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Par chezmamielucette le 22 Novembre 2015 à 00:00
La gloire au-delà des apparences
"Cette sagesse, aucun des chefs de ce temps ne l’a connue, car, s’ils l’avaient connue, ils n’auraient pas crucifié le Seigneur de la gloire." 1 Corinthiens 2.8Comme j'aime la croix pour cela ; elle est le lieu de tous les paradoxes ; c'est le Seigneur de gloire qui est là, sur ce bois terrible ! Sa gloire, ils ont voulu l'engloutir dans la honte, le dépouillement, la souffrance, la détresse, la terrible solitude, la fièvre, l'abaissement et même la mort ! Le diable, l'enfer, la religion, le péché, le malheur réunis se sont associés pour en finir avec lui et avec sa gloire ! Et toutes les apparences sont là pour nous faire penser, à nous qui aimons croire ce que nous voyons, qu'effectivement là, c'en est terminé avec la gloire de Dieu !
Ils ont crucifié son corps, mais pas sa gloire !
Eh bien non ! La gloire, elle est justement là dans cet abaissement, dans ce dépouillement, dans cette apparente défaite ; la gloire du grand Dieu ressurgit là, dans la nudité du crucifié, dans la honte que les hommes lui font subir ; sa gloire transcende tout le reste ! Ils ont crucifié son corps, mais pas sa gloire ! Sa grandeur, sa majesté, sa noblesse n'en sont que plus évidentes !Si souvent, l'œuvre de la croix dans votre vie vous conduit à vous arrêter à ce que vous voyez ; l'échec du présent ; l'occasion manquée ; la misère actuelle ; l'incompréhension d'aujourd'hui ; la souffrance intérieure au quotidien ! Mais attendez, Dieu n'en a pas terminé avec vous ! Sa gloire n'est pas morte ; cessez de vous arrêter à ce que sont les apparences têtues ; Dieu veut encore vous montrer sa gloire et pour cela, il faut que vous passiez par cette croix qui vous fait reculer ! N'ayez pas peur, il est là avec vous, il n'est pas loin de vous ; il est encore Emmanuel !
Il y avait de quoi jubiler ce soir-là, au pied de la croix, pour tous ceux qui ne voulaient plus de ce Jésus ; ils pensaient en avoir terminé avec lui ; ils se sont fiés aux apparences, ils n'ont vu que la honte et l'ignominie, et n'ont même pas vu la gloire de Jésus rejaillir de là !
Attendez-vous à cette gloire-là dans votre situation, et cessez de vous arrêter aux apparences !
Une confession de foi pour aujourd'hui
Jésus, j'humilie mon cœur devant toi ; si souvent j'ai fait partie de ceux qui ont contemplé l'apparent échec dans ma vie ; ta gloire n'est pas morte à la croix ; elle s'y révèle encore plus pour moi ; je sais que ma situation actuelle servira à ta gloire ! Amen
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Par chezmamielucette le 21 Novembre 2015 à 00:00
Ingrédients pour 2 personnes
400 gr de jarret de boeuf,
400 gr de carottes,
1 oignon,
1 gousse d'ail hachée,
1 branche de thym,
1 pincée de noix de muscade,
2 cuillère à soupe de cognac,
2 petites branches de céleri,
3 cuillères à soupe d'huile d'olive.Préparation
Préchauffer le four à 120°/ th 4
Préparer vos légumes.
Éplucher et rincer les carottes.
Éplucher l'ail et l'oignon.
Ôter les fils du céleri.
Émincer les carottes en fines rondelles.
Dans un faitout allant au four, verser l'huile et la faire chauffer.Déposer les carottes, l'oignon émincé et l'ail, les faire blondir.
Ajouter le thym.
Saler et saupoudrer de muscade.Vous ne les cuisez pas, juste les faire blondir, ramollir un peu.
Les mettre de côté.
Dans le faitout, déposer la viande avec une cuillère à soupe d'huile, la faire dorer sur toutes ses faces.
Saler, verser le cognac et laisser réduire
Disposer les carottes et les branches de céleri autour
Couvrir avec un couvercle et laisser cuire environ 2 heures au four, en vérifiant de temps en temps, jusqu'à caramélisation des carottes.Servir ainsi ou avec des pâtes fraîches ou un boulgour turc.
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Par chezmamielucette le 20 Novembre 2015 à 00:00
Les Ombellifères constituent une famille complexe au sein de laquelle bien des confusions sont possibles. La carotte sauvage est aisée à distinguer par la tache pourpre, piquée au centre de ses fleurs blanches, disposées en ombelle entourée de bractées. Cette fleur pourpre centrale permet de ne pas la confondre avec la dangereuse petite ciguë.
Après la fécondation des fleurs, lorsque les fruits ovales hérissés d'aiguillons sont mûrs, les rayons des ombelles se renferment en forme de nid d'oiseau.La racine blanche, ligneuse, d'odeur désagréable et de saveur âcre, n'a rien de commun avec celle de la carotte cultivée rendue comestible par l'amélioration lente de l'espèce sauvage.
Les anciens connaissent bien la carotte et son pouvoir diurétique : ils lui attribuaient aussi des propriétés d'échauffement : daucus vient de daukos, nom donné par les Grecs à quelques ombellifères, et qui semble dériver de daÏô, j'échauffe. Pline qualifiait sa racine de "pastinaca gallica", "nourriture de Gaulois", mais elle n'apparaît seulement qu'au Moyen Age comme légume de table.HABITAT
- Europe, champs, lieux incultes, sauf hautes altitudes.IDENTIFICATION
- Hauteur :0,30 à 0,80 mètre. Bisannuelle
- Tige dressée ramifiée
- Feuilles très divisées, molles, plus longues à la base
- Fleurs blanches (mai-octobre), groupées en ombelle, une petite fleur stérile pourpre foncé sans étamine ni pistil au centre, involucre à bractées longues et profondes divisées
- Fruits à côtes munies d'aiguillons en alène
- Racine pivotante mince, peu colorée
- Odeur peu agréablePARTIES UTILISEES
- Racine (fin été), graines (à maturité), feuilles fraîches
CONSTITUANTS
- Sels minéraux, pectine, glucides, provitamine A, vitamine B et CPROPRIETES
- Antidiarrhétique, carminative, diurétique, emménagogue, galactagogue, hipoglycémiante, reminéralisante
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Par chezmamielucette le 19 Novembre 2015 à 00:00
Le Beaujolais nouveau est arrivé ! Le troisième jeudi du mois de novembre, on fête le beaujolais nouveau, vin primeur de l'année. Cette fête est devenue une véritable tradition depuis 1951, année où est autorisée pour la commercialisation de certains AOC avant la date de déblocage général des vins fixée au 15 décembre.
Si ce gamay noir tout jeune est considéré comme "de la piquette", soit un mauvais vin, il symbolise l'arrivée d'un nouveau millésime, et constitue une belle occasion de festivité, en pays Beaujolais, partout en France....
mais aussi, depuis quelques années en dehors des frontières nationales avec la traduction en anglais : "It's beaujolais nouveau time"....
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Par chezmamielucette le 18 Novembre 2015 à 00:00
Un jour je vis, debout au bord des flots mouvants
Un jour je vis, debout au bord des flots mouvants,
Passer, gonflant ses voiles,
Un rapide navire enveloppé de vents,
De vagues et d'étoiles ;Et j'entendis, penché sur l'abîme des cieux,
Que l'autre abîme touche,
Me parler à l'oreille une voix dont mes yeux
Ne voyaient pas la bouche :"Poète, tu fais bien ! Poète au triste front,
Tu rêves près des ondes,
Et tu tires des mers bien des choses qui sont
Sous les vagues profondes !La mer, c'est le Seigneur, que, misère ou bonheur,
Tout destin montre et nomme ;
Le vent, c'est le Seigneur ; l'astre, c'est le Seigneur ;
Le navire, c'est l'homme."
Victor Hugo
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Par chezmamielucette le 17 Novembre 2015 à 00:00
Le Parthénon étant presque achevé, en 437 av.J.C., Périclès inaugure les travaux qui dotent le temple de l'Acropole d'une entrée digne, dont les proportions, l'élégance et la solennité s'accordent parfaitement. Un défi difficile qu'un autre grand architecte, Mnésiclès, relève avec enthousiasme. Les travaux sont finis en un temps record, en tout juste quatre ans. Ils ont pour résultat les Propylées, conçus par Mnésiclès selon une perceptive "ascendante" qui résout à la perfection le problème du "contraste" avec le Parthénon, en distribuant l'élégante structure ornée de colonnes, scandée d'ailes avec arcades, le long d'un escalier raide qui accentue le sentiment de sacralité de l'Acropole.
Une dizaine d'années plus tard, Callicratès réalise à nouveau, sur un éperon rocheux à côté des Propylées, le très raffiné et original temple dédié à Athéna Niké, décoré d'allégories de la Victoire par un magistral élève de l'école de Phidias resté malheureusement anonyme.
Le dernier édifice construit sur l'Acropole, au tournant du siècle, est l'Erechthéion. Situé au nord du Parthénon, non loin de l'olivier sacré que la tradition veut être le don d'Athéna à la ville, ce temple n'a pas de paternité certaine. Il est consacré aux cultes archaïques liés aux personnages divins de Poséidon et Héphaïstos. Ce monument est caractérisé par une loggia dont les colonnes portantes sont remplacées par six gracieuses figures féminines, les célèbres caryatides , oeuvre probable d'Alcamène, autre élève de Phidias. Actuellement, le portique est soutenu par des copies des statues.Les originaux ont été placés à l'abri de la pollution atmosphérique dans le musée annexe.
Malgré le déclin d'Athènes, l'Acropole connaît une longue période où elle a fait l'objet d'une grande vénération, au-delà du religieux. Pour les Romains, elle est un extraordinaire musée, qui renferme l'essence même de la philosophie, de la politique et l'esthétique grecque. Un modèle à suivre, en somme. Par la suite, le Parthénon sera transformé en église byzantine, puis en mosquée, mais à l'instar des autres édifices de l'Acropole, utilisés à des fins diverses, il traverse presque indemne les temps les plus sombres.Sa première blessure ne lui fut infligée qu'en 1867. A cette époque, la colline est occupée par les Turcs qui ont fait de l'antique temple d'Athéna Parthénos leur dépôt de munitions lors d'un assaut des Vénitiens. Ces derniers venus par la mer, lancent une bombe incendiaire qui cause une terrible explosion et détruit une bonne partie du temple. Mais l'attaque la plus grave -quoique pacifique - a lieu au début du XIXe siècle. Par amour du beau, ou peut-être par convoitise, lord Elgin, ambassadeur de sa Majesté britannique à Constantinople, fait enlever les chefs-d'oeuvre de Phidias pour les emporter dans son pays.
Texte extrait du livre : Les plus beaux sites du patrimoine mondial de l'Unesco
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Par chezmamielucette le 16 Novembre 2015 à 00:00
Jeune et belle aquarelliste japonaise Ayako Tsuge trouve son inspiration dans la vitalité des fleurs de saison.
Ayako Tsuge est née et a grandi dans une famille d'artistes. Son père est un célèbre designer, la sœur aînée - une pianiste,son oncle - un photographe, le grand-père - un artiste.Ayako Tsuge est diplômée de l'Université des Arts de Nagoya. Elle est membre de l'Association japonaise des aquarellistes.
Elle a été reçue «Illustrateur de l'année» en 2007 par l'Association japonaise des aquarellistes.
Après le tremblement de terre et les événements tragiques survenus au Japon, elle a organisé une grande exposition de charité et la vente de ses tableaux et tout l'argent après les ventes a été offert aux personnes touchées par la catastrophe.
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Par chezmamielucette le 15 Novembre 2015 à 00:00
Caleb, un exemple à suivre
En ce jour-là, Moïse fit ce serment : Assurément, le pays que ton pied a foulé sera ton héritage et celui de tes fils à perpétuité, parce que tu as pleinement suivi la voie de l’Éternel, mon Dieu." Josué 14.9
Des douze espions envoyés explorer le Pays promis, Caleb fut le seul à suivre pleinement l'Éternel. Les autres avaient vu les mêmes choses, mais seul Caleb (et Josué) fit entièrement confiance à Dieu et traduisit sa foi en actes.Dieu nous a donné son Esprit et sa Parole. Mais c'est à nous de décider ce que nous en allons faire.
Aussi Caleb reçut-il une récompense particulière. Mais cette récompense reposait sur son initiative personnelle. En d'autres termes, plus étendu serait le pays que ses pieds fouleraient, plus grand serait son héritage. Ce serait à lui de déterminer le territoire qu'il parcourrait. Quelques pas ou beaucoup. Le choix lui appartenait.
Cet exemple illustre bien la façon dont Dieu accorde ses bénédictions. Dans une certaine mesure, nous recevons tous la même récompense : aucun de nous n'est sauvé par ses œuvres ; nous recevons tous le Salut par grâce, indépendamment de ce que nous faisons. Cependant, comme le découvrit Caleb, nos récompenses résultent de nos actes, de l'usage que nous faisons des ressources que Dieu nous a données. Si nous sommes fidèles et obéissants.Par exemple, nous récoltons ce que nous semons (Galates 6.7). Ce que nous recevons dans la vie est en relation directe avec ce que nous avons fait de notre temps, de nos talents et de nos ressources. C'est vrai pour nos finances. Notre santé. Nos relations. Même notre vie spirituelle. Dieu nous donne des ressources, et des occasions de les utiliser. Il nous a donné son Esprit et sa Parole. Mais c'est à nous de décider ce que nous en allons faire.
Aujourd'hui, réfléchissez à votre vie. Que faites-vous de votre temps, vos talents et vos ressources ? Où plantez-vous vos graines ? Quelles sont vos priorités ? Avez-vous accepté des compromis avec le monde ? Ou avez-vous une foi inflexible, une confiance totale en Dieu et en sa Parole ? Assurez-vous de donner la première place à Dieu. Cherchez d'abord son royaume et sa justice. Semez abondamment pour son royaume.
Une prière pour aujourd'hui
Père, je te remercie pour tout ce que tu m'as donné. Je désire vivre une relation plus profonde avec toi. Je veux chercher d'abord ton royaume. J'ai faim et soif de te connaître, toi et ta Parole. Au nom de Jésus. Amen.
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Par chezmamielucette le 14 Novembre 2015 à 00:00
Ingrédients pour 1 cake:
2 carottes,
100gr. de lardons,
190gr. de farine,
100gr. de gruyère râpé,
10cl. d'huile, 10cl. de lait,
3 oeufs,
1 sachet de levure chimique,
1 pincée de sel,
1 pincée de poivre.Préparation
Préchauffez votre four à 180°. Lavez, épluchez puis râpez les carottes. Dans un saladier, mélangez la farine et la levure. Tout en remuant, incorporez les oeufs, l'huile et le lait.
Ajoutez les carottes râpées, les lardons non cuits (vous pouvez les faire griller préalablement en fonction de vos goûts), le gruyère, le sel et le poivre. Mélangez le tout. Versez la pâte dans un moule à cake préalablement beurré, puis mettez-le au four pendant 40 minutes.
Après la cuisson, laissez refroidir votre cake avant de le démouler. Vous pouvez le servir tiède ou froid. Bon appétit!
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Par chezmamielucette le 13 Novembre 2015 à 00:00
D'un aspect bien différent de la grande camomille, les tiges de cette plante, d'abord couchées, se redressent en de nombreuses ramifications s'étalant sans rigidité et se terminent par des capitules solitaires blancs, très odorants.
Nous ne savons rien de son origine. Ni les auteurs de l'Antiquité, ni ceux du Moyen-Âge ne la mentionnent. Elle est signalée à Londres au XVIe siècle comme mauvaise herbe. Rare en France, on la trouve dans les moissons et les terres sablonneuses des régions maritimes de l'Ouest.
Pour les besoins médicaux, une variété à fleurs doubles, toute en ligules, est cultivée en Anjou et fait la renommée de la commune et des habitants de Chemillé, qui, à eux seuls, fournissent toute la production française.
Après la récolte, faite, par temps sec, au début de l'été, au fur et à mesure que les capitules s'entrouvent, le séchage à l'ombre doit être rapide, mal séchées, les fleurs noircissent et perdent leurs propriétés stimulantes.HABITAT
- Europe occidentale, France de l'Ouest, champs cultivés, pelouses, grèves, surtout sur silice, jusqu'à 1 000 mètresIDENTIFICATION
- Hauteur : 0,10 à 0,30 mètre, vivace, velue, d'aspect vert blanchâtre
- Tiges couchées ou redressées
- Fleurs jaunes (juin-septembre),ligules blanches, capitule solitaire en tube dans l'espèce sauvage, réceptacle conique muni de paillettes entre les fleurs
- Feuilles vert blanchâtre, une ou deux fois divisées en lobes courts et étroits
- Akène petit à 3 côtés filiformes
- Odeur pénétrante
- Saveur amère et aromatiquePARTIES UTILISEES
- Capitules, tiges feuillues et fleuries (juin-septembre), séchage à l'ombre rapide
CONSTITUANTS
- Huile essentielle, choline, soufre, phosphore, fer, acides gras, inositol, stérol
PROPRIETES
- Antispasmodique, digestive, emménagogue, fébrifuge, stomachique, vulnéraire et à forte dose vomitive
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