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Par chezmamielucette le 21 Mars 2018 à 00:00
Le printemps me plaît
Le printemps me plaît... J'erre avec délices
Dans les champs joyeux, avec les moineaux ;
Je contemple tout : les riches calices,
Les insectes d'or et les foins nouveaux.Ninetta là-bas relève sa robe,
Et, pour passer l'eau, montre son bas blanc :
Par le sang du Christ ! l'homme, roi du globe,
Devant ce pied-là se sent tout tremblant !Le printemps me plaît... Je dis des folies !
Je suis sérieux, à la fois, et gai.
D'azur et de miel les fleurs sont emplies :
Pour suivre Nina j'ai passé le gué.Bonjour, Ninetta ! j'éprouve en mon âme,
Dieu me le pardonne ! un trouble connu...
Viens, repasse l'onde en mes bras, ô femme,
Ou livre au ruisseau ton joli pied nu !Jean Aicard.
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Par chezmamielucette le 20 Mars 2018 à 00:00
Taillées dans la roche sur plusieurs centaines de mètres de hauts par l'Agly, les gorges de Galamus sont le lieu incontournable sur la route des châteaux cathares !
Les Gorges sont localisées entre la Commune de Saint Paul de Fenouillet (66) et celle de Cubières sur Cinobles (11), au cœur du Pays Cathare.
Les Gorges de Galamus signifient « montagnes saintes ».
La rivière de L’Agly (Rivière des Aigles), prend sa source sur le Pech de Bugarach avant d’entrer dans les profondes Gorges de Galamus, elle continue sa route dans le Fenouillèdes puis sur la plaine du Roussillon pour finir sa course dans la Méditerranée entre Torreilles et le Barcarès.
C’est cette même rivière qui, au fil des millénaires, s’infiltrant dans une fracture rocheuse, à creusé les profondes Gorges de Galamus et la clue de la Fou située au sud de Saint Paul de Fenouillet.
De nombreuses sources viennent alimenter l’Agly, ces résurgences sont situées dans les Gorges de Galamus et peuvent atteindre la température de 27°.
Une d’entre elles, au débit important (150l/S) permet d’alimenter le village de Saint Paul de Fenouillet en eau potable.Les Gorges de Galamus font partie du massif des Fenouillèdes qui est composé principalement de calcaire et de dolomie, bien que l’on retrouve dans ce canyon une roche assez rare appelé le Tuf.
Dans les gorges se trouve une petite chapelle troglodyte qui peut se visiter une bonne partie de l'année gratuitement. On s'y rend par un joli petit sentier où l'on peut faire une boucle. Une petite promenade à ne pas rater.
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Par chezmamielucette le 19 Mars 2018 à 00:00
Date et lieu de naissance : 16 juin 1943 (74 ans), Loenen aan de Vecht, Pays-Bas
Marjolein Bastin est une célèbre illustratrice qui trouve sa principale source d’inspiration dans la nature. Ses dessins sont publiés chaque semaine dans Libelle, le grand magazine féminin hollandais. Elle a également remporté un grand succès aux Etats-Unis dès qu’elle a commencé à y faire connaître aussi son travail. Depuis que Lanarte a réussi à transposer l’essence de son art en motifs de broderie, vous pouvez à votre tour décorer votre intérieur d’une œuvre originale de Marjolein Bastin en point de croix.
Dans son atelier aux larges baies vitrées, Marjolein Bastin se sent en étroite harmonie avec la nature. Derrière sa grande table de travail, elle peut jouir de tous ses yeux du spectacle qui se joue au dehors. Cette sensibilité se traduit dans la production de dessins magnifiques appréciés par un large public.
Dessins que l’on retrouve d’ailleurs sur de très nombreux articles, cartes, agendas et livres, savons, boîtes et en canevas de broderie. Après que Marjolein ait choisi celles de ses créations qui lui semblent convenir pour en faire des motifs de broderie, les mosaïstes de Lanarte se mettent à l’ouvrage.
Au cours d’une opération d’une infinie précision, chacun des coups de pinceau est transposé point par point en point de croix, d’épine, de chaînette, etc. La grille de broderie obtenue est ensuite tour à tour testée puis améliorée jusqu’à la pleine satisfaction des spécialistes de Lanarte. Toute cette opération se déroule sous l’œil attentif de Marjolein. Elle est sans concession aucune sur le niveau de qualité, qu’elle désire le plus haut possible, pour ses produits.
Les créations de Marjolein Bastin sont appréciés et admirés dans un grand nombre de pays en Europe, en Amérique du Nord et ailleurs.
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Par chezmamielucette le 18 Mars 2018 à 00:00
Paul Krôn (ou Paul Kron), né le 18 mars 1869 à Besançon et mort le 17 janvier 1936 à Paris, est un artiste-peintre français.
Peintre de l’École française, rattaché par René Huyghe au courant qui joint le fauvisme à l’impressionnisme, mais qui resta toujours très indépendant, Paul Krôn est l’auteur d’une œuvre riche et dense qui comportait à sa mort quelques centaines de paysages, de marines et de natures mortes et de très nombreux dessins. Plusieurs critiques d’art du XXe siècle, et non des moindres, l’ont placé parmi les très grands artistes de l’époque en exaltant chez lui le « peintre de la lumière ».
Né le 18 mars 1869 à Besançon, dans le Doubs, de père alsacien et de mère champenoise, il avait huit ans quand sa famille vint habiter Lyon. Âgé de douze ans à la mort de son père, il dut quitter l’école et commencer à travailler. À treize ans, il se fractura la jambe en sautant dans un train en marche. Il mit à profit une longue période de convalescence pour reprendre ses études ; mais surtout, la souffrance physique et l’impossibilité de se mêler aux jeux de son âge exercèrent sur lui, même après sa guérison, une profonde influence. Très vite, le goût du dessin lui était venu et on ne devait plus jamais le voir sans un petit bout de crayon dont il se servait sans relâche.
Il avait seize ans quand sa mère quitta Lyon pour Marseille avec ses enfants. Vendeur dans un magasin de confection pour hommes, il faisait des dessins pour décorer les étiquettes et fut remarqué par Adolphe Monticelli. C’est de lui qu’il reçut le conseil de n’avoir pour maître que la nature et de beaucoup travailler, conseil qu’il suivit scrupuleusement.
Il rêvait d’aller à Paris et de devenir peintre. C’est seulement après être resté cinq ou six années à Marseille qu’il put décider sa famille à se rendre dans la capitale. Ayant débuté dans l’industrie, il consacrait tous ses instants de liberté à la peinture et à sa famille. Il ne fréquentait pas les autres peintres et jamais il n’appartint à un quelconque groupe. Sans avoir le goût de la solitude, il se sentait porté à travailler en isolé. À 32 ans, il épousa une jeune fille de Reims.
Il épousa l'héritière de Grand Magasin et fut d'après le baron Empain (son contemporain) l'un des meilleurs vendeurs de produits métallurgiques jamais rencontrés. Il fut un temps le meilleur marchand de faïence sur Paris, tout en continuant ses activités industrielles.
L’art occupa progressivement une place prépondérante dans sa vie avant de prendre sa vie tout entière. Il se mit à collectionner les faïences, où son goût très sûr en fit bientôt l’un des connaisseurs incontestés de Paris et lui permit d’ouvrir un magasin ; mais tous ses jours de liberté et de très longues périodes de vacances furent consacrés entièrement à la peinture. De chaque sortie, il revenait avec une toile achevée en plein air, que jamais il ne retouchait en atelier. Le travail d’intérieur était réservé aux natures mortes, aux portraits et à des études qui ont surtout la valeur de recherches.
Plusieurs expositions commençaient à le mettre en renom (deux chez Bernheim-Jeune en 1933 et une chez Eugène Blot en 1935) lorsque, le 17 janvier 1936 à Paris, il succomba à une maladie dont il avait souffert pendant plusieurs années, mais qui ne l’avait pas empêché de peindre jusqu’à la veille de sa mort avec plus d’exaltation que jamais.
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Par chezmamielucette le 17 Mars 2018 à 00:00
Ingrédients :
2 kiwi
1 grosse mangue bien mûre
100 gr de mascarpone
1 yaourt type Fjord
1 c. à soupe de sucre
4 biscuits palet breton
40 gr de noix de coco râpéPréparation :
Eplucher la mangue. Détailler des morceaux en cubes que l’on place dans le fond des verrines. (en garder quelques uns pour la déco). Mettre le reste de la mangue dans un mixer et la réduire en purée (selon l’acidité du fruit, sucrer ou pas). Réserver.
Eplucher les kiwis, couper 4 tranches pour la déco et le reste en dès à répartir dans les verrines.
Verrines kiwi, mangue fin2
Dans un saladier mélanger le yaourt, le mascarpone, la noix de coco et le sucre.
Déposer ce mélange sur les fruits dans les verrines. Emietter dans chacune un palet breton et finir par napper avec la purée de mangue. Décorer avec les fruits restants et mettre au frais jusqu’au moment de servir.
Bonne gourmandise !!!
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Par chezmamielucette le 16 Mars 2018 à 00:00
L'agapanthe ou Agapanthus est originaire d'Afrique du Sud et appartient à la famille des Amaryllidacées. Son nom signifie « fleur de l'amour » en grec ancien.
Cette très belle plante vivace, pourvue de racines charnues, pousse en touffe compacte. Elle se caractérise par une inflorescence très esthétique et un très beau feuillage rubané vert foncé. L'agapanthe fleurit en ombelles blanches ou bleues de 15 à 20 cm de diamètre, ses grandes hampes florales mesurant parfois plus d'un mètre.
L'agapanthe est très utilisée dans la décoration des jardins pour la beauté de ses fleurs, en potée, en massif ou le long d'un mur ou d'une haie.
Vous pouvez l'associer avec beaucoup de plantes et jouer sur les contrastes de couleurs et en particulier les vivaces (achillée, anthémis, gypsophile, valériane) et les petits arbustes aimant le soleil. En revanche, évitez de la planter à côté d'un arbre ou d'un endroit trop sec.
L'agapanthe nécessite une exposition ensoleillée, abritée et une protection hivernale dans les régions les plus froides. Cultivée en pot, elle pourra être rentrée pendant les gelées. L'agapanthe résiste en effet difficilement en dessous de -5 °C.
Le Genre Agapanthus : 7 espèces (Afrique australe). Vivace à rhizomes, racines charnues.
Feuilles caduques, toutes radicales effilées, oblongues.
Inflorescence en ombelle pluriflore. Périanthe en entonnoir cylindrique. Tube court. Fleurs à 6 segments allongés, étalés et 6 étamines. Ovaire à 3 loges multiovulées.
Capsule à déhiscence septicide, nombreuses graines.
Les fleurs forment de magnifiques bouquets de fleurs coupées et sont aussi souvent utilisées dans les bouquets secs.
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Par chezmamielucette le 15 Mars 2018 à 00:00
-Les différentes Tours Génoises ( 15 sur le littoral et au moins une par commune pour les tours de l’intérieur )
-Les Hameaux remarquables de la région ( dont Luri, Sisco, Baratelli, Macinaggio, Centuri, Cannelle… ) qui vous feront voyager à travers le temps avec leurs habitations d’antan.-Les magnifiques ports que compte le Cap ( 19 marines en tout dont Erbalunga, Santa Severa, Macinaggio, Barcaggio, Centuri, Giottani… )
-Les 7 Moulins à vent construits autour de Centuri et Macinaggio
-Les chapelles et Eglises des différents villages datant du XV au XX siècle de style baroque ou roman dont notamment celle de Sisco ( San Michele ) ou celle de Canari ( Santa Maria Assunta ).
-Les Palazzi américains de style neoclassique toscan du XIX font également partie du magnifique paysage que vous offrira cette région de Haute Corse !
En voici quelques-uns : Maisons Berlineri à Luri et Morsiglia, le château Cagninacci à San Martino Di Lota, la villa Saint Pierre à Sisco…
-Les moulins à eau ( XVII ) servant jadis à moudre le grain dont un est toujours en activité à Cagnano.
-Les surprenantes fontaines dans chaque commune de la région.
-Les ponts génois, un des nombreux charmes du Cap corse ( entre le XII et le XVIII )-Mais aussi des plages de brando à Olmeta Di Capicorsu ( 25 plages au total ) pour des moments de farniente
ainsi que des rivières ( dont Pietracorba ) vous permettront un petit rafraîchissement et beaucoup de loisirs qu’ils soient culturels, nautiques ou encore sportifs…
Tout cela fera de votre séjour des vacances inoubliables avec des activités pour tous les âges et pour tous les goûts !
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Par chezmamielucette le 14 Mars 2018 à 00:00
Mois de Mars
Parfois un caprice te prend,
Méchante amie, et tu me boudes,
Et sur le balcon tu t'accoudes
Malgré l'eau qui tombe à torrent.Mais, vois-tu ! Mars, avec ses grêles
A qui succède un gai soleil,
Chère boudeuse, est tout pareil
A nos fugitives querelles.Tels ces oiseaux, pauvres petits,
Sous ce fronton, pendant l'averse,
Et telle ta bouche perverse
Où des sourires sont blottis.Vienne un rayon, et, la première,
Tu tourneras vers moi les yeux,
Et les oiselets tout joyeux
S'envoleront dans la lumière.François Coppée.
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Par chezmamielucette le 13 Mars 2018 à 00:00
Le rocher d’Aiguilhe, de 82 mètres de hauteur, est la cheminée d’un ancien volcan, appelé neck. Une chapelle dédiée à Saint Michel, à laquelle on accède par un escalier de 268 marches, fut élevée en 962 par le chanoine Truanus et consacrée par l’évêque du Puy, Gothescalk, pèlerin de Saint Jacques de Compostelle.
Véritable « joyau de l’art roman », la façade de cette chapelle présente un ensemble polychrome remarquable.
L’abside, ancien oratoire primitif, possède une voûte décorée de peintures datant probablement du X° siècle. En 1851, le peintre Anatole d’Auvergne fut chargé par les Monuments Historiques du décapage et du relevé des peintures murales.
C’est en 1855 que le clocher actuel fut édifié ; le campanile originel avait été détruit par la foudre en 1245. Des travaux entrepris en 1955 pour la réfection de l’autel ont permis la découverte d’un christ reliquaire du X° siècle, d’un coffret en ivoire dans lequel se trouvait une croix pectorale et de deux coupelles de bronze renfermant des reliques.Remarquable ensemble de fresques récemment restauré.
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Par chezmamielucette le 12 Mars 2018 à 00:00
François-Marie Firmin, dit Firmin-Girard, né le 29 mai 1838 à Poncin (Ain) et mort le 8 janvier 1921 à Montluçon (Allier), est un peintre d’histoire, de sujets religieux, de scènes de genre, de portraits, de paysages, de natures mortes et de fleurs
François-Marie Firmin-Girard s’établit très jeune à Paris. Il entre à l’École des Beaux-Arts en 1854, dans les ateliers de Charles Gleyre et Jean-Léon Gérôme. Il remporte le deuxième prix de Rome en 1861 et installe son atelier boulevard de Clichy à Paris. À partir de 1859, il expose au Salon de Paris, puis au Salon des artistes français, obtenant de nombreuses médailles.
Avec un style tantôt réaliste, tantôt proche de l’impressionnisme, toujours avec une belle lumière, il peint avec une égale facilité des tableaux d’histoire, des scènes de genre, des paysages et des fleurs qui le firent connaître. Parmi ses nombreuses œuvres, on cite Saint-Sébastien, Après le bal, Marchande de fleurs, Les Fiancés, La Terrasse à Onival ou Le Quai aux fleurs.
Firmin-Girard fut certainement un des peintres les plus appréciés du public de son époque à Paris, mais vu comme par certain, dont notamment Émile Zola, comme un artiste des plus convenus.
Il fut un des premiers adeptes de la station d'Onival et y fit bâtir une villa vers 1875. C'est établi à Onival qu'il réalisa de nombreuses toiles des environs.
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