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Par chezmamielucette le 3 Novembre 2021 à 00:00
Obernai est une commune française, située dans la circonscription administrative du Bas-Rhin et, depuis le 1er janvier 2021, dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.
Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.
Obernai est chef-lieu de son canton composé de communes typiquement alsaciennes comme Krautergersheim, appelée la « ville de la choucroute ». Avec cinq autres villages, elle forme également la communauté du pays de Sainte-Odile. De plus, Obernai est la deuxième ville la plus visitée du Bas-Rhin après Strasbourg, notamment pour ses belles maisons à colombages.
Située à 25 km au sud-ouest de Strasbourg ou à 25 km au nord de Sélestat, Obernai est l'une des villes de la plaine d'Alsace, en bordure ou au piémont des Vosges.
Vous pourrez y visiter :
Hôtel de ville de style Renaissance.
L'Hôtel de Ville a été construit en 1523 par Hans Jüngling. La balustrade, datant de 1604, est due à Georges Wildemann et a été agrandie en 1848
Les façades ornées de motifs peints ont été reconstituées en 1992-1993. Classé Monument Historique le 3 juillet 1900.Beffroi : après la démolition de l'ancienne chapelle de la Vierge du xiiie siècle en 1873, il restait la tour achevée au XVIe siècle à côté de l'hôtel de ville. Ce Kapellturm (« Tour de la chapelle ») s'élève à 60 mètres. Au cinquième étage on l'a doté d'une belle balustrade néo-gothique et d'un toit pointu couvert en ardoise. Ainsi la tour servait de beffroi.
L'horloge date de 1841.
Le beffroi contient six cloches, dont deux de 1429 et 1474.
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Par chezmamielucette le 2 Novembre 2021 à 00:00
Pour l'Église catholique romaine, le 2 novembre correspond à la Commémoration des fidèles défunts, célébration des morts par des messes, en particulier pour les défunts de l'année écoulée. La messe a une valeur de purification des péchés véniels pour atteindre la vision béatifique. Cette fête a une origine monastique : elle a été, en effet, célébrée pour la première fois à l'abbaye de Cluny, sous l'abbatiat d'Odilon (994-1049) qui l'institua1. Ce jour est traditionnellement consacré à une visite familiale au cimetière et à l'entretien des tombes
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Par chezmamielucette le 1 Novembre 2021 à 00:00
Comme son nom l’indique, la Toussaint est la fête de tous les saints. Chaque 1er novembre, l’Église honore ainsi la foule innombrable de ceux et celles qui ont été de vivants et lumineux témoins du Christ.
Si un certain nombre d’entre eux ont été officiellement reconnus, à l’issue d’une procédure dite de « canonisation », et nous sont donnés en modèles, l’Eglise sait bien que beaucoup d’autres ont également vécu dans la fidélité à l’Evangile et au service de tous. C’est bien pourquoi, en ce jour de la Toussaint, les chrétiens célèbrent tous les saints, connus ou inconnus.
Cette fête est donc aussi l’occasion de rappeler que tous les hommes sont appelés à la sainteté, par des chemins différents, parfois surprenants ou inattendus, mais tous accessibles.
La sainteté n’est pas une voie réservée à une élite : elle concerne tous ceux et celles qui choisissent de mettre leurs pas dans ceux du Christ. Le pape Jean-Paul II nous l’a fait comprendre en béatifiant et canonisant un grand nombre de personnes, parmi lesquelles des figures aussi différentes que le Père Maximilien Kolbe, Edith Stein, Padre Pio ou Mère Térésa…
La vie de ces saints constitue une véritable catéchèse, vivante et proche de nous. Elle nous montre l’actualité de la Bonne nouvelle et la présence agissante de l’Esprit Saint parmi les hommes. Témoins de l’amour de Dieu, ces hommes et ces femmes nous sont proches aussi par leur cheminement – ils ne sont pas devenus saints du jour au lendemain -, par leurs doutes, leurs questionnements… en un mot : leur humanité.
La Toussaint a été longtemps célébrée à proximité des fêtes de Pâques et de la Pentecôte. Ce lien avec ces deux grandes fêtes donne le sens originel de la fête de la Toussaint : goûter déjà à la joie de ceux qui ont mis le Christ au centre de leur vie et vivre dans l’espérance de la Résurrection.
Honoré Umbricht est un célèbre artiste peintre, né en 1860 à Obernai.
Très tôt, il révélera un talent inné pour la peinture et fera ses études à l’école des Beaux Arts à Paris.
Certaines de ses oeuvres, comme Le Bûcheron dans la Forêt de Klingenthal (1883) ou Le Portrait d’Enfant (1884) sont conservés à l’Hôtel de Ville d’Obernai.
Il mourut en 1943 à Saint-Arnoult-en-Yvelines. On ramena sa dépouille en Alsace après la guerre ; il repose au cimetière d’Obernai.
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Par chezmamielucette le 30 Octobre 2021 à 00:00
INGRÉDIENTS
250 g crème de marrons
2 oeufs
160 g farine épeautre blanche T70 (ou à défaut de la farine ordinaire voir mes notes) + un peu
10-15 cl lait fermenté (ou de lait entier ou de yaourt)
20 g sucre
5 cl huile d'olive vierge extra ou autre huile végétale délicate
1 belle càc bicarbonate alimentaire ou de levure chimique
beurre pour le moule
sucre glaceINSTRUCTIONS
Préchauffer le four à 160-170°C (chaleur tournante ou 170-180°C statique). Beurrer et fariner un moule de 20 cm, en métal.
Dans un saladier ou le bol d'un robot, fouetter les oeufs avec le sucre jusqu'à ce qu'ils soient mousseux et gonflent (pas énormément mais quand même un peu, il faudra quelques minutes)
Mélanger l'huile avec le lait. Tamiser la farine avec la levure.
Quand les oeufs sont montés, incorporer 110 g de crème de marrons et mélanger. Puis ajouter le mélange huile/lait et enfin la farine tamisée. Mélanger rapidement juste le temps qu'il faut pour avoir une pâte plus ou moins homogène (s'il y a des mini grumeaux ce n'est pas grave).
Verser un peu plus que la moitié de la pâte dans le moule et enfourner pendant 18 minutes : la pâte doit un peu gonfler et colorer (et avoir une surface croûteuse non liquide).
Sortir le gâteau du four, étaler dessus, en laissant un cm de marge sur le bords, le reste de crème de marrons. Verser dessus le reste de pâte.
Enfourner à nouveau pendant une vingtaine de minutes : là aussi la pâte doit croûter et colorer (comme sur la photo sans le sucre glace). En enfilant un cure dent dans la pâte (plutôt sur les bords, sans crème), il doit ressortir presque sec.
Laisser légèrement tiédir puis démouler délicatement. Saupoudrer de sucre glace et servir.
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Par chezmamielucette le 29 Octobre 2021 à 00:00
Le genre Phygelius se compose uniquement de 2 espèces originaires d'Afrique du Sud, peuplant les bords de torrents et les prés humides en montagne. Aussi rustique que son pendant américain Fuchsia magellanica, le Phygelius forme un arbuste ou un sous-arbrisseau qui en climat rigoureux se comporte en vivace. Il appartient à la famille des Scrophulariacées.La plante, ligneuse à la base, dresse des tiges peu ramifiées de 1 à 2 m de haut et s'étale sur50 cm, parfois plus en raison des stolons souterrains émis par la souche, mais sans toutefois devenir envahissante. L'espèce aequalis, limitée à 1,20 m de haut dans son habitat est moins vigoureuse que capensis. Ses feuilles persistantes opposées, lancéolées et dentées sont aussi plus larges et d'un vert moins sombre que capensis. Le limbe légèrement charnu et brillant aux nervures marquées rappelle dans les deux cas celui du fuchsia mais sa base est cunéiforme (en pointe) chez aequalis, arrondie chez capensis.
Les inflorescences paraissent en extrémité de tiges, du milieu de l'été jusqu'aux gelées, prenant la forme de longues panicules étagées. Capensis, la plus rustique forme une inflorescence pyramidale et porte des fleurs orange vif ou jaunes sur tout le tour de la tige.
Cette disposition la différencie de l’espèce aequalis qui concentre ses fleurs saumon, rose foncé ou jaunes sur un seul côté. Il existe désormais de nombreux cultivars qui combinent la rusticité de l’un et les coloris de l’autre. Ses hybrides, désignés sous le nom de Phygelius x rectus sont également plus tolérants à la sécheresse. Certains sont de taille plus modeste de l'ordre de 60 cm de haut
Les fleurs de Phygelius sont portées par un pédoncule recourbé de 2 à 25 mm selon l'espèce. Le calice est à 5 lobes pointus et la corolle forme un tube très allongé ouvert sur 5 lobes d'un coloris plus vif que le tube, notamment chez aequalis, d'où pointent 4 étamines et 1 pistil. La gorge est jaune vif. Il est d'ailleurs intéressant de placer le Phygelius aequalis en hauteur au-dessus d'un muret, dans une rocaille élevée ou en suspension, de façon à pouvoir admirer la fleur par dessous. Les autres espèces et cultivars présentent moins ce problème.
Le nectar des fleurs attire les oiseaux sud-africains de type Nectarinia, munis d'un long bec recourbé.
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Par chezmamielucette le 28 Octobre 2021 à 00:00
Chinon est une commune française située dans le département d'Indre-et-Loire, en région Centre-Val de Loire. C'est l'une des deux sous-préfectures d’Indre-et-Loire (l’autre étant Loches).
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Situées dans la ville-fort, les Caves Painctes constituent une partie du vaste réseau de galeries creusé sous le coteau pour en extraire le tuffeau. Certaines sections ont été réutilisées comme caves à vin. Les immenses voûtes des Caves Painctes, citées par Rabelais dans son œuvre, abritent les chapitres de la confrérie des Bons entonneurs rabelaisiens, fondée en 1961 : chapitre de la Saint-Vincent (janvier), chapitre de la Fleur (juin), chapitre des Vendanges (septembre) et chapitre de Diane (décembre)
Quartier Saint-Étienne
Dans le prolongement de la rue Haute Saint-Maurice (rue Jean-Jacques Rousseau), à l'est de la ville-fort, le quartier Saint-Étienne est un ancien faubourg fortifié au XIVe siècle, moins densément construit et modifié au XIXe siècle. Historiquement voué au commerce, ce quartier prospère conserve de belles maisons à pans de bois, autour notamment du carrefour du Puits-des-Bans.Quartier canonial
À l'est, regroupé autour de la collégiale Saint-Mexme,
ancien centre religieux de la ville, le quartier canonial contient quelques très belles demeures de chanoines (hôtel rue Hoche,
hôtel de Chavigny rue de Buffon)
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datant du XVe et XVIe siècles et souvent remaniées aux XVIIe et XVIIIe siècles.
Des faubourgs anciens encadrent le centre-ville.Au débouché du pont médiéval, sur la rive gauche de la Vienne, le faubourg Saint-Jacques, entièrement protégé par des digues, a été édifié par les Plantagenêts pour servir de tête de pont et améliorer les liaisons vers le sud et leurs possessions du Poitou.
À l'ouest de la ville-fort, le faubourg du Vieux-Marché a abrité des couvents au XVIIe siècle.
Reste aujourd'hui le couvent des Calvairiennes, réaménagé en logements.
Plus à l'ouest, le long de la rivière, le coteau Saint-Louans est composé d'un village et d'habitations isolées, autour d'un prieuré fondé à l’époque mérovingienne. Le paysage est rural, composé de vignes.
À partir du XIXe siècle, la ville s'étend vers l'est, en direction de la gare, inaugurée en 1876
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Par chezmamielucette le 26 Octobre 2021 à 00:00
Chinon est une commune française située dans le département d'Indre-et-Loire, en région Centre-Val de Loire. C'est l'une des deux sous-préfectures d’Indre-et-Loire (l’autre étant Loches).
Placée sur le cours de la Vienne, dans une position stratégique aux confins de la Touraine, de l'Anjou et du Poitou, dotée d'un éperon rocheux fortifié dès l'Antiquité, la ville, avec son imposante forteresse, a longtemps joué un rôle défensif clé. Chinon est une des places fortes favorites des Plantagenêt. Jean sans Terre la perd au profit de Philippe Auguste, qui l'adjoint aux domaines de la Couronne de France. Siège de la cour sous Charles VII, lieu de sa rencontre avec Jeanne d'Arc, la ville ne quittera le giron royal que pour passer entre les mains du cardinal de Richelieu et de sa famille, qui la conservent jusqu'à la Révolution.
Enrichie par la culture de la vigne et le commerce du vin, la ville a trouvé, avec l'installation de la centrale nucléaire d'Avoine, un pendant industriel à sa traditionnelle activité agricole. Située à proximité des châteaux de la Loire, sur le détour de Vienne du circuit touristique Loire à Vélo, Chinon attire également de nombreux touristes. Depuis 2000, la ville fait partie de la section du Val de Loire inscrite sur la Liste du patrimoine mondial de l'UNESCO au titre des paysages culturels.
La forteresse royale de Chinon est située sur l'éperon rocheux dominant la rive droite de la Vienne et la ville. Cette position stratégique lui permet de contrôler le passage sur la rivière, qui se jette dans la Loire à quelques kilomètres de là. Cette forteresse médiévale, remarquable par ses dimensions, domine l'ensemble de la vieille ville, qui s’est développé en contrebas, sur toute sa longueur (environ 500 mètres de long sur 100 mètres de large), ses murailles suivant le contour de l'éperon rocheux.
L'ensemble est divisé en trois parties distinctes, que les rois ont appelé leurs « trois châteaux », et qui figurent de manière stylisée, sous la forme de trois tours, sur les armoiries de la ville. D’ouest en est, l’éperon est barré par une série de fossés qui séparent les trois châteaux : le fort du Coudray, le château du Milieu, et le fort Saint-Georges, chacun possédant une enceinte indépendante. C’est dans le château principal, le château du Milieu, qu'étaient installés les principaux corps de logis, dont les logis royaux, ainsi que la chapelle Saint-Melaine.
L'entrée du château du Milieu, qui forme la partie centrale de l'ensemble, se fait par la tour de l’Horloge, bâtie au XIVe siècle. Une cloche la Marie-Javelle, fondue en 1399, est placée dans un lanternon sur la plate-forme. Elle sonne toutes les heures, et elle est actionnée à la main pour les grandes occasions. Vers l'est, le fossé qui sépare le château du Milieu du Fort Saint Georges était autrefois enjambé par un pont de bois aboutissant à un pont-levis. Un pont de pierre l’a remplacé.
Au pied du château, la ville-fort, noyau primitif de Chinon et partie la mieux conservée de la ville, a été ceinturée de remparts au moins depuis le XIVe siècle. Elle est traversée d'est en ouest par une rue principale, la rue Haute Saint-Maurice où se succèdent maisons à pan-de-bois, bâtiments publics (Maison des États généraux, palais du Bailliage)et hôtels particuliers des XVe, XVIe (Maîtrise des Eaux et Forêts)
(Hôtel du gouverneur)
(hôtel Torterue de Langardière.
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Par chezmamielucette le 25 Octobre 2021 à 00:00
Paul Equinet est un artiste très impliqué dans la vie de la forêt, de sa faune et de sa flore.
Il est admiratif de la vie des arbres.
Il peint depuis 50 ans.
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