• Biscuits à la clémentine

     

      Ingrédients pour 35 biscuits

     

    - 250 g de farine
    - 1 c à café de levure chimique
    - 110 g de beurre demi-sel, mou
    - 150 g de sucre roux (cassonade)
    - 1 oeuf entier
    - 2 gouttes d'extrait d'orange, ou huile essentielle d'orange
    - 1 pot de confiture de clémentine corse

     

    Biscuits à la clémentine

     

    Préparation:

     

    Mettre la farine, la levure, le beurre, le sucre roux, l'oeuf et l'extrait d'orange dans un bol. Pétrir pendant 1 min. Déposer la pâte en boule sur une feuille de papier sulfurisé, sur un plan de travail. Couvrir d'une seconde feuille et papier et étaler la pâte au rouleau.

    Préchauffer le four à 180°C.

    Découper des cercles à l'aide d'un emporte-pièce ( 6 cm pour les grands biscuits, 4,5cm pour les petits). Mettre sur un disque de pâte 1/2 c à café de confiture de clémentine, puis recouvrir avec un second disque de pâte. Souder les bords avec les doigts, et déposer sur une plaque à biscuits recouverte de papier sulfurisé. Renouveler l'opération jusqu'à épuisement de la pâte.

    Enfourner 12 min à 180°C.

    Sortir du four et laisser refroidir complètement avant de déguster.

     

    Biscuits à la clémentine

     

    Les biscuits durcissent en refroidissant, mais le coeur fond dans la bouche…

     

    Biscuits à la clémentine

     

    Biscuits à la clémentine

     

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  • Fleurs cultivées : Scadoxus

     

    Fleurs cultivées : Scadoxus

     

    Les Scadoxus sont natifs d’Afrique noire et de la péninsule Arabique. Parmi eux, Scadoxus multiflorus subsp. multiflorus est la sous-espèce qui se déploie sur le plus vaste territoire allant de zones tropicales jusqu’au sud de l’Afrique, incluant également la péninsule Arabique.

     

    Fleurs cultivées : Scadoxus

    Fleurs cultivées : Scadoxus

    Fleurs cultivées : Scadoxus

    Fleurs cultivées : Scadoxus

    Fleurs cultivées : Scadoxus

     

    Les autres espèces et sous-espèces se cantonnent à des zones restreintes et poussent en grande partie à l’ombre dans les forêts tropicales.

     

    Fleurs cultivées : Scadoxus

    Fleurs cultivées : Scadoxus

    Fleurs cultivées : Scadoxus

    Fleurs cultivées : Scadoxus

    Fleurs cultivées : Scadoxus

     

    Les 3 espèces introduites dans nos jardins d’Europe proviennent de zones tempérées d’Afrique du Sud : S. multiflorus,

     

    Fleurs cultivées : Scadoxus

    Fleurs cultivées : Scadoxus

    Fleurs cultivées : Scadoxus

     

    S. membranaceous

     

    Fleurs cultivées : Scadoxus

    Fleurs cultivées : Scadoxus

    Fleurs cultivées : Scadoxus

    et S. puniceus.

     

    Fleurs cultivées : Scadoxus

    Fleurs cultivées : Scadoxus

    Fleurs cultivées : Scadoxus

     

    Les Scadoxus parviennent aussi à vivre en pot de longues années dans la maison.

     

    Fleurs cultivées : Scadoxus

     

    Les Scadoxus sont des vivaces rhizomateuses comportant parfois un bulbe notamment chez les espèces des zones tempérées. Les feuilles souples lancéolées ou ovales sont disposées en spirale formant parfois une pseudo-tige (stipe) tachetée de rouge ou une touffe basale assez fournie. Elles sont caduques et disparaissent pendant la période de dormance hivernale.

     

    Fleurs cultivées : Scadoxus

    Fleurs cultivées : Scadoxus

    Fleurs cultivées : Scadoxus

    Fleurs cultivées : Scadoxus

     

    La floraison se déroule au printemps généralement avant la sortie des feuilles et se poursuit pendant la saison des pluies estivales. Une ombelle sphérique composée de 50 à quelques centaines de petites fleurs étoilées orne l’extrémité d’un robuste pédoncule parfois piqueté de rouge. Chaque fleur forme un tube s’ouvrant sur 6 tépales étroits rouges, rosissant en fanant. La corolle arbore 6 longues étamines roses et un pistil saillant et se trouve être visitée par les oiseaux nectarivores.

     

    Fleurs cultivées : Scadoxus

    Fleurs cultivées : Scadoxus

    Fleurs cultivées : Scadoxus

    Fleurs cultivées : Scadoxus

    Fleurs cultivées : Scadoxus

    Fleurs cultivées : Scadoxus

    Fleurs cultivées : Scadoxus

    Fleurs cultivées : Scadoxus

    Fleurs cultivées : Scadoxus

     

    Le fruit est une baie pulpeuse rouge d’environ 1 cm de diamètre, souvent toxique, mais aussi consommé par les oiseaux.

     

    Fleurs cultivées : Scadoxus

    Fleurs cultivées : Scadoxus

    Fleurs cultivées : Scadoxus

    Fleurs cultivées : Scadoxus

    Fleurs cultivées : Scadoxus

     

    Attention : son bulbe est très toxique.

     

    Fleurs cultivées : Scadoxus

     

    Fleurs cultivées : Scadoxus

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  • Objat (Corrèze)

     

    Objat est une commune française située dans le département de la Corrèze en région Nouvelle-Aquitaine.

     

    Objat (Corrèze)

     

    Quinze kilomètres au nord-ouest de Brive-la-Gaillarde, la commune d'Objat est implantée dans la vallée de la Loyre qui traverse le centre-ville. La commune est limitée au sud-ouest par la Loyre et le Roseix, et à l'ouest par le ruisseau du Mayne.

     

    Objat (Corrèze)

    Objat (Corrèze)

     Objat (Corrèze)

    Objat (Corrèze)

    Objat (Corrèze)

    Objat (Corrèze)

    Objat (Corrèze)

    Objat (Corrèze)


    Église Saint-Barthélemy du XVe siècle avec son clocher refait au XIXe siècle. Cette église à la forme très particulière que les Objatois disent de "casque allemand" a été édifié à la fin du XVème siècle. Son clocher est fortement marqué par cette couverture en forme de dôme surmontée d'une cloche, réalisée seulement en 1842. Le portail a quant à lui gardé quelques unes de ses voussures d'origine.

     

    Objat (Corrèze)

    Objat (Corrèze)

    Objat (Corrèze)

    Objat (Corrèze)

    Objat (Corrèze)

    Objat (Corrèze)

    Objat (Corrèze)

     

    Objat (Corrèze)

    Objat (Corrèze)

    Objat (Corrèze)

     

     

    A l'intérieur, vous pourrez découvrir une belle vierge en bois doré datant du XVIIème siècle ainsi qu'un superbe vitrail du milieu du XIXème siècle

     

    Objat (Corrèze)

    Objat (Corrèze)

    Objat (Corrèze)

    Objat (Corrèze)

    Objat (Corrèze)

    Objat (Corrèze)

    Objat (Corrèze)

    Objat (Corrèze)

     

    Tous les dimanches matin une visite s’impose au marché le plus important de Basse-Corrèze.

     

    Objat (Corrèze)

    Objat (Corrèze)

    Objat (Corrèze)

    Objat (Corrèze)

    Objat (Corrèze)

     

     

    Celui-ci, très animé et coloré, perpétue une tradition vieille de plus d’un siècle. Son marché est réputé pour les produits du terroir rassemblés sous la halle

     

    Objat (Corrèze)

    Objat (Corrèze)

    Objat (Corrèze)

    Objat (Corrèze)

    Objat (Corrèze)

    Objat (Corrèze)

    Objat (Corrèze)

    Objat (Corrèze)

    Objat (Corrèze)

     

    Objat (Corrèze)

     

     

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  • "Les oiseaux de mer" poème de Gaston Ligny

     

     Les oiseaux de mer

     

    Les goélands lissent leurs ailes
    Tout près de Brest et de Toulon.
    Du Nord au Sud la mer est belle
    Comme du temps du temps des galions.
    Regardez bien ces macareux,
    On dirait des fleurs de falaise,
    Toujours assis entre deux chais’
    Ils vont par deux, ils vont par deux.

    "Les oiseaux de mer" poème de Gaston Ligny

    La marée monte à Saint Malo
    La falaise a les pieds dans l’eau
    Et le gardien de phare est triste
    Il est le dernier sur la liste
    Des écolos écologistes
    "Les oiseaux de mer" poème de Gaston Ligny

    Un cormoran sur un rochez,
    Se chauffe au soleil de onze heur’
    Il fait beau jusqu’à tout à l’heure
    Car le soleil va se cacher.
    Lorsque la météo chagrine,
    Lorsque le vent a force neuf,
    J’entends les gars de la marine
    Dir’que le vent s’offre un coup d’bluff.

    "Les oiseaux de mer" poème de Gaston Ligny

    La marée monte à Saint Malo
    La falaise a les pieds dans l’eau
    Et le gardien de phare est triste
    Il est le dernier sur la liste
    Des écolos écologistes

    "Les oiseaux de mer" poème de Gaston Ligny

    Regardez ces fous de Bassan !
    Sont-ils fous ? Je vous le demande.
    Non ce sont des pêcheurs d’Islande,
    Ils plongent au large d’Ouessant.
    Et quand vient le temps des amours,
    Du Morbihan jusqu’en Charente,
    Les prises de bec sont fréquent’
    A l’Orient comme à Cherbourg.

    "Les oiseaux de mer" poème de Gaston Ligny

    La marée monte à Saint Malo
    La falaise a les pieds dans l’eau
    Et le gardien de phare est triste
    Il est le dernier sur la liste
    Des écolos écologistes

    "Les oiseaux de mer" poème de Gaston Ligny

    J’aurais tant voulu naviguer
    Même sur un rafiot fragile
    Et parler du parfum des îl’
    Des santals et des cocotiers.
    Mais moi qui suis resté en rade,
    Je connais des oiseaux de mer
    J’ai souvent l’cœur à Désirade
    Quand il fait froid quand c’est l’hiver.

    "Les oiseaux de mer" poème de Gaston Ligny

    La marée monte à Saint Malo
    La falaise a les pieds dans l’eau
    Et le gardien de phare est triste
    Il est le dernier sur la liste

    "Les oiseaux de mer" poème de Gaston Ligny

    Gaston Ligny

     

    "Les oiseaux de mer" poème de Gaston Ligny

    "Les oiseaux de mer" poème de Gaston Ligny

    "Les oiseaux de mer" poème de Gaston Ligny

    "Les oiseaux de mer" poème de Gaston Ligny

     

    "Les oiseaux de mer" poème de Gaston Ligny

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  • Turenne (Corrèze)

     

    Turenne est une commune française située dans le département de la Corrèze en région Nouvelle-Aquitaine.

     

    Turenne (Corrèze)

     

    Le village, perché sur une butte du Jurassique, se situe aux confins de la Corrèze au nord, à quelques kilomètres de la Dordogne à l'ouest (région Nouvelle-Aquitaine), à 3 km du Lot (région Occitanie) au sud.

     

    Turenne (Corrèze)

    Turenne (Corrèze)

    Turenne (Corrèze)

    Turenne (Corrèze)

    Turenne (Corrèze)

    Turenne (Corrèze)

    Turenne (Corrèze)

     

    Dans cette petite ville vous pourrez découvrir :


    Maison Livet du XVe siècle inscrite aux monuments historiques et la Maison Duché du XVIe siècle

     

    Turenne (Corrèze)

    Turenne (Corrèze)

    Turenne (Corrèze)

    Turenne (Corrèze)

    Turenne (Corrèze)

    Turenne (Corrèze)

     

    Maison Cheyroux du XVe siècle inscrite aux monuments historiques.

     

    Turenne (Corrèze)

    Turenne (Corrèze)

    Turenne (Corrèze)

    Turenne (Corrèze)

    Turenne (Corrèze)

    Turenne (Corrèze)

    Turenne (Corrèze)

    Turenne (Corrèze)

     

    Château de Linoire du XVe siècle inscrit pour une partie et classé pour l'autre aux monuments historiques.
    Ancienne maison-forte qui dépendait de la vicomté de Turenne dès le XIVe siècle, et qui servait de poste de surveillance vers la vallée de la Dordogne. En 1738, la vicomté est vendue à la couronne et la seigneurie passe sous autorité royale et décline rapidement. Le château de Linoire comprend un corps de bâtiment en deux parties, accolées de hauteur inégale flanquées à l'est, de part et d'autre, de deux tours dissemblables. Sur la façade sud, une tour hexagonale dont la porte d'accès est ornée d'un chambranle à double mouluration avec un arc en accolade se prolongeant sur les piédroits jusqu'à une base buticulaire. La tour conserve, dans sa partie supérieure, des vestiges de mâchicoulis. A l'intérieur, grand escalier à vis en grès rose de Collonges, couvert d'une calotte en pierre. Sur la façade nord une tour circulaire surplombe le ravin. Le bâtiment le moins élevé servait autrefois de pressoir puis, au XIXe siècle, de bergerie. La chapelle, de style gothique flamboyant, comporte des voûtes d'ogives à liernes et tiercerons reliés par des clés annulaires.

     

    Turenne (Corrèze)

    Turenne (Corrèze)

    Turenne (Corrèze)

    Turenne (Corrèze)

    Turenne (Corrèze)

    Turenne (Corrèze)

    Turenne (Corrèze)

    Turenne (Corrèze)

     

    Perché sur une falaise de plus de vingt mètres de hauteur, ce château fort domine toute la vallée, ce qui lui donne des allures de forteresse imprenable. Seule une pente raide, fermée jadis par trois portes successives y donnait accès. Bâti depuis le XIème siècle sur cette plate-forme de mille cinq cent mètres carrés par les vicomtes de Comborn, il ne présente plus aujourd'hui que d'ultimes vestiges d'anciens bâtiments, dont deux tours et une salle des gardes. La tour César, au Nord, est une tour cylindrique du XIIIème siècle, qui servait à recevoir les signaux des tours relais de Nazareth à l'ouest et de la Gardelle au Nord. A l'entrée du château, la tour du trésor ou tour de l'horloge, bâtiment massif et rectangulaire bâti au XIVème siècle est davantage le symbole de la puissance vicomtale qu'un ouvrage défensif. Des autres bâtiments, démolis après la vente du vicomte en 1738, ne reste que le souvenir perpétué par les sceaux du Moyen-âge et un vitrail de la collégiale.

     

    Turenne (Corrèze)

    Turenne (Corrèze)

    Turenne (Corrèze)

    Turenne (Corrèze)

    Turenne (Corrèze)

    Turenne (Corrèze) 

    Turenne (Corrèze)

    Turenne (Corrèze)

    Turenne (Corrèze)

    Turenne (Corrèze)

    Turenne (Corrèze)

    Turenne (Corrèze)

    Turenne (Corrèze)

    Turenne (Corrèze)

    Turenne (Corrèze)

     

    Turenne (Corrèze)

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  • Peinture de :Jean-Baptiste Olive

     

    Jean-Baptiste Olive, né le 31 juillet 1848 à Marseille, mort le 13 mai 1936 à Paris, est un peintre français.

     

    Peinture de :Jean-Baptiste Olive

    Peinture de :Jean-Baptiste Olive

    Peinture de :Jean-Baptiste Olive

    Peinture de :Jean-Baptiste Olive

    Peinture de :Jean-Baptiste Olive

    Peinture de :Jean-Baptiste Olive

    Peinture de :Jean-Baptiste Olive

     

    Jean-Baptiste Olive est issu d’un milieu très modeste, mais son ami Etienne Cornellier, intuitif des dispositions du jeune homme, le pousse à s’inscrire à l’Ecole des Beaux-arts, où sa collaboration à la décoration est remarquée et récompensée chaque année, s’achevant en 1871 par un Premier Prix en classe de modèle vivant.

     

    Peinture de :Jean-Baptiste Olive

    Peinture de :Jean-Baptiste Olive

    Peinture de :Jean-Baptiste Olive

    Peinture de :Jean-Baptiste Olive

    Peinture de :Jean-Baptiste Olive

    Peinture de :Jean-Baptiste Olive

    Peinture de :Jean-Baptiste Olive

     

    Apprenti décorateur, Jean-Baptiste Olive débute en tant qu’artiste aux côtés de Gustave Julien et d’Etienne Cornellier. Ce dernier l’emmènera à Paris, où le jeune peintre vit son « baptême » artistique et participe à la décoration du Cirque d’Hiver, du Sacré Cœur de Montmartre et de quelques pavillons de l’exposition universelle de 1889. Dès 1874, il participe au Salon de Paris et obtient plusieurs prix au cours des années suivantes. Il devient sociétaire du Salon des Artistes Français en 1881 et reçoit la Médaille d’argent en 1889 pour l’Exposition Universelle.

     

    Peinture de :Jean-Baptiste Olive

    Peinture de :Jean-Baptiste Olive

    Peinture de :Jean-Baptiste Olive

    Peinture de :Jean-Baptiste Olive

    Peinture de :Jean-Baptiste Olive

    Peinture de :Jean-Baptiste Olive

    Peinture de :Jean-Baptiste Olive

     

    Ses années parisiennes, ses fréquentations avec Antoine Vollon et Robert Mols, ses amitiés avec, entre autres, Raymond Allègre et Théophile Décanis, ses voyages et ses succès artistiques réveillent en lui une vive avidité. L’artiste est un travailleur acharné, méthodique, discret et attentif. Il possède l’intelligence des ambitieux et embrasse avec intégrité cette qualité qui le portera au sommet.

     

    Peinture de :Jean-Baptiste Olive

    Peinture de :Jean-Baptiste Olive

    Peinture de :Jean-Baptiste Olive

    Peinture de :Jean-Baptiste Olive

    Peinture de :Jean-Baptiste Olive

    Peinture de :Jean-Baptiste Olive

    Peinture de :Jean-Baptiste Olive

     

    Il n’est ni le peintre des sentiments, ni celui des attitudes, encore moins du portrait – il n’est pas flamboyant. Dans son œuvre, il n’y a pas de référence à l’actualité du moment, à l’Histoire, voire même à l’évolution urbaine, économique et industrielle. Il est en marge, solitaire, aucune influence ne l’atteint : l’impressionnisme, le post impressionnisme, le symbolisme, le nabisme, le fauvisme, le cubisme, voire à l’inverse l’académisme. Ses Natures mortes Jean-Baptiste Olive, à la sortie d’un apprentissage classique à l’école des Beaux-arts de Marseille, va adopter le goût du Maître Jean-Baptiste Siméon Chardin et de son disciple au XIXième siècle Antoine Vollon, pour les mises sur tables d’abord frugales puis opulentes et variées, plus inspirées des hollandais composées comme un thème central et non plus un accessoire.

     

    Peinture de :Jean-Baptiste Olive

    Peinture de :Jean-Baptiste Olive

    Peinture de :Jean-Baptiste Olive

    Peinture de :Jean-Baptiste Olive

    Peinture de :Jean-Baptiste Olive

    Peinture de :Jean-Baptiste Olive

     

    Olive s’inscrit dans la contemplation d’une noble rusticité, où les accessoires et les étoffes chatoyantes viennent constituer l’écrin idéalisé où s’épanouit une branche de cerisier ou une poignée de fraises fraîchement ramassée.

     

    Peinture de :Jean-Baptiste Olive

    Peinture de :Jean-Baptiste Olive

    Peinture de :Jean-Baptiste Olive

    Peinture de :Jean-Baptiste Olive

    Peinture de :Jean-Baptiste Olive

    Peinture de :Jean-Baptiste Olive

     

    Le rendu des ses natures mortes est lisse, la composition d’une rigueur et d’une simplicité classique, la consistance, le volume et le scintillement exemplaires et sa sensibilité méditerranéenne apporte chaleur et sensualité à ses produits de la terre (fleurs et fruits les plus connus (pêches, prunes, raisins) ou les plus rares (grenades, melons, fraises des bois)).

     

    Peinture de :Jean-Baptiste Olive

    Peinture de :Jean-Baptiste Olive

    Peinture de :Jean-Baptiste Olive

    Peinture de :Jean-Baptiste Olive

    Peinture de :Jean-Baptiste Olive

    Peinture de :Jean-Baptiste Olive

     

    Peinture de :Jean-Baptiste Olive

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  • "Fin de l'hiver" poème de Gaston Livy

     

     

    Fin d'hiver

     

    Par ce temps si bénin, après tant de froidure,
    Dans les grands terrains gris, sur les coteaux chenus,
    On a l'impression parmi ces arbres nus
    D'un très beau jour d'été sans fleurs et sans verdure.

    Les pieds ne glissent plus sur la terre moins dure
    Où les feux du soleil, presque tous revenus,
    Allument cailloux, rocs, sable et gazons menus.
    Dans l'atmosphère souffle un vent tiède qui dure.

    Et çà et là - près d'un marais,
    D'un taillis, d'un pacage, auprès
    D'un ruisseau bordé de vieux aunes,

    Le printemps s'annonce à vos yeux
    Avec le vol silencieux
    De beaux petits papillons jaunes.

    Maurice Rollinat

     

    "Fin d'hiver" poème de Maurice Rollimat

    "Fin d'hiver" poème de Maurice Rollimat

    "Fin d'hiver" poème de Maurice Rollimat

    "Fin d'hiver" poème de Maurice Rollimat

    "Fin d'hiver" poème de Maurice Rollimat

     

    "Fin d'hiver" poème de Maurice Rollimat

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  • Verrines de Kiwis et d'Oranges

     

    Ingrédients pour 5 personnes :

    Pour la gelée de kiwi :

    4 Kiwis
    1 c à c de miel d’acacia
    1g d’agar–agar
    2 c à s d’eau

    Pour la crème :

    Petits suisses natures
    2 c à c de miel d’acacia

    Salade de fruits :

    4 kiwis
    3 à 4 oranges bien sucrées
    1 c à c d’huile de noisettes
    1 c à c de sucre 
    Feuilles de menthe

     

    Verrines de Kiwis et d'Oranges


    Préparation :

     

    1- Comme ici alterner  l’orange et  avec des couches de kiwi et de petit suisse.

    2- Si vos oranges ne sont pas assez sucrées, ajouter du miel ou du sucre. Mais mieux le miel pour avoir quelque chose de plus naturel.

     

    Verrines de Kiwis et d'Oranges

     

    Verrines de Kiwis et d'Oranges

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  • Fleurs cultivées : Scabieuse

    Fleurs cultivées : Scabieuse

     

    Les scabieuses se classent parmi les plantes les plus faciles à réussir. Leurs fleurs juchées tout en haut de longues tiges restent petites mais se voient de loin grâce à leurs couleurs gaies et à l'effet de masse qu'elles créent de juin aux gelées.

     

    Fleurs cultivées : Scabieuse

    Fleurs cultivées : Scabieuse

    Fleurs cultivées : Scabieuse

    Fleurs cultivées : Scabieuse

    Fleurs cultivées : Scabieuse

    Fleurs cultivées : Scabieuse

     

    Ce type de plantes pousse en touffes dressées très ramifiées avec un feuillage fin plus ou moins poilu et porté par des tiges grêles mais rigides. Les touffes montent entre 40 et 80 cm selon les espèces et variétés. Elles se développent dans les endroits ensoleillés, en sol léger bien drainé, même poreux.

     

    Fleurs cultivées : Scabieuse

    Fleurs cultivées : Scabieuse

    Fleurs cultivées : Scabieuse

    Fleurs cultivées : Scabieuse

    Fleurs cultivées : Scabieuse

    Fleurs cultivées : Scabieuse

    Fleurs cultivées : Scabieuse

     

    Les fleurs des scabieuses s'épanouissent en capitules simples aux fleurons nombreux, ou en capitules doubles qui prennent la forme de pompons légèrement aplatis de 3 à 4 cm de diamètre. Elles sont suivies par des fruits sphériques, constitués de bractées assez développées chez certaines espèces. Elles animent avec brio toutes sortes de compositions depuis longtemps. Elles étaient déjà très en vogue dans les jardins de nos grands-mères pour créer un nuage fleuri au sein des massifs. Les jardiniers les ont également toujours aimées pour leur caractère peu exigeant : la scabieuse pousse seule sans entretien, se ressème et ne demande presque pas d'arrosage. C'est une plante conseillée pour les jardins laissés sans soins une grande partie de l'année.

     

    Fleurs cultivées : Scabieuse

    Fleurs cultivées : Scabieuse

    Fleurs cultivées : Scabieuse

    Fleurs cultivées : Scabieuse

    Fleurs cultivées : Scabieuse

    Fleurs cultivées : Scabieuse

    Fleurs cultivées : Scabieuse

    Fleurs cultivées : Scabieuse

    Fleurs cultivées : Scabieuse

    Fleurs cultivées : Scabieuse

    Fleurs cultivées : Scabieuse

     

    Très attrayantes en été visuellement, les scabieuses le sont également au niveau du nectar des fleurs pour les abeilles, papillons et autres insectes qui visitent les jardins. Du fait de cette attraction, les scabieuses ont toujours été considérées parmi les plantes les plus mellifères et employées comme telles : dans les plates-bandes autour des potagers, autour des arbres fruitiers. Aujourd'hui, elles font partie de la plupart des mélanges pour prairies fleuries destinées à favoriser la biodiversité des insectes pour un bon équilibre écologique des milieux.

     

    Fleurs cultivées : Scabieuse

    Fleurs cultivées : Scabieuse

    Fleurs cultivées : Scabieuse

    Fleurs cultivées : Scabieuse

    Fleurs cultivées : Scabieuse

    Fleurs cultivées : Scabieuse

    Fleurs cultivées : Scabieuse

    Fleurs cultivées : Scabieuse

    Fleurs cultivées : Scabieuse

    Fleurs cultivées : Scabieuse

     

    Leur très longue durée de floraison est intéressante dans les mixed-borders et le long des allées. Elles s'associent idéalement avec les buis et autres persistants taillés en topiaires, en leur apportant de la légèreté.

     

    Fleurs cultivées : Scabieuse

    Fleurs cultivées : Scabieuse

    Fleurs cultivées : Scabieuse

    Fleurs cultivées : Scabieuse

    Fleurs cultivées : Scabieuse

    Fleurs cultivées : Scabieuse

    Fleurs cultivées : Scabieuse

     

    Leur aspect de fleurs des champs s'accorde avec les massifs d'allure sauvage, les jardins écologiques de style naturel, les plates-bandes fleuries autour du potager ou longeant les clôtures. Elles s'utilisent aussi en fleurs coupées, dans des bouquets frais tout au long de l'été, ou dans des bouquets secs si l'on attend les fruits.
    Les scabieuses annuelles se ressèment abondamment, les scabieuses vivaces sont rustiques, elles repartent chaque année de leur souche et se ressèment aussi.

     

    Fleurs cultivées : Scabieuse

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  • Varennes-en-Argonne

     

    Varennes-en-Argonne est une commune française située dans le département de la Meuse, en région Grand Est

     

    Varennes-en-Argonne

     

    Varennes est une commune du Canton de Clermont-en-Argonne dans le Grand-Est, où vivent environ 700 habitants, bordé à l'ouest par la forêt d'Argonne, à la limite des départements des Ardennes et de la Marne.

     

    Varennes-en-Argonne

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    L'église Notre-Dame-de-l'Assomption, détruite durant la Première Guerre mondiale elle a été reconstruite à l'identique avec un clocher néo-classique et la façade du XVIIIe siècle. L'édifice est classé au titre des monuments historiques depuis 1914.

     

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    La chapelle de l'hospice de sœurs de Saint-Charles. Hospice dès 1291 aux antonistes puis aux sœurs de Saint-Charles de Nancy, reconstruite après 1918.

     

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    La tour de l'Horloge avec la plaque commémorant l'arrestation de Louis XVI. Elle est objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis 1989.

     

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    Dans la nuit du lundi 20 au mardi 21 juin 1791, Louis XVI parvient à s'enfuir des Tuileries avec sa famille. Se considérant comme prisonnier du peuple de Paris depuis le 6 octobre 1789, date à laquelle il a dû quitter Versailles, le roi s'est finalement décidé à rejoindre l'armée du marquis de Bouillé, concentrée à Montmédy et à Metz. Parvenu sans encombre à Sainte-Menehould, il y est reconnu par Drouet et arrêté à Varennes, un petit bourg de l'Argonne. Mal préparée, n'ayant pas assez prévu la réaction hostile de la population, la tentative a échoué. La famille royale est ramenée à Paris.

     

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