• "l'été" poème de Charles Cros

     

    L'été

     

    En été les lis et les roses
    Jalousaient ses tons et ses poses,

    La nuit, par l'odeur des tilleuls
    Nous nous en sommes allés seuls.

    L'odeur de son corps, sur la mousse,
    Est plus enivrante et plus douce.

    En revenant le long des blés,
    Nous étions tous deux bien troublés.

    Comme les blés que le vent frôle,
    Elle ployait sur mon épaule.

         Charles Cros

     

    "l'été" poème de Charles Cros

     

    Yahoo!

    12 commentaires
  • Château By de Rosa Bonheur à Thorigny (Seine-et-Marne)

    Château By de Rosa Bonheur à Thorigny (Seine-et-Marne)

     

    Situé dans la paisible campagne de Seine-et-Marne, le château de By fut acheté par la peintre Rosa Bonheur en 1859. Elle y vécut jusqu’à sa mort en 1899 et y fit construire l’atelier de ses rêves, qui est resté intact depuis 120 ans et qui révèle au visiteur une forme d’intimité de l'artiste.
    Rosa Bonheur, peintre animalière dont les oeuvres ont traversé le monde entier, était une figure féminine étonnante du XIXème siècle. Depuis l'Impératrice Eugénie et Napoléon III, en passant par le romanesque Buffalo Bill, récemment l'infatigable Stéphane Bern et le président Emmanuel Macron, Rosa Bonheur a fait venir dans son atelier les têtes couronnées et les personnalités de son époque comme de la nôtre.

     

    Château By de Rosa Bonheur à Thorigny (Seine-et-Marne)

    Château By de Rosa Bonheur à Thorigny (Seine-et-Marne)

    Château By de Rosa Bonheur à Thorigny (Seine-et-Marne)

    Château By de Rosa Bonheur à Thorigny (Seine-et-Marne)

    Château By de Rosa Bonheur à Thorigny (Seine-et-Marne)

    Château By de Rosa Bonheur à Thorigny (Seine-et-Marne)

    Château By de Rosa Bonheur à Thorigny (Seine-et-Marne)

    Château By de Rosa Bonheur à Thorigny (Seine-et-Marne)

    Château By de Rosa Bonheur à Thorigny (Seine-et-Marne)

    Château By de Rosa Bonheur à Thorigny (Seine-et-Marne)

    Château By de Rosa Bonheur à Thorigny (Seine-et-Marne)

    Château By de Rosa Bonheur à Thorigny (Seine-et-Marne)

    Château By de Rosa Bonheur à Thorigny (Seine-et-Marne)

    Château By de Rosa Bonheur à Thorigny (Seine-et-Marne)

    Château By de Rosa Bonheur à Thorigny (Seine-et-Marne)

    Château By de Rosa Bonheur à Thorigny (Seine-et-Marne)


    Vous découvrirez dans l’atelier tous les objets de la vie quotidienne de l’artiste laissés là, comme si elle était sortie et qu’elle allait revenir. Il est en effet émouvant de voir son chapeau, ses palettes et pinceaux, sa blouse et ses bottines, ses carnets de croquis et même quelques mégots de cigarettes, qui illustreront parfaitement la vie idéaliste et originale de Rosa Bonheur que vous conteront les conférenciers. Plus qu’un musée, l’atelier constitue vraiment une invitation à entrer dans le monde de l’artiste.

     

    Château By de Rosa Bonheur à Thorigny (Seine-et-Marne)

    Château By de Rosa Bonheur à Thorigny (Seine-et-Marne)

    Château By de Rosa Bonheur à Thorigny (Seine-et-Marne)

    Château By de Rosa Bonheur à Thorigny (Seine-et-Marne) 

    Château By de Rosa Bonheur à Thorigny (Seine-et-Marne)

    Château By de Rosa Bonheur à Thorigny (Seine-et-Marne)

    Château By de Rosa Bonheur à Thorigny (Seine-et-Marne)

    Château By de Rosa Bonheur à Thorigny (Seine-et-Marne) 

    Château By de Rosa Bonheur à Thorigny (Seine-et-Marne)

    Château By de Rosa Bonheur à Thorigny (Seine-et-Marne)

    Château By de Rosa Bonheur à Thorigny (Seine-et-Marne)

    Château By de Rosa Bonheur à Thorigny (Seine-et-Marne) 

    Château By de Rosa Bonheur à Thorigny (Seine-et-Marne)

    Château By de Rosa Bonheur à Thorigny (Seine-et-Marne)

     

    Pour une véritable immersion, l'authentique chambre de Rosa Bonheur accueille au milieu de son mobilier, de son décor et de ses objets familiers, les hôtes qui souhaitent séjourner au château pour revivre le lever de soleil tel que Rosa le voyait depuis son lit, observer dans parc les animaux de la forêt qui le soir tombé reprennent possession du bois et des bosquets où Rosa puisait son inspiration et son énergie.

     

    Château By de Rosa Bonheur à Thorigny (Seine-et-Marne)

    Château By de Rosa Bonheur à Thorigny (Seine-et-Marne)

    Château By de Rosa Bonheur à Thorigny (Seine-et-Marne)

    Château By de Rosa Bonheur à Thorigny (Seine-et-Marne) 

    Château By de Rosa Bonheur à Thorigny (Seine-et-Marne)

     

    Château By de Rosa Bonheur à Thorigny (Seine-et-Marne)

    Yahoo!

    9 commentaires
  • Peinture de : Rosa Bonheur

    Peinture de : Rosa Bonheur

     

    L'artiste peintre française Rosa Bonheur, de son vrai nom Marie Rosalie Bonheur, naît le 16 mars 1822 à Bordeaux. Elle décède le 25 mai 1899 à Thomery.

     

    Peinture de : Rosa Bonheur

    Peinture de : Rosa Bonheur

    Peinture de : Rosa Bonheur

    Peinture de : Rosa Bonheur

    Peinture de : Rosa Bonheur

     

    Peintre spécialisée dans les représentations animalières, Rosa Bonheur est aussi une figure des débuts du féminisme. Autodidacte – elle apprend les rudiments de son métier auprès de son père et de Léon Coignet –, elle sait s’imposer dans un monde volontiers machiste.

     

    Peinture de : Rosa Bonheur

    Peinture de : Rosa Bonheur

    Peinture de : Rosa Bonheur 

    Peinture de : Rosa Bonheur 

    Peinture de : Rosa Bonheur

      

    De son vivant, Rosa Bonheur fut, comme Sarah Bernhardt, l’un des monstres sacrés du XIXe siècle, dont la réputation, dépassant la France, atteignit les rivages de l’Angleterre et des États-Unis. La gloire dont elle jouit par-delà les frontières lui valut d’effectuer des voyages au cours desquels elle fut présentée à des personnalités telles que la reine Victoria ou encore Buffalo Bill.

     

    Peinture de : Rosa Bonheur

    Peinture de : Rosa Bonheur

    Peinture de : Rosa Bonheur

    Peinture de : Rosa Bonheur

    Peinture de : Rosa Bonheur

    Peinture de : Rosa Bonheur

    Peinture de : Rosa Bonheur

    Peinture de : Rosa Bonheur

    Peinture de : Rosa Bonheur

     

    Rosa Bonheur est la première femme artiste à avoir été décorée dans l’ordre de la Légion d’honneur en 1865 des mains de l’Impératrice Eugénie. Officier de la Légion d’honneur en 1894, elle décède en 1899 au Château de By à Thomery.

     

    Peinture de : Rosa Bonheur

    Peinture de : Rosa Bonheur

    Peinture de : Rosa Bonheur

    Peinture de : Rosa Bonheur

    Peinture de : Rosa Bonheur

    Peinture de : Rosa Bonheur

    Peinture de : Rosa Bonheur 

    Peinture de : Rosa Bonheur

     

    Peinture de : Rosa Bonheur

    Yahoo!

    16 commentaires
  • "Dimanche marin" poème d'

     

    "Dimanche matin" poème d'Emile Verhaeren

     

    "Dimanche matin" poème d'Emile Verhaeren

     

    "Dimanche matin" poème d'Emile Verhaeren

     

    "Dimanche matin" poème d'Emile Verhaeren

     

     

    Yahoo!

    4 commentaires
  •  

    Ingrédients :

     

    1 melon vert ou jeune ou une pastèque
    1 banane
    1 pomme
    1 poire
    1 petite barquette de mûres
    1 petite barquette de cerises
    Jus d’une orange
    Jus d’un citron jaune
    De la menthe fraîche
    1 cuillère à soupe miel
    1 cuillère à soupe d’eau de fleur d’oranger

     

    Salade de fruits dans un melon

     

    Préparation :

    Lavez tous les fruits ainsi que la menthe puis réservez.
    Coupez le chapeau du melon retirez les pépins et videz-le à l’aide d’une cuillère parisienne (cuillère pour faire des boules).
    Epluchez et coupez en petits morceaux la banane, la pomme, la poire, les cerises dénoyautées au préalable .
    Dans un saladier, mettez les fruits découpés, ajoutez y la chaire du melon, les mûres, le jus de citron, le jus d’orange, l’eau de fleur d’oranger et le miel . Mélangez tous vos fruits ensemble et mettez-les dans le melon.

     

    Salade de fruits dans un melon

     

    Salade de fruits dans un melon

     

      Recette du net  : Aux délices du palais

    Yahoo!

    6 commentaires
  • Fleurs cultivées :

     

    Les œnothères, onagres en langage courant, appartiennent à la famille des Onagracées et au genre Œnothera.

     

    Fleurs cultivées : Oenothère

    Fleurs cultivées : Oenothère

    Fleurs cultivées : Oenothère

    Fleurs cultivées : Oenothère

    Fleurs cultivées : Oenothère

     

    Elles peuvent être annuelles, bisannuelles ou vivaces. Toutes sont originaires d’Amérique du Nord. Les vivaces ont un port buissonnant dressé de 0,80 m de haut ou forment des touffes compactes de 0,25 à 0,30 m qui ont tendance à s’étaler. Elles ne vivent toutefois pas très longtemps, rarement plus de 3 ans.

     

    Fleurs cultivées : Oenothère

    Fleurs cultivées : Oenothère

    Fleurs cultivées : Oenothère

    Fleurs cultivées : Oenothère

     

    Les tiges vertes ou rouges (pour Œnothera speciosa) sont très ramifiées.

     

    Fleurs cultivées : Oenothère

    Fleurs cultivées : Oenothère

     

    Les feuilles vertes sont le plus souvent lancéolées.

     

    Fleurs cultivées : Oenothère

    Fleurs cultivées : Oenothère

    Fleurs cultivées : Oenothère

     

    Les fleurs, nombreuses, en bout de tige et en larges coupes, forment souvent des bouquets et s’ouvrent le jour chez les vivaces, alors qu’elles s’ouvrent la nuit chez les bisannuelles. Elles sont assez éphémères, mais se renouvellent durant plusieurs mois.

     

    Fleurs cultivées : Oenothère

    Fleurs cultivées : Oenothère

    Fleurs cultivées : Oenothère

    Fleurs cultivées : Oenothère

    Fleurs cultivées : Oenothère

    Fleurs cultivées : Oenothère

    Fleurs cultivées : Oenothère

    Fleurs cultivées : Oenothère

     

    L’espèce bisannuelle, Œnothera biennis, est appelée communément primevère du soir. Cette plante pousse de façon spontanée en bordure de routes, de ruisseaux ou de fossés, en sol sablonneux dans certaines régions où elle peut devenir envahissante. Cultivée, elle peut mesurer de 0,80 jusqu’à 1,50 m de haut.

     

    Fleurs cultivées : Oenothère

    Fleurs cultivées : Oenothère

    Fleurs cultivées : Oenothère


    Ses grandes fleurs jaunes ont la particularité de s’ouvrir en fin de journée, en exhalant un parfum qui embaume et attire les papillons de nuit, et de faner le lendemain matin.

     

    Fleurs cultivées : Oenothère

    Fleurs cultivées : Oenothère


    Son feuillage vert clair, à nervure centrale rouge, rehausse la présence des fleurs.

     

    Fleurs cultivées : Oenothère

     

    L’onagre est cultivée industriellement et utilisée comme plante médicinale, car on extrait de ses graines une huile riche en acides gras, dont les propriétés sont utilisées en phytothérapie, en cas d’eczéma et de peau sèche, ou dans les syndromes prémenstruels. Elle entre également dans la composition de nombreuses préparations cosmétiques.

     

    Fleurs cultivées : Oenothère

     

    Enfin, on consommait autrefois (et certains continuent) ses racines jeunes (avant la floraison). Elles étaient appelées « jambon du jardinier » en raison de leur couleur rose à la cuisson. Mais dans nos jardins, sa présence, comme celle des autres œnothères, est essentiellement recherchée pour son esthétique et son agréable parfum.

     

    Fleurs cultivées : Oenothère

    Fleurs cultivées : Oenothère

     

    Fleurs cultivées : Oenothère

    Yahoo!

    11 commentaires
  • Saint-Saturnin-les-Apt  (Vaucluse)

     

    Saint-Saturnin-lès-Apt est une commune française située dans le département de Vaucluse, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

     

    Saint-Saturnin-les-Apt  (Vaucluse)

     

    Le village de Saint-Saturnin-lès-Apt est adossé à un des flancs des Monts de Vaucluse, face à la vallée nord du grand Luberon. Il est situé à 50 km d'Avignon, 19 km de Gordes par la route départementale 2 et 9 km d'Apt par la route départementale 943.

     

    Saint-Saturnin-les-Apt  (Vaucluse)

    Saint-Saturnin-les-Apt  (Vaucluse)

    Saint-Saturnin-les-Apt  (Vaucluse)

    Saint-Saturnin-les-Apt  (Vaucluse)

    Saint-Saturnin-les-Apt  (Vaucluse)

    Saint-Saturnin-les-Apt  (Vaucluse)


    Malgré les villas récentes qui foisonnent tout autour du village, la partie ancienne a beaucoup de charme avec ses deux moulins à vent du XVIIe siècle,

     

    Saint-Saturnin-les-Apt  (Vaucluse)

    Saint-Saturnin-les-Apt  (Vaucluse)

    Saint-Saturnin-les-Apt  (Vaucluse)

    Saint-Saturnin-les-Apt  (Vaucluse)

    Saint-Saturnin-les-Apt  (Vaucluse)

    Saint-Saturnin-les-Apt  (Vaucluse)

    Saint-Saturnin-les-Apt  (Vaucluse)

    Saint-Saturnin-les-Apt  (Vaucluse)

    Saint-Saturnin-les-Apt  (Vaucluse)

     

    Les vestiges de son château médiéval ainsi que trois enceintes fortifiées construites aux XIIIe, XIVe et XVIe siècles,

     

    Saint-Saturnin-les-Apt  (Vaucluse)

    Saint-Saturnin-les-Apt  (Vaucluse)

    Saint-Saturnin-les-Apt  (Vaucluse)

    Saint-Saturnin-les-Apt  (Vaucluse)

    Saint-Saturnin-les-Apt  (Vaucluse)

    Saint-Saturnin-les-Apt  (Vaucluse)

    Saint-Saturnin-les-Apt  (Vaucluse)

    Saint-Saturnin-les-Apt  (Vaucluse)

     

    En montant au château par des calades en pierres, on découvre les vestiges du village primitif entouré de remparts, le donjon et la chapelle castrale (1056) et le barrage crée en 1863 afin de garantir une réserve d'eau à la population.  Le panorama sur la plaine est exceptionnel, couvrant les Monts de Vaucluse, le Colorado Provençal, le grand et le petit Luberon, les Alpilles..

     

    Saint-Saturnin-les-Apt  (Vaucluse)

    Saint-Saturnin-les-Apt  (Vaucluse)

    Saint-Saturnin-les-Apt  (Vaucluse)

    Saint-Saturnin-les-Apt  (Vaucluse)

    Saint-Saturnin-les-Apt  (Vaucluse)

    Saint-Saturnin-les-Apt  (Vaucluse)

    Saint-Saturnin-les-Apt  (Vaucluse)

    Saint-Saturnin-les-Apt  (Vaucluse)

    Saint-Saturnin-les-Apt  (Vaucluse)

    Saint-Saturnin-les-Apt  (Vaucluse)

    Saint-Saturnin-les-Apt  (Vaucluse)

    Saint-Saturnin-les-Apt  (Vaucluse)

    Saint-Saturnin-les-Apt  (Vaucluse)

    Saint-Saturnin-les-Apt  (Vaucluse)

    Saint-Saturnin-les-Apt  (Vaucluse)

     

    dont il subsiste le portail « Ayguier ».

     

    Saint-Saturnin-les-Apt  (Vaucluse)

    Saint-Saturnin-les-Apt  (Vaucluse)

    Saint-Saturnin-les-Apt  (Vaucluse)

    Saint-Saturnin-les-Apt  (Vaucluse)

    Saint-Saturnin-les-Apt  (Vaucluse)

     

    Plusieurs aiguiers du XIXe siècle (dont un avec impluvium à ciel ouvert) et des cabanes en pierre sèche, appelées bories par le tourisme.

     

    Saint-Saturnin-les-Apt  (Vaucluse)

    Saint-Saturnin-les-Apt  (Vaucluse)

    Saint-Saturnin-les-Apt  (Vaucluse)

    Saint-Saturnin-les-Apt  (Vaucluse)

    Saint-Saturnin-les-Apt  (Vaucluse)

    Saint-Saturnin-les-Apt  (Vaucluse)

    Saint-Saturnin-les-Apt  (Vaucluse)

    Saint-Saturnin-les-Apt  (Vaucluse)

    Saint-Saturnin-les-Apt  (Vaucluse)

     

    Saint-Saturnin-les-Apt  (Vaucluse)

    Yahoo!

    9 commentaires
  • "Les soleils de Juillet" poème d'Auguste Lacaussade

     

    Les Soleils de Juillet

    A ELLE

    Les voici revenus, les jours que vous aimez,
    Les longs jours bleus et clairs sous des cieux sans nuage.
    La vallée est en fleur, et les bois embaumés
    Ouvrent sur les gazons leur balsamique ombrage.
    Tandis que le soleil, roi du splendide été,
    Verse tranquillement sa puissante clarté,
    Au pied de ce grand chêne aux ramures superbes,
    Amie, asseyons-nous dans la fraîcheur des herbes ;
    Et là, nos longs regards perdus au bord des cieux,
    Allant des prés fleuris dans l’éther spacieux,
    Ensemble contemplons ces beaux coteaux, ces plaines
    Où les vents de midi, sous leurs lentes haleines,
    Font des blés mûrissants ondoyer les moissons.
    Avec moi contemplez ces calmes horizons,
    Ce transparent azur que la noire hirondelle
    Emplit de cris joyeux et franchit d’un coup d’aile ;
    Et là-bas ces grands bœufs ruminants et couchés,
    Et plus loin ces hameaux d’où montent les clochers,
    Et ce château désert, ces croulantes tourelles,
    Qu’animent de leur vol les blanches tourterelles,
    Et ce fleuve paisible au nonchalant détour,
    Et ces ravins ombreux, frais abris du pâtour,
    Et tout ce paysage, heureux et pacifique,
    Où s’épanche à flots d’or un soleil magnifique !…

    Auguste Lacaussade

     

    "Les soleils de Juillet" poème d'Auguste Lacaussade

     

    "Les soleils de Juillet" poème d'Auguste Lacaussade

     

    "Les soleils de Juillet" poème d'Auguste Lacaussade

    Yahoo!

    11 commentaires
  • Mortrée (Orne)

     

    Mortrée est une commune française, située dans le département de l'Orne en région Normandie

     

    Mortrée (Orne)


    La commune de Mortrée est située aux confins de la forêt d'Écouves.

     

    Mortrée (Orne)

    Mortrée (Orne) 

    Mortrée (Orne)

    Mortrée (Orne)

    Mortrée (Orne)

    Mortrée (Orne)


    Château d'Ô, château de François d'O, « mignon » d'Henri III. Il fait l'objet d'un classement au titre des Monuments historiques depuis le 17 septembre 1964.
    Château élevé sur les ruines d'une première forteresse médiévale à la fin du 15e et au début du 16e siècle par Jean d'O, capitaine de la garde écossaise de François Ier. Vers 1770, la façade principale a été démolie et reconstruite au goût du jour. La cour d'honneur contient une colonnade ou promenoir paraissant appartenir à la première Renaissance. Le château est bâti sur pilotis, sur une île au centre d'un étang.
    L'enceinte, de forme rectangulaire flanquée de deux tours, renferme une cour avec une galerie à l'étage, les arcades possèdent des colonnes sculptées.

     

    Mortrée (Orne)

    Mortrée (Orne)

    Mortrée (Orne)

    Mortrée (Orne)

    Mortrée (Orne)

    Mortrée (Orne)

    Mortrée (Orne)

    Mortrée (Orne)

    Mortrée (Orne)

    Mortrée (Orne)

    Mortrée (Orne)

    Mortrée (Orne)

    Mortrée (Orne)

    Mortrée (Orne)

    Mortrée (Orne)

    Mortrée (Orne)

    Mortrée (Orne)

    Mortrée (Orne)


    Église Saint-Pierre (XIXe siècle), inscrite au titre des Monuments historiques depuis le 16 février 2006. L'église de Mortrée a été mise sous l'invocation de Saint-Pierre parce qu'il était le patron des églises de Bray et Marigny.
    Eglise conçue par l'architecte Laumonier, prenant place au sein d'un ensemble urbain autour de la place du village nouvellement créée. En 1831, l'architecte Dominique Dedaux reprend le projet en le modifiant. Il déplace la tour du clocher en arrière du choeur et modifie la façade, crée les chapelles d'angles à serlienne et la voûte à caissons droits de la nef. Les travaux sont réalisés entre 1831 et 1834. Il s'agit d'un édifice néo-classique à l'antique, à plan basilical sans transept. A l'intérieur, une colonnade supporte un entablement tandis que deux collatéraux reçoivent un plafond et un choeur à déambulatoire abrite un autel à la romaine. L'édifice est représentatif du courant de l'école des architectes diocésains qui prennent pour modèle, en les simplifiant, les programmes parisiens des années 1820-1830. La décoration murale est réalisée entre 1890 et 1892, et achevée en 1895

     

    Mortrée (Orne)

    Mortrée (Orne) 

    Mortrée (Orne)

    Mortrée (Orne)

    Mortrée (Orne)

    Mortrée (Orne)

    Mortrée (Orne)

    Mortrée (Orne)

    Mortrée (Orne)

     

    Logis de la Fontaine-Orin (1525), inscrite depuis le 14 mars 1995.
    Petite maison rurale de la fin du 15e ou du début du 16e siècle, située à proximité du château d'O. Construit sur un plan en L, l'édifice possède une porte gothique flamboyante, surmontée d'un arc en accolade couronné d'un fleuron de feuille de choux et encadrant une mouluration évoquant un trilobe. Les origines de cette maison semblent liées à celles du Château d'O, avec le même type de décor et les mêmes fenêtres.

     

    Mortrée (Orne)

    Mortrée (Orne)

    Mortrée (Orne)

    Mortrée (Orne)

     

    Mortrée (Orne)

    Yahoo!

    10 commentaires
  •  

    Désiré François Laugée, né à Maromme le 25 janvier 1823 et mort à Paris le 24 janvier 1896, est un peintre naturaliste, historique, religieux et un poète français.
    Laugée entre très tôt à l'école de dessin Quentin De La Tour de Saint-Quentin, dans l'Aisne.Il y suit les cours de Louis Nicolas Lemasle.

     

     

    Puis, il entre à l'École des beaux-arts de Paris et devient l'élève de François-Édouard Picot, Laugée est un ami d'Alexandre Dumas, de Victor Hugo et du peintre Jean-Baptiste Malézieux

     

     

    Il laisse une œuvre importante de dessins, tableaux mais aussi de fresques et plafonds peints Il excelle à la fois dans le genre historique (le siège de Saint-Quentin de 1557,

     

    la mort de David Rizzio,

    la question,

    dans la peinture religieuse (ses fresques sur le baptême de Clovis, sur Saint-Denis,

    et ses tableaux pour la chapelle de l'église Saint-Pierre-du-Gros-Caillou à Paris en 1866),

    et dans le mouvement naturaliste de l'école de Barbizon, avec une profusion de sujets campagnards dépeignant la vie paysanne. 

    Il participe à chaque édition du Salon de Paris de 1845 à sa mort, en 1896. Laugée a obtenu une 3* médaille en 1850, une 2' en 1855, un rappel en 1859, une 1" médaille en 1861 et un rappel en 1863. Il expose également dans plusieurs Expositions Internationales.

     

     

    Il peint également de nombreux portraits (Henri Martin

    Peinture de :Désiré François Laugée

    Peinture de :Désiré François Laugée

    et Victor Hugo à plusieurs reprises)

    Peinture de :Désiré François Laugée

    Peinture de :Désiré François Laugée

    et des compositions religieuses dans diverses églises de Paris (la Trinité, Sainte-Clotilde, Saint-Pierre-du-Gros-Caillou) et dans la basilique de Saint-Quentin.

    Peinture de :Désiré François Laugée

    Peinture de :Désiré François Laugée

    Peinture de :Désiré François Laugée

    Il participe en outre à la décoration de la coupole de la Bourse de Commerce de Paris (composition illustrant la Russie et le Nord)

    Peinture de :Désiré François Laugée

    ainsi qu'à la décoration de l'hôtel Continental de Paris

    Peinture de :Désiré François Laugée

    et du Palais de Justice de Rouen.

    Peinture de :Désiré François Laugée

     

    Laugée est présent dans de nombreux musées français et étrangers : Paris, Saint-Quentin, Amiens, Limoges, Troyes, Avignon, Bordeaux, Lille, Digne-les-Bains, Oxford (Royaume-Uni), Rio de Janeiro (Brésil)...
    Il meurt à Paris (16e arrondissement) le 24 janvier 18963 et est inhumé dans le caveau familial au cimetière de Passy (1re division).

     

    Peinture de :Désiré François Laugée

    Peinture de :Désiré François Laugée

     Peinture de :Désiré François Laugée

    Peinture de :Désiré François Laugée

    Peinture de :Désiré François Laugée

    Peinture de :Désiré François Laugée

    Peinture de :Désiré François Laugée

     

    Peinture de :Désiré François Laugée

     

    Peinture de :Désiré François Laugée

    Yahoo!

    14 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique