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Par chezmamielucette le 18 Septembre 2014 à 00:00
Le département de la Marne tire son nom du plus long affluent de la Seine. La côte de l'Ile-de-France, dont les pentes et l'orientation sont propices à la viticulture, est une cuesta typique de l'est du Bassin Parisien, qui sépare la Champagne crayeuse et le plateau de Brie dont la Montagne de Reims constitue l'extrémité orientale. La région doit son appellation au nom commun "chapagne" qui désigne un espace rural constitué de champs ouverts (openfield). Les forêts de l'Argonne débordent sur le nord-est du département. La Champagne humide en fait de même au sud-est, dans le Perthois, près du lac du Der, également appelé lac du Der-Chantecoq, avec l'ajout du nom d'un des trois villages qui furent engloutis lors de la mise en eau au début des années 1970.
- LES MOULINS DE VALMY -
Perché sur une colline de l'Argonne, le moulin de Valmy fut le témoin de la bataille homonyme, au cours de laquelle Kellermann ordonna qu'on brûle ce point de repère le 20 septembre 1792, la veille de la proclamation de la république. Les ennemis de la France n'avaient peut-être pas tout à gagner dans cette bataille qui ne fut qu'une simple canonnade. Le moulin devenu symbole de cette "victoire de la République" fut reconstruit pour être à nouveau démoli en 1831. Un nouveau moulin, inauguré en 1947, a été détruit par la tempête Lohar en 1999, avant qu'une nouvelle souscription nationale aboutisse à l'inauguration de l'actuel moulin en 2005.
- DE LA CHAMPAGNE POUILLEUSE A LA CHAMPAGNE CRAYEUSE -
Devant son nom à son sol calcaire, la Champagne crayeuse a connu un changement de nom révélateur d'un changement d'image. Elle était autrefois la "Champagne pouilleuse" mais grâce aux engrais, cette terre est devenue fertile et constitue aujourd'hui une des premières régions céréalières française. Outre le blé, on y cultive la betterave, notamment autour de Sézanne où la sucrerie de Connantre est généralement considérée comme la plus grande au monde.
- LES CURIOSITES DE LA MONTAGNE DE REIMS -
La montagne de Reims est à vrai dire un plateau. Du haut des talus qui le bordent, à Verzenay, un phare surgit des vignes. Aujourd'hui reconverti en musée, il fut construit dans un but publicitaire en 1909 par joseph Goulet, négociant en vin. La maison Heidsieck s'était déjà distinguée quelques décennies plus tôt par la construction d'un moulin à vent, qui servit d'observatoire en temps de guerre, tout comme le mont Sinaï, point culminant du département (286 m) situé sur la commune voisine de Verzy. Cette dernière abrite dans la forêt de la Montagne de Reims les singuliers "faux de Verzy", ces hêtres tortillards aux formes improbables, dont les branches capables de se souder entre elles retombent généralement au sol.
- CHAMPAGNE ! -
L'attribution de la paternité du champagne à Dom Pérignon fait débat. Ce bénédictin du monastère d'Hauvillers près d'Epernay a néanmoins contribué au XVIIe siècle à perfectionner la "méthode champenoise", en assortissant différentes variétés de raisins avant leur préssurage. Il aurait également introduit l'usage du bouchon en liège et modifié l'épaisseur des bouteilles pour mieux résister à l'effervescence de ce breuvage jadis appelé "saute-bouchon".
Texte extrait du livre : La France - Géographie Curieuse et Insolite .
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Par chezmamielucette le 17 Septembre 2014 à 00:00
L'immobile beauté
L'immobile beauté
Des soirs d'été,
Sur les gazons où ils s'éploient,
Nous offre le symbole
Sans geste vain, ni sans parole,
Du repos dans la joie.Le matin jeune et ses surprises
S'en sont allés, avec les brises ;
Midi lui-même et les pans de velours
De ses vents chauds, de ses vents lourds
Ne tombe plus sur la plaine torride ;
Et voici l'heure où, lentement, le soir,
Sans que bouge la branche ou que l'étang se ride,
S'en vient, du haut des monts, dans le jardln, s'asseoir.O la planité d'or à l'infini des eaux,
Et les arbres et leurs ombres sur les roseaux,
Et le tranquille et somptueux silence,
Dont nous goûtons alors
Si fort
L'immuable présence,
Que notre voeu serait d'en vivre ou d'en mourir
Et d'en revivre,
Comme deux coeurs, inlassablement ivres
De lumières, qui ne peuvent périr !Émile VERHAEREN
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Par chezmamielucette le 16 Septembre 2014 à 00:00
fin du 2ème itinéraire
- SERRALONGUE -
A la Forge-del-Mitg, emprunter une route étroite et très sinueuse : belles vues sur la vallée du Tech. L'église romane possède un portail qui a conservé des gonds et un verrou signé, du XIIe s.
De Lamanère, dominé au nord-est par les tours de Cabrens (XIIIe s.), on parvient à l'ermitage de Notre-Dame-du-Coral (Vierge en ivoire du XVIIIe s.).
- PRATS-DE-MOLLO -
Après le défilé sauvage de la Baillanouse, on atteint la capitale du haut Vallespir, au pied du Canigou. La ville a gardé une partie de ses remparts et plusieurs portes fortifiées. Al'intérieur de l'église, rétable du XVIIe s. Au chevet de l'église s'engager dans un souterrain menant au Fort-la-Garde, dû à Vauban. On parcourera les ruelles et les escaliers de la ville haute.
- LA PRESTE -
Est une petite station thermale d'altitude (1130m). La route s'y achève en cul-de-sac. On peut remonter à pied le cours du Tech jusqu'à sa source située à 2340 m sur le flanc du Roc Colom.
- MONTFERRER -
Possède une église romane et des ruines d'un château. En direction du village de Corsavy, très beaux points de vue sur le Vallespir et le massif du Canigou.
Texte extrait du livre : La France des Routes Tranquilles.
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Par chezmamielucette le 15 Septembre 2014 à 00:00
Joaquín Sorolla y Bastida (en castillan) ou Joaquim Sorolla i Bastida (en catalan), né le 27 février 1863 et mort le 10 août 1923, est un peintre espagnol.
Sorolla est né à Valence, en Espagne ; il est le fils aîné d'un marchand, également nommé Joaquín Sorolla, et de son épouse, Concepción Bastida. Sa sœur Concha naît un an plus tard. En août 1865, leurs deux parents meurent (lors d'une épidemie de choléra) et les enfants sont pris en charge par leur tante maternelle et leur oncle. Sorolla fut d'abord formé dans sa ville natale par FranciscoPradilla y Ortiz, puis en Italie et à Paris.
Là, il subit l'influence des impressionnistes. À 18 ans, il s'établit à Madrid, étudiant les chefs d'œuvre du Musée du Prado. À 22 ans, Sorolla obtint une bourse pour étudier la peinture à Rome. Il y développa son style et sa technique.
Sorolla est connu pour ses scènes de genre alliant réalisme et lyrisme ainsi que pour ses scènes de plage et sa maîtrise de la couleur blanche dont il use avec brio dans de nombreux tableaux.
De retour en Espagne, sa palette s'éclaircit avec les plages méditerranéennes, les ébats d'enfants, les nus, les pêcheurs valenciens. Il obtint son premier succès important avec Une autre Marguerite, qui lui valut la médaille d'or à Madrid et fut vendu à la galerie Saint-Louis. Il devint vite très connu et le meneur incontesté de l'école moderne espagnole de peinture. Son tableau Le retour des pécheurs fut admiré au salon de Paris et acquis par l'État pour le musée du Luxembourg.
Il remporta une médaille d'honneur à l'exposition universelle de Paris en 1900 et fut nommé chevalier de la légion d'honneur. Une exposition de ses œuvres — paysages, portraits — à la galerie Georges Petit à Paris en 1906 lui apporta une gloire encore plus grande et lui valut de devenir officier de la légion d'honneur. En 1933, Paul Getty acheta dix de ses tableaux représentant des scènes de plages impressionnistes. À la fin de sa vie, il réalise de grandes compositions pour décorer l'Hispanic Society de New York, évoquant les jeux et les costumes des régions espagnoles.
En 1920, une attaque le laisse paralysé, et Sorolla meurt en 1923 à Madrid. Après sa mort, sa veuve fit don de beaucoup de ses tableaux à l'État espagnol. Ces peintures forment maintenant le fond du musée Sorolla situé dans la maison de l'artiste à Madrid.
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Par chezmamielucette le 14 Septembre 2014 à 00:00
« Jésus aimait Marthe et sa sœur, ainsi que Lazare »
Aimez tout le monde d'un grand amour de charité, mais réservez votre amitié profonde pour ceux qui peuvent échanger avec vous des choses bonnes... Si vous échangez dans le domaine des connaissances, votre amitié est certes louable ; plus encore si vous communiez dans le domaine de la prudence, de la discrétion, de la force et de la justice. Mais si votre relation est fondée sur la charité, la dévotion et la perfection chrétienne, ô Dieu, que votre amitié sera précieuse ! Elle sera excellente parce qu'elle vient de Dieu, excellente parce qu'elle tend à Dieu, excellente parce que son lien, c'est Dieu, parce qu'elle durera éternellement en Dieu. Qu'il fait bon aimer sur la terre comme on aime au ciel, apprendre à s'aimer en ce monde comme nous le ferons éternellement en l'autre !
Je ne parle pas ici de l'amour simple de charité, car il doit être porté à tous les hommes ; mais je parle de l'amitié spirituelle, par laquelle deux ou trois ou plusieurs communient dans la vie spirituelle et deviennent un seul esprit entre eux. C'est vraiment à bon droit que peuvent chanter de telles âmes heureuses : « Combien il est bon et agréable que les frères habitent ensemble ! »Il me semble que toutes les autres amitiés ne sont que l'ombre de celle-ci... Pour des chrétiens vivant dans le monde, il leur est nécessaire de s'aider les uns les autres par de saintes amitiés ; par ce moyen ils s'encouragent, se soutiennent, se portent mutuellement vers le bien... Personne ne saurait nier que notre Seigneur ait aimé d'une amitié plus douce et plus spéciale saint Jean, Lazare, Marthe et Madeleine, car l'Écriture le témoigne.
Saint François de Sales (1567-1622), évêque de Genève et docteur de l'Église
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Par chezmamielucette le 13 Septembre 2014 à 00:00
Sanary-sur-Mer est un charmant petit port qui connait une intense activité de pêche, matérialisée par ses "pointus" (bateaux dont la proue et la poupe sont pointus) s'élançant sur la mer au petit matin pour y puiser les poissons qui seront offerts quelques heures plus tard, sur le marché, à la gourmandise des habitants.
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Pour aller toujours plus à l'ouest, délaissons les gorges d'Ollioules, malgré leur beauté sauvage dans un décor minéral.
C'est par le littoral qu'il faut déguster les petites villes de Six-Fours-les-Plages,
de Sanary
et de Bandol,
naguère petits villages de pêcheurs dont les garages à bateaux du port ont été reconvertis en boutiques de souvenirs et d'accessoires de loisirs nautiques, en restaurants d'été qui étalent paresseusement leurs terrasses entre deux plages de sable fin.
Là encore, tout est conçu pour assurer le confort et le bien-être maximaux du touriste, du visiteur, du vacancier, de l'amoureux de la Côte d'Azur, du contemplatif toujors séduit mais jamais lassé de découvrir à chaque saison de nouveaux charmes et de nouvelles raisons d'aimer cette inépuisable Côte d'Azur, éternelle dispensatrice de bienfaits.
Qui pourrait résister à l'envie de faire une petite marche tonique au bord de la mer, avant d'aller piquer une tête et de prendre ensuite un confortable bain de soleil ?
Texte extrait du livre : Côte d'Azur.
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Par chezmamielucette le 12 Septembre 2014 à 00:00
L'asperge est plus ou moins apatride, comme beaucoup de ces plantes cultivées capables de se ressemer spontanément, dont l'homme a considérablement accru l'aire d'origine au point d'en effacer à jamais les limites.
Elle était déjà cultivée dans l'Egypte ancienne, au Proche-Orient, à Rome et dans la Grèce antique. Sans doute introduite en France à l'époque gallo-romaine, sa culture n'y est cependant connue avec certitude qu'à partir du XVe siècle.
Cette asperge cultivée, naturalisée le plus souvent en sols sablonneux, a plusieurs cousines sauvages dans la flore d'Europe.La plus notable, l'asperge à feuille aiguës est un sous-arbrisseau toujours vert répandu en région méditerranéenne.
La jeune pousse comestible a montré à l'analyse un grand nombre de substances : vitamines A, B1, B2, acides aminés, nombreux oligo-éléments, etc...
La souche épaisse, ou griffe, garnie de nombreuses racines charnues, renferme en outre un taux élevé de sucres, une saponine et des traces d'huile essentielle, elle entrait autrefois dans le "sirop des cinq racines" avec l'ache, le fragon épineux, le fenouil sauvage et le persil.
L'asperge, diurétique par excitation directe du rein, est déconseillée aux goutteux, aux lithiasiques, et aux rhumatisants. Crue, elle provoque parfois des réactions allergiques.PROPRIETES : dépurative, diurétique.
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Par chezmamielucette le 11 Septembre 2014 à 00:00
Ce département porte le nom du massif franco-belgo-luxembourgeois des Ardennes dont la partie française culmine à 505 m près de la Croix-Scaille. De Nouzonville à la pointe de Givet, un chapelet de petites villes industrielles, entourées de forêts et de nombreux belvédères, s'étend au fond des vallées encaissées de la Meuse et de son affluent le Semoy. Disposant de jolis sites escarpés comme celui des Dames de Meuse, les Ardennes françaises ont cependant une image moins touristique que les Ardennes belges qui profitent d'un "effet sud" dans leur pays. La majorité du département reste occupée par le nord-est du Bassin parisien, constitué ici du nord de la champane crayeuse avec la région transitoire du Porcien, et par les forêts de l'Argonne au sud-est.
- LE PERE DE LA PLUS CELEBRE UNIVERSITE FRANCAISE -
L'université de la Sorbonne, qui n'était qu'au départ qu'un collège de théologie, a été fondée en 1253 à Paris par Robert de Sorbon, qui souhaitait que les pauvres puissent aussi accéder à l'enseignement. Celui qui fut le chapelain et le confesseur de Saint-Louis est né, comme son nom l'indique, à Sorbon, petit village situé non loin de Rethel.
- LE SANGLIER DES ARDENNES -
Présent sur le logo du Conseil Général ou sur le blason de Sedan, le sanglier est l'emblème des Ardennes, où il abonde dans les forêts. Le surnom de "sanglier des Ardennes" fut souvent donné à des Ardennais, notamment au footballeur Roger Marche qui connut les grandes heures du stade de Reims, sans jamais porter le maillot des "sangliers" du club de Sedan. Le 8 août 2008, une sculpture haute de 8,5 m de du plus grand sanglier au monde, baptisé Woinic, a été installée à l'entrée du département sur le bord de l'autoroute A34.
- LA VILLE D'UN PRINCE FRANCO-ITALIEN -
Le chef lieu du département était Mézières jusqu'à la fusion en 1966 avec Charleville. Fondée en 1606 dans un méandre de la Meuse dominée par le mont Olympe, cette dernière doit son nom à Charles de Gonzague, duc de Nevers et de Rethel, et futur prince de Mantoue, qui en fit la capitale de sa nouvelle principauté d'Arches, du nom du hameau près duquel Charleville fut édifiée avec un plan en damier typique des villes nouvelles. En son centre, la place Ducale est la soeur jumelle de la place des Vosges à Paris, rien de surprenant quand on sait que les architectes de chacune de ces deux places étaient frères.
- EN PASSANT PAR SEDAN -
Développée au Moyen Age autour de son vaste château fort, la ville de Sedan a subi les premiers assauts des trois derniers conflits que la France métropolitaine ait connus.
En 1870, les troupes de Napoléon III se firent encercler à Sedan, lors d'un épisode décisif de la guerre contre la Prusse.
Lors de la Première Guerre mondiale, Sedan se retrouve au coeur des conflits dès le mois d'Août 1914.
En mai 1940, les troupes allemandes ont traversé le massif des Ardennes, jugé infranchissable par l'état-major français, et ont pénétré en territoire français en contournant la Lorraine et la ligne Maginot qui s'achève à l'est de Sedan par l'ouvrage de la Ferté. La percée de Sedan réalisée par la Wehrmacht a une fois encore été décisive.
Texte extrait du livre : La France - Géographie Curieuse et Insolite.
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Par chezmamielucette le 10 Septembre 2014 à 00:00
L'enfant et le miroir
Un enfant élevé dans un pauvre village
Revint chez ses parents, et fut surpris d'y voir
Un miroir.
D'abord il aima son image ;
Et puis, par un travers bien digne d'un enfant,
Et même d'un être plus grand,
Il veut outrager ce qu'il aime,
Lui fait une grimace, et le miroir la rend.
Alors son dépit est extrême ;
Il lui montre un poing menaçant,
Il se voit menacé de même.
Notre marmot fâché s'en vient, en frémissant,
Battre cette image insolente ;
Il se fait mal aux mains. Sa colère en augmente ;
Et, furieux, au désespoir,
Le voilà devant ce miroir,
Criant, pleurant, frappant la glace.
Sa mère, qui survient, le console, l'embrasse,
Tarit ses pleurs, et doucement lui dit :
N'as-tu pas commencé par faire la grimace
A ce méchant enfant qui cause ton dépit ?
- Oui. - Regarde à présent : tu souris, il sourit ;
Tu tends vers lui les bras, il te les tend de même ;
Tu n'es plus en colère, il ne se fâche plus :
De la société tu vois ici l'emblème ;
Le bien, le mal, nous sont rendus.Jean-Pierre Claris de FLORIAN (1755-1794)
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Par chezmamielucette le 9 Septembre 2014 à 00:00
2eme itinéraire
- CERET -
Voir les remparts, où s'ouvre une porte fortifiée, et, sur le Tech, le pont du Diable, du XIVe siècle. L'église Saint-Pierre, avec son clocher du XIIe siècle, est romane. Au musée d'Art modenes, oeuvres de Matisse, Picasso, Juan Gris, Chagall, etc...
- AMELIE-LES-BAINS-PALALDA -
Environnée d'une végétation luxuriante, est un centre de promenades faciles. Vers le sud, les gorges du Mondony se parcourent à pied.
- ARLES-SUR-TECH -
Son abbaye bénédictine en fit longtemps le centre religieux du Vallespir. Le cloître gothique à arcades de marbre blanc, la Sainte-Tombe, reliquaires et rétables sont les richesses du plus ancien monastère du Roussillon.
2,5 km après Arles-sur-Tech, un sentier très raide mène au débouché des gorges de la Fou. La visite se fait par des passerelles sur 1 500 mètres environ.- COUSTOUGES -
L'église fortifiée du XIIe siècle présente deux portails somptueusement sculptés, la nef unique est surmontée d'un clocher carré.
La suite de cet itinéraire la semaine prochaine
Texte extrait du livre : La France des Routes Tranquilles.
24 commentaires
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