plus lu, notamment grâce à ses Contes et à ses Fables. Styliste éblouissant, il a porté la fable, un genre avant lui mineur, à un degré d’accomplissement qui reste indépassable. Moraliste, et non pas moralisateur, il pose un regard lucide sur les rapports de pouvoir et la nature humaine, sans oublier de plaire pour instruire.
Famille
Il est né le 8 juillet 1621 dans un milieu bourgeois de province ; son père est conseiller du roi et maître des Eaux et Forêts ; sa mère est veuve d'un premier mari, négociant à Coulommiers.
Formation
Il fait des études de rhétorique latine, puis entame des études de droit, interrompues pour entrer à l'Oratoire, en vue d'une carrière ecclésiastique. Après un an et demi, il retourne au droit.Début de carrière
Il se marie à vingt-six ans avec Marie Héricart. Il fréquente les milieux lettrés. En 1652, il achète une charge de maître des Eaux et Forêts. Il publie, anonymement et sans grand succès, une pièce, l'Eunuque (1654), inspirée de Térence.Premiers succès
Il écrit deux longs poèmes, Adonis (1658) et le Songe de Vaux (1659), pour son protecteur le surintendant Fouquet, puis un recueil de Contes et Nouvelles (1665).Gloire et difficultés
Il publie un nouveau recueil de Contes, puis fait paraître, en 1668, les six premiers livres des Fables, ainsi qu'un roman en prose et en vers, les Amours de Psyché et de Cupidon.Après la disgrâce de Fouquet et la mort d'une autre protectrice, il perd son titre de « gentilhomme servant ». Il est accueilli par Mme de La Sablière (1672) et renonce à sa charge de maître des Eaux et Forêts. Il rencontre les grands auteurs du moment : Molière, Racine, Boileau.
La consécration
Il rédige un livret d'opéra pour Lully (Daphné), fait paraître de nouveaux Contes puis, en 1678, une nouvelle édition des Fables largement augmentée.À l'Académie française où il est élu en 1684 malgré l'hostilité de Louis XIV, il lit son Discours à Mme de La Sablière, forme de confession personnelle.
Dans la querelle des Anciens et des Modernes, polémique sur les mérites comparés des écrivains et artistes de l'Antiquité et de ceux de l'époque de Louis XIV, il prend parti pour les Anciens.
Il écrit un nouvel opéra, l'Astrée.
Dernières années
À la mort de Mme de La Sablière en 1693, il se réfugie chez des amis parisiens. Il rédige ses dernières fables (il en aura écrit 240 au total). Il accepte de renier ses contes et décide de faire pénitence. Il meurt le 13 avril 1695. En 1817, son corps sera transporté au cimetière du Père-Lachaise.
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Par chezmamielucette le 7 Juillet 2018 à 00:00
Ingrédients
100 gr de beurre fondu
300 gr de farine
150 gr de sucre
3 oeufs
3 yaourts natures
1 sachet de levure chimique
1 cuillère à café d'arôme vanille
1 grosse boîte de pêches au siropPréparation
Préchauffer le four à 180°.
Battre les blancs en neige et réserver.
Dans un moule silicone, disposer harmonieusement les 1/2 pêches, côtés bombés sur le fond du moule (comme une tatin). Si vous ne possédez pas de moule en silicone, prenez un moule à manqué classique, mais beurrez-le.
Dans un saladier, fouetter les jaunes d'oeufs et le sucre jusqu'à blanchiment.
Incorporer les yaourts, la vanille et le beurre fondu.
Ajouter la farine et la levure. Bien mélanger et incorporer délicatement les blancs en neige.Verser cette pâte sur les pêches, enfourner et faire cuire 50 minutes.
Quand le gâteau est cuit, le démouler sur un plat de service (pêches sur le dessus) puis l'imbiber du sirop de pêches restant.
Bonne dégustation...
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Par chezmamielucette le 6 Juillet 2018 à 08:00
Les centaurées sont des plantes vivaces, cultivées pour sa fleur faite d'une urne qui porte les pétales en fleurons.
Le genre Centaurea comprend plus de quatre cents espèces de plantes vivaces, d'annuelles et de bisannuelles.
Leurs fleurs sont grosses et souvent de couleur jaune, bleues, violettes ou roses.
Elles préfèrent le plein soleil et un sol bien drainé qui devient souvent pauvre par leur soif de nutriments.
Certaines espèces deviennent très grandes et on doit souvent les aider d'un tuteur.
Centaurée bleuet
La centaurée bleuet est une plante annuelle à croissance rapide. Elle est cultivée pour sa fleur qui a des capitules en fleurons extérieurs. Elle aime un plein ensoleillement et un sol bien drainé et riche. La floraison est de Mai à Aout. Utilisée pour les bouquets. De 60-70 cm de hauteur et 30 cm d'étalement.Centaurée de perse
Plante de plein soleilAttire les papillonsPlante de zone de rusticité 4
Elle aime le plein soleil, dans un sol pauvre ou riche, mais bien drainé. Les fleurs sortent de Juin à Juillet et attire les papillons. De 45 à 75 cm de hauteur et 45 cm d'étalementCentaurée jacée
Plante de plein soleilPlante de mi-ombrePlante sauvage de zone 3
La centaurée jacée est une plante vivace qui aime le plein soleil, ou l'ombre légère, dans un sol bien drainé mais humide. La floraison, de Juin à Septembre, produit de jolies fleurs aux fins pétales plumeux au centre, entouré de pétales roses plus gros en fleurons divisés en plusieurs languettes. C'est une plante sauvage rustique qu'on retrouve dans les terrains vagues, près des cours d'eau, et autres lieux humides. La fleur est portée par une urne de bractées brunes qui ont une forme d'écailles, et elle pousse au bout des tiges qui porte le feuillage. De 20 à 70 cm de hauteur.Centaurée des montages
Bleuet vivace
Plante de plein soleilPlante de mi-ombrePlante rustique de zone 4
La centaurée montana est une plante vivace qui aime un plein ensoleillement et un sol bien drainé. Les fleurs fleurissent en mai, juin et juillet. Utilisé pour les plates-bandes, en massif, et comme plante tapissante de plein soleil. De 40-60 cm de hauteur et 40 cm d'espacement.Centaurée géante jaune
Plante de plein soleilPlantes rustiques de zone 4
Plante à fleur vivace vigoureuse qui atteint jusqu'à 120 cm de hauteur et 55 cm d'espacement. On en fait la culture pour les gros capitules de fleurs jaunes. Utilisée en plate-bande, elle aime le plein soleil et un sol bien drainé.
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Par chezmamielucette le 5 Juillet 2018 à 00:00
Le village des Bories est un site historique situé à l’entrée de Gordes, dans le Luberon. Il est constitué d’anciennes habitations qui datent de l’âge du bronze et qui ont été entièrement reconstituées au XVIIème siècle.
Ce témoignage historique hors du commun permet d’appréhender des modes de vie ancestraux, hérités de traditions séculaires. Le village recèle une trentaine de cabanons ainsi que d’anciennes bergeries, des fours à pain et des installations qui témoignent d’une activité foisonnante passant par le travail de la terre et l’élevage.
Les habitations appelées « bories » ont toutes été construites à partir de pierres sèches empilées, à la manière des igloos. Même si elles peuvent, de nos jours, paraître inconfortables, ces cabanes furent habitées jusqu’au milieu du XIXème siècle
On en compte plus de 400 sur la commune de Gordes. Isolées dans la garrigue, elles servaient de refuge temporaire pour les bergers ou d'abris pour le matériel agricole. Lorsqu'elles sont regroupées elles servaient d'habitations et formaient de véritables villages. Le village des Bories en est un exemple spectaculaire et unique.
La construction de ces cabanes associe une maîtrise incroyable de la technique d'assemblage des pierres et l'économie des moyens. Les plus élaborées sont l'oeuvre de véritables bâtisseurs.
Les pierres sont posées les unes au dessus des autres et à l'intérieur de la borie la rangée de pierre supérieure dépasse systématiquement la rangée inférieure selon le principe de la fausse voûte en encorbellement. L'assemblage se fait sans cintre, ni échafaudage. Seul outil indispensable: la massette.
Pour une borie moyenne... il faut environ 120 tonnes de pierres!
La technique de construction de ces cabanes n'a pas évolué depuis le néolitique ce qui rend la datation difficile. Concernant les bories de Gordes, les plus anciennes datent du XIVe siècle et les plus récentes du XIXe siècle.
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Par chezmamielucette le 4 Juillet 2018 à 00:00
La-haut sur la montagne
« Là-haut sur la montagne il est un vieux chalet ».
Connais-tu la chanson ? On la chantait petits,
Bien avant que le temps n’ait tout anéanti
De ces burons anciens maintenant affalésComme des tas de pierre encombrant les alpages.
Pas seulement le temps ! Les Humains et l’oubli ;
L’oubli des traditions, d’un passé aboli
Par un progrès captieux et son mauvais usage…Au printemps, les bergers venaient s’y réfugier
En compagnie d’un chien pour garder leurs brebis.
Ils restaient là des mois. Un long exil subi,
Mais telle était leur vie. Sans jamais sourciller.En hiver, recouverts par un monceau de neige,
Ces burons sommeillaient, tout encapuchonnés ;
Et le gros édredon boursouflé leur donnait
L’aspect d’igloos d’ailleurs, là où le ciel est beigePresque en toute saison. Mais l’été les pastours
Dormaient tout habillés sous le ciel étoilé,
La tête sur leur chien ; et le pâle reflet
De la lune éclairait les pâtis alentour.C’étaient des temps anciens. Et la plupart du temps,
Les burons aujourd’hui ne sont plus que décombres
Fréquentés par le vent et les très vieilles ombres
Diaphanes et fanées des pastoureaux d’antan.Vette de Fonclare
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Par chezmamielucette le 3 Juillet 2018 à 00:00
Quelque chose ne tourne pas rond dans le cadran du Gros Horloge, à Rouen. Il n’y a qu’une seule aiguille ! Ne vous inquiétez pas, c’est normal. Non, une aiguille n’est pas tombée au cours des siècles. Elle a été construite ainsi. A l’époque, la notion du temps était différente et les minutes étaient superflues…
Mais de quelle époque parle-t-on au juste ? Le mécanisme date du XIVe siècle, ce qui en fait l’une des trois plus vieilles horloges de France. En revanche, l’arche qui porte l’horloge et les deux façades de l’horloge (une de chaque côté de l’arche) datent du XVIe.
Elles représentent un soleil doré de 24 rayons (on vous laisse deviner pourquoi…) sur un fond bleu étoilé. Ces cadrans magnifiques portent bon nombre de particularités. Par exemple, au bout de la fameuse aiguille unique se trouve un agneau ! Au sommet du cadran, on peut voir une boule pour moitié noire et pour moitié argentée. Elle sert à indiquer les phases de la Lune.
Si jamais vous avez un doute sur le jour de la semaine, la base du cadran vous l’indiquera. Il suffit juste de savoir quel dieu correspond à quel jour. Allez, on vous aide : Diane représente la Lune, donc le lundi. Ensuite, on a Mars pour mardi, Mercure pour mercredi, Jupiter pour jeudi, Vénus pour Vendredi, Saturne pour samedi et Apollon pour dimanche. Ca vous aurait sans doute paru plus simple d’inscrire directement le nom des jours, mais, à l’époque, peu de gens savaient lire…
Le bâtiment accolé à l’arche (côté rue Massacre, ça ne s’invente pas) est le beffroi.
Il contient notamment les deux anciennes cloches de la ville, qui datent du XIIIe siècle : la Cache-Ribaud et la Rouvel. La première sonnait le couvre-feu à 21 h et la deuxième, la guerre.
Préalablement appelée Fontaine Massacre, la Fontaine du Gros-Horloge fut construite en 1457. Adossée au beffroi du Gros-Horloge, elle est la plus ancienne fontaine de Rouen.
Conçue pour alimenter le Vieux-Marché en eau, elle fût agrémentée d’ornements en pierre représentant les amours du fleuve Alphée et de la nymphe Aréthusse. Ces décors illustrent l’union entre la Seine et la fontaine
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Par chezmamielucette le 2 Juillet 2018 à 00:00
Philippe Demory est né le 23 avril 1962.
Peintre décorateur de métier il est installé à Cucuron depuis 2003 ,
je m' inspire des couleurs et de la lumière de cette merveilleuse région
et en août 2011 je me décide à prendre mes brosses pour mettre toute ces couleurs , cette lumière , ces paysages et ces bâtisses sur mes toiles , pour mon plaisir et je l espère , le plaisir de vos yeux.
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