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Par chezmamielucette le 22 Décembre 2015 à 00:00
Le nord de la pyramide de Djeser est occupé par la plus grande concentration de tombes non royales de l'Ancien Empire, ainsi que par un nombre indéterminé de tombes plus récentes. Une centaine de ces sépultures mériteraient une mention, soit parce qu'elles appartiennent à des notables, soit par des détails de leur structure, de leur architecture ou de leur décor. Récemment encore, les égyptologues travaillant sur ce site ont relevé de nouveaux éléments pour orienter leurs recherches.En poursuivant vers le nord, on peut découvrir les monuments les plus célèbres, ceux qui figurent dans la liste des sept merveilles du monde livrées par Philon de Byzance au IIIe siècle av.J.C. mais les seuls visibles de nos jours : les pyramides de Gizeh, appartenant respectivement à Keops, Khephren et Mykérinos, trois rois de la IVe dynastie qui gouvernent l'Egypte pendant la quasi-totalité du XXVIe siècle av.J.C.
Le haut plateau de Gizeh domine la plaine d'une quarantaine de mètres et, de là, on distingue dans le lointain les terres de la pointe du delta du Nil. En réalité, il est utilisé comme nécropole dès la période protodynastique, mais les sépultures royales connaissent leur apogée avec ces souverains.
Erigée en 35 ans, la pyramide de Keops se compose d'environ 2 300 000 blocs de pierre pesant entre 2 à 70 tonnes chacun, elle s'élevait à l'origine à 146,60 mètres de hauteur avec une base carrée de 230 mètres de côté. De nos jours, abîmée par l'érosion, elle n'atteint plus que 138,75 mètres. Située à 17 mètres de haut, l'entrée donne sur un corridor étroit qui descend sur plus de 77 mètres puis devient horizontal avant d'aboutir à une chambre funéraire jamais réalisée.
Pour découvrir la sépulture, il faut emprunter un corridor latéral, à 19 mètres de l'entrée, qui s'élève jusqu'à un croisement. De là, un passage horizontal conduit à une chambre intermédiaire, connue comme la "chambre de la reine", tandis que la grande galerie, qui mesure près de 48,50 mètres de long sur 8,50 de haut avec un plafond en voûte d'arêtes, s'achève finalement dans la chambre funéraire. Une fois les travaux terminés, son plafond cède : c'est pourquoi la momie du pharaon n'a jamais reposé dans le sarcophage en granit.
Khephren fait élever son monument funéraire un peu plus au sud de celui de son père. Mesurant 215 mètres de côté, sa pyramide aux pans plus inclinés, culminait à143,50 mètres (136,40 mètres actuellement).
Sur le côté et en aval de la pyramide de Khephren, se trouvent deux temples mieux conservés que ceux de Kheops,mais surtout l'énigmatique et gigantesque Sphinx (74 mètres de long, 20 mètres de haut) modelé dans une masse rocheuse se trouvant dans les carrières creusées pour l'édification de la pyramide de Kheops.
Monument unique en Egypte, sa datation oscille entre les règnes de Kheops et de Khephren. Le sphinx est tout à la fois l'image symbolique du roi Khephren, mais aussi le gardien de la nécropole de Gizeh.
Mesurant 65 mètres de haut sur 103,40 de côté, la pyramide de Mykérinos, fils de Khephren, est, chronologiquement, la dernière tombe monumentale de la IVe dynastie, même si la disposition des chambres est comparable, par son importance, à celle de la pyramide de Kheops. Les temples offrent, eux aussi, un plan simple mais enrichi d'une statuaire abondante réalisée en matériaux divers.
L'ère de construction des pyramides s'achève alors définitivement. Les sources de l'époque livrent peu de renseignements sur le mode de construction des trois pyramides, mais il est vraisembable qu'une rampe -droite ou hélicoïdale - a été installée pour transporter les blocs de pierre jusqu'à 30 mètres de haut. Il reste indéniable cependant que l'ensemble des pyramides de Gizeh, merveille du monde parvenue pratiquement intacte jusqu'à nous, suscite l'étonnement et l'admiration depuis 4 500 ans,tant et si bien qu'en juillet 1798, avant la bataille de Gizeh, Bonaparte se serait adressé à ses soldats en ces termes : " Du sommet de ces pyramides quarante siècles vous contemplent".
Tableau représentant Bonaparte devant les pyramides.
Texte extrait du livre : Les plus beaux sites du patrimoine mondial de l'Unesco
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Par chezmamielucette le 21 Décembre 2015 à 00:00
Barbara Rosbe Felisky est connu pour les riches peintures impressionnistes de jardins et de paysages. Le soleil chauffant un mur en Provence, un remblai de rhododendrons imposantes de se jeter dans les douves d'un château en ruine, ou une glorieuse profusion de roses grimpe sur un portail de jardin de brique, toutes donnent un sentiment de tranquillité et de la crainte dans un monde tout-trop-souvent mouvementé.
Le voyage est un aspect important de la vie de Felisky. Ses voyages fréquents une source d'inspiration et source de matériel pour ses images de Provence, Toscane, vignobles de l'Amalfi Coast, Italie Lake District, en Californie et, bien sûr, jardins à l'anglaise. Chaque année qu'elle cherche une nouvelle zone à explorer et photographier, retourner au studio revitalisée et régénérée.
Toutefois, en Angleterre, avec l'attrait de ses paysages et jardins, occupe toujours une fascination particulière. Riche palette et les couleurs vibrantes de Felisky capturent les teintes exaltants des fleurs et des arbustes, tandis que les murs en pierre, les ponts, les bassins de jardins, et chemins attirer le spectateur profondément dans le calme et de tranquillité de la campagne anglaise. Comme un changement de rythme, elle peint souvent florals et tableaux de nature morte d'objets familiers et folklorique de maison et le jardins.
Née à Chicago, Illinois, Felisky réside actuellement en Californie du Sud, peinture tous les jours dans son atelier. Elle a obtenu un baccalauréat ès Arts en éducation artistique et de l'Université du Michigan à Ann Arbor. Afin de parfaire ses compétences, Felisky a étudié la peinture à l'huile avec un certain nombre d'artistes de Californie ainsi que dessin sous Fredrick Odell.
En utilisant les connaissances qu'elle a acquises au cours de ses études universitaires et tout en travaillant comme un artiste professionnel, Felisky enseigné des cours de dessin et peinture à l'huile aux élèves d'âge scolaire et adultes. Son temps est désormais consacré à voyager et créer de nouvelles images pour satisfaire ses collectionneurs consacrées, anciens et nouveaux.
Felisky, dont biographie figure dans le Trombinoscope dans l'Art américain, a également été présenté dans Artiste américain magazine sur un certain nombre d'occasions. Son article « La recherche de Lévitan » paru dans le numéro de ce magazine juillet 1988. Son travail a été montré dans un certain nombre de grandes expositions-concours et présenté à de nombreuses expositions de la Galerie.
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Par chezmamielucette le 20 Décembre 2015 à 00:00
" Dieu veut que tous les hommes soient sauvés."
Un jeune garçon qui était athée s'entraînait pour devenir champion olympique de plongée. La seule influence de la religion dans sa vie lui venait d'un ami sincère, chrétien, qui témoignait souvent de sa foi. Le jeune plongeur n'avait jamais vraiment prêté attention aux "sermons" de son ami, mais il les entendait souvent.
Nous aussi, parlons de Jésus autour de nous, de ce Dieu si bon qui veut sauver chaque homme !
Un soir, il alla à la piscine du collège qu'il fréquentait. Les lumières étaient toutes éteintes, mais comme la piscine avait de grandes fenêtres et que la lune brillait, il y avait suffisamment de lumière pour s'entraîner.Le jeune homme grimpa sur le plus haut plongeoir.Au moment même où il se retourna, s'approcha du rebord de la planche et étendit ses bras, prêt à plonger, il fut arrêté dans son élan. Il venait de voir son ombre : elle avait la forme d'une croix ! Interloqué, il fit trois pas en arrière, puis s'avança de nouveau, s'apprêta à plonger... Mais l'ombre en forme de croix l'intrigua de nouveau.
Il ressentit quelque chose d'étrange, comme si quelqu'un lui parlait. Il descendit du plongeoir, et, alors qu'il s'approchait du bassin, un agent de maintenance alluma les lumières. Quel choc pour le plongeur quand il s'aperçut que le bassin avait été totalement vidé pour cause de maintenance !Très secoué par l'évènement, il comprit ce qui venait de se passer : l'ombre de la croix lui avait sauvé la vie !
Tout ce qu'il avait entendu de la bouche de son ami lui revint aussitôt : il eut la révélation de l'intervention de Dieu. Il s'agenouilla sur le champ et demanda à Dieu d'entrer dans sa vie. Éperdu de reconnaissance, il se repentit de son manque de foi antérieure et reconnut Jésus-Christ comme son Seigneur et son Sauveur. Il ressentit une joie profonde l'envahir.
L'agent de maintenance n'en crut pas ses yeux en voyant le jeune homme élever les mains et prier Jésus-Christ devant lui. Le jeune sportif se releva et lui expliqua ce que Dieu venait de faire dans sa vie. Nous aussi, parlons de Jésus autour de nous, de ce Dieu si bon qui veut sauver chaque homme !
Un engagement pour aujourd'hui
Seigneur, je réalise qu'en te connaissant, tu m'as confié un trésor unique et je veux le partager avec les gens qui m'entourent. Fais de moi ton instrument afin d'annoncer que tu as donné ta vie pour sauver tous les hommes. Montre-moi le prix d'une âme à tes yeux et donne-moi ton amour pour tous ceux qui sont perdus.
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Par chezmamielucette le 19 Décembre 2015 à 00:00
Ingrédients (pour 6 personnes) :
- 2 kg d'endives
- 12 tranches de jambon
- 45 g de beurre
- 45 g de farine
- 75 g de crème
- 30 cl de lait
- 60 g de gruyère râpé
- sel et poivrePréparation de la recette :
Cuire les endives à l'eau bouillante pendant 45 min puis bien les égoutter.
Disposer les endives cuites sur les tranches de jambon puis rouler le tout.
Faire une sauce Mornay en mélangeant le beurre, la farine, le lait et le fromage. Saler et poivrer.Mettre les endives entourées de jambon dans un plat allant au four.
Napper de sauce les endives au jambon et recouvrir de fromage râpé.
Gratiner pendant 10 à 15 min au four à 200°C (thermostat 6-7).
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Par chezmamielucette le 18 Décembre 2015 à 00:00
Déjà mentionnée 4 000 ans av.J.C. dans le papyrus Ebès, qui est un des plus anciens textes égyptiens qui nous soient parvenus, la chicorée est demeurée un bienfaisant remède auquel les médecins sont restés fidèles.
"Amie du foie", selon Galien, elle est parfaitement inoffensive et pour cette raison entre dans la composition d'un sirop traditionnel, souvent prescrit aux enfants, le sirop de chicorée composé.
C'est une plante vivace dont les fleurs d'un bleu très pur sont réunies en beaux capitules qui s'ouvrent le matin vers 6 heures et se ferment dans l'après-midi.
Elle contient un latex blanc d'une extrême amertume, aussi convient-il de récolter ses feuilles avant la floraison, car ensuite elles ne sont plus comestibles.
L'utilisation alimentaire de la chicorée date du XVIIe siècle : cultivée dans les jardins, elle a depuis donné naissance aux nombreuses variétés potagères que nous connaissons aujourd'hui sous les noms de scarole, frisée ou endive et qui, pour être moins amères, sont aussi beaucoup moins actives.
HABITAT
- Europe, chemins, lieux incultes, secs, calcaires, argileux, jusqu'à 1 500 mètres
IDENTIFICATION
- Hauteur : 0,30 à 1 mètre Vivace
- Tige rigide, anguleuse, à rameaux nombreux, raides, divergents souvent à la base
- Feuilles inférieures profondément divisées en dents aiguës, les supérieures petites, allongées, embrassant la tige, pubescentes, à lobes profonds
- Fleurs bleu vif (juillet-septembre), ligulées en grands capitules
- Akène sans aigrette, couronné de minuscules écaille
- Racine pivotante, latex blanc
- Saveur très amèrePARTIES UTILISEES
- Feuilles (juin-septembre) avant floraison, racine (automne)
CONSTITUANTS
- Sels minéraux, glucides, lipides, protides, vitamines B,C,P,K, acides aminés, inulase
PROPRIETES
- Apéritive, cholagogue, cholérétique, dépurative, diurétique, fébrifuge, laxative, stomachique, tonique
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Par chezmamielucette le 17 Décembre 2015 à 00:00
Les allumeurs de réverbères apparaissent avec l'établissement fixe des premiers réverbères aux environs de 1667. Au paravent, l'éclairage des rues ne reposait que sur quelques chandelles que l'on recommandait de placer au premier étage des maisons bourgeoises.
A Paris, en 1667, les autorités seraient les premières à avoir fait placer, au milieu et aux deux extrémités de chaque rue, des lanternes garnies de chandelles, et cet usage se généralisa à toutes les villes de France.
Pour perpétuer le souvenir, on frappa en 1669, une médaille avec cette légende : " Urbis securitas et nitor" (la sûreté et la netteté de Paris).
L'allumage des lampes se fait alors par des habitants officiellement désignés annuellement, chacun dans son quartier, pour intervenir aux heures réglées. Une taxe est prélevée, l'impôt de boues et de lanternes qui permettra la transformation de la ville de Paris, sous l'impulsion de son lieutenant de police.
En 1766, à Paris toujours, les lanternes cèdent la place aux réverbères : l'huile succédant aux chandelles à double mèche.
Les lanternes à réverbères ont été inventées par un certain abbé Matherot de Preigney et un sieur Bourgeois de Châteaublanc, qui par lettres-patentes enregistrées le 28 décembre 1745, obtinrent le privilège de cette entreprise.
Le métier d'allumeur de réverbères est des plus précaires, il est soumis aux intempéries et s'accomplit en complément d'autres activités lucratives. L'allumeur ne connaît ni dimanche ni morte saison : rien ne le détourne de sa promenade quotidienne.Il doit faire preuve d'une adresse manuelle pour descendre chacune des lampes aériennes, enlever les mèches consumées, nettoyer la coquille, étaler le coton afin qu'il s'imprègne d'huile, allumer au milieu de la rue encombrée de voitures, au risque d'être écrasé par un cocher maladroit.
Puis, le métier d'allumeur change de nature avec la conversion des réverbères, au gaz d'éclairage. On parle d'allumeur de gaz, profession distincte de l'allumeur de réverbères. A Paris, vers 1842, la profession est sur le déclin.Texte extrait du livre : Le grand Almanach de la France
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Par chezmamielucette le 16 Décembre 2015 à 00:00
Décembre
Le givre étincelant, sur les carreaux gelés,
Dessine des milliers d'arabesques informes ;
Le fleuve roule au loin des banquises énormes ;
De fauves tourbillons passent échevelés.Sur la crête des monts par l'ouragan pelés,
De gros nuages lourds heurtent leurs flancs difformes ;
Les sapins sont tout blancs de neige, et les vieux ormes
Dressent dans le ciel gris leurs grands bras désolés.Des hivers boréaux tous les sombres ministres
Montrent à l'horizon leurs figures sinistres ;
Le froid darde sur nous son aiguillon cruel.Evitons à tout prix ses farouches colères ;
Et, dans l'intimité, narguant les vents polaires,
Réchauffons-nous autour de l'arbre de Noël.
Louis-Honoré FRÉCHETTELouis-Honoré Fréchette, né le 16 novembre 1839 à Saint-Joseph-de-la-Pointe-De Lévy et décédé le 31 mai 1908 à Montréal, est un poète, dramaturge, écrivain et homme politique québécois.
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Par chezmamielucette le 15 Décembre 2015 à 00:00
Menphis est l'une des plus anciennes capitales d'Egypte, appelée d'abord la "Muraille blanche", sans doute en référence à l'aspect de son palais fortifié qui n'est en réalité qu'une partie de la cité certainement située à l'emplacement de l'actuelle Abousir. A une époque, l'un de ses temples, le "château du Ka de Ptah", l'un de ses édifices religieux, lui donne son nom traduit par les Grecs en "Aegyptos" devenu Egypte.
Le nom le plus adapté reste sans doute "Ankh Taoui" (le lieu qui lie les deux terres). Située sur la pointe du delta du Nil, à la confluence des routes commerciales reliant l'Orient à l'Occident, la ville nous est connue sous un nom assez singulier, Memphis, qui dérive de celui de la pyramide Pépi 1er, "Men-nefer" en passant par le copte "Memphe" et le grec "Memphis".
Memphis, résidence royale et capitale de l'Egypte à la période protodynastique et à l'Ancien Empire (3000-2195 av.J.C.) est pendant au moins deux millénaires l'un des centres les plus peuplés et les mieux connus de la région dont la magnificence transparaît déjà dans les textes d'Hérodote, de Strabon et de Diodore de Sicile.
De nos jours, plus que les rares vestiges mis au jour à Mit Rahina et à Saqqarah, ce sont les immenses nécropoles - qui s'étendent sur plus de 30 kilomètres du nord au sud et couvrent la lisière du désert sur la rive occidentale du Nil - et les pyramides (Hélouan, Dahchour, Saqqarah, Abousir, Zawiyet-el-Aryan, Abou Roach et, naturellement Gizeh) qui témoignent de la splendeur de la cité.
Selon Flinders Petrie, archéologue britannique du XIXe siècle, Memphis devrait mesurer 12 kilomètres de long sur 6 de large et être développée autour du temple de Ptah, dans la zone moderne de Mit Rahina. Ptha devient la divinité poliade dès le début de la période dynastique, même plus tôt semble-t-il, et le premier temple érigé en son nom est peut-être dissimulé sous une butte, le Kôm el-Fakhry. Seule la partie occidentale du temple le plus récent, datant du règne de Ramsès II, a été fouillée. Elle est formée d'un pylône massif et d'une salle hypostyle.A proximité, des dépôts de fondation indiquent la présence d'un temple plus ancien, attribué à Thoutmosis IV (XVIIIe dynastie - 1550-1291 av.J.C.).
La grandeur de Memphis se manifeste plus à l'ouest avec les pyramides de Dahchour, à l'extrémité sud de la nécropole dont la pyramide de Snéfrou - premier souverain de la IVe dynastie - sert de référence et marque le passage des pyramides à degrés aux pyramides lisses.
Trois autres pyramides de Dahchour appartiennent à des pharaons de la XIIe dynastie, Amenemhat II, Amenemhat III et Sénostris III.
A côté des tombes royales, il existe deux groupes de mastabas de notables - sépultures de plan rectangulaire formées de deux pièces, une chambre funéraire et une chapelle -, parmi lesquels ceux des princesses Iti, Khnemt, Itiwert et Sitmerhur, filles d'Amenemhat II et d'autres proches des pharaons de la XIIe dynastie.
C'est cependant en se dirigeant plus au nord, vers Saqqarah, qu'il est possible d'embrasser toute l'histoire de l'Egypte ancienne, en commençant par le premier mastaba en brique crue de Ménès, l'initiateur légendaire de la 1ere dynastie, considéré comme le créateur de Memphis jusqu'à la période gréco-romaine. Le long de la lisière orientale du haut plateau se dressent les tombes des membres de la famille royale, officiers et dignitaires de la 1ere dynastie.
Le paysage de Saqqarah est dominé par le complexe de la pyramide à degré du roi Djéser, la plus ancienne des quelques 80 pyramides égyptiennes connues. Construite au XXVIIe siècle av.J.C., la pyramide est cernée de temples et édifices destinés à la célébration des jubilés royaux. Saqqarah abrite 13 autres pyramides royales, parmi lesquelles se distinguent celles de Sekhemkhet, successeur de Djéser à la IIIe dynastie,d'Ounas et de Téti (Ve et VIe dynastie), de Pépi 1er (VIe dynastie) et de Djédéfré (IVe dynastie), occupant la partie la plus septentrionale de la nécropole.
Texte extrait du livre : Les plus beaux sites du patrimoine mondial de l'Unesco
fin de cet article la semaine prochaine
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Par chezmamielucette le 14 Décembre 2015 à 00:00
Hodyukov Alexander Dmitrievich est né à Vitebsk en 1966. il vit et travaille dans cette ville.
Ses œuvres vont dans des directions différentes: le réalisme, l'impressionnisme, le modernisme. Elles peuvent être des paysages, des natures mortes, des portraits et des espèces marines, ainsi que les mondes surréalistes de la fantaisie et le surréalisme, l'harmonie et la beauté dans la nudité. Travail de la technique très large: huile, aquarelle, acrylique.
Dans ses œuvres, l'artiste ne se contente pas de transmettre leur attitude face à ce qui se passe autour et essaie de garder l'identité du monde.
Œuvres du peintre peuvent être vus non seulement dans des collections privées et des entreprises biélorusses et russes, mais aussi dans des collections étrangères de peintures.Texte trouvé sur le net... La traduction n'est pas excellente...
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Par chezmamielucette le 13 Décembre 2015 à 00:00
Décidez de ne pas vous venger !
C'est tellement humain, naturel, voire légitime dans certains cas de vouloir se venger, n'est-ce pas ? Ceux qui vous diront le contraire sont de religieux hypocrites ! Votre nature réagit face à l'injustice, la blessure, la souffrance, l'insulte, l'outrage, comme par automatisme, en envisageant immédiatement la vengeance comme moyen de faire payer à l'autre. Qui n'y a jamais pensé ? Il ne s'agit même pas d'un acte réfléchi, du moins dans un premier temps, mais juste d'un réflexe.
Ne cherchez pas à aider Dieu dans ce domaine-là, laissez-le faire !Cette première étape franchie, deux solutions s'offrent à vous :
Soit vous entretenez, préparez, organisez, calculez votre vengeance et devenez adepte de la fameuse formule : "La vengeance est un plat qui se mange froid !" Soit vous décidez d'abandonner immédiatement ce sentiment-là et de croire ce que Dieu disait par la bouche de Moïse. Ce qui n'empêche à la tentation d'être là : ce serait si facile de nuire à l'autre et il serait tellement simple de vous en occuper vous-même, maintenant. Afin d'éviter de commettre des erreurs que vous pourriez regretter, rappelez-vous que la colère est très mauvaise conseillère ! Il va vous falloir résister avec l'aide de votre Dieu, pour ne pas succomber et finalement laisser libre cours à vos instincts vengeurs. C'est tellement difficile à croire que là, maintenant, Dieu va s'occuper de vous venger, si vous décidez d'y renoncer. Et pourtant, les choses se déroulent toujours ainsi !
La vengeance de Dieu, celle qu'il saura manifester à votre place, si vous renoncez à la vôtre et même si vous comprenez l'importance de prier pour celui ou celle qui vous a insulté, blessé, sali, déshonoré, sera de toute manière toujours meilleure que votre petite vengeance humaine, faite de haine et de colère. Dieu pèse les cœurs et il sait ce qu'il faut faire ! Sa vengeance à lui sera votre justification à vous. Ne cherchez pas à aider Dieu dans ce domaine-là, laissez-le faire !
Enfin, laissez-vous dégager par l'action du Saint-Esprit dans votre vie, de ce sentiment-là ; refusez-le franchement avec autorité, vous n'en serez pas moins fort, mais tellement plus noble.
Une décision pour aujourd'hui
Seigneur, je décide de renoncer à ma vengeance, à mes plans, à mes calculs. Je dépose tout cela au trône de la grâce et je te demande de m'aider à dépasser la pression de mes sentiments pour te laisser agir au mieux. Je te fais confiance. Au nom de Jésus. Amen.
15 commentaires
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