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Par chezmamielucette le 2 Novembre 2015 à 00:00
Voici quelques toiles d'un artiste dont je n'ai pas trouvé de biographie...
J'espère que ces belles peintures de l'Italie vous ont plu..
Si vous trouvez une biographie de ce peintre,
envoyez-la moi je la mettrai dans mon article...
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Par chezmamielucette le 1 Novembre 2015 à 00:00
La Toussaint est une fête catholique, célébrée le 1er novembre, au cours de laquelle l’Église catholique honore tous les saints, connus et inconnus. La Toussaint précède d’un jour la Commémoration des fidèles défunts, dont la solennité a été officiellement fixée au 2 novembre, deux siècles après la création de la Toussaint.
Les orthodoxes, anglicans et certaines églises luthériennes célèbrent également cette fête, mais sans y associer toujours le même contenu.
Cette fête se fonde sur des textes bibliques comme, entre autres, l’Apocalypse de saint Jean (Ap 7, 2-14), la première lettre de saint Jean (1Jn 3) et sur les Béatitudes de l’évangile selon saint Matthieu
Elle est dédiée à tous les saints. « Cette célébration groupe non seulement tous les saints canonisés, c’est-à-dire ceux dont l’Église assure, en engageant son autorité, qu’ils sont dans la Gloire de Dieu, mais aussi tous ceux qui, en fait et les plus nombreux, sont dans la béatitude divine » (dom Robert Le Gall). Il s’agit donc de toutes les personnes, canonisées ou non, qui ont été sanctifiées par l’exercice de la charité, l’accueil de la miséricorde et le don de la grâce divine. Cette fête rappelle donc à tous les fidèles, la vocation universelle à la sainteté.La Toussaint ne doit pas être confondue avec la Commémoration des fidèles défunts, fêtée le lendemain. Cette dernière est un héritage des lectures monastiques du « rouleau des défunts » : la mention des frères d’une abbaye, ou d’un ordre religieux, au jour anniversaire de leur décès. Elle a été inaugurée par Odilon, abbé de Cluny au XIe siècle.
Cependant, du fait qu’en France, le 1er novembre, jour de la Toussaint, est un jour férié, l’usage est établi de commémorer les morts ce jour au lieu du 2 novembre, comme le témoigne la tradition multiséculaire de chandelles et bougies allumées dans les cimetières et,depuis le XIXe siècle le fleurissement, avec des chrysanthèmes, des tombes à la Toussaint (évènement particulièrement bien représenté dans le tableau La Toussaint du peintre Émile Friant) ; ces deux gestes symbolisant la vie heureuse après la mort.
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Par chezmamielucette le 31 Octobre 2015 à 00:00
Ingrédients :
1 kg de fromage de raclette
1 kg de pommes de terre nouvelles cuites
1.2 kg de charcuterie (saucisson, jambon cru, jambon cuit, viande des grisons, coppa…)
2 barquettes de tomates cerises
1 grosse salade verte
sel
poivre
Préparation :
Faire cuire les pommes de terre dans l’eau bouillante avec une pincée de sel pendant 25 minutes puis égoutter-les.Couper le fromage à raclette en tranches et déposer-le dans un plat. Metttre les tomates cerises dans un bol.
Brancher l’appareil à raclette et déposer une tranche de fromage dans un poêlon.
Pendant que le fromage cuit, couper toi une pomme de terre, déposer quelques tomates cerises, dans l' assiette et un peu de salade verte. Choisir ensuite un peu de charcuterie.
Quand le fromage frémit, c’est prêt retirer le de l’appareil et déposer le sur les pommes de terre.
Bon appétit !
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Par chezmamielucette le 30 Octobre 2015 à 00:00
Le buis fort connu de tous, est réputé depuis l'Antiquité à la fois comme plante ornementale pour son beau feuillage persistant, d'un vert profond, et par son bois à grain très fin qui se prête à la gravure et à la fabrication d'objets tournés.
Les propriétés médicinales de cette plante ont été reconnues dès le XIIe siècle par sainte Hildegarde.La Renaissance l'a vantée comme remède à la calvitie. Un auteur de cette époque a cité le cas d'une jeune paysanne dont le crâne était devenu chauve comme un oeuf , la lotion de buis lui fit recouvrer une magnifique chevelure, mais le visage et le cou devinrent poilus comme ceux d'une guenon.Un charlatan allemand monopolisa, au XVIIIe siècle, la médication du buis, dont il tirait une fortune; Joseph II lui paya son secret 1 500 florins, le publia, ce qui suffit à faire perdre tout crédit à cette thérapeutique.
A forte dose, les préparations ont un goût désagréable, et la plante devient toxique non seulement pour l'homme mais aussi pour certains animaux, tels les chameaux de la Caspienne, qui meurent de leur gloutonnerie à l'égard de ce fourrage.HABITAT
- Europe centrale et méditerranéenne, France, surtout en sols calcaires, bois, coteaux, montagnes jusqu'à 1 600 mètres
IDENTIFICATION
- Hauteur : 1 à 6 mètres
- Arbuste buissonnant à bois dur, feuillage persistant
- Feuilles sessiles, opposées, entières, cirées, luisantes et vert foncé sur la face supérieure,
pâle en dessous
- Fleurs jaunes (mars-avril), petites, apétales, pistilées ou staminées à l'aisselle des feuilles
- Capsule tricorne explosive, à 6 graines noires luisantes
- Saveur très amèrePARTIES UTILISEES
- Ecorce de la racine, feuilles
CONSTITUANTS
- alcaloïdes, vitamine C
PROPRIETES
- Cholérétique, dépuratif, fébrifuge, laxatif, sudorifique.
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Par chezmamielucette le 29 Octobre 2015 à 00:00
C'est l'obélisque égyptien situé au centre de la place de la Concorde, qui date du XIIIe siècle avant J.C..
Il provient du temple de Ramsès à Louxor et témoigne de " l'égyptomanie " qui imprégnait la société française depuis les expéditions napoléoniennes.
En 1830, le vice-roi d'Egypte Mehémet Ali offrit à la France les deux obélisques érigées devant le temple de Louxor, en reconnaissance du rôle fondamental du Français Champollion dans la compréhension des hiéroglyphes. Champollion fut chargé par le roi de choisir le premier des deux obélisques qui devait rejoindre la France. L'histoire raconte que le savant se décida pour l'obélisque ouest, le plus petit et le moins abîmé des deux, le seul qui sera finalement transporté vers la France.
Un navire spécial embarqua le monolithe égyptien en décembre 1832 et atteignit Paris en Août 1834 après avoir traversé la Méditerranée, longé la côte Atlantique et remonté la Seine.
Le roi Louis-Philippe décida de l'ériger au centre de la place de la Concorde à Paris.Avant l'obélisque, la place avait accueilli une guillotine, une statue de Louis XV et une figure de la Liberté.
Le choix d'un monument étranger à l'histoire nationale en ce haut lieu de la Révolution française était destiné à empêcher les querelles de mémoire entre les différentes factions politiques. Il fut érigé en grande pompe, le 25 Octobre 1836, à l'aide de machines élévatrices et de gigantesques cabestans.
Haut de 23 mètres, le monolithe de granite rose pèse 227 tonnes. Le socle de 9 mètres décrit les méthodes qui ont permis le transport et l'érection de l'obélisque.La base originale, au décor composé de babouins, est exposée au musée du Louvre. Les hiéroglyphes qui le recouvrent célèbrent la gloire du pharaon Ramsès II.
L'obélisque est un cadran solaire, grâce à des lignes tracées au sol.
La deuxième obélisque a été officiellement rendu à l'Egypte par le président François Mitterand lors de son premier septennat.
Texte extrait du livre : Le grand Almanach de la France.
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Par chezmamielucette le 28 Octobre 2015 à 00:00
L'automne de la vie
Un été qui s'achève
Aux saisons de la vie,
Un bel été de rêve
Qui nous laisse ravis.
Aujourd'hui, c'est l'automne
Qui frappe à notre porte,
Un oiseau-lyre entonne
Un chant qui nous transporte.Un amour transformé
En plus grande tendresse,
Ne viendra désarmer
Notre dernière jeunesse.
La douceur automnale
Aux couleurs ravivées,
Jouera son festival
Sur nos sens enivrés.Les tapis de douceurs
Par le temps déposés,
Ont embelli nos coeurs
Désormais reposés.
Et le miel des fleurs
De nos jours dépassés,
Reviendra adoucir
Ce présent du passé.L'automne sera très long
Cela ne fait de doute,
Si les chemins sont bons
Vers cette nouvelle route.
C'est au soleil couchant
Que le ciel nous invite,
Quand tinte le doux chant
D'une ombre qui dit...vite!Dominique Simonet
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Par chezmamielucette le 27 Octobre 2015 à 00:00
Chantées par Virgile et d'autres romains, les roses de Paestum ont longtemps été plus célèbres que ses temples.
On a admiré les rosiers luxuriants, sur fond de ruines, dans les dessins de Piranèse.
On en a lu des descriptions dans "Voyage en Italie" de Goethe.
En 1802, Johann Goettfried Seume, grand voyageur, vient à pied de Leipzig pour pouvoir s'enivrer de leur parfum.
Il faut dire que la fertile plaine où se dresse Paestum bordée d'un côté par la mer Tyrhénienne et de l'autre par les vertes hauteurs du Cilento- possède une nature et un climat au charme extraordinaire. Ce sont justement le paysage, l'abondance d'eau et la proximité de la mer qui font jouer à la région du Cilento et du Vallo Diano, depuis des temps immémoriaux, un rôle fondamental dans le développement de la civilisation méditerranéenne.
Habitée depuis le néolithique, la région est colonisée par des populations égéo-anatolienne. Au VIIe siècle av.J.C., des hommes venus de Thessalie fondent Poseidonia, ville qui sera rebaptisée Paestum en 237 av.J.J, avec l'arrivée des Romains. Liée aux mythes d'Ulysse et des sirènes, de Jason et des Argonautes, de la bataille entre Héraclès et les Centaures, Poséidonia devient prospère et majestueuse, comme en témoignent les temples en pierre calcaire de couleur rose qui nous sont parvenus en exceptionnel état de conservation.
L'édifice le plus ancien est la "basilique" appelée ainsi au XVIIIe siècle par les archéologues des Bourbons, initiateurs des premières campagnes de fouilles. Il s'agit en réalité d'un temple dédié à Hérès. Construit en style dorique au milieu du VIe siècle av.J.C., il a miraculeusement conservé ses colonnes fuselées, dont le fût est élargi au centre, et les chapiteaux portent une couronne de feuilles godronnées.Aligné sur la basilique, le temple de Neptune, ou de Poseidonion, est le plus grand et le mieux conservé des édifices de la ville. Construit entre 460 et 450 av.J.C., toujours de style dorique, il rappelle par sa majesté et par son style le temple de Zeus à Olympe.
Au-delà des ruines de l'amphithéâtre et des constructions civiles où se trouve l'Athenaion - rebaptisé temple de Cérès. Datant de 510 av.J.C., mêlant styles dorique et ionique, il a des proportions plus légères et élégantes que celles des autres temples.Au IVe siècle av.J.C., les Grecs de Poseidonia cohabitent avec les Lucaniens et les Etrusques, peu à peu, leurs cultures se mêlent. On doit aux Lucaniens la construction d'imposants remparts en forme de quadrilatère avec un angle arrondi.
Les tombes de la vaste nécropole qui se développe en bordure de la ville sont d'influence étrusque. Parmi celles-ci, découvertes à partir de 1968, citons celle dite "du Plongeur", qui doit son nom à la remarquable peinture de son couvercle, représentant un jeune homme en train de s'élancer d'un plongeoir.
La rencontre avec Rome, survenue en 273 av.J.C., a pour conséquence architecturale la construction du temple italique, dédié à la triade capitoline Jupiter, Junon et Minerve. Le changement de nom n'entamera en rien l'autonomie de la ville, qui restera libre encore longtemps.
La ville voisine d'Elée, ou Velia, partage le même destin.Les fouilles y sont encore en cours, mais de nombreuses choses ont été perdues au début du Moyen-Âge lorsque les Normands ont utilisé les pierres de ses temples pour construire un château.
Velia conserve néanmoins dans sa mémoire l'époque glorieuse où elle a enfanté les philosophes Parménide et Zénon d'Elée.Epoque lointaine où la culture de la Grande Grèce était celle , universelle de la Méditerranée.
Texte extrait du livre : Les plus beaux sites du patrimoine mondial de l'Unesco
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Par chezmamielucette le 26 Octobre 2015 à 00:00
Alexandre Maranov est né à Tachkent. Sa passion pour le dessin vient de l’enfance. Il en a fait sa profession. Maranov est diplômé de l’Ecole des Beaux-Arts de Tachkent et de l’Ecole d’Art théâtral de Tachkent, où le futur peintre a absorbé les traditions du réalisme académique.
« Je travaillais beaucoup toutes ces années », raconte-t-il.« En plus des dessins et des croquis qui étaient obligatoires dans le cadre de ma formation, je tentais de comprendre les subtilités de la technique artistique des artistes contemporains et ceux qui font partie du passé, en essayant de découvrir leurs secrets et leurs mystères de la couleur. C’était l’époque ou j’expérimentais avec les couleurs ».
Les enseignants et les camarades d’Alexandre Maranov restaient admiratifs devant ses tableaux et le réalisme raffiné de ses œuvres. Dans les années 1990, il s'installe à Moscou. C’est dans la capitale russe qu’il a comprend enfin quelle devrait être son style.
« J'ai compris qu’il est impossible de travailler à l’ancienne, car mon évolution dans le cadre la peinture académique était terminée. Un jour, j’étais allongé sur mon lit en admirant une simple ampoule de 60 watts. En la fixant du regard, j’ai vu à un moment une lueur extraordinaire, et j'ai compris que c’est cela que je devrais peindre ».
Et ayant compris sa mission artistique, Maranov a commencé à se demander comment il doit le faire. Car la lumière est une notion abstraite et subjective. Le peintre a commencé à chercher les formes, qui devaient rendre cette beauté compréhensible pour tout le monde.
« J'ai réalisé que tout ce qui nous entoure- les arbres, l'eau, les nuages - se compose de ces lignes lumineuses »,raconte-t-il. « Souvent nous voyons les choses différemment de ce qu’elles sont en réalité. Les nuages sont à première vue blancs et doux, alors qu’ils se composent des lignes brillantes et des pointillés. Et si on les perçoit de cette manière, ils vont devenir plus proches de notre perception ».
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Par chezmamielucette le 25 Octobre 2015 à 00:00
Ils lui donnèrent à boire du vin mêlé de myrrhe, mais il ne le prit pas." Marc 15.23
La mort par étouffement est terrible par les angoisses qui la précèdent ; si vous avez failli vous noyer un jour, vous le savez. Les crucifiés mouraient à petit feu, par suffocation ; il s'agissait d'une mort affreuse, à cause des souffrances morales et psychologiques qui la précédaient ! Dans un tel contexte, le geste de ces gens n'est pas forcément négatif, comme il a été si souvent interprété ; ce qu'ils donnent à Jésus, ils le donnent aussi aux autres crucifiés, afin de calmer leurs angoisses. On sait par le prophète Ésaïe que Jésus mourra emporté par l'angoisse (Ésaïe 53.8), le châtiment, comprenez les blessures occasionnées par les coups, la crucifixion, n'arrivent qu'en second lieu !
L'angoisse, votre angoisse, vos crises d'angoisse, c'est à la croix que vous arriverez à en triompher
Le pauvre monde dans lequel vous vivez n'a pas beaucoup de solutions face à l'angoisse ; il vous propose de l'endormir dans l'alcool, et combien s'y jettent, et de plus en plus jeunes ! Ou bien alors, il vous offre la solution consistant en produits stupéfiants ; la consommation des drogues dites "douces" n'a jamais cessé d'augmenter partout dans le monde, et les drogues dites "dures" se portent de mieux en mieux ! Le vin mêlé de myrrhe avait des effets stupéfiants destinés à calmer les angoisses et la douleur ! Jésus refuse ! Et vous ?Il ne refuse pas pour le plaisir de souffrir, mais pour nous montrer que cette voie-là est sans issue Au bout du compte, l'angoisse sera toujours dans votre vie ! Vous l'aurez endormie un temps, assommée un moment ; mais au réveil, elle sera encore plus forte qu'avant !
Permettez-moi de faire une allusion à la prise de certains médicaments contre l'angoisse ; dans certains cas, ils sont devenus indispensables, malheureusement, et il serait risqué d'y toucher ; mais si vous pouvez éviter d'entrer dans cette logique–là, faites-le ! L'angoisse, votre angoisse, vos crises d'angoisse, c'est à la croix, auprès de celui qui a tout connu dans ce registre, Jésus, que vous arriverez à en triompher ! Voilà le message !Jésus va être confronté aux angoisses spirituelles à cause du péché de l'humanité ; aux angoisses morales, à cause de son extrême solitude ; aux angoisses psychologiques, nu, dépouillé, humilié, épuisé et livré à la moquerie des autres, c'est destructeur et angoissant ; aux angoisses physiologiques et physiques à cause de ses blessures, de la fièvre qui l'habitait et de la proximité de la mort ! Il sait tout de l'angoisse et peut comprendre la vôtre ! Refusez le reste, et venez à lui comme vous êtes !
Une décision pour aujourd'hui
Seigneur, j'ai si souvent accepté les pseudo-remèdes de ce pauvre monde malade face à mes terribles angoisses ; je veux goûter à mieux, à ta victoire dans ma vie ! Au nom de Jésus je viens à toi maintenant. Amen.
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Par chezmamielucette le 24 Octobre 2015 à 00:00
Ingrédients
6 Tranches de jarret de veau
6 Tomates
Concentré de tomate : 20 g
3 Oignons
3 Carottes
Vin blanc sec : 25 cl
Aromates : ail, thym, laurier
Farine de blé : 10 g
Bouillon de volaille : 1 l
Huile d'olive : 5 cl
Sel fin : 3 pincées
PréparationHacher finement les oignons et les carottes. Peler les tomates et les couper en 6 quartiers.
Saler les tranches de jarret sur chaque face, puis les colorer de chaque côté dans une cocotte chaude avec un peu d'huile d'olive. Les débarrasser ensuite sur une plaque.
Faire revenir les oignons puis les carottes dans cette même cocotte avec l'huile d'olive. Déglacer avec le vin blanc. Incorporer ensuite la farine, l'ail écrasé, puis les tomates. Ajouter enfin le thym, les feuilles de laurier et le concentré de tomates.
Mettre les morceaux de viande dans la cocotte avec les légumes, puis ajouter le bouillon de volaille et laisser mijoter à couvert pendant 1 h 30.
Bon appétit
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