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Concile Vatican II
« C'est du dedans, du coeur de l'homme » : le coeur de chaque homme, source de paix ou de guerre ?
Il est clair que nous devons tendre à préparer de toutes nos forces le moment où, de l'assentiment général des nations, toute guerre pourra être absolument interdite... La construction courageuse de la paix exige très certainement que [les responsable politiques] ouvrent leur intelligence et leur coe?ur au-delà des frontières de leur propre pays, qu'ils renoncent à l'égoïsme national et au désir de dominer les autres nations, et qu'ils entretiennent un profond respect envers toute l'humanité, qui s'avance avec tant de difficultés vers une plus grande unité. Que tous prennent garde cependant de ne pas s'en remettre aux seuls efforts de quelques-uns, sans se soucier de notre état d'esprit personnel. Car les chefs d'État, qui sont les répondants du bien commun de leur propre nation et en même temps les promoteurs du bien universel, sont très dépendants des opinions et des sentiments de l'ensemble de la population.
Il est inutile de chercher à faire la paix tant que les sentiments d'hostilité, de mépris et de défiance, tant que les haines raciales et les partis pris idéologiques divisent les hommes et les opposent. D'où l'urgence et l'extrême nécessité d'un renouveau dans la formation des mentalités et d'un changement de ton dans l'opinion publique. Que ceux qui se consacrent à une oeuvre d'éducation, en particulier auprès des jeunes, ou qui forment l'opinion publique, considèrent comme leur plus grave devoir celui d'inculquer à tous les esprits de nouveaux sentiments générateurs de paix. Nous avons tous assurément à changer notre coeur et à ouvrir les yeux sur le monde, comme sur les tâches que nous pouvons entreprendre tous ensemble pour le progrès du genre humain.
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Jean-Honoré Nicolas Fragonard (né le 5 avril 1732 à Grasse et mort le 22 août 1806 à Paris) est un des principaux peintres français du XVIIIe siècle. Il fut peintre d'histoires, de genre et de paysages.
Jean-Honoré est fils de François Fragonard, garçon gantier, et de Françoise Petit. Après le décès à dix mois de son petit frère Joseph, il reste enfant unique. Jean Honoré Fragonard quitte sa ville natale à l'âge de six ans pour s'installer avec sa famille à Paris, où se déroule la plus grande partie de sa carrière. Les dispositions artistiques de Fragonard sont précoces et après avoir quelque temps travaillé avec Jean Siméon Chardin, il entre, à l'âge de 14 ans, dans l'atelier de François Boucher. C'est grâce à lui que le jeune Fragonard affirme ses dons. Boucher le présenta bientôt au prestigieux Grand prix de Peinture de l'Académie royale qu'il remporta en 1752.
Une carrière dans la peinture d'histoire lui semble alors toute tracée. Il entra alors durant trois années à l'École royale des élèves protégés alors dirigée par le peintre Carle Van Loo. Fragonard part ensuite en 1756 pour l'Académie de France à Rome en compagnie de son ami Hubert Robert (un autre peintre ayant remporté le prix de Rome) et l'architecte Victor Louis. Il y résidera jusqu'au mois d'avril 1761. Il quitte dès lors la Ville éternelle pour la France durant un long périple achevé en septembre à travers les villes de Florence, Bologne et Venise notamment.
Il se distingua d'abord dans le genre sérieux et donna en 1752 son tableau de Jéroboam sacrifiant aux idoles (Paris, École des Beaux-Arts) qui fut justement admiré. C'est ce tableau qui lui fit gagner le Grand prix de l'Académie royale de Peinture. Mais, désespérant d'atteindre au premier rang dans ce genre, il le quitta pour le genre érotique, dans lequel il obtint le plus grand succès, il devint bientôt le peintre à la mode, et amassa une grande fortune que la Révolution française lui fit perdre. En 1769, il se maria avec Marie-Anne Gérard (1745-1823), une peintre en miniature aussi originaire de Grasse. Cette même année, nait leur première fille Rosalie (1769-1788).
En 1773, après un voyage en Flandre pendant l'été, le fermier général Pierre-Jacques-Onésyme Bergeret de Grandcourt lui proposa d'être son guide pour un voyage en Italie, puis en Europe centrale, qui débutera en octobre. Bergeret de Grandcourt était comte de Nègrepelisse, et l'itinéraire du voyage, à l'aller, passa par cette localité, où la petite troupe de voyageurs y séjourna une quinzaine de jours. Fragonard y dessina le château, propriété de Bergeret. Le voyage prit fin en septembre 1774 après les visites successives de Vienne, Prague, Dresde, Francfort et enfin Strasbourg.
En 1780, le couple Fragonard donne naissance à un nouvel enfant Alexandre-Évariste Fragonard (1780-1850), qui deviendra lui-aussi artiste. Huit ans plus tard décède leur fille Rosalie à seulement 19 ans au château de Cassan en région parisienne. Après un séjour à Grasse (1790-91), Fragonard devient membre de la Commune des Arts en 1793. Par la suite, Fragonard, fut nommé l'un des conservateurs du Musée du Louvre par l'Assemblée nationale.
En 1805, Fragonard est expulsé du Louvre par décret impérial comme de nombreux artistes. Il s'installe alors chez son ami Veri, au Palais Royal. L'année suivante, il décède, apparemment terrassé par une congestion cérébrale dans son nouveau logement situé aux galeries du Palais-Royal.
Les funérailles sont célébrées à l'église Saint-Roch. Il est inhumé dans l'ancien cimetière de Montmartre, où sa tombe n'est plus visible.
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Les quelques espèces constituant le genre "Hedera" (lierre) comportent plusieurs variétés de plantes ligneuses et grimpantes. Quelques-unes dépassent 6 m et présentent des feuilles larges, mais la plupart sont courtes, compactes et ont de petites feuilles. Le feuillage est toujours coriace et souvent lobé. La plupart des espèces produisent de courtes racines adventives qui s'accrochent à toute surface humide.
- HEDERAS RECOMMANDES-
-CANARIENSIS- est une espèce à grand développement dotée de feuilles triangulaires, à peine lobées, de 13 cm sur 15. Elles sont vert sombre et sillonnées de fines veines vert clair, tandis que les tiges et les pétioles sont rouge foncé. Une forme panachée offre des feuilles de 8 à 10 cm de long et de 5 à 8 cm de large, panachées de vert-gris et largement marginées de jaune crème.
-COLCHICA- est aussi une plante haute. Ses feuilles cordiformes vert sombre ont 25cm de long et 20cm de large. Une variété présente des pétioles rouges.
-HELIX- (lierre commun) offre des feuilles à 3 ou 5 lobes, typiques du lierr, avec un lobe supérieur plus long et plus pointu. L'espèce type a été éclipsée par de nombreuses variétés. La plupart de celles dont il est question ici se ramifient abondamment d'elles-mêmes et sont par conséquent, fort attrayantes. Les variétés qui ne se ramifient pas naturellement sont indiquées. Il faudra pincer leurs bourgeons terminaux de temps en temps.
-CHICAGO- a des feuilles vert moyen de 3 à 4 cm sur 4. , d'autres ont marginées de crème tandis que d'autres sont panaché de jaune d'or.
-CRISTATA- a des feuilles vert moyen de 4 à 5cm sur 5, si ondulées qu'elles semblent frisées.
-EMERALD GEM- offre des feuilles émeraude très pointues de
3cm sur 4
-GLACIER - aux feuilles vert moyen de 4cm sur 3 , se caractérise par des marbrures vert-gris, des taches blanches et des bords roses. Pour rendre plus compacte, il faut pincer cette plante deux ou trois fois par an.
-JUBILEE- est une plante touffue. Ses feuilles sont vert sombre de 3cm sur 2, sont panachées de gris et de blanc.
-LITTLE DIAMOND- a des feuilles en losange de 3cm sur 2, vert moyen, finement marginées de blanc. Le pinçage rend cette plante rameuse.
-LUTZII- porte des feuilles vert sombre de 4cm sur 3, maculées de vert clair et de jaune. Pincer deux ou trois fois par an.
-SAGITTIFOLIA- a des feuilles sagittées vert sombre de 5cm sur 4. Une autre variété présente un feuillage panaché de vert clair et de jaune pâle. Ce sont de belles plantes rampantes dont il faut pincer les bourgeons terminaux si on les préfère compactes.
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Pour 6 personnes : 1 pâte sablée
300 g de mélange de fruits rouges
16O g de poudre d’amande
1 oeuf
60 g de sucre
20 cl de crème fleurette
Préparation : 30 mn
Cuisson : 30 mn
Repos : 0 mn
Temps total : 60 mnPréparation Tourte aux fruits rouges
1 Fouettez l’œuf avec le sucre. Ajoutez la poudre d’amande et la crème. Découpez des disques de pâte et garnissez les 6 tartelettes.
2 Piquez les fonds. Déposez les fruits puis couvrez de crème d’amande.
3 Mettez au four 30 minutes à 180°C (thermostat 6). Saupoudrez de sucre glace avant de servir.
Pour finir... Cette recette peut se cuire dans un plat à tarte, ou être préparée en mini tartelette ou encore en mignardise.
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Le pot de terre et le pot de fer
Le Pot de fer proposa
Au Pot de terre un voyage.
Celui-ci s’en excusa,
Disant qu’il ferait que sage
De garder le coin du feu :
Car il lui fallait si peu,
Si peu, que la moindre chose
De son débris serait cause.
Il n’en reviendrait morceau.
Pour vous, dit-il, dont la peau
Est plus dure que la mienne,
Je ne vois rien qui vous tienne.
- Nous vous mettrons à couvert,
Repartit le Pot de fer.
Si quelque matière dure
Vous menace d’aventure,
Entre deux je passerai,
Et du coup vous sauverai.
Cette offre le persuade.
Pot de fer son camarade
Se met droit à ses côtés.
Mes gens s’en vont à trois pieds,
Clopin-clopant comme ils peuvent,
L’un contre l’autre jetés
Au moindre hoquet qu’ils treuvent.
Le Pot de terre en souffre ; il n’eut pas fait cent pas
Que par son compagnon il fut mis en éclats,
Sans qu’il eût lieu de se plaindre.Ne nous associons qu’avecque nos égaux.
Ou bien il nous faudra craindre
Le destin d’un de ces PotsJean de La Fontaine
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On pourra suivre aussi le cours pittoresque de la peite Meurthe avec le défilé de Straiture,
et maintenant voici quelques photos de la Moselotte
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Je refuse de me tracasser ou de m'inquiéter de quoi que ce soit
« Ne vous tracassez pas et ne vous inquiétez de rien, mais en toute choses faites connaître vos besoins à Dieu par des prières et des requêtes précises, avec des actions de grâces ». Philippiens 4 : 6 – traduction amplifiée
Un serviteur de Dieu vint me trouver un jour. Sa vie n’était qu’une suite d’épreuves et de tempêtes. J’éprouvais une grande compassion pour lui, car il n’arrivait ni à dormir, ni à garder ce qu’il mangeait. Il ne suffisait pas de lui montrer de la sympathie ; aussi je lui parlai de Philippiens 4 : 6. Il se rebella en disant : « Mais tout le monde n’a pas votre foi ». Pourtant, tous ont la même Bible et il s’agit de mettre en pratique la Parole.
Puis je lui expliquai comment agir selon la Parole. Je lus le verset à haute voix et dis au Seigneur : « Ta Parole est vraie et je la crois ».
Lorsque je commençai à mettre ce verset en pratique, il me fut facile de croire que je pouvais présenter mes requêtes à Dieu. Par contre, j’eus de la difficulté à accepter que j’étais capable de le faire sans m’inquiéter. Mais le Seigneur nous met à même d’accomplir tout ce qu’Il exige de nous. Donc, lorsque Dieu nous interdit de nous tracasser, cela signifie que nous en sommes capables.
Or, je déclare à haute voix : « Je refuse de me tracasser ou de m’inquiéter de quoi que ce soit ». Puis je présente mes requêtes au Seigneur et le remercie de l’exaucement. Cela me calme et apporte la paix à mon âme que le diable cherche à troubler. Si satan recommence, je relis le verset et ne cesse de le revendiquer.
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Chanson d'automne.
Les sanglots longs
Des violons
De l'automne
Blessent mon coeur
D'une langueur
Monotone.Tout suffocant
Et blême, quand
Sonne l'heure,
Je me souviens
Des jours anciens
Et je pleure;Et je m'en vais
Au vent mauvais
Qui m'emporte
Deçà, delà
Pareil à la
Feuille morte.
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Les Haworthia, dont il existe plus de 160 espèces, sont de petites plantes grasses appréciées pour leur forme curieuse et leur feuillage coloré. Leurs feuilles épaisses et acaules sont disposées en rosette autour d'une tige à peine visible. Certains sujets sont courts et compacts, d'autres, plus grands, comportent plusieurs rangées de feuilles superposées. Les uns ont des feuilles coriaces, les autres des feuilles tendres et charnues, au limbe parfois partiellement transparent. Dans la nature, les Haworthias vivent à moitié enfouis dans le sable et jouissent ainsi, en saison sèche, d'une lumière tamisée.
Chez toutes les espèces, des fleurs blanchâtres et tubuleuses de 2,5cm sur 0,5 apparaissent en grappes sur des tiges longues, fines et raides. Elles sont sans intérêt et on les coupe habituellement dès leur apparition. Il n'y a pas de période définie de floraison.
Les Haworthias se cultivent facilement et, contrairement aux autres plantes grasses, ils aiment la demi-obscurité. Les espèces décrites ci-dessous produisent plusieurs rejets qui servent au bouturage.
-ESPECES RECOMMANDEES -
-CUSPIDATA- est une espèce qui croît lentement. Ses feuilles triangulaires de 2,5cm sur 1cm à la base forment des rosettes serrées de 7,5cm de diamètre. Les feuilles épaisses et tendres sont acuminées et de couleur vert clair. Elles se recourbent vers l'extérieur, dissimulant ainsi les courtes tiges. L'extrémité du limbe est transparente sur le dessus, au dessous, elle est ronde et carénée.
-MARGARITIFERA - (aloès perlé) présente des feuilles lancéolées et coriaces, vert foncé, joliment décorées de tubercules blancs. Les tiges sont si courtes que les rosettes de 15cm de diamètre et de 7,5 à 10cm de haut paraissent acaules. Les vieilles feuilles sont dressées, tandis que les jeunes se recourbent vers l'intérieur. Elles mesurent 0,5cm d'épaisseur, 9cm de long et 3cm de large à la base. Elles sont planes sur le dessus et carénées en dessous. Il ne faut qu'un an pour que se forme une touffe de rosettes.
-REINWARDTII - se distingue par des tiges d'environ 15 cm de long, chargées de feuilles triangulaires, coriaces et vert sombre qui se recourbent vers l'intérieur. Elles ont une longueur de 4cm et sont aussi épaisses que larges à la base (1cm). Elles sont recouvertes de minuscules excroissances perlées. Le dessus du limbe est plat, le dessous arrondi et caréné vers la pointe. Les feuilles se chevauchent, si bien qu'elles dissimulent les tiges. Il se forme, en une année ou deux, un bouquet de rejets qui ont d'abord l'aspect de cône de pin.
- TESSELLATA - se caractérise par des bouquets de rosettes acaules de 5cm de haut et de 7,5 cm de diamètre. Les feuilles, vertes ou brunâtres, dentées et triangulaires mesurent environ 5cm de long, 2,5cm de large et O,6 cm d'épaisseur¨à la base. Elles se rétrécissent en pointe aiguë. La face supérieure est translucide, légérement arrondie et sillonnée d'un réseau de lignes blanches. Le dessous est complétement couvert de petites protubérances blanches.
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Gâteau basque : ingrédients pour la crème pâtissière
1 1 / 8 tasse de lait
1 / 3 tasse de sucre blanc
1 / 3 tasse de sucre blanc
2 cuillères à soupe de farine tout usage
2 œufs
1 extrait de vanille
Gâteau basque : ingrédients pour le gâteau
1 1 / 8 tasses de farine tout usage
1 / 2 cuillère à café de levure
1 1 / 8 tasses de sucre blanc
3 œufs
1 tasse de beurre ramolli
Pincée de selGâteau basque : préparation la crème pâtissière
1.Dans une grande casserole porter le lait à ébullition en ajoutant le 1/3 de sucre et la vanille.
2.Dans un bol profond battre les jaunes d’œufs avec le 1/3 de sucre restant, puis ajouter la farine.
3.Toujours en battant verser doucement le lait bouillant au mélange d’œufs.
4.Remettre le mélange à la casserole, mettre au feu jusqu’à ce que le mélange soit épais.
5.Retirer du feu et laisser refroidir pendant 1 heure.Gâteau basque : préparation du gâteau
1.Préchauffer le four 175 degrés C. Graisser et fariner un moule.
2.Mélanger et tamiser la farine et la levure puis mettre de côté.
3.Dans un bol mélanger les œufs avec le mélange farine levure, puis ajouter le beurre, le sucre et le sel.
4.Pétrir la pate jusqu’a l’obtention d’une boule.
5.Laisser reposer 2 heures minimum au frais.
6.Séparer la boule à pate en 2 parties.
7.Mettez la moitié de la pâte dans le moule graissé.
8.Etaler la pâte afin qu’elle recouvre le fond de la casserole et les bords.
9.Placer la crème pâtissière au sein du moule et au dessus de la première partie.1.Ajouter la seconde moitié de la pâte à gâteau, en veillant à placer l’ensemble de la garniture.
2.Cuire au four 175 degrés C pendant 30 à 40 minutes ou jusqu’à coloration dorée.
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