• Fleurs cultivées : Phacélie

    Fleurs cultivées : Phacélie

     

    Engrais vert réputé de croissance rapide, la phacélie enrichit les sols et étouffe les herbes sauvages au potager. Sa floraison bleue est un régal pour les abeilles et aussi pour de nombreux insectes auxiliaires du jardin.

     

    Fleurs cultivées : Phacélie

    Fleurs cultivées : Phacélie

    Fleurs cultivées : Phacélie

    Fleurs cultivées : Phacélie


    Originaire d'Amérique, cette plante est devenue une référence en jardinage écologique pour ses nombreuses qualités : elle est utilisée comme engrais vert en rotation de culture mais aussi parce qu'elle attire les insectes pollinisateurs et auxiliaires. Gélive à -10 °C, elle ne peut être cultivée que comme une annuelle. On la nomme la phacélie à feuilles de tanaisie pour la similitude de son feuillage très divisé comme celui de la tanaisie mais sans son odeur forte.

     

    Fleurs cultivées : Phacélie

    Fleurs cultivées : Phacélie

    Fleurs cultivées : Phacélie

    Fleurs cultivées : Phacélie

     

    La tige est pleine et rigide, couverte de poils et prend une coloration rouge. Le système racinaire est très dense et profond, d'où son intérêt en engrais vert pour l'exploration du sol et sa capacité à fixer l'azote.

     

    Fleurs cultivées : Phacélie

    Fleurs cultivées : Phacélie

    Fleurs cultivées : Phacélie

    Fleurs cultivées : Phacélie

     

    Les fleurs sont bleues et très parfumées, groupées en forme de crosse qui se déroule progressivement au fur et à mesure de la floraison, du printemps à la fin de l'été.

     

    Fleurs cultivées : Phacélie

    Fleurs cultivées : Phacélie

    Fleurs cultivées : Phacélie

    Fleurs cultivées : Phacélie

    Fleurs cultivées : Phacélie

    Fleurs cultivées : Phacélie

    Fleurs cultivées : Phacélie

    Fleurs cultivées : Phacélie

     

    Son utilisation comme plante en rotation de culture au potager est aussi intéressante pour sa capacité à bloquer la croissance des adventices et ainsi à nettoyer le terrain.

     

    Fleurs cultivées : Phacélie

    Fleurs cultivées : Phacélie

    Fleurs cultivées : Phacélie

    Fleurs cultivées : Phacélie

     

    C'est une plante très mellifère utilisée par les apiculteurs qui obtiennent ainsi un miel très parfumé ; cette attractivité de pollinisateurs est aussi très utile au jardin potager et au verger.

     

    Fleurs cultivées : Phacélie

    Fleurs cultivées : Phacélie

    Fleurs cultivées : Phacélie 

    Fleurs cultivées : Phacélie

    Fleurs cultivées : Phacélie

     

    La phacélie attire aussi de nombreux autres insectes utiles comme les syrphes prédateurs des pucerons. De plus, elle a un pouvoir nématicide très intéressant

     

    Fleurs cultivées : Phacélie

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    Fleurs cultivées : Phacélie

     

     

    Fleurs cultivées : Phacélie

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  • Bormes-les-Mimosas (Var) 2ème partie

     

    Bormes-les-Mimosas est souvent comparée, grâce à son vieux village, à une crèche provençale : vieilles maisons couvertes de tuiles roses, ruelles fleuries, remparts et ruines de château, le vieux village médiéval offre une vue panoramique sur la plaine et les îles d’Or.

     

    Bormes-les-Mimosas (Var) 2ème partie

     

    La commune de Bormes-les-Mimosas est située sur la côte méditerranéenne, à l’extrême sud du massif des Maures. Elle s’étend des crêtes du massif principal jusqu’à l’extrémité du cap Bénat qui avance dans la mer en face des îles d’Hyères, en passant par la petite dépression du ruisseau de Batailler, qui assure la communication entre la plaine d’Hyères et la « corniche des Maures » (le Lavandou, Cavalaire).

     

    Bormes-les-Mimosas (Var) 2ème partie 

    Bormes-les-Mimosas (Var) 2ème partie

    Bormes-les-Mimosas (Var) 2ème partie

    Bormes-les-Mimosas (Var) 2ème partie

    Bormes-les-Mimosas (Var) 2ème partie

    Bormes-les-Mimosas (Var) 2ème partie

    Bormes-les-Mimosas (Var) 2ème partie

    Bormes-les-Mimosas (Var) 2ème partie

     

    La commune compte cinq monuments protégés au titre des Monuments historiques

     


    La chapelle Notre-Dame de Constance, au sommet de la colline surplombant le vieux village, est inscrite depuis 1926

    Chapelle datée du XIIe siècle, elle porte le nom de la comtesse d'Arles et aurait été bâtie sur les ruines d'un autel gaulois, puis d'un édicule romain, tous deux dédiés à la même divinité latine de la procréation, Diane.
    Son campanile et son architecture asymétrique dominent le village à 324 m d'altitude. Le maitre autel a été hérité de l'église tombée en ruines en 1775 qui était construite dans l'enceinte du Château des Seigneurs de Fos au sommet du village de Bormes. ;

     

    Bormes-les-Mimosas (Var) 2ème partie

    Bormes-les-Mimosas (Var) 2ème partie 

    Bormes-les-Mimosas (Var) 2ème partie

    Bormes-les-Mimosas (Var) 2ème partie

    Bormes-les-Mimosas (Var) 2ème partie

    Bormes-les-Mimosas (Var) 2ème partie

    Bormes-les-Mimosas (Var) 2ème partie

    Bormes-les-Mimosas (Var) 2ème partie

    Bormes-les-Mimosas (Var) 2ème partie

    Bormes-les-Mimosas (Var) 2ème partie

     

    Les restes du château des Seigneurs de Fos, dans le haut du vieux village
    Classé monument historique depuis 1931, pour certaines de ses parties, notamment la tour principale, il ne reste aujourd'hui que des vestiges de la courtine en forme de polygone et du logis seigneurial de Roger de Fos, symbole de la souveraineté des vicomtes de Marseille. Les remparts sont également bien conservés. C'est le point culminant du village (104 m) d'où l'on peut contempler un superbe panorama sur Bormes, le Lavandou et les îles d'Hyères.

     

    Bormes-les-Mimosas (Var) 2ème partie

    Bormes-les-Mimosas (Var) 2ème partie

    Bormes-les-Mimosas (Var) 2ème partie

    Bormes-les-Mimosas (Var) 2ème partie

    Bormes-les-Mimosas (Var) 2ème partie

    Bormes-les-Mimosas (Var) 2ème partie

    Bormes-les-Mimosas (Var) 2ème partie

     

    La chapelle Saint-François-de-Paule est inscrite depuis le 11 avril 1963 ;
    située à côte de l'ancien cimetière (quelques tombes encore visibles) et à proximité de vestiges de moulins à vent. Elle est érigée en 1560 en hommage à l'ermite Francesco Martolillo, reconnu pour ses bienfaits et miracles61, qui délivre le village de la peste en 1481 alors qu'il se rend à Paris au chevet du roi Louis XI mourant. Il fonde l'ordre mendiant des Minimes. Il est canonisé par le pape Léon X en mai 1519. Cette chapelle est la plus ancienne chapelle qui lui soit dédiée.
    En 1653, la confrérie des Pénitents blancs62,63 en fait son siège et le lieu de sépulture de ses membres.
    En 1791, elle est achetée comme Bien national par le citoyen Maurice Courme qui refuse de la transformer en moulin à farine et la rend au culte en 1827.
    Elle est restaurée en 1988-1989 par l'association "Sauvegarde du vieux Bormes".

     

    Bormes-les-Mimosas (Var) 2ème partie

    Bormes-les-Mimosas (Var) 2ème partie

    Bormes-les-Mimosas (Var) 2ème partie

    Bormes-les-Mimosas (Var) 2ème partie

    Bormes-les-Mimosas (Var) 2ème partie

    Bormes-les-Mimosas (Var) 2ème partie 

    Bormes-les-Mimosas (Var) 2ème partie

    Bormes-les-Mimosas (Var) 2ème partie

    Bormes-les-Mimosas (Var) 2ème partie

    Bormes-les-Mimosas (Var) 2ème partie

    Bormes-les-Mimosas (Var) 2ème partie

    Bormes-les-Mimosas (Var) 2ème partie

      

    Bormes-les-Mimosas (Var) 2ème partie

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  • "Les Chats" poème de Henri Monnier

     

    Les chats

    On les a fait venir

    Je suis le chat de cimetière,
    De terrain vague et de gouttière,
    De haute-Egypte et du ruisseau
    Je suis venu de saut en saut.

    "Les Chats" poème de Henri Monnier

    Je suis le chat qui se prélasse
    A l'instant où le soleil passe,
    Dans vos jardins et dans vos cours
    Sans avoir patte de velours.

    "Les Chats" poème de Henri Monnier

    Je suis le chat de l'infortune,
    Le trublion du clair de lune
    Qui vous réveille dans la nuit
    Au beau milieu de vos ennuis.

    "Les Chats" poème de Henri Monnier

    Je suis le chat des maléfices
    Condamné par le Saint-Office;
    J'évoque la superstition
    Qui cause vos malédictions.

    "Les Chats" poème de Henri Monnier

    Je suis le chat qui déambule
    Dans vos couloirs de vestibules,
    Et qui fait ses petits besoins
    Sous la porte cochère du coin.

    "Les Chats" poème de Henri Monnier

    Je suis le félin bas de gamme,
    La bonne action des vieilles dames
    Qui me prodiguent le ron-ron
    Sans souci du qu'en dira-t-on.

    "Les Chats" poème de Henri Monnier

    Epargnez moi par vos prières
    Le châtiment de la fourrière
    Où finissent vos émigrés
    Sans demeure et sans pedigree.

    "Les Chats" poème de Henri Monnier

    Henri Monnier

    "Les Chats" poème de Henri Monnier

     

    "Les Chats" poème de Henri Monnier

     

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  • Bormes-les-Mimosas (Var)

     


    Bormes-les-Mimosas est souvent comparée, grâce à son vieux village, à une crèche provençale : vieilles maisons couvertes de tuiles roses, ruelles fleuries, remparts et ruines de château, le vieux village médiéval offre une vue panoramique sur la plaine et les îles d’Or.

     

    Bormes-les-Mimosas (Var)

     

    La commune de Bormes-les-Mimosas est située sur la côte méditerranéenne, à l’extrême sud du massif des Maures. Elle s’étend des crêtes du massif principal jusqu’à l’extrémité du cap Bénat qui avance dans la mer en face des îles d’Hyères, en passant par la petite dépression du ruisseau de Batailler, qui assure la communication entre la plaine d’Hyères et la « corniche des Maures » (le Lavandou, Cavalaire).

    Le village de Bormes est accroché à flanc de colline, face au sud, sous les ruines de son ancien château.

     

    Bormes-les-Mimosas (Var)

    Bormes-les-Mimosas (Var)

    Bormes-les-Mimosas (Var)

    Bormes-les-Mimosas (Var)

    Bormes-les-Mimosas (Var)

    Bormes-les-Mimosas (Var)

    Bormes-les-Mimosas (Var)

    Bormes-les-Mimosas (Var)

    Bormes-les-Mimosas (Var)

    Bormes-les-Mimosas (Var)

    Bormes-les-Mimosas (Var)

     

    La commune compte cinq monuments protégés au titre des Monuments historiques


    Le fort de Brégançon et l'îlot qui le supporte.
    Brégançon est un îlot rocheux de 35 m de hauteur, aujourd’hui relié à la côte par une jetée longue de 150 m.
    De tout temps, la forteresse de Brégançon fut convoitée pour sa situation géographique qui permettait la surveillance et la défense des rades de Hyères et de Toulon.
    Situé près des mines de plomb argentifère du Cap Bénat et du grenat almandin de La Verne, 400 ans avant J-C, les Grecs y installent un comptoir pour le commerce avec les Ligures. Plus tard, Brégançon devient un repaire de corsaires.
    Tout d’abord seigneurie des Vicomtes de Marseille, puissants seigneurs de la terre de Fos, Brégançon est sujet à toutes les convoitises. De gré ou de force, au travers des siècles la presqu’île passe aux mains de plusieurs maîtres rattachés à la couronne de France.
    En 1257, Charles d’Anjou, devenu Comte de Provence par son mariage le fait réparer et armer. En 1483, le dernier seigneur de Provence, Charles du Maine lègue le comté au roi de France Louis XI.
    La presqu’île sera le lieu de combats meurtriers comme en 1408 contre les sarrasins et en 1578 lors de la guerre entre protestants et catholiques.
    En 1793, Bonaparte alors capitaine d’artillerie fait réarmer le fort lors du conflit avec la flotte anglo-espagnole.
    L’édifice sera classé monument historique en 1924 et institué résidence présidentielle en 1968.

     

    Bormes-les-Mimosas (Var)

    Bormes-les-Mimosas (Var)

    Bormes-les-Mimosas (Var)

    Bormes-les-Mimosas (Var)

    Bormes-les-Mimosas (Var) 

    Bormes-les-Mimosas (Var)

    Bormes-les-Mimosas (Var)

    Bormes-les-Mimosas (Var)


    Pierre-Jean Guth, architecte de la marine nationale, grand prix de Rome, transforma le fort en une résidence d'été agréable tout en respectant ce qui restait de la vieille forteresse.

     

    Bormes-les-Mimosas (Var)

    Bormes-les-Mimosas (Var)

     

    Si le Général de Gaulle a fort peu profité des charmes de Brégançon, les présidents Pompidou, Giscard D'Estaing, Mitterrand, Chirac, Sarkozy y ont tour à tour séjourné.

     

    Bormes-les-Mimosas (Var)

    Bormes-les-Mimosas (Var)

    Bormes-les-Mimosas (Var)

     

    L'église Saint-Trophyme de Bormes-les-Mimosas est inscrite depuis le 21 novembre 1973;
    L'église paroissiale actuelle fut construite en fin du XVIIIe siècle, elle est d'inspiration romane.

     

    Bormes-les-Mimosas (Var)

    Bormes-les-Mimosas (Var)

    Bormes-les-Mimosas (Var)

    Bormes-les-Mimosas (Var)

    Bormes-les-Mimosas (Var)

    Bormes-les-Mimosas (Var)


    À l'intérieur s'y trouvent, un autel en étain qui est l'œuvre de l'architecte Kappelin, des bustes reliquaires en bois, des retables, et un ancien chemin de croix.

     

    Bormes-les-Mimosas (Var)

    Bormes-les-Mimosas (Var)


    En 1999, des travaux de restauration ont été entrepris à l'intérieur de l'édifice et des fresques datant de sa construction ont été découvertes.
    Sur la façade, figure un cadran solaire qui mentionne : « Ab hora diei ad horam Dei » ; ce qui signifie : « De l'heure du jour, à l'heure de Dieu »

     

    Bormes-les-Mimosas (Var)

     

    Bormes-les-Mimosas (Var)

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  • Peinture de : Pierre-Henri de Valenciennes

    Peinture de : Pierre-Henri de Valenciennes

     

    Pierre-Henri de Valenciennes est né à Toulouse le 6 décembre 1750 dans une famille d’artisans.
    Son père, Pierre Devalenciennes, était maître perruquier et sa mère Marguerite Abel était la fille d’un maître tapissier. Encore enfant, il étudie la musique et fait l’apprentissage du violon à la maîtrise de la cathédrale Saint­-Étienne. Le père de Pierre-Henri étant décédé en 1754, il reçoit la protection de la famille Dubourg, notables locaux.

     

    Peinture de : Pierre-Henri de Valenciennes

    Peinture de : Pierre-Henri de Valenciennes

    Peinture de : Pierre-Henri de Valenciennes

    Peinture de : Pierre-Henri de Valenciennes

    Peinture de : Pierre-Henri de Valenciennes

    Peinture de : Pierre-Henri de Valenciennes

     

    A la fin des années 1760, il voyage dans le sud de la France et en Italie avec Mathias Dubourg (1746-1794) qui sera par la suite conseiller au Parlement de Toulouse. En 1770 et 1771, Pierre-Henri de Valenciennes étudie la peinture à l’Académie royale de Toulouse avec deux professeurs : Jean-Baptiste Despax (1710-1773), peintre de scènes historiques et religieuses, et Guillaume Gabriel Bouton (1730-1782), miniaturiste.
    Le mécénat de la famille Dubourg permet au jeune peintre d’acquérir une célébrité locale.

     

    Peinture de : Pierre-Henri de Valenciennes

    Peinture de : Pierre-Henri de Valenciennes

    Peinture de : Pierre-Henri de Valenciennes

    Peinture de : Pierre-Henri de Valenciennes

    Peinture de : Pierre-Henri de Valenciennes

    Peinture de : Pierre-Henri de Valenciennes

    Peinture de : Pierre-Henri de Valenciennes

     

    En 1772, Pierre-Henri de Valenciennes quitte Toulouse. Sa tante étant mariée au valet de chambre du duc Étienne-François de Choiseul (1719-1785), ministre de Louis XV entre 1758 et 1770, le jeune homme profite de ce lien familial pour se rapprocher des artistes et intellectuels gravitant autour du duc. Celui-ci, en disgrâce, vit dans son château de Chanteloup, près d’Amboise. Le jeune homme s’installe donc en Touraine.

     

    Peinture de : Pierre-Henri de Valenciennes

    Peinture de : Pierre-Henri de Valenciennes

    Peinture de : Pierre-Henri de Valenciennes

    Peinture de : Pierre-Henri de Valenciennes

    Peinture de : Pierre-Henri de Valenciennes

    Peinture de : Pierre-Henri de Valenciennes

    Peinture de : Pierre-Henri de Valenciennes

     

    La recommandation du duc de Choiseul lui permet ensuite de bénéficier à Paris de l’enseignement de Gabriel Doyen (1726-1806), peintre d’histoire et membre de l’Académie royale de peinture et de sculpture. Il expose pour la première fois au Salon officiel en 1778. De 1777 à 1785, Pierre-Henri de Valenciennes vit en Italie. Nombreux sont les artistes français qui y séjournent, en particulier les pensionnaires de l’Académie de France à Rome, logés au palais Mancini et bénéficiant d’une pension royale. Pierre-Henri fréquente ces jeunes artistes mais rencontre également d’autres jeunes peintres de passage à Rome : Jacques-Louis David (1748-1825), François Cammas (1743-1804), Joseph Roques (1757-1847). En août et septembre 1779, il voyage en Naples, en Sicile et en Ombrie.

     

    Peinture de : Pierre-Henri de Valenciennes

    Peinture de : Pierre-Henri de Valenciennes

    Peinture de : Pierre-Henri de Valenciennes

    Peinture de : Pierre-Henri de Valenciennes

    Peinture de : Pierre-Henri de Valenciennes

    Peinture de : Pierre-Henri de Valenciennes

    Peinture de : Pierre-Henri de Valenciennes

    Peinture de : Pierre-Henri de Valenciennes

     

    Au cours de son séjour, Pierre-Henri de Valenciennes réalise de nombreux dessins et huiles sur papier d’après nature qu’il utilisera plus tard pour composer ses paysages.
    En 1785 ou 1786, Pierre-Henri de Valenciennes rejoint Paris. Dès 1787, il est reçu à l’Académie royale de peinture et de sculpture sur présentation du peintre Pierre-Antoine de Machy (1723-1807). Son morceau de réception est un vaste paysage historique : Cicéron découvrant le tombeau d’Archimède. Il expose régulièrement au salon à la fin du 18e et au début du 19e siècle et connaît un succès constant.

     

    Peinture de : Pierre-Henri de Valenciennes

    Peinture de : Pierre-Henri de Valenciennes

    Peinture de : Pierre-Henri de Valenciennes

    Peinture de : Pierre-Henri de Valenciennes

    Peinture de : Pierre-Henri de Valenciennes

    Peinture de : Pierre-Henri de Valenciennes

    Peinture de : Pierre-Henri de Valenciennes

    Peinture de : Pierre-Henri de Valenciennes

     

    Pierre-Henri de Valenciennes est aussi un théoricien reconnu qui publie en 1799 un ouvrage intitulé Éléments de perspective pratique à l'usage des artistes, suivis de réflexions et conseils à un élève sur la peinture et particulièrement sur le genre du paysage. Cet ouvrage à vocation pédagogique est un exposé de la conception néo-classique du paysage. Valenciennes a une activité d’enseignement importante. Dès la fin du 18e siècle, il accueille dans son atelier de jeunes apprentis. Il est considéré à l’époque comme l’un des meilleurs connaisseurs des lois de la perspective appliquées au dessin et à la peinture. A partir de 1812, il enseigne la perspective à l’École impériale des Beaux-arts.

     

    Peinture de : Pierre-Henri de Valenciennes

    Peinture de : Pierre-Henri de Valenciennes

    Peinture de : Pierre-Henri de Valenciennes

    Peinture de : Pierre-Henri de Valenciennes

    Peinture de : Pierre-Henri de Valenciennes

    Peinture de : Pierre-Henri de Valenciennes

    Peinture de : Pierre-Henri de Valenciennes

     

    Pierre-Henri de Valenciennes décède le 16 février 1819 à Paris. Il est alors considéré comme le plus grand paysagiste de son époque.

     

    Peinture de : Pierre-Henri de Valenciennes

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  • "La palissade" poème de Henri Monnier

     

    La palissade

    Le chat noir de la palissade
    Promène son museau partout,
    C'est un pirate en embassade,
    Le chat noir qui s'en vient chez nous.
    Dans le jardin ou sur le toit,
    En mille et une escapades
    De tous côtés, il est le roi.

    "La palissade" poème de Henri Monnier

    Il est le tigre du Bengale
    Et le prince des maraudeurs,
    Sa moquerie est sans égale:
    Ce chat-là est un chapardeur.

    "La palissade" poème de Henri Monnier

    Il faut le voir, cet escogriffe,
    Ce gracile animal ingrat
    Qui lacère à grands coups de griffe
    Les détritus de papier gras.

    "La palissade" poème de Henri Monnier

    Il mène sa vie à sa guise,
    Ne faisant que ce qui lui plaît,
    Il se complaît dans des bêtises
    Qui ne valent pas un couplet.

    "La palissade" poème de Henri Monnier

    Et cependant si ce vaurien
    Ne commet que des incartades
    A la maison, on l'aime bien,
    Le chat noir de la palissade.

     

    Henri Monnier,

     

    "La palissade" poème de Henri Monnier

    "La palissade" poème de Henri Monnier 

    "La palissade" poème de Henri Monnier

    "La palissade" poème de Henri Monnier

     

    "La palissade" poème de Henri Monnier

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  • Gâteau de Savoie

     

    Ingrédients : pour un moule de 24 cm de diamètre

     

    7 blancs d’œufs
    le zeste d’1 citron bio
    1 pincée de sel
    20 g de beurre pour le moule

    180 g de sucre en poudre
    6 jaunes d’œufs
    150 g de fécule de maïs (type Maïzena)

     

    Gâteau de Savoie


    Préparation

    ÉTAPE 1
    Dans un petit bol, mélanger 130 g de sucre avec le zeste d’un citron. Laisser infuser une dizaine de minutes.

    ÉTAPE 2
    Mettre les jaunes d’oeuf dans le plus grand bol de votre robot. Dans un autre bol, réserver les 7 blancs avec une pincée de sel.

    ÉTAPE 3
    Ajouter le sucre citronné dans les jaunes d’oeufs et mélanger à vitesse moyenne pendant une bonne dizaine de minutes. Vous devez obtenir un mélange blanchi qui fait un ruban.

    ÉTAPE 4
    Beurrer le moule et préchauffer le four à 220°.

    ÉTAPE 5
    Monter les blancs en neige et ajouter les 50 g de sucre en poudre restant quand ils commencent à mousser, en 3 fois, tout en continuant de battre.

    ÉTAPE 6
    Incorporer alors une grosse cuillère de fécule de maïs et mélanger. Puis ajouter une grosse cuillère de blancs d’œufs. Répéter l’opération jusqu’à épuisement des ingrédients. Vous devez terminer par les blancs.

    ÉTAPE 7
    Verser la pâte dans le moule.

    ÉTAPE 8
    Enfourner pendant 6 min à 220°C.

    ÉTAPE 9
    Baisser la température du four à 130° et poursuivre la cuisson pendant 35 minutes. Vérifier la cuisson à l’aide d’une lame de couteau qui doit ressortir sèche. Si ce n’est pas le cas, ajouter environ 5 minutes de cuisson.

     

    Gâteau de Savoie

     

    Gâteau de Savoie

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  • Fleurs cultivées : Pétunia

    Fleurs cultivées : Pétunia

     

    Le pétunia est une fleur facile d’entretien. Sa floraison longue et abondante, aux couleurs variées et éclatantes, s'épanouit du printemps jusqu’aux premières gelées. En jardinière ou en suspension, il est la star des balcons et rebords de fenêtre.

     

    Fleurs cultivées : Pétunia

    Fleurs cultivées : Pétunia

    Fleurs cultivées : Pétunia

    Fleurs cultivées : Pétunia

    Fleurs cultivées : Pétunia

     

    Le pétunia est originaire d’Amérique du Sud. Cette plante, très répandue dans l’Hexagone, est appréciée pour sa floraison riche et prolongée.

     

    Fleurs cultivées : Pétunia

    Fleurs cultivées : Pétunia

    Fleurs cultivées : Pétunia

    Fleurs cultivées : Pétunia

    Fleurs cultivées : Pétunia

     

    Elle possède des rameaux souples, portant des feuilles duveteuses et collantes.

     

    Fleurs cultivées : Pétunia

    Fleurs cultivées : Pétunia

    Fleurs cultivées : Pétunia

     

    Les fleurs, en forme de trompettes très évasées, disposent d’une grande palette de couleurs vives, mais aussi de teintes plus pastel.

     

    Fleurs cultivées : Pétunia

    Fleurs cultivées : Pétunia

    Fleurs cultivées : Pétunia

    Fleurs cultivées : Pétunia

    Fleurs cultivées : Pétunia

    Fleurs cultivées : Pétunia

    Fleurs cultivées : Pétunia

    Fleurs cultivées : Pétunia

    Fleurs cultivées : Pétunia

    Fleurs cultivées : Pétunia

    Fleurs cultivées : Pétunia

    Fleurs cultivées : Pétunia

    Fleurs cultivées : Pétunia

     

    Le pétunia est adapté aux balcons, terrasses, rebords de fenêtre ainsi qu’aux massifs en pleine terre.

     

    Fleurs cultivées : Pétunia

    Fleurs cultivées : Pétunia

    Fleurs cultivées : Pétunia

    Fleurs cultivées : Pétunia

     

    Le pétunia est une plante vivace cultivée en annuelle. Il est gourmand en eau et en engrais.

     

    Fleurs cultivées : Pétunia

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    Fleurs cultivées : Pétunia

     

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  • Les gorges du Verdon (Alpes de Haute Provence)

    Les gorges du Verdon (Alpes de Haute Provence)

     

    La découverte des Gorges en voiture vous permettra de découvrir les paysages grandioses depuis le haut des falaises. Aucune route ne permet d’accéder au fond du canyon. Deux rives longent le canyon : la rive droite, dans le département des Alpes de Haute-Provence, au nord du Verdon et la rive gauche, dans le département du Var, au sud du Verdon.

     

    Les gorges du Verdon (Alpes de Haute Provence)

     

    Nous vous proposons ici de découvrir le tour complet du canyon. Pour apprécier chacune des étapes à sa juste valeur, consacrez une journée complète à cet itinéraire, long de près de 100 km.

     

    Les gorges du Verdon (Alpes de Haute Provence)

    Les gorges du Verdon (Alpes de Haute Provence)

    Les gorges du Verdon (Alpes de Haute Provence)

    Les gorges du Verdon (Alpes de Haute Provence)

    Les gorges du Verdon (Alpes de Haute Provence)

    Les gorges du Verdon (Alpes de Haute Provence) 

    Les gorges du Verdon (Alpes de Haute Provence)

     

    La rive droite : De Castellane à Moustiers-Sainte-Marie

     

    Les gorges du Verdon (Alpes de Haute Provence)

    Les gorges du Verdon (Alpes de Haute Provence)

    Les gorges du Verdon (Alpes de Haute Provence)


    Le Point Sublime
    En partant de Castellane, prenez direction Rougon en vous engageant sur la RD 952. Vous longez alors le Verdon sur 12 km jusqu’au Pont de Soleils. Arrivez à cette intersection, poursuivez sur la rive droite du Verdon en direction de La Palud-sur-Verdon.
    Quelques kilomètres plus loin, vous voilà arrivé à votre première étape, le Point Sublime ! L’endroit porte bien son nom, préparez-vous à en prendre plein des yeux…
    Le Point Sublime est le premier point de vue sur le canyon et l’un des détours à ne surtout pas manquer.
    Depuis le belvédère, véritable balcon accroché à flanc de falaise, l’impressionnante faille du Verdon s’ouvre devant vous au niveau du couloir Samson. On se sent minuscule face à ces deux immenses falaises qui laissent couler à leurs pieds l’eau émeraude du Verdon. Vous serez à la fois saisis et apaisés, aucune envie de décrocher et repartir vers le parking, pourtant le spectacle ne fait que commencer

     

    Les gorges du Verdon (Alpes de Haute Provence)

    Les gorges du Verdon (Alpes de Haute Provence) 

    Les gorges du Verdon (Alpes de Haute Provence)

    Les gorges du Verdon (Alpes de Haute Provence)

    Les gorges du Verdon (Alpes de Haute Provence)

    Les gorges du Verdon (Alpes de Haute Provence)

    Les gorges du Verdon (Alpes de Haute Provence)

    Les gorges du Verdon (Alpes de Haute Provence)

    Les gorges du Verdon (Alpes de Haute Provence)

     

    La Route des Crêtes
    Autour de La Palud-sur-Verdon, le circuit de la route des Crêtes est le détour incontournable. (Si vous n’avez pas fait la route des crêtes, il faudra revenir !). Long de 23 km, cet itinéraire touristique vous donne accès à de nombreux belvédères, tous perchés au sommet des plus hautes falaises des Gorges, avec des vues à couper le souffle. L’envie de s’envoler donne le vertige … un sentiment de liberté et de plénitude !
    Vous terminez la Route des Crêtes au centre du village de La Palud-sur-Verdon, au cœur des Gorges du Verdon. Village idéal pour les amoureux de la nature, ses ruelles étroites et authentiques méritent que vous marquiez un arrêt pour vous remettre de vos émotions passées.

    Après votre escale, reprenez la route départementale 952 en direction de Moustiers-Sainte-Marie et préparez-vous, la suite du voyage promet encore de jolies surprises

     

    Les gorges du Verdon (Alpes de Haute Provence) 

    Les gorges du Verdon (Alpes de Haute Provence)

    Les gorges du Verdon (Alpes de Haute Provence)

    Les gorges du Verdon (Alpes de Haute Provence)

    Les gorges du Verdon (Alpes de Haute Provence)

    Les gorges du Verdon (Alpes de Haute Provence)

    Les gorges du Verdon (Alpes de Haute Provence)

    Les gorges du Verdon (Alpes de Haute Provence)

    Les gorges du Verdon (Alpes de Haute Provence)

    Les gorges du Verdon (Alpes de Haute Provence)

    Les gorges du Verdon (Alpes de Haute Provence)

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    La Rive Gauche
    D’Aiguines à Trigance
    La rive gauche, au sud du grand canyon est plus sauvage et les arrêts plus aléatoires et anarchiques que sa voisine en rive droite. Les points de vue y sont une nouvelle fois remarquables et les belvédères, particulièrement insolites méritent que vous poursuiviez votre parcours pour clore votre voyage autour d’un des plus beaux sites de France !

     

    Les gorges du Verdon (Alpes de Haute Provence)

    Les gorges du Verdon (Alpes de Haute Provence)

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    Le Col d’Illoire et la Corniche Sublime
    Surplombant le lac de Sainte-Croix, le village d’Aiguines offre un panorama saisissant avec le plateau de Valensole et ses champs de lavande en toile de fond. Le musée des tourneurs sur bois est un détour à ne pas manquer pour vous plonger dans l’histoire de l’exploitation du buis dans les Gorges du Verdon, l’une des activités premières du lieu, bien avant l’arrivée des nombreux vacanciers.
    Prenez ensuite de la hauteur en direction du col d’Illoire. Situé à 967 m d’altitude, le belvédère récemment réaménagé tel un balcon surplombant le canyon vous donne l’impression de dominer le monde, suspendu au-dessus du Verdon.

     

    Les gorges du Verdon (Alpes de Haute Provence) 

    Les gorges du Verdon (Alpes de Haute Provence)

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    Les gorges du Verdon (Alpes de Haute Provence)

    Les gorges du Verdon (Alpes de Haute Provence)

    Les gorges du Verdon (Alpes de Haute Provence)

    Les gorges du Verdon (Alpes de Haute Provence)

    Les gorges du Verdon (Alpes de Haute Provence)

    Les gorges du Verdon (Alpes de Haute Provence)

    Les gorges du Verdon (Alpes de Haute Provence)


    Notre conseil : éloignez-vous un peu et prenez de la hauteur sur le belvédère, vous pourrez alors admirer à la fois les Gorges et le lac de Sainte-Croix …. Photos souvenirs garanties !

     

    Les gorges du Verdon (Alpes de Haute Provence)

     

     

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  • "Matin d'octobre" poème de François Coppée

     

    Matin d’Octobre

     

    C’est l’heure exquise et matinale
    Que rougit un soleil soudain.
    A travers la brume automnale
    Tombent les feuilles du jardin.

    Leur chute est lente. On peut les suivre
    Du regard en reconnaissant
    Le chêne à sa feuille de cuivre,
    L’érable à sa feuille de sang.

    Les dernières, les plus rouillées,
    Tombent des branches dépouillées :
    Mais ce n’est pas l’hiver encor.

    Une blonde lumière arrose
    La nature, et, dans l’air tout rose,
    On croirait qu’il neige de l’or.

    François Coppée, Promenades et Intérieurs

     

    "Matin d'octobre" poème de François Coppée

     

    "Matin d'octobre" poème de François Coppée

    "Matin d'octobre" poème de François Coppée

     

    "Matin d'octobre" poème de François Coppée

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