Le genre Salvia compte environ 900 espèces, sans compter les très nombreux hybrides horticoles, réparties dans toutes les zones tempérées du globe. Annuelles, vivaces ou arbustives, toutes présentent des tiges carrées, des feuilles opposées et des fleurs à la lèvre inférieure divisée et très développée, caractéristiques de la famille des Lamiacées à laquelle elles appartiennent.

 

Leur facilité de culture et la diversité de leurs feuillages et de leurs floraisons les rendent incontournables dans les jardins d’été. Couvre-sol, buissonnantes ou érigées, hautes de 0,20 à 1,50 m, elles s’intègrent partout et apportent légèreté aux massifs.

 

 

Herbacées ou arbustives, certaines sauges ont un feuillage décoratif composé de petites feuilles découpées, de grandes feuilles allongées, gaufrées ou duveteuses, plus ou moins argentées, pourpres ou panachées, mais presque toutes sont aromatiques, déclinant des arômes d’ananas, de pomme, de cassis ou de menthe.

 

 

Les fleurs à deux lèvres sont portées par des épis plus ou moins longs. Elles offrent des coloris variés, blanc, bleu, jaune, rouge, rose, mauve, violet, et même noir, et parfois le calice ainsi que les bractées sont eux aussi colorés. En combinant les espèces, la floraison est ininterrompue du printemps jusqu’aux gelées.

 

 

 

 

La rusticité des sauges est variable selon les espèces. Certaines résistent au-delà de -10 °C. On peut donc les cultiver dans de nombreuses régions, sauf celles aux hivers très froids où il vaudra mieux les installer en pot. Cependant, en cas de gel des parties aériennes, la plupart des sauges rustiques repartiront du pied après un rabattage de la touffe au printemps.

 

 

La réputation de faible longévité des sauges vivaces est le plus souvent injustifiée : dans des conditions qui leur conviennent, en particulier en sol bien drainé, elles peuvent vivre très longtemps.

 

 

Les sauges annuelles sont très utilisées comme plantes à massif, dans les plates-bandes où elles succèdent aux bulbes de printemps et fleurissent durant toute la période estivale. Elles peuvent également garnir des potées sur la terrasse. Leurs couleurs vives attirent l’œil

« Qui a de la sauge au jardin n’a plus besoin de médecin » dit un dicton provençal. Salvia vient en effet du latin salvare qui signifie « sauver, guérir ». Au Moyen Âge, la sauge était considérée comme une panacée capable de soigner pratiquement toutes les maladies. On l’a d’ailleurs appelée la « toute-bonne ».

 

 

 

La faïencerie de Gien ou les faïenceries de Gien (selon son appellation officielle en 2021) sont une entreprise de fabrication de faïence fine située dans la ville française de Gien dans le département du Loiret et la région Centre-Val de Loire.

 

 

Parmi les nombreuses faïenceries nées au XIXe siècle, celle de Gien est l'une des plus renommées et la plus importante d'Europe.
La manufacture de Gien a excellé dans l'art de l'imitation, et fabriqua des copies de pièces du passé à un prix accessible. Des pièces uniques furent également créées avec le concours d'artistes de talent qui les illustrèrent de nouveaux décors ou s'inspirèrent de ceux des siècles passés (XVIIe et XVIIIe siècles) ou de ceux d'autres faïenceries européennes et d'Extrême-Orient.

 

 

 

Grande manufacture historique, la faïencerie de Gien fabrique depuis près de 2 siècles, une faïence à «forte personnalité» qui marque nos souvenirs et suscite en chacun de nous des images, comme autant de réminiscences.
Choisir des Faïences de Gien n'est pas un simple achat «d'art de la table», mais le choix «d'un art de vivre à la française», authentique et généreux, que l'on souhaite partager.
Subtil dosage de tradition et de modernité, la Faïencerie de Gien donne à voir la qualité d'un savoir-faire séculaire, la beauté du geste de l'homme et la sensualité de la matière qu'elle honore en les réactualisant dans chacune de ses créations.
Puiser dans son histoire pour demeurer aux delà des tendances, c'est dire la richesse et le savoir-faire précieux que détient la Faïencerie de Gien.

 

 

Cela fait presque 200 ans que La faïencerie de Gien, plus grande manufacture d'Europe, contribue au rayonnement national et international de l'art de vivre à la française.
Depuis ses débuts, où elle établit sa renommée en fabriquant les services de table des plus grandes familles de France et d’Europe, elle ne cesse d'exprimer brillamment son savoir-faire.

Médaillée d’or du Grand Prix de l’Exposition Universelle de 1889, elle se distinguera dans les années 1930, en réalisant les emblématiques carreaux du Métro parisien.

 

 

Marquant de son empreinte ces deux derniers siècles, elle est aujourd'hui, membre du prestigieux Comité Colbert.
Labellisée entreprise du Patrimoine Vivant, La Faïencerie de Gien est détentrice d'un savoir faire précieux, associant tradition et innovation, héritage et tendances actuelles.

 

Très fortement ancrée dans son territoire, la manufacture de Gien « située dans le cœur historique de la France, dans le Val de Loire, maîtrise localement l'intégralité de ses processus de fabrication : de la sélection des terres (sable, argile et kaolin) à la fabrication de la pâte, jusqu’aux produits finis. Les moules en plâtres, les émaux et les couleurs sont aussi conçus à Gien. »

Chacune des pièces de la faïencerie de Gien est un hommage aux gestes des artisans faïenciers. Chaque objet est unique et détient l'empreinte de la main de l'homme entre force, soin, minutie, délicatesse et talent, comme autant de gages de qualité. La fabrication d'une assiette nécessite le tour de main de 30 « maîtres faïenciers».

 

 

 

 

 

Gien est une commune française située dans le département du Loiret, en région Centre-Val de Loire.

 

 

La commune de Gien se trouve dans le quadrant sud-est du département du Loiret, dans la région agricole de la Puisaye. À vol d'oiseau, elle se situe à 58,9 km d'Orléans, préfecture du département, à 42 km au nord-ouest de Cosne-Cours-sur-Loire et 76 km au nord-est de Bourges, et à 35,2 km de Montargis4, sous-préfecture.

 

 

Le château construit de 1494 à 1500 pour Anne de France (aussi appelée Anne de Beaujeu), fille de Louis XI,

 

  

il s'agit, avec le château d'Amboise des deux châteaux du Val de Loire à avoir été bâtis avant l'arrivée des influences italianisantes et constituant ainsi un exemple de Pré-Renaissance purement Français. L'ornementation est faite à base d'appareillage de briques polychromes, créant des motifs. Le bâtiment hébergea Henri II avec Catherine de Médicis, puis Louis XIV et Anne d'Autriche durant la Fronde.

 

 

Il contient le musée de la chasse, histoire et nature en Val de Loire créé en 1952.

 

 

L’ancienne église du château fut d'abord placée sous le vocable de Saint-Étienne puis sous celui de Saint-Pierre après la suppression de la paroisse de Gien-le-Vieux. Des origines, il ne reste que la tour-clocher.
L’église a été reconstruite à plusieurs reprises. Avant guerre, on peut citer la reconstruction de 1832 par François Pagot. Pendant la Seconde Guerre mondiale, la nef et le chœur furent détruits en 1940. Afin de le sauvegarder, le clocher du XVe siècle est inscrit à l'inventaire des monuments historiques le 25 septembre 1940.
L'église fut reconstruite entre 1950 et 1954 par Paul Gélis, architecte en chef des Monuments historiques. La nef fut reconstruite en brique rose avec des dessins de briques noires. Des piliers ronds, élancés, bagués de chapiteaux en terre cuite, séparent la nef des bas-côtés. L’éclairage blond diffusé par les verrières s’harmonisent avec la couleur de la brique dont la disposition a permis de tirer de sobres mais élégants effets décoratifs. Souvent citée comme une des principales productions de l’architecture religieuse française de l’après-guerre, la partie reconstruite de l'église est inscrite à l'inventaire des monuments historiques depuis le 7 septembre 2001.
L'église porte depuis 1954 le vocable de Sainte-Jeanne-d'Arc.

 

 

 

 

Théophile Henri Décanis est un artiste peintre français né en 1847 et décédé en 1917.

 

Cet artiste va peindre pendant vingt ans les paysages de la Provence. Il se rattache au courant artistique de l'École de Marseille, avec pour maître et ami Jean-Baptiste Olive, (1848-1936)

 

 

En 1900, il reçoit ainsi que 26 autres peintres une commande de Monsieur Stéphane Adolphe Dervillé, Président du Conseil d'Administration de la Compagnie des Chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée, pour orner la Grande Salle du restaurant Le Train Bleu de la Gare de Lyon à Paris. Il y peint : Cannes et Menton tableaux remplacés en 1905 par la toile de Albert Maignan : Le Théâtre d'Orange (ces peintures semblent avoir disparu).

 

 

La ville de Marseille a donné son nom à une rue de la ville.

 

 

 

 

 

Liste des ingrédients

125 g farine
125 g sucre
3 oeufs
1 sachet de levure chimique
1 pincée de fleur de sel
1 cuil. à café d'extrait de vanille
50 ml d'huile de tournesol ou 70 g de beurre fondu

Pour le sirop : caramel et rhum
300 ml d'eau
50 ml de rhum ambré (ou plus selon votre gout)
150 g de sucre (pour le caramel) ou 100 ml de caramel liquide déjà prêt

 

Etapes de la recette

 

Préchauffez le four à 170°C
Commencez par fouetter le sucre, les oeufs entiers et la vanille avec un batteur, le mélange doit doubler de volume et être bien mousseux
Ajoutez l'huile (ou du beurre fondu) et fouettez encore 1 minute
Tamiser la farine, le sel et le levure chimique et mélangez délicatement avec une spatule
Versez dans un moule à baba beurré ou dans des moules à muffin pour une version individuelle
Enfournez pour 35-40 minutes à 170°C pour la version familiale, et 20 minutes pour les muffins
Préparez le sirop 15 minutes avant la fin de la cuisson : faites un caramel dans une casserole chaude en mettant le sucre à fondre. Dès qu'il prend une jolie couleur ambrée, retirer du feu. Ajoutez alors l'eau bouillante en faisant très attention aux éclaboussures, et remettez sur le feu pour que le caramel fonde bien. Ajoutez (ou pas) du rhum à ce sirop, et imbibez le baba dès la sortie du four

 

 

 

Cette plante vivace, aux touffes de belles proportions, est surmontée d’épis floraux dressés, garnis de grappes de fleurs aux divers tons de rose. La salicaire se plaira dans les zones humides de votre jardin auquel elle offrira couleurs et gaieté.

 

 

La salicaire commune, Lythrum salicaria, appartient à la famille des Lythracées et au genre Lythrum. C’est une plante vivace de milieu humide. C’est ainsi qu’elle pousse spontanément en bordure de ruisseau, de fossés et dans les zones marécageuses.

 

 

Originaire de l’hémisphère nord, elle est rustique et affronte sans problème les hivers les plus rigoureux. Elle n’est pas difficile quant à la nature du sol, mais supporte difficilement les sols trop acides.

 

 

C’est une belle plante en touffe érigée pouvant atteindre 1 à 1,50 m de hauteur. Ses feuilles opposées et lancéolées sont fixées directement sur la tige. Vert soutenu dessus, elles sont plus pâles dessous.

 

 

Les fleurs, groupées en verticilles forment un épi terminal d’un rose soutenu et lumineux. Le fruit est une capsule ovoïde contenant de nombreuses graines qui sont le plus souvent dispersées par l’eau ou les oiseaux.

 

 

Outre son intérêt décoratif dans les coins humides et ensoleillés du jardin et la cueillette de ses fleurs pour constituer des bouquets aux couleurs vives, on trouve la trace de son usage médicinal depuis le XIIIe siècle.
On l’emploie encore de nos jours en phytothérapie pour ses propriétés toniques, astringentes et hémostatiques. Son autre usage concerne le traitement de divers troubles digestifs (diarrhées, ulcères), mais aussi les pertes blanches gynécologiques.

 

 

Enfin, elle peut avoir un intérêt alimentaire : ses feuilles ont été consommées autrefois, crues ou cuites comme légume, en période de famine. Ses tiges pulpeuses sont comestibles après cuisson.

 

 

 

Enfin, sa fleur peut être utilisée pour colorer des confiseries en rouge.

 

 

 

Beaugency est une commune française située dans le département du Loiret en région Centre-Val de Loire.

 

La commune de Beaugency se trouve dans le quadrant sud-ouest du département du Loiret, en rive droite de la Loire, dans la région agricole du Val de Loire4 et l'aire urbaine d'Orléans. À vol d'oiseau, elle se situe à 25,0 km au sud-ouest d'Orléans5, préfecture du département.

 

 

L'ancien hospice des XIIe et XVIe siècles inscrit à l'inventaire des Monuments historiques le 13 juin 1929 ;

 

L'ancienne prison datant des XIVe et XVe siècles dont la façade est inscrite à l'inventaire des Monuments historiques depuis le 17 mai 1933 ;

 

L'hôtel de ville est un édifice Renaissance du XVIe siècle qui comporte quelques tapisseries ; il fut classé Monument historique en 1840

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Le château de Dunois date des XVe et XVIe siècles.

 

 

Il est situé dans un bâtiment subsistant de la forteresse, très postérieur au donjon. Il est composé d'un édifice à deux étages avec une tourelle d'escalier. Le logis seigneurial de Jean d'Orléans-Longueville est daté de 1518.

 

 

L'ensemble est classé Monument historique depuis le 18 août 1926 et héberge aujourd'hui le Musée de l'Orléanais. Il a été restauré en 2012

 

 

Les vestiges d'un donjon dit « tour de César », du XIe siècle, dominent la ville de ses 36 m de haut, ainsi que quelques murs d'enceinte. Le donjon est classé Monument historique depuis 1840

 

Des vestiges de l'ancienne enceinte de la ville datant du XVIe subsistent sur la place Nationale. Ils sont inscrits à l'inventaire des Monuments historiques depuis le 18 août 1945