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Par chezmamielucette le 14 Mai 2022 à 00:00
Ingrédients pour 6 parts :
200 g de farine
250 g de yaourt nature à 0%
125 g de compote de pommes
100 g de fruits rouges surgelés
1 poire
1 banane
50 g de stévia
1/2 sachet de levure chimique
1 cuillère à café de la fleur d’oranger
3 oeufs
1 sachet de sucre vanillé
Préparation :
Dans un saladier mettez le yaourt et la compote, puis ajoutez la farine, le stévia, la fleur d’oranger et les oeufs.
Coupez la banane et la poire en cube et ajoutez-les au contenu du saladier avec les fruits rouges, ensuite mélangez bien le tout avec un fouet.
préchauffez le four à 200°.
Versez la pâte dans un moule couvert de papier sulfurisé, puis mettez à cuire au four pendant 30 minutes.
Laissez ce gâteau léger aux fruits et yaourt refroidir avant de servir.
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Par chezmamielucette le 13 Mai 2022 à 00:00
Encore peu connu, le Sesbania, petit arbuste exotique de même origine que l'oiseau du paradis, mérite une place de choix au jardin. Sa croissance fulgurante, sa résistance au sec et la générosité de sa floraison estivale sont déconcertantes
Le genre Sesbania comprend environ 60 espèces de la famille des Fabacées, sous-famille des Papilionacées, réparties sur tous les continents. Le flamboyant de Hyères (Sesbania punicea) est cependant la seule espèce diffusée en région tempérée pour son intérêt ornemental. Il s'agit d'un petit arbre originaire d'Argentine, Uruguay, Paraguay et Brésil, cultivé en pleine terre sur le pourtour méditerranéen et dans le sud-ouest de la France. La culture en pot en tant que plante d'orangerie ou comme annuelle est réalisable partout ailleurs. L'espèce s'est propagée dans certaines parties de l'Afrique, d'Amérique du Sud et sur la côte sud des États-Unis. Elle forme des fourrés denses dans les endroits marécageux et dans les zones perturbées.
Le flamboyant de Hyères offre un port souple en parasol mais ne dépasse guère 2,50 m de haut. Sa croissance est fulgurante et la floraison intervient souvent la première ou seconde année du semis. Les tiges grêles portent des feuilles composées alternes, de 6 à 10 cm de long, comportant un nombre de folioles pairs. Ce feuillage léger vert franc persiste en région subtropicale sèche chaude tandis qu'il chute sous nos latitudes. Notez que les feuilles se replient sur elles-mêmes le soir comme chez beaucoup de Fabacées.
Le Sesbania forme dès le début de l'été de courtes grappes de fleurs d'un beau orange non agressif à l'œil qui se renouvellent jusqu'en fin d'automne en climat doux. Les corolles rappelant la glycine, sont munies des 5 pétales typiques des Papilionacées. L'espèce tripetii parfois différenciée de punicea possède une teinte vermillon plus vive.
Les fruits sont des gousses de 10 cm à 4 arêtes longitudinales s'ouvrant en deux à maturité. La fructification se joint à la floraison au cours de l'été arborant des grappes de gousses vert fluo plus ou moins nuancées de rouge avant de se lignifier. Elles persistent sur les rameaux durant tout l'hiver émettant un bruit de grelot lorsqu'on les secoue. Le nom anglais rattlebox évoque ce bruit de hochet. Les nombreuses graines beiges en forme de rein, de 5 mm sont libérées au printemps.
Toutes les parties de la plante sont toxiques mais les graines en particulier. Celles-ci possèdent un tégument imperméable qui leur permet d'être transportées par l'eau avant de germer.
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Par chezmamielucette le 12 Mai 2022 à 00:00
Meulan-en-Yvelines est une commune des Yvelines, dans la région Île-de-France, située dans le Vexin français, au confluent avec l'Aubette
Meulan-en-Yvelines est une commune riveraine de la Seine, située sur la rive droite du fleuve dans le nord du département des Yvelines, à 16 km environ à l'est de Mantes-la-Jolie, sous-préfecture, à 33 km environ au nord-ouest de Versailles, préfecture du département, et à 40 km à l'ouest de Paris.
Église Saint-Nicolas, rue de l'Église (classée monument historique par arrêté du 30 mars 1978) : C'est, depuis la Révolution française, la seule église de la ville.
Derrière sa sobre façade néo-classique de 1764, accostée d'un clocher purement fonctionnel de la même année, et derrière ses murs latéraux délabrés sans aucun caractère, se dissimule un édifice gothique édifié en deux campagnes au troisième quart du XIIe siècle et au premier quart du XIIIe siècle, en ce qui concerne les deux premières travées.
L'église Saint-Nicolas se distingue surtout par son plan à déambulatoire sans chapelles rayonnantes, et sans transept. Assez curieusement, les quatre piliers cylindriques du rond-point de l'abside portent des chapiteaux à volutes d'angle d'un style roman archaïque. Sinon, l'on trouve des chapiteaux gothiques à feuilles d'eau et à feuilles d'acanthe de bon niveau, et encore sept voûtes d'ogives à grosses nervures subsistant de la première campagne de construction. Cependant, l'église est restée inachevée, et l'étage des fenêtres hautes n'a jamais été construit. Le vaisseau central est donc sombre. Au premier quart du XVIe siècle, l'on s'est résolu à le couvrir de voûtes situées à un niveau inférieur à celui initialement prévu, ce qui a conduit à la condamnation des fenêtres latérales provisoires. En plus, l'église souffre depuis plusieurs siècles de l'instabilité du terrain, et les voûtes des deux premières travées ainsi que le mur du bas-côté sud ont dû être refaits en 1765. Cette campagne a conduit à un appauvrissement de l'architecture, mais a le mérite de ne pas avoir introduit d'éléments de style néo-classique dans l'espace intérieur, qui reste donc entièrement gothique. Les claveaux des anciennes voûtes ont été réemployés. Plus problématiques, sur le plan esthétique, sont les remaniements et ajouts des années 1870. Depuis, le sanctuaire est affublé de balustrades d'un style très lourd plaquées devant les murs hauts, et une chapelle de la Vierge néo-gothique s'ouvre depuis la travée d'axe du déambulatoire.
Vieux pont sur l'Île-Belle (il date de 1150) dit aussi pont aux Perches (inscrit monument historique par arrêté du 30 mars 1978) : ce pont, auquel il manque quatre arches, donne accès à une ferme du XIXe siècle; il appartient à la commune.
peinture de Michel De Ruyck
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Par chezmamielucette le 11 Mai 2022 à 00:00
Aimons toujours ! aimons encore
Aimons toujours ! aimons encore !
L’amour, c’est le cri de l’aurore,
L’amour, c’est l’hymne de la nuit.
Ce que le flot dit aux rivages,
Ce que le vent dit aux vieux monts,
Ce que l’astre dit aux nuages,
C’est le mot ineffable : Aimons !
L’amour fait songer, vivre et croire.
Il a, pour réchauffer le cœur,
Un rayon de plus que la gloire,
Et ce rayon, c’est le bonheur !
Victor Hugo
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Par chezmamielucette le 10 Mai 2022 à 00:00
Villeneuve-la-Guyard est une commune française située dans le département de l'Yonne en région Bourgogne-Franche-Comté.
La commune de Villeneuve-la-Guyard est dans le nord du département de l'Yonne1 à 25 kilomètres au nord-ouest de Sens, limitrophe du département de Seine-et-Marne.
La construction de l'église a débuté au XIIe siècle pour s'achever au XVIe siècle, époque où le bourg alors dépendance de Chaumont devint une ville. Dédiée à Saint Germain, l’évêque d’Auxerre, l’église se compose d’une large nef et d’un large chœur.
En 2008, le clocher menaçant de s'effondrer, des travaux de réfection sont effectués.
L'édifice est inscrit au titre des monuments historiques en 1926.
Cette modeste maison paysanne, située dans le hameau de Bichain à Villeneuve-la-Guyard entre Fontainebleau et Sens, fut la demeure de villégiature estivale de Claude Debussy entre 1901 et 1903. Il y a composé une des plus belles pages de l'histoire de la musique : La Mer.
Notre projet est de la restaurer pour créer un espace culturel valorisant notre territoire bourguignon et le patrimoine musical français. Les étés passés à Bichain par le compositeur ont laissé un important souvenir parmi les habitants du hameau. Cette demeure, une fois restaurée, sera consacrée à l'évocation de la vie et l'œuvre de Claude Debussy.
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Par chezmamielucette le 9 Mai 2022 à 00:00
Virginie Trabaud est née le 9 Juillet 1974, à Argenteuil dans le Val d'Oise réside à Villeneuve La Guyard en Bourgogne.
Artiste Autodidacte, elle a été Médaillée Argent Arts-Sciences-Lettres en 2014, Diplômée de la Médaille de Vermeill Arts-Sciences-Lettres en juin 2019 à Paris. Elle est également Membre de l'Académie Européenne des Arts France, Chevalier Académique Mondial Art Academia et elle est côtée drouot depuis 2008 (publiée dans le Dictionnaire Guid'Art Drouot les Artistes Cotées et ventes aux chères chaque mois sur le site Drouot-on-line représentée par l'Hôtel de Vente de Lausanne.
Après ses études et une carrière commerciale dans la publicité, elle réalise en 2006 un rêve qui lui tenait à coeur, devenir Artiste Peintre et vivre de son Art.
Cette passion pour la création lui vint dès l’enfance, elle observait son grand père Corse peintre des maquettes. La poterie fut l’un de ses loisirs préférés, travailler l’argile, sculpter et obtenir quelque chose de beau et de concret.
Sa Technique est la pose d'une sculpture épaisse et résistante de sa composition qu'elle nomme le mortier, et qui lui permet de donner des effets 3D à la Toile, et l'acrylique peinture qu'elle apprécie le plus lui permet de réaliser d'immortaliser des Portraits et tableaux accessibles à tous.
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Par chezmamielucette le 7 Mai 2022 à 00:00
Ingrédients :
200 g de rhubarbe
2 œufs
120 g de sucre
80 g de farine
65 g environ de yaourt nature (1/2)
2 cuillerées à soupe d’huile
1 cuillerée à café de levure chimique
1 cuillerée à soupe de sucre glace pour décorer.
Préparation :
Préchauffer le four à 180°
Préparer la rhubarbe et la faire dégorger
Dans un saladier battre les 2 œufs et les 120 g de sucre; ajouter 80 g de farine et la levure; délayer avec le 1/2 yaourt et 2 cuillerées à soupe d' huile
Mettre 8 caissettes en papier dans les empreintes à muffins et y répartir la préparation (aux 2/3 environ) avec les dés de rhubarbe
Saupoudrer de sucre glace
et cuire au four 20 mn à 180°
Laisser refroidir
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Par chezmamielucette le 6 Mai 2022 à 00:00
Les seringats appartiennent au genre Philadelphus qui compte une quarantaine d'espèces de la famille des Hydrangéacées. Leur croissance est rapide et certains peuvent atteindre leur taille adulte en 4 à 5 ans. Très rustiques (de -20 à -25 °C et jusqu'à -30 °C selon les variétés), ils s'adaptent à la plupart des terrains. Ces arbustes tantôt buissonnants et étalés, tantôt érigés avec des branches plus ou moins arquées atteignent entre 1,5 m et 5 à 6 m pour les plus grandes variétés.
La diversité de leur taille et de leur port permet de les utiliser avec autant de bonheur en culture isolée que dans un massif ou une haie libre et aussi en jardinière ou en bac sur une terrasse ou un balcon.
Le feuillage assez dense du philadelphus, le plus souvent vert profond ou plus clair (et même jaune doré chez P. Coronarius Aureus), est toujours caduc. Les feuilles simples ovales et en pointe effilée sont plus ou moins grandes. Leur couleur met en valeur, par contraste, un blanc éclatant dominant des floraisons.
Les fleurs nombreuses et groupées en petits bouquets sont le plus souvent parfumées et d'un blanc éclatant, simples, semi-doubles ou très doubles selon les variétés. Parfois, leur teinte est plus crème et elles peuvent être tachées de rouge en leur centre.
Apparaissant parfois début mai, les philadelphus peuvent aussi fleurir jusqu'en juillet pour les cultivars les plus tardifs. Mais, d'une façon générale, cette floraison ne dure pas plus de deux mois. Vous aurez donc tout intérêt à les associer à d'autres arbustes à floraison plus précoce ou plus tardive et prolongée tels les forsythias ou les buddleias.
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Par chezmamielucette le 5 Mai 2022 à 00:00
Ploërmel est une commune française située dans le département du Morbihan, en région Bretagne.
Ploërmel est située au nord-est du Morbihan, à proximité du massif forestier de Paimpont, à 50 km au sud-ouest de Rennes, 35 km au nord-est de Vannes et 47 km au nord-ouest de Redon, approximativement au centre géographique de l'ancienne province de Bretagne.
L'horloge astronomique (1850-1855) est située dans l'enceinte de la Maison de la congrégation des frères de Ploërmel. Elle est l'œuvre du frère Gabriel Morin (1812-1876), également connu comme frère Bernardin. Professeur de mathématiques, astronomie et navigation, et sans formation d'horloger, il a construit l'instrument dans le but d'illustrer ses cours. Elle est classée monument historique en 1982.
Le château de la Haute-Touche, sur le territoire de la commune déléguée Monterrein, est un bâtiment de 1760, mais sur le lieu existe des vestiges des XVIe et XVIIe siècles. Excepté le principe des cuisines en sous-sols, adopté depuis longtemps dans la région de Malestroit, la construction du bâtiment se rapproche plutôt du type des malouinières. Les anciens bâtiments des XVIe et XVIIe siècles servent de communs. Le portail et sa ferronnerie font partie des embellissements effectués au début du XXe siècle par l'architecte rennais Jobbé-Duval. Ces embellissements comprenaient aussi des douves, jardins à la française, nouveau perron... À cette époque, une nouvelle chapelle a été construite, qui fait pendant à un colombier du XIIIe siècle. Il est inscrit aux Monuments historiques depuis 2001.
Le château de Quéhéon, à 4 km à l'est du bourg, semble avoir été construit au XIVe siècle, puis rebâti au début du XVIIe siècle.
Le château de Malleville, au sud-est du bourg de Ploërmel, est construit au XVe siècle. En 1905, un hippodrome est aménagé dans le parc du château. La chapelle et le calvaire sont inscrits au titre des monuments historiques par arrêté du 27 décembre 1973.
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