• Fleurs cultivées : Strélitzia

    Fleurs cultivées : Strélitzia

     

    Les Strelitzia sont originaires d'Afrique du Sud et font partie de la famille des Strelitziacées.

     

    Fleurs cultivées : Strélitzia

    Fleurs cultivées : Strélitzia

    Fleurs cultivées : Strélitzia

    Fleurs cultivées : Strélitzia

    Fleurs cultivées : Strélitzia

     

    Le plus connu des oiseaux du paradis est le Strelitzia reginae, à feuilles oblongues dressées, larges et coriaces. Sa fleur est constituée de 2 sépales orange et 2 pétales bleus, longs, fins, jaillissants d'une bractée coriace, dressée sur une longue hampe florale de plus de 1 m. L'ensemble ressemble à une tête d'oiseau tropical. La plante pousse en touffe, constituée de nombreux pieds au port en éventail. Sa hauteur se situe entre 1,50 et 1,80 m.

     

    Fleurs cultivées : Strélitzia

    Fleurs cultivées : Strélitzia

    Fleurs cultivées : Strélitzia

    Fleurs cultivées : Strélitzia

    Fleurs cultivées : Strélitzia

     

    Le Strelitzia est très utilisé dans les jardins et massifs publics des régions douces et tempérées. Si les températures de votre région descendent sous les 10 °C, il faut le cultiver en bacs de manière à le faire hiverner à l'abri du froid mais avec un maximum de luminosité. En France, sa floraison est uniquement estivale. Cette plante pousse librement à l’extérieur dans les jardins tropicaux ou sa floraison est incessante.

     

    Fleurs cultivées : Strélitzia

    Fleurs cultivées : Strélitzia

    Fleurs cultivées : Strélitzia

    Fleurs cultivées : Strélitzia

    Fleurs cultivées : Strélitzia

     

    C'est une fleur à fort intérêt commercial partout dans le monde de par sa beauté et sa durée de vie en vase dépassant largement toutes les autres fleurs coupées. Elle est donc cultivée pour la vente en pots et pour la fleur coupée.

     

    Fleurs cultivées : Strélitzia

    Fleurs cultivées : Strélitzia 

    Fleurs cultivées : Strélitzia

    Fleurs cultivées : Strélitzia

    Fleurs cultivées : Strélitzia

    Fleurs cultivées : Strélitzia

    Fleurs cultivées : Strélitzia

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    Fleurs cultivées : Strélitzia

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  • Camargue (Bouches du Rhône)

     

    La Camargue est une région naturelle française située au bord de la mer Méditerranée, dans les départements des Bouches-du-Rhône et du Gard, et formée par le delta du Rhône. Même si le véritable centre urbain de la Camargue est Arles, les Saintes-Maries-de-la-Mer sont généralement reconnues comme étant la capitale de la Camargue du fait de leur position relativement centrale sur la côte.

     

    Camargue (Bouches du Rhône)

     

    La Camargue est une zone humide paralique de 150 000 hectares qui abrite de nombreuses espèces animales et végétales. Elle est classée comme réserve de biosphère et parc naturel régional3. Depuis le XIXe siècle, elle a fait l'objet d'importants aménagements hydrauliques.

     

    Camargue (Bouches du Rhône)

    Camargue (Bouches du Rhône)

    Camargue (Bouches du Rhône)

    Camargue (Bouches du Rhône)

    Camargue (Bouches du Rhône)

    Camargue (Bouches du Rhône)

    Camargue (Bouches du Rhône)

    Camargue (Bouches du Rhône)

    Camargue (Bouches du Rhône)

    Camargue (Bouches du Rhône)

    Camargue (Bouches du Rhône)

     

    La Camargue forme un triangle de 150 000 hectares dont les pointes sont Arles, Le Grau-du-Roi et Fos-sur-Mer. On distingue trois parties :

    la Camargue proprement dite, comprise entre les deux bras du Rhône encore actifs, le Grand-Rhône à l'est et le Petit-Rhône à l'ouest (Bouches-du-Rhône) ;
    la Petite Camargue, ou Camargue gardoise, qui est la partie de la Camargue située à l'ouest du Petit-Rhône, dans le département du Gard.
    le Plan du Bourg à l'est du Grand-Rhône (Bouches-du-Rhône), contigu à la plaine de Crau.

     

    Camargue (Bouches du Rhône)

    Camargue (Bouches du Rhône)

    Camargue (Bouches du Rhône)

    Camargue (Bouches du Rhône)

    Camargue (Bouches du Rhône)

    Camargue (Bouches du Rhône)

    Camargue (Bouches du Rhône)

    Camargue (Bouches du Rhône)

    Camargue (Bouches du Rhône)

    Camargue (Bouches du Rhône)

    Camargue (Bouches du Rhône)

    Camargue (Bouches du Rhône)

    Camargue (Bouches du Rhône)

    Camargue (Bouches du Rhône)

    Camargue (Bouches du Rhône)

    Camargue (Bouches du Rhône)

     

    La chaumière de Camargue est une véritable habitation annexe. L'exemple de Salin-de-Giraud où elles ont formé une véritable agglomération en reste une preuve indéniable. Pour leur construction, ce sont les roseaux des marais, la sagne, qui sont utilisés. Ce type d'habitation édifié avec un matériau extrêmement périssable ne permet pas de remonter plus loin que le milieu du XVIIe siècle pour retrouver des chaumières encore intactes. Mais leur trace historique remonte jusqu'au Moyen Âge puisque l'on sait que le village des Saintes-Maries-de-la-Mer brûla à cause de ses chaumières. Plus près de nous, les ouvriers sauniers des Salins-de-Giraud étaient logés dans vingt-deux chaumières dont l'abside était tournée vers le Nord-Ouest pour résister aux vents dominants.

     

    Camargue (Bouches du Rhône)

    Camargue (Bouches du Rhône)

    Camargue (Bouches du Rhône)

    Camargue (Bouches du Rhône)

    Camargue (Bouches du Rhône)

    Camargue (Bouches du Rhône)

     

    Le mas est également un édifice typique de Camargue. Généralement implantés le long du fleuve ou en hauteur, à l'abri du vent par des bosquets, les mas sont construits avec leur façade au sud.

     

    Camargue (Bouches du Rhône)

    Camargue (Bouches du Rhône)

    Camargue (Bouches du Rhône)

    Camargue (Bouches du Rhône)

    Camargue (Bouches du Rhône)

     

    Le long du Rhône se trouvent également des tours de guet construites pour surveiller le delta et assurer une protection contre les envahisseurs. Celles construites à partir du XVe siècle servaient surtout de contrôle du commerce.

     

    Camargue (Bouches du Rhône)

    Camargue (Bouches du Rhône)

    Camargue (Bouches du Rhône)

    Camargue (Bouches du Rhône)

    Camargue (Bouches du Rhône)

     

    La plupart des phares de Camargue ont été construits au XIXe siècle mais dès l'Antiquité, Strabon notait que les Massaliotes édifiaient des tours qui servaient de signaux.

     

    Camargue (Bouches du Rhône)

    Camargue (Bouches du Rhône)

    Camargue (Bouches du Rhône)

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  • "Juin" poème de Lecomte de Lisle

     

    Juin

    Les prés ont une odeur d'herbe verte et mouillée, Un frais soleil pénètre en l'épaisseur des bois, Toute chose étincelle, et la jeune feuillée Et les nids palpitants s'éveillent à la fois.

    Les cours d'eau diligents aux pentes des collines Ruissellent, clairs et gais, sur la mousse et le thym ; Ils chantent au milieu des buissons d'aubépines Avec le vent rieur et l'oiseau du matin.

    Les gazons sont tout pleins de voix harmonieuses, L'aube fait un tapis de perles aux sentiers, Et l'abeille, quittant les prochaines yeuses, Suspend son aile d'or aux pâles églantiers.

    Sous les saules ployants la vache lente et belle Paît dans l'herbe abondante au bord des tièdes eaux ; La joug n'a point encor courbé son cou rebelle, Une rose vapeur emplit ses blonds naseaux.

    Et par delà le fleuve aux deux rives fleuries Qui vers l'horizon bleu coule à travers les prés, Le taureau mugissant, roi fougueux des prairies, Hume l'air qui l'enivre, et bat ses flancs pourprés.

    La Terre rit, confuse, à la vierge pareille Qui d'un premier baiser frémit languissamment, Et son oeil est humide et sa joue est vermeille, Et son âme a senti les lèvres de l'amant.

    O rougeur, volupté de la Terre ravie ! Frissonnements des bois, souffles mystérieux ! Parfumez bien le coeur qui va goûter la vie, Trempez-le dans la paix et la fraîcheur des cieux !

    Assez tôt, tout baignés de larmes printanières, Par essaims éperdus ses songes envolés Iront brûler leur aile aux ardentes lumières Des étés sans ombrage et des désirs troublés.

    Alors inclinez-lui vos coupes de rosée, O fleurs de son Printemps, Aube de ses beaux jours ! Et verse un flot de pourpre en son âme épuisée, Soleil, divin Soleil de ses jeunes amours !

    Lecomte de Lisle

     

    "Juin" poème de Lecomte de Lisle

    "Juin" poème de Lecomte de Lisle

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    "Juin" poème de Lecomte de Lisle

     

    "Juin" poème de Lecomte de Lisle

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  • Cernay-la-Ville  (Yvelines)

     

    Cernay-la-Ville est une commune française située dans le département des Yvelines en région Île-de-France.

     

    Cernay-la-Ville  (Yvelines)

     

    Situé sur la D 906 entre Rambouillet et Chevreuse, le village est inclus dans le parc naturel régional de la haute vallée de Chevreuse (PNRHV) sur la limite nord-est de la forêt domaniale de Rambouillet et du plateau de la Beauce. Il se trouve situé en bordure du bassin parisien (40 km) en jointure des forêts domaniales de Rambouillet (14 km) et Versailles/Saint-Germain-en-Laye (20 km).

     

    Cernay-la-Ville  (Yvelines)

    Cernay-la-Ville  (Yvelines)

    Cernay-la-Ville  (Yvelines)

    Cernay-la-Ville  (Yvelines)

     

    Église Saint-Brice, le transept et la base du clocher sont du XIIIe siècle, la nef et le bas-côtés du XVIe siècle ; la pierre tombale à deux effigies du XVIe siècle, la statue de saint Brice en chêne du XIIIe siècle, le grand christ de bois du XVIIe siècle. L'église abrite la tombe de Jean de Furet (décédé en 1539), dans laquelle repose, outre le seigneur, sa femme. Des reliques de Saint Thibaut de Marly, abbé des Vaux de Cernay, sont également présentes dans l'église.

     

    Cernay-la-Ville  (Yvelines)

    Cernay-la-Ville  (Yvelines)

    Cernay-la-Ville  (Yvelines)

    Cernay-la-Ville  (Yvelines)

    Cernay-la-Ville  (Yvelines)

    Cernay-la-Ville  (Yvelines)

    Cernay-la-Ville  (Yvelines)

    Cernay-la-Ville  (Yvelines)

    Cernay-la-Ville  (Yvelines)

    Cernay-la-Ville  (Yvelines)

    Cernay-la-Ville  (Yvelines)

    Cernay-la-Ville  (Yvelines)

    Cernay-la-Ville  (Yvelines)

    Cernay-la-Ville  (Yvelines)

    Cernay-la-Ville  (Yvelines)

    Cernay-la-Ville  (Yvelines)

    Cernay-la-Ville  (Yvelines)

    Cernay-la-Ville  (Yvelines)

    Cernay-la-Ville  (Yvelines)

    Cernay-la-Ville  (Yvelines)

    Cernay-la-Ville  (Yvelines)

    Cernay-la-Ville  (Yvelines)

     

    L'Abbaye des Vaux de Cernay, abbaye cistercienne du 12ème siècle est un lieu unique, fascinant et mystérieux situé au cœur de la vallée de Chevreuse dans la forêt domaniale de Rambouillet. Venez en famille vous promener dans le parc et visiter l'abbaye. Une belle visite culturelle assurée !
    Enchâssée dans son vallon, bordée de 1000 hectares de bois légendaires aux chasses royales, surgit l'Abbaye cistercienne du XIIème siècle, extraordinaire ensemble architectural, cantique de pierres aux résonances grégoriennes, puissance et mystère d'un monastère.
    Les moines sont chassés de l’abbaye par le pouvoir révolutionnaire vers 1791. Les bâtiments seront vendus comme biens nationaux et bientôt démantelés comme carrières de pierre. Les vestiges de l’abbaye témoignent de l’ancienne grandeur de l’abbaye cistercienne.

     

    Cernay-la-Ville  (Yvelines)

    Cernay-la-Ville  (Yvelines)

    Cernay-la-Ville  (Yvelines)

    Cernay-la-Ville  (Yvelines)

    Cernay-la-Ville  (Yvelines)

    Cernay-la-Ville  (Yvelines)

    Cernay-la-Ville  (Yvelines)

    Cernay-la-Ville  (Yvelines)

    Cernay-la-Ville  (Yvelines)

    Cernay-la-Ville  (Yvelines)

    Cernay-la-Ville  (Yvelines)

    Cernay-la-Ville  (Yvelines)

    Cernay-la-Ville  (Yvelines)


    Le Petit Moulin des Vaux de Cernay Anciennement appelé le moulin de Hotton, le Petit Moulin apparaît en 1207 lorsque les moines de l'Abbaye obtiennent un dixième du "molendino d'Auton". En 1586, le moulin est rebâti après d'important travaux, rétabli en moulin "bien moulant tournant travaillant faisant de bled farine". Après la révolution, le petit moulin comme l'Abbaye des Vaux de Cernay est vendu comme bien national. Il revient au Duc de Luynes, propriétaire du Château de Dampierre. L'activité de moulin à farine perdure sous révolution avant de disparaître peu à peu jusqu'à disparaître complètement au début du XIXème siècle, le moulin est régulièrement loué.
    Après la disparition de l'activité de meunerie au milieu de XIXème siècle, le moulin est transformé en auberge, fortement appréciée des artistes et des promeneurs parisiens du dimanche.

     

    Cernay-la-Ville  (Yvelines)

    Cernay-la-Ville  (Yvelines)

    Cernay-la-Ville  (Yvelines)

    Cernay-la-Ville  (Yvelines)

    Cernay-la-Ville  (Yvelines)

    Cernay-la-Ville  (Yvelines)

    Cernay-la-Ville  (Yvelines)

    Cernay-la-Ville  (Yvelines)

    Cernay-la-Ville  (Yvelines)

    Cernay-la-Ville  (Yvelines)

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    Cernay-la-Ville  (Yvelines)

     

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  • Peinture de :Nicolae Grigorescu

     

    Peinture de :Nicolae Grigorescu

     

    Nicolae Grigorescu (15 mai 1838 – 24 juillet 1907) est considéré comme le plus grand peintre roumain. Il était membre de l'Académie roumaine.

     

    Peinture de :Nicolae Grigorescu

     

    Le 15 mai 1838, N. Grigorescu naît dans le village de Văcărești de Răstoacă, dans le județ de Dâmbovița. En 1843, il déménage à Bucarest avec sa mère et ses frères et devient quelques années plus tard l'élève du peintre tchèque Anton Chladek. Il réalise alors (entre 1850 et 1861) des icônes pour les églises des monastères Baïcoï et Caldarusani ainsi que des peintures murales pour les églises des monastères Zamfira et Agapia dans un style encore académique.

     

    Peinture de :Nicolae Grigorescu

    Peinture de :Nicolae Grigorescu

    Peinture de :Nicolae Grigorescu

    Peinture de :Nicolae Grigorescu

    Peinture de :Nicolae Grigorescu

    Peinture de :Nicolae Grigorescu

    Peinture de :Nicolae Grigorescu

    Peinture de :Nicolae Grigorescu

    Peinture de :Nicolae Grigorescu

    Peinture de :Nicolae Grigorescu

     

    En 1861, il obtient une bourse qui lui permet d'étudier à l’école des Beaux-arts de Paris où, dans l'atelier de Jean-Jean Cornu, il a Renoir pour condisciple. Il en profite pour aller copier au Louvre les toiles des grands maîtres. À l'auberge du père Ganne, près de Fontainebleau, il rencontre les maîtres de l'École de Barbizon comme Millet, Daubigny ou Corot et s'initie à la peinture de plein air dans les forêts voisines. Il part ensuite peindre à Barbizon. À leur contact, il allège sa palette et opte pour une touche à la fois abrégée et synthétique, par larges coups de brosse visibles tout en affirmant déjà sa prédilection pour des thèmes et un rendu réalistes, à la fois construit et spontané. La rencontre de Georges de Bellio, mécène des impressionnistes, l'initie aux styles de Monet, Renoir ou Sisley. Sa palette gagne encore en luminosité, mais il conserve son goût pour la paysannerie et un réalisme direct.

     

    Peinture de :Nicolae Grigorescu

    Peinture de :Nicolae Grigorescu

    Peinture de :Nicolae Grigorescu

    Peinture de :Nicolae Grigorescu

    Peinture de :Nicolae Grigorescu

    Peinture de :Nicolae Grigorescu

     

    En 1873-1874, il voyage en Italie (Rome, Naples, Pompéi), en Grèce, en Turquie, à Vienne, en Moldavie où il peint les paysans, son thème favori.

     

    Peinture de :Nicolae Grigorescu

    Peinture de :Nicolae Grigorescu

    Peinture de :Nicolae Grigorescu

    Peinture de :Nicolae Grigorescu

    Peinture de :Nicolae Grigorescu

    Peinture de :Nicolae Grigorescu

     

    Pendant la guerre d'indépendance de 1877, il devient « peintre de guerre » en Roumanie et réalise le Cycle de la campagne en plus des dessins et croquis de scènes de combat.

     

    Peinture de :Nicolae Grigorescu

    Peinture de :Nicolae Grigorescu

    Peinture de :Nicolae Grigorescu

    Peinture de :Nicolae Grigorescu

    Peinture de :Nicolae Grigorescu

     

    De 1879 à 1890, il travaille surtout à Paris et va peindre à Vitré en Bretagne.

    De retour en Roumanie (à Câmpina), il expose plusieurs fois à l'Athénée roumain entre 1891 et 1904. En 1899, il est nommé membre honoraire de l'Académie roumaine. Pendant cette dernière période, il se consacre surtout au portrait et peint des visages remarquablement expressifs et baignés de lumière sur un fond sombre.

     

    Peinture de :Nicolae Grigorescu

    Peinture de :Nicolae Grigorescu

    Peinture de :Nicolae Grigorescu

    Peinture de :Nicolae Grigorescu

    Peinture de :Nicolae Grigorescu

    Peinture de :Nicolae Grigorescu

    Peinture de :Nicolae Grigorescu

     

    Premier peintre roumain adepte de la peinture de plein air et fondateur de la peinture moderne en Roumanie, il a influencé des peintres comme Ion Andreescu (son condisciple à Fontainebleau) et Ștefan Luchian

     

    Peinture de :Nicolae Grigorescu

    Peinture de :Nicolae Grigorescu

    Peinture de :Nicolae Grigorescu

    Peinture de :Nicolae Grigorescu

    Peinture de :Nicolae Grigorescu

    Peinture de :Nicolae Grigorescu

     

     

    Peinture de :Nicolae Grigorescu

     

    Peinture de :Nicolae Grigorescu

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  • C'est aujourd'hui la fête des mères

      

    C'est aujourd'hui la fête des mères 

    C'est aujourd'hui la fête des mères

    C'est aujourd'hui la fête des mères 

     

    C'est aujourd'hui la fête des mères

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  • Gâteau 

    INGREDIENTS

    Coulis de fraises:
    250g de fraises
    4cl d'eau
    10g de sucre
    3 càs de jus de citron

    Charlotte glacée:
    200g de biscuits roses de Reims
    3 blancs d’œuf
    500g de yaourt à la grecque
    400g de compote de rhubarbe peu sucrée*
    200g de lait concentré sucré

    Chantilly:
    10cl de crème liquide entière
    1 cuillère à soupe de sucre glace
    qq grains de vanille
    200g de fraises fraîches

     

    Charlotte glacée rhubarbe, yaourt et fraises

     

    INSTRUCTIONS

     

    Préparez le coulis de fraise:
    Réalisez un sirop: portez à ébullition l'eau et le sucre jusqu'à ce que le sucre soit dissout. Nettoyez et équeutez les fraises avant de les mixer avec le sirop et le jus de citron au blender. Réservez au frais.
    Préparez de l'appareil à charlotte glacée yaourt-rhubarbe:
    Coupez 1cm à une extrémité de vos biscuits roses de Reim pour qu'ils tiennent bien droits dans le cercle. Egalisez également les côtés avec un couteau pour qu'ils soient bien serrés et éviter ainsi que l'appareil à charlotte ne s'échappe sur les côtés.
    Répartissez les biscuits roses (côté sucre vers l'extérieur) à l'intérieur d'un cercle de 20cm posé sur un plat de service et d'un cercle de 10cm posé sur une feuille de papier cuisson. sur les bords de vos deux moules.
    Préparation de la mousse yaourt-rhubarbe:
    Mixez la compote de rhubarbe pour qu'elle ait une consistance lisse. Mélangez-la avec le yaourt à la grecque et le lait concentré.
    Montez les blancs en neige fermes mais encore mousseux (texture mousse à raser). Puis incorporez-les délicatement avant d'y ajouter au mélange compote, yaourt et lait concentré.
    Dressez la charlotte glacée rhubarbe fraise :
    Versez une première couche d'appareil rhubarbe dans le fond des cercles. Versez par dessus une spirale de coulis de fraise puis recouvrez d'appareil rhubarbe. Répétez l'opération jusqu'à arriver à un peu moins d'1cm du bord des biscuits dans les 2 cercles.
    Placez vos 2 cercles de charlotte au congélateur pendant au moins 12h.
    Décorez votre charlotte glacée:
    mn avant de servir, montez la crème liquide en chantilly bien serrée avec le sucre glace et la vanille.
    Démoulez vos 2 gâteaux en retirant les cercles. Pochez ou étalez la chantilly sur la surface des 2 gâteaux puis déposez le petit au centre du gros gâteau.
    Rincez les fraises et coupez-les en 4 ou 5 tranches verticales. Répartissez les tranches sur le pourtour des 2 gâteaux et surmontez le tout d'une fraise entière. Servez votre charlotte glacée immédiatement accompagnée de chantilly.

     

    Charlotte glacée rhubarbe, yaourt et fraises

     

    Charlotte glacée rhubarbe, yaourt et fraises

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  • Fleurs cultivées :  Sinningia leucotricha

     

    Le Sinningia leucotricha originaire du Brésil a une floraison abondante au printemps composée de petites fleurs tubulaires orangées à rouges ainsi qu’un très beau feuillage argenté duveteux qui lui permet d’absorber l’humidité atmosphérique.

     

    Fleurs cultivées :  Sinningia leucotricha

    Fleurs cultivées :  Sinningia leucotricha

    Fleurs cultivées :  Sinningia leucotricha

    Fleurs cultivées :  Sinningia leucotricha


    Son nom d'usage est « edelweiss du Brésil », car cette espèce vit, dans son Brésil d'origine, accrochée en haut des falaises escarpées où elle absorbe l'eau de ruissellement. Le Sinningia leucotricha (de la famille des Gesnériacées) est une plante vivace à caudex tubéreux. C'est-à-dire qu'elle produit un tubercule qui lui sert d'organe de réserve pour l'eau et les nutriments dans un milieu de vie aride. Cultivé sous nos climats comme plante d'appartement, le Sinningia se plaira entouré d'autres plantes qui lui feront profiter d'une hygrométrie ambiante naturelle.

     

    Fleurs cultivées :  Sinningia leucotricha

    Fleurs cultivées :  Sinningia leucotricha

    Fleurs cultivées :  Sinningia leucotricha

    Fleurs cultivées :  Sinningia leucotricha

    Fleurs cultivées :  Sinningia leucotricha

     

    Cette espèce est une cousine des Gloxinia et Saintpaulia dont la culture et les conditions environnementales sont proches. Une des particularités de cette plante est d'avoir des tiges qui émergent de tubercules fibreux. Ses racines partent du dessus du tubercule, et non du dessous. Elle porte des tiges et des feuilles vert tendre, caduques à semi-persistantes, recouvertes d'un duvet blanc et dense. Les feuilles sont elliptiques, à marges réfléchies. Le limbe est fortement veiné sur le dessous. Le Sinningia leucotricha mesure une quinzaine de centimètres, est disposé en rosette de 4 par tige, tiges qui peuvent atteindre 30 à 50 cm de haut.

     

    Fleurs cultivées :  Sinningia leucotricha

    Fleurs cultivées :  Sinningia leucotricha

    Fleurs cultivées :  Sinningia leucotricha

    Fleurs cultivées :  Sinningia leucotricha

    Fleurs cultivées :  Sinningia leucotricha

    Fleurs cultivées :  Sinningia leucotricha

      

    Presque cylindriques, hermaphrodites, les fleurs rouge orangé s'épanouissent au printemps sur une période de 2 mois environ, au nombre d'une vingtaine, portées chacune par un calice de 3 cm. Dans leur pays d'origine, les colibris les fécondent. Les fruits sont des capsules fixées par un calice à lobe aigu.

     

    Fleurs cultivées :  Sinningia leucotricha

    Fleurs cultivées :  Sinningia leucotricha

    Fleurs cultivées :  Sinningia leucotricha

    Fleurs cultivées :  Sinningia leucotricha

    Fleurs cultivées :  Sinningia leucotricha

    Fleurs cultivées :  Sinningia leucotricha

      

    Au printemps, les tiges émergent. Plus le caudex est large, plus elles sont nombreuses. Elles croissent rapidement, passant de bourgeons basaux cotonneux à tiges fleuries en 1 mois de temps. Cette petite, mais ravissante, plante d'intérieur est assez nouvellement commercialisée. Les Sinningia peuvent vivre plusieurs années devenant un peu plus beaux chaque printemps !

     

    Fleurs cultivées :  Sinningia leucotricha

    Fleurs cultivées :  Sinningia leucotricha

    Fleurs cultivées :  Sinningia leucotricha

    Fleurs cultivées :  Sinningia leucotricha

    Fleurs cultivées :  Sinningia leucotricha

     

    Fleurs cultivées :  Sinningia leucotricha

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  • Cest aujourd'hui l'Ascencion

    Cest aujourd'hui l'Ascencion

     

    Cette fête célèbre l'élévation de Jésus Christ au Ciel. C'est l'une des principales fêtes de l'année liturgique.
    Située entre Pâques et la Pentecôte, c'est-à-dire entre la résurrection du Christ et la venue de l'Esprit Saint sur les apôtres, l'Ascension ne peut être comprise qu'en lien avec ces deux évènements.

     

    Cest aujourd'hui l'Ascencion

    Cest aujourd'hui l'Ascencion

    Cest aujourd'hui l'Ascencion

     

    Évangile de Jésus-Christ selon Saint Marc. ( Mc 16.15-20)
    Jésus ressuscité dit aux onze Apôtres : « Allez dans le monde entier. Proclamez la Bonne Nouvelle à toute la création. Celui qui croira et sera baptisé sera sauvé; celui qui refusera de croire sera condamné. Voici les signes qui accompagneront ceux qui deviendront croyants: en mon nom, ils chasseront les esprits mauvais ; ils parleront un langage nouveau ; ils prendront des serpents dans leurs mains, et, s'ils boivent un poison mortel, il ne leur fera pas de mal ; ils imposeront les mains aux malades, et les malades s'en trouveront bien.»

     

    Cest aujourd'hui l'Ascencion

    Cest aujourd'hui l'Ascencion

    Cest aujourd'hui l'Ascencion

     

    Le Seigneur Jésus, après leur avoir parlé, fut enlevé au ciel et s'assit à la droite de Dieu. Quant à eux, ils s'en allèrent proclamer partout la Bonne Nouvelle. Le Seigneur travaillait avec eux et confirmait la Parole par les signes qui l'accompagnaient.

     

    Cest aujourd'hui l'Ascencion

    Cest aujourd'hui l'Ascencion

     

    Cest aujourd'hui l'Ascencion

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  • "Dans un champ de lavande" poème de Blanche

     

    Dans un champ de lavande

      

    Dans un champ de lavande au pays du soleil

    J'ai trouvé que la vie avait un goût de miel.

    Chaque cigale en fête agitait sa crécelle

    Et le vent du midi dansait la tarentelle.

    "Dans un champ de lavande" poème de Blanche Maynadier 

    On moissonnait les fleurs. Leur parfum me grisait

    Je m'enivrais de joie et je déraisonnais.

    Dans la lavande bleue au soleil de Provence

    Je voulais prendre un bain d'amour et de jouvence.

    "Dans un champ de lavande" poème de Blanche Maynadier 

    Tous les mots séduisants que je n'avais pas dits

    Se formaient dans mon coeur en joyeux gazouillis.

    Dans cet air embaumé j'imaginais une âme

    Je lui donnais un corps fait de braise et de flamme. 

    "Dans un champ de lavande" poème de Blanche Maynadier

    Bien au chaud dans ses bras je croyais au bonheur

    Et son regard de feu me caressait le coeur.

    Ce champ bleu nous offrait une odorante couche !

    Et je buvais les sons qui sortaient de sa bouche. 

    "Dans un champ de lavande" poème de Blanche Maynadier

    Dans ce site enchanté vaporeusement flou

    Ne pouvant pas le voir je le sentais partout.

    Et je ne souffrais pas de cette incohérence

    Puisque de son amour je saisissais l'essence.

    "Dans un champ de lavande" poème de Blanche Maynadier 

    Sous l'emprise des fleurs, j'ai fait de grands projets

    Qui petit à petit se changeaient en regrets...

    J'avais glané pour lui des épis de lavande

    Passant près d'un calvaire à Dieu j'en fis offrande

     

    Blanche Maynadier

     

    "Dans un champ de lavande" poème de Blanche Maynadier

    "Dans un champ de lavande" poème de Blanche Maynadier

    "Dans un champ de lavande" poème de Blanche Maynadier

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