• Fleurs cultivées : Pâquerette

    Fleurs cultivées : Pâquerette

     

    De la famille des Astéracées et du genre Bellis, la pâquerette, littéralement « la fleur de Pâques » bien que l’espèce sauvage fleurisse de février à novembre, reste la fleur de l’enfance et des promenades dans les champs.

     

    Fleurs cultivées : Pâquerette

    Fleurs cultivées : Pâquerette

    Fleurs cultivées : Pâquerette

    Fleurs cultivées : Pâquerette

    Fleurs cultivées : Pâquerette

    Fleurs cultivées : Pâquerette

    Fleurs cultivées : Pâquerette

    Fleurs cultivées : Pâquerette

     

    Son nom latin Bellis perennis est encore plus explicite : « beauté éternelle ».

     

    Fleurs cultivées : Pâquerette

    Fleurs cultivées : Pâquerette

    Fleurs cultivées : Pâquerette

    Fleurs cultivées : Pâquerette

    Fleurs cultivées : Pâquerette

    Fleurs cultivées : Pâquerette

     

    Vivace haute de 5 à 15 cm, on la retrouve presque toute l’année enchantant nos jardins, nos prairies et nos villes. Sa corolle lumineuse offre aux jardins d’agrément une touche sauvage.

     

    Fleurs cultivées : Pâquerette

    Fleurs cultivées : Pâquerette

    Fleurs cultivées : Pâquerette

     

    D’origine européenne, elle pousse sur presque tous les types de sol. Quand vient la nuit, elle se ferme. Le jour, elle suit le mouvement du soleil. Elle peut pousser jusqu’à 2 200 m d’altitude.

     

    Fleurs cultivées : Pâquerette

    Fleurs cultivées : Pâquerette

    Fleurs cultivées : Pâquerette

     

    Mais saviez-vous que la pâquerette se déguste en cuisine et possède de nombreuses vertus médicinales ?

     

    Fleurs cultivées : Pâquerette

    Fleurs cultivées : Pâquerette

    Fleurs cultivées : Pâquerette

     

    Fleurs cultivées : Pâquerette

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  • Combourg (Ille-et-Vilaine)

    Combourg (Ille-et-Vilaine)

     

    Combourg est une commune française, chef-lieu du canton homonyme, située dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne.

     

    Combourg (Ille-et-Vilaine)

    Combourg (Ille-et-Vilaine)

    Combourg (Ille-et-Vilaine)

    Combourg (Ille-et-Vilaine)

    Combourg (Ille-et-Vilaine)

    Combourg (Ille-et-Vilaine)

    Combourg (Ille-et-Vilaine)

    Combourg (Ille-et-Vilaine)

    Combourg (Ille-et-Vilaine)

     

    La commune abrite trois monuments historiques :

     

    Le château de Combourg, édifié aux XIe et XVe siècles et remanié au XIXe siècle, François-René de Chateaubriand y passa une partie de son enfance et l'évoqua dans ses Mémoires d'outre-tombe.

     

    Combourg (Ille-et-Vilaine)

    Combourg (Ille-et-Vilaine)

    Combourg (Ille-et-Vilaine)

    Combourg (Ille-et-Vilaine)

    Combourg (Ille-et-Vilaine)

    Combourg (Ille-et-Vilaine)

    Combourg (Ille-et-Vilaine)

    Combourg (Ille-et-Vilaine)

    Combourg (Ille-et-Vilaine)

    Combourg (Ille-et-Vilaine)

    Combourg (Ille-et-Vilaine)

    Combourg (Ille-et-Vilaine)

    Combourg (Ille-et-Vilaine)

    Combourg (Ille-et-Vilaine)

     

    Le château a été inscrit par arrêté du 15 décembre 1926 et certaines parties ont été classées par arrêté du 2 août 1966 ; le site est classé par arrêté du 27 juin 1945.

     

    Combourg (Ille-et-Vilaine)

    Combourg (Ille-et-Vilaine)

    Combourg (Ille-et-Vilaine)

    Combourg (Ille-et-Vilaine)

    Combourg (Ille-et-Vilaine)


    Le manoir du Grand Trémaudan, fondé par la Famille de Trémaudan, dont le grand logis date de 1630 et des parties datent des XVe et XVIe siècles. Il a été inscrit par arrêté du 26 septembre 2005.

     

    Combourg (Ille-et-Vilaine)

    Combourg (Ille-et-Vilaine)

    Combourg (Ille-et-Vilaine)

    Combourg (Ille-et-Vilaine)

    Combourg (Ille-et-Vilaine)

    Combourg (Ille-et-Vilaine)

    Combourg (Ille-et-Vilaine)

    Combourg (Ille-et-Vilaine)

    Combourg (Ille-et-Vilaine)

    Combourg (Ille-et-Vilaine)

    Combourg (Ille-et-Vilaine)

    Combourg (Ille-et-Vilaine)


    La maison de la Lanterne, édifiée en 1575 à l’emplacement d’une maison fortifiée. Elle a été inscrite par arrêté du 6 mai 1966. Construite par Perrine Jonchée. Cette maison fut aussi surnommée hôtel Trémaudan ou maison de la Tourelle. Elle a été restaurée en 1968

     

    Combourg (Ille-et-Vilaine)

    Combourg (Ille-et-Vilaine)

    Combourg (Ille-et-Vilaine)

    Combourg (Ille-et-Vilaine)

    Combourg (Ille-et-Vilaine)

    Combourg (Ille-et-Vilaine)

     

    Combourg (Ille-et-Vilaine)

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  • "Le bonheur d'aimer" poème de Jules Canonge

     

    Le bonheur d'aimer.


    Quand on a le bonheur d'aimer,
    On croit tout voir en ce qu'on aime
    S'épanouir, se transformer ;
    On vit en lui plus qu'en soi-même ;
    Le chemin s'ouvre et reverdit,
    L'horizon changé s'agrandit,
    Partout où la vie est poussée,
    Et l'on n'a pour chaque désir
    Qu'un but où sourit le plaisir,
    Où se féconde la pensée.

    "Le bonheur d'aimer" poème de Jules Canonge

    Tout paraît s'unir pour charmer ;
    Les mortels que ce feu consume
    Ne se sentent pas consumer ;
    Pour eux le bonheur se résume
    En un mot, mot du ciel : aimer !
    C'est le seul mot que l'œil annonce
    Le seul que la lèvre prononce,
    Et qui, par l'oreille écouté,
    Soit au fond des cœurs répété.

    "Le bonheur d'aimer" poème de Jules Canonge

    Le passé, l'avenir s'efface,
    Tout, dans ce monde, est en oubli ;
    Le soleil comme l'ombre passe ;
    Rien sur le front ne creuse un pli ;
    Lorsqu'enfin le vent qui moissonne
    Emporte, effeuille la couronne
    Et précipite le flambeau,
    Le trépas garde ce mystère,
    Qui, toujours voilé pour la terre,
    Ne se révèle qu'au tombeau.

    "Le bonheur d'aimer" poème de Jules Canonge

    Unis par une sainte chaîne,
    Aimons, quand rayonne l'été ;
    Aimons, quand d'un voile argenté
    Le sombre hiver couvre la plaine.
    Qu'en notre âme ferme et sereine
    Par un dévouement soit compté
    Tout pas du temps qui nous entraîne !

    "Le bonheur d'aimer" poème de Jules Canonge

    Sans craindre de les épuiser
    À des flots purs venons puiser
    Les ivresses que le coeur donne ;
    Dieu nous réserve dans le Ciel
    Pour nos lèvres toujours du miel,
    Pour nos fronts, toujours la couronne ;
    Car, si, jusqu'au dernier jour,
    La douce foi d'un noble amour
    N'a jamais été profanée,
    La vie, en changeant de séjour,
    Ne change pas de destinée !


    Jules Canonge

     

    "Le bonheur d'aimer" poème de Jules Canonge

    "Le bonheur d'aimer" poème de Jules Canonge

    "Le bonheur d'aimer" poème de Jules Canonge

    "Le bonheur d'aimer" poème de Jules Canonge

     

    "Le bonheur d'aimer" poème de Jules Canonge

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  • Paramé (Ile-et-Vilaine)

     


    Paramé est une ancienne commune d'Ille-et-Vilaine, qui a fusionné avec Saint-Servan et Saint-Malo le 30 octobre 1967.

     

    Paramé (Ille-et-Vilaine)

     

    Elle est située à l'est de Saint-Malo, à laquelle elle est reliée par le Sillon. Paramé est connue pour sa longue plage de près de 2 kilomètres couramment appelée plage de Rochebonne.

     

    Paramé (Ille-et-Vilaine)

    Paramé (Ille-et-Vilaine)

    Paramé (Ille-et-Vilaine)

     

    Digue de Paramé ou digue de Rochebonne : elle fut construite de 1883 à 1913. Longue de 1 671 m, elle était destinée à protéger les anciennes dunes de sable de la mer et d'y permettre la construction d'un nouveau quartier, lançant ainsi Paramé comme station balnéaire. Elle court de la chaussée du Sillon au sud-ouest jusqu'à la cale de Rochebonne (à l'extrémité nord du boulevard de Rochebonne), en longeant la Grande Plage et la plage de Rochebonne qui ensemble (avec aussi la plage de l'Éventail) forment aujourd'hui la plus longue plage de Saint-Malo.
    La partie la plus au nord de la plage de Rochebonne est protégée par les rochers de la pointe de Rochebonne.
    La partie la plus au sud de la Grande Plage, le long de la Chaussée du Sillon (hors de Paramé), ainsi que la plage de l'Éventail au nord d'intra-Muros, sont protégées par l'éperon rocheux du Fort National.

     

    Paramé (Ille-et-Vilaine)

    Paramé (Ille-et-Vilaine)

    Paramé (Ille-et-Vilaine)

    Paramé (Ille-et-Vilaine)

    Paramé (Ille-et-Vilaine)

    Paramé (Ille-et-Vilaine)

     

    Ancienne église de Paramé.

     

    Paramé (Ille-et-Vilaine)

    Paramé (Ille-et-Vilaine)

    Paramé (Ille-et-Vilaine)

    Paramé (Ille-et-Vilaine)


    Ancienne mairie de Paramé dans une église de granit du XVIIIe siècle.

     

    Paramé (Ille-et-Vilaine)

    Paramé (Ille-et-Vilaine)


    Fort et pointe de la Varde, fortification du XVIIIe siècle.

     

    Paramé (Ille-et-Vilaine)

    Paramé (Ille-et-Vilaine)

    Paramé (Ille-et-Vilaine)

    Paramé (Ille-et-Vilaine)

    Paramé (Ille-et-Vilaine)

    Paramé (Ille-et-Vilaine)

    Paramé (Ille-et-Vilaine)

    Paramé (Ille-et-Vilaine)

    Paramé (Ille-et-Vilaine)

    Paramé (Ille-et-Vilaine)


    Manoir de Limoëlou : manoir de Jacques Cartier, découvreur du Canada. Il y meurt en 1557.

     

    Paramé (Ille-et-Vilaine)

    Paramé (Ille-et-Vilaine)

    Paramé (Ille-et-Vilaine)

    Paramé (Ille-et-Vilaine)

    Paramé (Ille-et-Vilaine)

    Paramé (Ille-et-Vilaine)

    Paramé (Ille-et-Vilaine)

    Paramé (Ille-et-Vilaine)

    Paramé (Ille-et-Vilaine)

    Paramé (Ille-et-Vilaine)


    Parc et château des Chênes, datés de 1709, actuelle école de musique Claude Debussy. Propriété où grandit, au xviiie siècle, celle qui devint la vicomtesse de Chateaubriand, la femme de « l'Enchanteur », Céleste Buisson de la Vigne.

     

    Paramé (Ille-et-Vilaine)

    Paramé (Ille-et-Vilaine)

    Paramé (Ille-et-Vilaine)

    Paramé (Ille-et-Vilaine)

    Paramé (Ille-et-Vilaine)

    Paramé (Ille-et-Vilaine)


    Château ou malouinière de la Chipaudière : grande malouinière ou gentilhommière bâtie de 1710 à 1720, par François-Auguste Magon de la Lande, armateur malouin et officier de vénerie du roi.

     

    Paramé (Ille-et-Vilaine)

    Paramé (Ille-et-Vilaine)

    Paramé (Ille-et-Vilaine)

    Paramé (Ille-et-Vilaine) 

    Paramé (Ille-et-Vilaine)

    Paramé (Ille-et-Vilaine)

     

    Thermes marins : vaste bâtiment du XIXe siècle donnant sur la digue, toujours en activité

     

    Paramé (Ille-et-Vilaine)

    Paramé (Ille-et-Vilaine)

    Paramé (Ille-et-Vilaine)

    Paramé (Ille-et-Vilaine)

    Paramé (Ille-et-Vilaine)

    Paramé (Ille-et-Vilaine)

    Paramé (Ille-et-Vilaine)

    Paramé (Ille-et-Vilaine)

     

    Paramé (Ille-et-Vilaine)

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  • Aquarelle de : Patrick Adam

    Aquarelle de : Patrick Adam


    « Initié par un camarade de collège à 14 ans, j’ai abordé la peinture en reproduisant à la gouache des tableaux de Monet et autres impressionnistes. Dans le même temps, la découverte de l’art moderne, du cubisme et de l’art abstrait m’ont orienté vers ce que je considérais alors comme la seule voie encore ouverte à la peinture, l’art non figuratif.

     

    Aquarelle de : Patrick Adam

    Aquarelle de : Patrick Adam

    Aquarelle de : Patrick Adam

    Aquarelle de : Patrick Adam

     

    En 1968 , avec le développement du Pop art, des installations et des « plasticiens » qui ne peignaient plus, j’ai perdu la foi, comme beaucoup d'autres peintres à cette époque; la peinture n’était plus un art majeur, l’art figuratif ou abstrait était mort au même titre que la musique dite classique, bon désormais pour les musées, les conservatoires, et les rétrospectives ; et j'avais peu de goût pour les "installations" des plasticiens.

     

    Aquarelle de : Patrick Adam

    Aquarelle de : Patrick Adam

    Aquarelle de : Patrick Adam

    Aquarelle de : Patrick Adam

     

    En 1970, j’ai abandonné la peinture mais deux ans plus tard, l’envie de peindre était toujours là…et j’ai commencé à peindre sur le vif des paysages à l’aquarelle (cf. Patrick Adam, Aquarelles en Pays champenois » (édition Effervescence Reims). Rejetant toute considération historique, j’ai opté pour la peinture figurative qui me semblait alors offrir des perspectives plus riches et une tradition inépuisable sans toutefois renier le non figuratif que je pratiquais parfois en parallèle dans le secret de l’atelier.

     

    Aquarelle de : Patrick Adam

    Aquarelle de : Patrick Adam

    Aquarelle de : Patrick Adam

    Aquarelle de : Patrick Adam

    Aquarelle de : Patrick Adam

     

    Je m’exerce aujourd’hui avec autant de plaisir et de passion à ces deux styles de peinture, comme un pianiste classique abandonnant pour un temps Chopin ou Debussy pour se livrer à une improvisation de jazz ».

     

    Aquarelle de : Patrick Adam

    Aquarelle de : Patrick Adam

    Aquarelle de : Patrick Adam

    Aquarelle de : Patrick Adam

     

    En 2020 , pendant la longue période du confinement, je me suis exclusivement consacré à mes paysages abstraits, à la lisière entre abstraction et figuration.

     

    Aquarelle de : Patrick Adam

    Aquarelle de : Patrick Adam

    Aquarelle de : Patrick Adam

    Aquarelle de : Patrick Adam

    Aquarelle de : Patrick Adam

     

    Aquarelle de : Patrick Adam

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  • "L'amour" poème d'Anna de Noailles

     

    L’amour


    Amour, qui dès l’aube du temps
    Flottais sur la terre et les eaux ;
    Toi qui, dans l’arbre et dans l’étang,
    Meus les poissons et les oiseaux.

    Toi qui dans la forêt mouvante
    Troubles la sève sous l’écorce,
    Et joins, aux heures violentes,
    La soumission et la force.

    Au delà du bien et du mal
    Mènes les coeurs phosphorescents,
    Amour au regard d’animal,
    O dieu des âmes et du sang…

    Anna de Noailles

     

    "L'amour" poème d'Anna de Noailles

     

    "L'amour" poème d'Anna de Noailles

     

    "L'amour" poème d'Anna de Noailles

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  •  Ananas, orange et citrons givrés

     


    Ingrédients


    Sac zipper ou barquettes Aluminium Albal
    1 ananas Victoria
    1 orange
    2 gros citrons jaunes
    50 cl de crème fraîche fluide
    2 blancs d’œufs
    150 g de sucre en poudre
    Ananas orange et citrons givrés

     

     Ananas, orange et citrons givrés


    Préparation :

    Avant toute chose, lavez-bien tous vos fruits.
    Coupez le chapeau des fruits, évidez-les et récupérez la chair dans 3 sacs Zipper d’Albal distincts.
    Fouettez les blancs d’œufs avec la crème dans un saladier en ajoutant le sucre peu à peu pour obtenir une préparation bien lisse.
    Pour réaliser les granités :
    L’ananas : Mixez la chair de l’ananas en ajoutant la moitié de la préparation sucrée. Remplissez l’ananas du mélange, ajoutez le chapeau et placez-le à la verticale au congélateur.
    L’orange : Mixez la chair de l’orange en ajoutant le quart de la préparation sucrée. Remplissez l’orange du mélange, ajoutez le chapeau et déposez-la au congélateur bien droite.
    Les citrons : Mixez la chair des citrons en ajoutant le dernier quart de la préparation sucrée. Remplissez les citrons du mélange puis placez-les bien droits au congélateur.
    Laissez les fruits givrés 4 h minimum au congélateur et sortez-les ¼ d’heure avant de les déguster.

     

     Ananas, orange et citrons givrés

     

     Ananas, orange et citrons givrés

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  • Fleurs cultivées : Papyrus

    Fleurs cultivées : Papyrus

     

    Le papyrus (ou cyperus) est une plante semi-aquatique à la beauté exotique qui ne pèche que par son manque de rusticité. Il orne les bords de bassin dans les régions au climat doux, mais peut aussi se cultiver sous une véranda ou dans la maison.

     

    Fleurs cultivées : Papyrus

    Fleurs cultivées : Papyrus

    Fleurs cultivées : Papyrus

    Fleurs cultivées : Papyrus

    Fleurs cultivées : Papyrus


    Le papyrus du Nil, communément appelé papyrus, appartient à la famille des Cypéracées. Cyperus papyrus, de son nom botanique, est originaire du delta du Nil, mais il n’existe pratiquement plus à l’état sauvage dans ce biotope semi-aquatique, du fait du contrôle des crues et du captage des eaux du fleuve. Le papyrus continue néanmoins à être cultivé dans toutes les régions tempérées pour un usage ornemental au jardin, en serre ou en véranda, car il craint les températures froides.

     

    Fleurs cultivées : Papyrus

    Fleurs cultivées : Papyrus

    Fleurs cultivées : Papyrus

    Fleurs cultivées : Papyrus

    Fleurs cultivées : Papyrus

     

    Dans leur biotope, les papyrus constituent un écran épais le long des berges. Seuls les gros animaux, tels les hippopotames, parviennent à le franchir. Ils sont évidemment moins volumineux dans nos contrées. Les tiges grêles de papyrus peuvent atteindre 1,50 à 3 m de hauteur, voire plus quand elles bénéficient de beaucoup de chaleur.

     

    Fleurs cultivées : Papyrus

    Fleurs cultivées : Papyrus

    Fleurs cultivées : Papyrus

    Fleurs cultivées : Papyrus

    Fleurs cultivées : Papyrus

      

    Leur section triangulaire ne dépasse pas 1 cm.

     

    Fleurs cultivées : Papyrus

     Fleurs cultivées : Papyrus

    Fleurs cultivées : Papyrus

    Fleurs cultivées : Papyrus

     

    Chaque tige se termine par une couronne de bractées ressemblant à des feuilles fines. Au printemps, chaque couronne se double d’une inflorescence plumeuse apparaissant au centre. Les fleurs discrètes sont de couleur crème et virent au brun à maturité, en été.

     

    Fleurs cultivées : Papyrus

    Fleurs cultivées : Papyrus

    Fleurs cultivées : Papyrus

    Fleurs cultivées : Papyrus

    Fleurs cultivées : Papyrus

    Fleurs cultivées : Papyrus

    Fleurs cultivées : Papyrus

    Fleurs cultivées : Papyrus

    Fleurs cultivées : Papyrus

    Fleurs cultivées : Papyrus

     

    Fleurs cultivées : Papyrus

     

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  • Salers  (Cantal)

     

    Salers est une commune française située dans le département du Cantal en région Auvergne-Rhône-Alpes

     

    Salers  (Cantal)

     

    Salers est située à l'extrémité ouest du complexe volcanique du Cantal, au bord d'un plateau d'une altitude de 900 m environ. La ville s'est constituée autour d'un château situé sur une butte basaltique dominant la vallée de la Maronne. À cet endroit, la Maronne n'est plus loin de son confluent avec l'Aspre, ces deux vallées permettant l'accès par l'ouest au puy Violent et à toute la chaîne des Puys cantaliens.

     

    Salers  (Cantal)

    Salers  (Cantal)

    Salers  (Cantal)

    Salers  (Cantal)

    Les bâtiments publics comme les maisons des Sagraniers sont bâties en pierre volcanique noire, typique de la région. Parmi les lieux remarquables, on peut citer :

    La place Tyssandier-d'Escous, dédiée au rénovateur de la race salers, entourée de maisons Renaissance dans le plus pur style de la Haute-Auvergne, cette place (aussi place de la Mairie) présente en son centre un buste de l'agronome qui succéda à l'ancienne halle à grains qui servait sous l'Ancien Régime pour la mesure des grains avec des niveaux sur chaque pilier.

     

    Salers  (Cantal)

    Salers  (Cantal)

    Salers  (Cantal)


    La maison dite du Bailliage, ayant été la propriété de la famille Sevestre, portant des traces des meneaux arrachés des fenêtres pour raisons fiscales, elle fut également la propriété de la famille Mossier. Elle porte le nom de bailliage en référence à ses précédents propriétaires qui furent magistrats civils, mais il n'a pas été établi que le bailliage, issu de Crèvecœur à Saint-Martin-Valmeroux, se soit établi de manière permanente dans cette demeure.

     

    Salers  (Cantal)

    Salers  (Cantal)

    Salers  (Cantal)


    La maison de la famille Chazette de Bargues avec un balcon en pierre de lave du XVe siècle orné de sculptures. Cette maison est la première dans la rue des Nobles.

     

    Salers  (Cantal)

    Salers  (Cantal)


    La maison du Commandeur de Mossier qui accueille le Musée de l’histoire de Salers et de ses traditions populaires. Belle demeure bourgeoise Renaissance avec sa galerie de style gothique et sculptures symboliques, ses clefs de voûte et culots de retombées d’ogives - Grandes salles, salons et mobiliers provenant en partie de la maison mitoyenne Dolivier (XVIIIe & XIXe siècles) - Cheminées monumentales (XVe siècle) - Pharmacie classée ISMH (1891) - Demeure inscrite à l’ISMH en 1927. Photos de la région de Salers par l’abbé Gély vers de 1911.

     

    Salers  (Cantal)

    Salers  (Cantal)

    Salers  (Cantal)


    La maison de la Ronade, dont les fondations datent du XIIIe siècle. Bâtisse de la famille du même nom, elle est devenue un salon de thé avec chambres d'hôtes.

     

    Salers  (Cantal)

    Salers  (Cantal)


    La porte du Beffroi

     

    Salers  (Cantal)

    Salers  (Cantal)

     

    et la porte de la Martille qui sont les derniers vestiges de l'ancien rempart médiéval.

     

    Salers  (Cantal)

    Salers  (Cantal)


    la chapelle dite Lizet qui s'avère être la chapelle de la mission diocésaine devenue depuis maison de retraite, une exposition permanente y est organisée : Salers, regards sur la peinture et la sculpture. Cette chapelle date du XVIIIe siècle, époque à laquelle les procédures foncières ont permis aux missionnaires diocésains de s'établir à Salers.

     

    Salers  (Cantal)

    Salers  (Cantal)

    Salers  (Cantal)


    L'hospice Lizet, il est dissimulé par le beffroi et abrite un artisan d'émaux. C'est le premier hospice de Salers, fondé par Pierre Lizet, premier président du Parlement de Paris au XVIe siècle.

     

    Salers  (Cantal)

    Salers  (Cantal)

    Salers  (Cantal)

    Salers  (Cantal)

    Salers  (Cantal)


    L'église Saint-Matthieu est une reconstruction de la fin du xve siècle, mais le portail rappelle le reste de l'église romane qui la précédait, néanmoins intégralement restaurée à la fin du xixe après que la foudre fut tombée dessus. Parmi les ornements, des tapisseries du xviie siècle, dont une est le « Serment de Montmartre », acte fondateur de la Compagnie de Jésus par saint Ignace de Loyola, ainsi qu'une Mise au tombeau polychrome datée de 1495, offerte par le père Géraud Vitalis pour la reconstruction et la consécration de l'église.

     

    Salers  (Cantal)

    Salers  (Cantal)

    Salers  (Cantal)

    Salers  (Cantal)

    Salers  (Cantal)

    Salers  (Cantal)

    Salers  (Cantal)

    Salers  (Cantal)

    Salers  (Cantal)

    Salers  (Cantal)

    Salers  (Cantal)


    La chapelle Notre-Dame-de-Lorette se trouve à l'est, en direction de la montagne, vers Malprangère. Elle date du XIXe siècle, d'un style néo-byzantin particulier, elle fut bâtie sur les restes de la chapeloune voulue par un seigneur de Salers, datant des alentours de 1450 et source d'un pèlerinage local dont les archives attestent de guérisons

     

    Salers  (Cantal)

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  • "Mois d'août"  poème de François Coppée

     

    Mois d'août.


    Par les branches désordonnées
    Le coin d'étang est abrité,
    Et là poussent en liberté
    Campanules et graminées.

    Caché par le tronc d'un sapin,
    J'y vais voir, quand midi flamboie,
    Les petits oiseaux, pleins de joie,
    Se livrer au plaisir du bain.

    Aussi vifs que des étincelles,
    Ils sautillent de l'onde au sol,
    Et l'eau, quand ils prennent leur vol,
    Tombe en diamants de leurs ailes.

    Mais mon cœur, lassé de souffrir,
    En les admirant les envie,
    Eux qui ne savent de la vie
    Que chanter, aimer et mourir !

    François Coppée.

     

    "Mois d'août"  poème de François Coppée

     

    "Mois d'août"  poème de François Coppée

     

     

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