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Par chezmamielucette le 12 Juin 2016 à 00:00
"Si vous ne savez pas sourire, n'entrez pas"
"Un cœur joyeux est un bon remède, mais un esprit abattu dessèche les os." Proverbes 17.22
Certainement est-ce pour cette raison que sur le fronton d'un hôpital aux Etats Unis, il est écrit : "Si vous ne savez pas le sourire, n'entrez pas". Il est évident que cet hôpital n'a jamais refusé quelqu'un parce qu'il ne souriait pas, mais la direction voulait rappeler que la joie, l'humour, la bonne humeur sont importants dans le processus de la guérison.
Le fruit de l'Esprit, c'est la joie !
La nuit où Jésus est né, le christianisme a commencé avec le chant des anges. Or, ce chant fut précédé de cette déclaration de l'un de ces anges : "Je vous annonce une bonne nouvelle, sujet d'une grande joie pour tout le peuple…" (Luc 2.10).Le christianisme ne devrait pas être une religion imposant des rites et des devoirs, car il est basé sur une rencontre avec le Christ, rencontre qui procure la vie, de laquelle découle la joie.
L'évangile est une bonne nouvelle. Cette bonne nouvelle est source de joie. Dans le livre des Actes, lorsque Philippe rencontre l'eunuque Ethiopien, ministre de la reine Candace, il lui parle de la bonne nouvelle du salut en Jésus, et dès cet instant cet homme poursuit sa route avec joie (Actes 8.39).
Un jour on demanda au célèbre compositeur Joseph Haydn, pourquoi ses compositions religieuses étaient si joyeuses, et il répondit : "Je ne puis faire autrement. Lorsque je pense à Dieu et à sa grâce offerte en Christ, mon cœur est rempli d'une telle joie que les notes dansent et sautent au bout de ma plume. Dieu m'a donné un cœur joyeux, c'est pour que je le serve avec joie". La grâce qui nous est accordée inonde notre esprit d'une joie céleste.La joie est l'une des premières caractéristiques de la vie chrétienne. Elle fait irruption dès le début de la foi en Jésus-Christ, elle est la joie "dans" le Seigneur. Nous le voyons dans le livre des Actes. Ceux qui croyaient au Seigneur Jésus-Christ, et se convertissaient, étaient remplis de joie : "les disciples étaient remplis de joie et du Saint-Esprit" (Actes 13.52). "Ils prenaient leur nourriture avec joie… " (Actes 2.46).
Cette joie n'a rien à voir avec la réussite, le succès, l'abondance…elle est vécue, même dans l'opposition : "Les apôtres se retirèrent de devant le sanhédrin, joyeux d'avoir été jugés dignes de subir des outrages pour le nom de Jésus" (Actes 5.41). C'est une joie surnaturelle.Une prière pour aujourd'hui
Seigneur, je désire que cette joie surnaturelle, m'accompagne tout au long du chemin. Qu'elle remplisse tout mon être, et qu'elle soit une bénédiction, non seulement pour moi, mais aussi pour ceux qui cheminent à mes côtés. Amen !
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Par chezmamielucette le 11 Juin 2016 à 00:00
Ingrédients : pour 6 personnes
1 pâte brisée
Pour la garniture :
800 g de rhubarbe
90 g de sucre
amandes effilées (facultatif)
2 cuillères à soupe d'amande en poudre
Pour le flan :
2 oeufs
50 g de farine
90 g de cassonade
zeste râpée d'une orange non traitée
100 g de crème fraîche
1 sachet de sucre vanillé
Pour le nappage :
2 cuillères à soupe de confiture de fraises ou d'abricots
sucre en grains (facultatifPréparation :
Etape 1
La veille, nettoyez les tiges de rhubarbe, lavez-les et essuyez-les. Coupez-les en dés dans un saladier, saupoudrez de sucre, couvrez-le avec un torchon, placez au frigo et laissez macérer pendant une nuit pour que la rhubarbe rende son eau et ne détrempe pas la pâte.Etape 2
Etalez la pâte dans un moule à tarte en conservant la feuille de cuisson. Recouvrez-la de papier aluminium et faites cuire 5 minutes à 200°C. Retirez l'aluminium et remettez à cuire 5 minutes.Etape 3
Laissez égouttez la rhubarbe et séchez-la. Réalisez le flan : Battez les oeufs avec la cassonade au batteur pour obtenir un mélange mousseux. Incorporez la farine, le zeste d'orange, la crème fraîche et le sucre vanillé.
Etape 4
Saupoudrez le fond de tarte d'amandes en poudre. Répartissez les dés de rhubarbe dessus puis versez le flan. Saupoudrez d'amandes effilées et enfournez pendant 40 à 45 minutes à 200°C.Etape 5
Laissez refroidir dans le moule. Faites chauffer la confiture de fraise dans une casserole à feu doux pour qu'elle se liquéfie. Démoulez la tarte puis badigeonnez-la de confiture avec un pinceau. Saupoudrez de sucre en grains pour décorer.Etape 6
Dégustez tiède ou froid, éventuellement accompagné d'un coulis de fraises.
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Par chezmamielucette le 10 Juin 2016 à 00:00
Appartenant à une immense famille d'environ 1 400 espèces qui vivent toutes en parasites, le gui peut s'installer sur plus d'une centaine d'espèces d'arbres, sur les branches desquels il forme de grosses touffes arrondies qui restent vertes toutes l'année.
La dissémination de la plante est assurée par les oiseaux, surtout par les grives et les merles, qui mangent ses fruits et rejettent ensuite, sur les branches où ils sont posés, des graines non digérées. La graine germe, produit un suçoir qui pénètre dans l'écorce, émettant à son tour des radicules qui s'insinuent jusque dans le bois.Le chêne appartient aux arbres qui, le plus souvent, résistent au gui, en raison de sa rareté, le gui de chêne était considéré par les civilisations anciennes comme sacré, et l'on le cérémonial de purification qu'exigeait sa cueillette par les druides.
Depuis, le gui a toujours gardé un rôle traditionnel, attirant sur les foyers qu'il orne, lors des fêtes de fin d'année, la faveur du sort pour les jours à venir.HABITAT
- Europe, sauf l'extrême Nord, sur tilleul, pommier, poirier, peuplier, rarement sur le chêne et châtaignier, jusqu'à 1 300 mètresIDENTIFICATION
- Hauteur : 0,20 à 0,50 mètre. Sous arbrisseau
- Tiges vertes, articulées, ligneuses, en touffes sphériques
- Rameaux épais, cylindriques
- Feuilles opposées, persistantes, oblongues, charnues
- Fleurs jaune-vert (mars-avril), en têtes sessiles, les mâles à 4 sépales, 4 étamines, les femelles à 4 pièces entourant 2 carpelles soudés,
- Baie ronde à pulpe visqueuse, blanche, translucide
- Souche courte, épaisse, enracinée dans le tissu vivant de son hôte
- Odeur désagréable à l'état sec
- Saveur amère.PARTIES UTILISEES
- Feuilles mondées, fraîches ou séchées (avant formation des fruits), séchage à température douce
CONSTITUANTS
- Choline, dérivés triterpéniques, alcaloïdesPROPRIETES
- Antispasmodique, diurétique, hypotenseur, purgatif.Ne jamais utiliser les fruits. Les feuilles ne doivent être ni ébouillantées ni bouillies.
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Par chezmamielucette le 9 Juin 2016 à 00:00
Les toits à l'impériale sont des toits à pans coupés dont la forme rappelle celle de la couronne du Saint-Empire romain germanique.
La forme la plus représentative de cette architecture est le clocher comtois inspiré de l'architecture Renaissance italienne des XIVe et XVe siècles : le dôme est surmonté d'un globe, puis d'une croix et d'un coq.
Si la Franche-Comté en compte plus de 600, c'est à cause de la guerre de 10 ans, de 1634 à 1644, menée par Louis XIV pour reprendre définitivement, entre autres, le comté de Bourgogne à l'Espagne. Au cours de cette guerre, de nombreux édifices religieux ont été détruits en Franche-Comté : on reconstruit alors des églises au clocher à l'impériale, ce style plaît et se développe rapidement dans toute la région, même si parfois il n'est pas en accord avec le style architectural de l'église.
La couverture est souvent composée de tuiles vernissées, très colorées, et avec des motifs dont les plus courants sont des chevrons,
comme à Héricourt, les losanges, comme celle de Vallerois-le-Bois, les bandes horizontales, les mouchetées...
Dans les endroits les plus froids, la couverture est faîte avec des "tuiles" en métal
ou des tavaillons (tuiles en bois).
Texte extrait du livre : Le grand Almanach de la France
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Par chezmamielucette le 8 Juin 2016 à 00:00
Me voici ! c'est moi ! Rochers, plages
Me voici ! c'est moi ! Rochers, plages,
Frais ruisseaux sous l'herbe échappés,
Brises qui tout bas aux feuillages
Dites des mots entrecoupés ;Nids qu'emplit un tendre murmure,
Branche où l'oiseau vient se poser ;
Gouttes d'eau de la grotte obscure
Qui faites le bruit d'un baiser ;Champ où l'on entend la romance
Du rossignol sombre et secret ;
Monts où le lac profond commence
L'hymne qu'achève la forêt !Ouvrez-vous, prés où tout soupire ;
Ouvre-toi, bois sonore et doux ;
Celui dont l'âme est une lyre
Vient chanter dans l'ombre avec vous.Victor Hugo
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Par chezmamielucette le 7 Juin 2016 à 00:00
C'est, dit-on, un chagrin d'amour qui amena Ana de Silva y Mendoza, duchesse de Médina Sidonia, à faire retraite dans la résidence austère s'élevant dans le delta du Guadalquivir, où les rois de Castille avaient établi une réserve de chasse. Légende ou réalité, on sait : que quoi qu'il en soit, les habitants des villages voisins nommèrent ce lieu "la forêt de Dona Ana" ou plus, simplement, Donana.
Bien que des siècles plus tard, en 1969, le gouvernement espagnol créa le parc national de Coto Donana. Ses 35 000 hectares de superficie correspondent pratiquement à ce qui fut le delta du Oued-el-Kébir des Maures, l'actuel Guadalquivir. Singulier delta par ailleurs, auquel d'aucuns préfèrent donner le nom d'estuaire, car seul un bras fluvial se jette dans l'Océan Atlantique, au nord de Sanlucar de Barrameda.
Les autres bras ont été progressivement fermés par la grande barrière sablonneuse, que les vents océaniques ont modelée en formations complexes de hautes dunes, qui s'étirent de l'embouchure du rio Tinto, près de Palos, jusqu'à la rive opposée de Sanlucar.
Au-delà de cette barrière s'étendent des marais qui font de Donana un lieu unique en Europe. Actuellement, les Arenas Gordas, les "sables gras" que délimitent les marais de Donana, s'étendent du nord au sud sur environ 70 kilomètres, coupés par la bouche du fleuve en leur pointe méridionale, alors que les marais couvrent une superficie totale de 1 150 kilomètres carrés.
L'écosystème, dans son ensemble de dunes côtières, de marais et de plans d'eau, abrite une végétation typiquement méditerranéenne, comprenant bruyères, lentisques, romarins et lavande, au-delà s'étendent des forêts de chênes-lièges.
Pendant toute l'année, le parc est le refuge de prédilection de plus de 300 espèces d'oiseaux, dont certaines sont sédentaires, alors que d'autres migrent de l'Europe centrale en hiver, d'autres encore arrivant de l'Afrique pour y passer l'été.
L'alternance des saisons voit les pluies hivernales favoriser la formation d'un vaste marécage de 30 à 60 centimètres de profondeur, d'où émergent les "vetas", îles offrant des lieux de nidification parfaits aux échassiers, aux sternes, ainsi qu'à de nombreux autres oiseaux.
Pendant l'hiver, la présence d'oies et de canards fait de la Donana un incroyable carrefour de migrateurs et l'on y voit se rassembler une population avicole d'au moins un million de sujets.
Les spatules arrivent en février, venant d'Afrique du Nord pour nidifier sur les chênes-lièges. Puis, un mois plus tard, les eaux commencent à se retirer, indiquant le moment où l'aigle impérial pond ses oeufs.
C'est pour les chercheurs l'occasion de recenser ce formidable rapace en voie d'extinction, dont il ne reste dans le parc une quinzaine de couples (le tiers de leur population). Chaque couple a besoin pour chasser de 2 600 hectares de territoire pendant les mois d'été, et plus encore l'hiver, en raison des conditions plus défavorables pour la survie de l'espèce.
Si, au temps de la noble dame dont le parc a pris le nom, Donana ne figurait pas sur les cartes, on peut aujourd'hui constater que les limites sont cernées par les constructions. La proximité des aires cultivées représente aussi une sérieuse menace, car les pratiques agricoles déversent dans les cours d'eau d'importantes quantité de pesticides. On peut en dire autant des mines de soufre d'Aznalcollar, près de Seville, dont les déchets contribuent à aggraver la situation.Texte extrait du livre : Les plus beaux sites du patrimoine mondial de l'Unesco
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Par chezmamielucette le 6 Juin 2016 à 00:00
David Roberts, né le 24 octobre 1796 à Stockbridge dans la banlieue d'Édimbourg et mort le 25 novembre 1864 à Londres, est un peintre écossais connu pour ses aquarelles représentant la vie au Moyen-Orient avec les scènes de village et les monuments. L'ensemble de ses 248 lithographies sont regroupées en six volumes, dont les trois premiers décrivent l'Égypte et la Nubie
Biographie
Il est né le 24 octobre 1796 à Stockbridge, dans la banlieue d’Édimbourg. Son père était cordonnier, et arrêtant ses études à 14 ans il entre comme apprenti dans une entreprise de peinture en bâtiment à Édimbourg. Il avait montré des dispositions pour le dessin et cette entreprise restaurait des habitations, un château et un monastère. La mode des faux lambris, et des faux marbres lui donnent l’occasion d’apprendre de nombreuses techniques. Une part de décoration entrait dans cet apprentissage. Le soir, deux fois par semaine, il va suivre des cours de dessin, à l’Académie des Beaux-Arts d'Édimbourg.
Lors d’une visite des coulisses du Théâtre Royal d’Édimbourg il aperçoit les décors d’une pièce qui représente Bagdad et ses minarets. Il est fasciné et décide de devenir décorateur de théâtre. En 1816, il a vingt ans et il est engagé par une troupe théâtrale itinérante. Il fait ses premiers décors. Deux ans plus tard il obtient des commandes de décors pour le Théâtre National d’Édimbourg.Rencontre avec Turner
Son travail commence à être connu et apprécié. En 1824, il rencontre Charles Dickens qui le prend en sympathie et l’introduit dans le monde. Il fait la connaissance de William Turner qui lui conseille de voyager : « c’est à l’étranger qu’on apprend la peinture ». La peinture l’attire et il commence ses voyages. À l'automne 1824, il voyage en France où il visite Dieppe, Rouen et Le Havre. En 1832, l’Espagne mauresque et Tanger l’émerveillent. À son retour il fait exécuter par Louis Hague, des lithographies d’après ses croquis et aquarelles qui auront beaucoup de succès en Angleterre. Les 1200 exemplaires de Picturesque sketches in Spain sont vendus en deux mois2. Il prépare alors son grand voyage en Terre Sainte et en Égypte.Voyage en Égypte
Il quitte Londres en août 1838, traverse la France, embarque à Marseille et parvient à Alexandrie, après une escale à Malte le 24 septembre. Il se rend immédiatement au Caire et il loue un bateau avec douze hommes d’équipage pour remonter le Nil. Il parvient à l’extrême Sud de son voyage, à Abou Simbel, en Nubie le 8 novembre. À l’aller comme au retour il fait une grande quantité de dessins et d’aquarelles des grands sites égyptiens. La grande surprise vient de la taille gigantesque des monuments. Il ne manque pas de dessiner des personnages devant pour montrer l'échelle. Il note dans son journal « Nous sommes un peuple de nains visitant une nation de géants ».
Certains temples sont encore ensablés quand il les dessine. L’ensablement était une méthode de construction. N’ayant pas de moyens de levage, on construisait des rampes de sable, pour monter les pierres sur des rondins, jusqu’à les poser sur les pierres précédentes. À la fin de la construction, on désensablait le temple et il apparaissait alors dans sa taille impressionnante. Le temple d’Edfou est un exemple de cet ensablement. Les vents de sable, depuis l’Antiquité ont aussi une part de responsabilité dans cet ensablement, l’extérieur du temple d’Abou Simbel en est un autre exemple.Il revient au Caire le 21 décembre avec plus de cent dessins et aquarelles, et séjourne là jusqu’à son départ en Terre Sainte. Introduit dans le milieu arabe, il fait de nombreux croquis et aquarelles au Caire, y compris dans les mosquées.
Il écrit : « je suis le premier artiste, du moins anglais, à être venu ici. Les travaux des Français ne donnent pas l’impression de ces vestiges admirables comme je le sais maintenant ».
Avec deux compagnons anglais il part pour la Terre Sainte le 7 février 1839. Ils sont accompagnés de cinq serviteurs armés. Ils portent tous un costume local et sont portés par des chameaux. Ils vont jusqu’à Baalbeck, mais il tombe malade et décide le 8 mai de repartir pour Beyrouth, puis de gagner Alexandrie et revenir en Angleterre.
Il arrive à Londres, après deux escales, à Malte et Gibraltar, le 21 juillet 1839. Il montre ses œuvres originales, en obtient un grand succès et il est élu membre de la Royal Academy (RA) le 10 février 1841.Il se met ensuite au travail avec Louis Hague pour son grand œuvre, un recueil de 247 lithographies, gravées par son ami Louis Hague, d’après ses croquis et aquarelles. Louis Hague est le fils d’un architecte et il a appris la gravure. Mais l’influence de son père est notable, les lithographies doivent beaucoup aux rendus des dessins d’architecture. Le trait a beaucoup d’importance et les œuvres ressemblent à des gravures aquarellées. Les lithographies sont d’une taille raisonnable 13,7 (35 cm) x 16,7 (42,5 cm), sont publiées en six volumes entre 1842 et 1849 par F.G. Moon à Londres. Le titre général de ses recueils est : The Holy land, Syria, Idumea, Arabia, Egypt and Nubia, que l’on peut traduire par : La Terre Sainte, Syrie, Pétra, Arabie, Égypte et Nubie. S’il met la terre Sainte en premier, c’est qu’il pensait que c’était là le but de son voyage, mais ce sont les gravures d’Égypte qui lui assurent la postérité.
Il continue à peindre et à voyager. En 1851 et 1853 il visite l'Italie. Un tableau le Palais ducal à Venise lui est acheté par Lord Londesborough. D'autres l'intérieur de la basilique Saint Pierre de Rome et Rome depuis le couvent Saint Onofrio sont exposés à la Royal Scottish Academy. Son dernier volume d'illustrations est publié en 1859 sous le titre Italie, historique, classique et pittoresque.Les dernières années furent occupées à la peinture de 6 vues de Londres depuis la Tamise. Il meurt d'apoplexie en peignant la Cathédrale de Saint-Paul le 25 novembre 1864. Il est enterré au cimetière West Norwood à Londres.
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Par chezmamielucette le 5 Juin 2016 à 00:00
Veux-tu être guéri?
"Jésus, l’ayant vu couché, et sachant qu’il était malade depuis longtemps, lui dit : Veux-tu être guéri ?" Jean 5.6
Cette question, adressée à un homme malade, peut paraître incongrue, cependant, c'est celle que Jésus lui a posée : “Veux-tu être guéri ?”Il m'est arrivé de rencontrer des personnes qui ont été profondément blessées, qui traînent derrière elles un passé chargé de rejets, d'abandons, de violences… et qui ont tendance à tellement s'identifier à ces blessures, qu'elles n'auraient plus l'impression d'exister si ces souffrances disparaissaient.
Elles ont revêtu une identité de victimes, et sans cette identité, elles ne sauraient vivre. Quand les blessures de l'âme forgent l'identité de quelqu'un, il arrive que la guérison intérieure ne puisse avoir lieu.
Tout responsable spirituel quel qu'il soit, se trouve, un jour ou l'autre, confronté à de telles douloureuses situations. Chargé d'aider ceux qui souffrent, il voudrait les aider, les conduire sur le chemin de la guérison, mais il rencontre un manque total de coopération. Il a le sentiment que ces personnes vivent dans le déni de leurs blessures, et semblent se complaire dans leur état.
Toutes les ressources que nous avons énumérées : que ce soit la prière, la louange, la confiance dans les promesses de Dieu, l'assistance du Saint-Esprit, le pardon…ne peuvent opérer, si, au départ, il n'y a pas cette volonté, déterminée et absolue, de vouloir tirer un trait sur ce lourd passé.
Je me souviens de cette personne ayant connu l'abandon de ses parents, placée de foyer en famille d'accueil, remplie de sentiments contradictoires, ayant connu un échec sentimental et bien d'autres déboires, qui fut accompagnée par diverses personnes qualifiées dans la relation d'aide, mais qui ne s'en sortait jamais, jusqu'au jour où elle-même a décidé de sortir de son ghetto psychique. Elle m'a alors dit : "Je voulais être guérie de mes blessures intérieures, mais j'aimais bien qu'on me plaigne. Je voulais, sans vouloir vraiment !"
Remarquez qu'à la question posée par Jésus : "Veux-tu être guéri ?" cet homme répond par une plainte : "Je n'ai personne…". Jésus ne fait pas cas de cette plainte, il sollicite la volonté de cet homme : "Lève-toi…".
Un conseil pour aujourd'hui
Peut-être que le temps est venu, pour vous qui souffrez dans votre âme, de vous poser cette simple question : "Mon âme, veux-tu être guérie ?" Considérez cette question avec transparence et vérité. Vous êtes seul(e), face à cette simple méditation. Soyez honnête. Voulez-vous sortir de la position de victime, dans laquelle vous avez vécu jusqu'à ce jour ? Si oui, levez-vous, vous aussi !
Paul Calzada
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Par chezmamielucette le 4 Juin 2016 à 00:00
Ingrédients pour une petite tarte
Pour la pâte brisée:
- 150 g de farine
- 75 g de beurre
- 3 cs de sucre
- 1 pincée de selPour la garniture:
300 g de groseilles à maquereau
- 60 g de sucre brun
- 50 g d'amandes en poudre
- 25 g de beurre
- 1 oeufPréparation
Réalisez la pâte en mélangeant la farine, le sucre et le sel. Ajoutez le beurre en petits morceaux et sablez du bout des doigts. Faites une fontaine et ajoutez juste ce qu'il faut d'eau pour rassembler en pâte (environ 3-4 cs). Laissez reposer au frais 1 heure.
Nettoyez les groseilles et enlevez leurs petites "mouches". Réservez.
Fouettez l'oeuf et le sucre puis ajoutez le beurre tempéré et les amandes.
Foncez votre moule beurré, piquez et étalez la masse aux amandes sur le fond. Disposez les groseilles par dessus et glissez dans le four préchauffé à 220 °C pour environ 25', jusqu'à ce que les bords soient dorés puis couvrez d'une feuille d'alu et poursuivez la cuisson 10'.
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Par chezmamielucette le 3 Juin 2016 à 00:00
Jehan Froissart, au début du XVe siècle, parlait déjà des "espinçons du grouselier" et, en effet, c'est le seul groseillier qui possède des épines. En Suède, autrefois, on l'appelait "Rips", au Danemark "Ribs", et c'est à partir de ces noms qu'a été forgé en 1584 son nom de genre, "Ribes".
Arbrisseau d'origine septentrionale, absent du bassin méditerranéen, il fut ignoré des grecs. Depuis fort longtemps, les jardiniers s'ingénient à multiplier les variétés horticoles de la plante. Ainsi ont-ils réussi à obtenir des fruits de plus en plus gros. Il en existe une variété dite "monstrueuse", aux groseilles grosses comme des prunes.Naturellement, les fruits de la plante sauvage sont beaucoup plus petits, à peu près comme un petit pois. Il faut les chercher en juin et juillet dans les bois et les haies et même dans les arbres creux. Ils se consomment frais, ou sous forme de jus lors d'une cure de printemps.
Cuits, ils donnent des gelées ou des confitures fort appréciées.
Encore verts certains les accommodent en sauce pour accompagner les maquereaux.
Cependant l'homme doit s'en méfier, car des troubles graves peuvent se manifester s'il fait une consommation abondante de baies non encore mûres.
HABITAT
- Europe, rare dans la région méditerranéenne, forêts, taillis, haies, jusqu'à 1 800 mètres.
IDENTIFICATION
- Hauteur : 0,60 à 1,50 mètre
- Tige et rameaux grisâtres, épineux
- Feuilles larges et palmées, à 3-5 lobes dentés, arrondis en bouquets sur des ramures courtes naissant à l'aisselle d'épines tripartites
- Fleurs verdâtres ou rougeâtres (mars-mai), solitaires ou geminées, ou par 2-3, calice à sépales rougeâtres, corolle à pétales très courts blanc-jaune rapprochés, 5 étamines
- Baie ovoïde, jaune rougeâtre, hérissée de soies rugueuses, contenant plusieurs graines
- Souche stolonifère
- Saveur douce (juin)PARTIES UTILISEES
- Feuilles, racines, fruits (juin-juillet) dessécher lentement au four, conserver en boîtes closes.
CONSTITUANTS
- Sels minéraux, vitamines A, B, C, acides glucides, lipides, cellulosePROPRIETES
- Apéritif, astringent, dépuratif, digestif, diurétique, laxatif, reminéralisant
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