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    Né le 18 juillet 1925 à Rochester aux Etats-Unis, il était le fils d'un pianiste français célèbre, mort peu avant sa naissance. De sa mère, peintre sur céramique, qu'il jugeait idiote et qui le lui rendait bien, il ne revendiquait seulement que l'origine slave, se voulant un barbare nomade venu d'Asie et de Russie.

     

    18 juillet 1925 : naissance de François Augérias

    18 juillet 1925 : naissance de François Augérias

     

    Attiré par l'art, il quitte l'école à l'âge de treize ans pour suivre des cours de dessin. En 1941, il s'inscrit dans un des mouvements de jeunesse qui prolifèrent sous le régime de Vichy, mais dès 1942 il s'en détache pour devenir acteur dans un théâtre ambulant. S'engageant, en 1944, au dépôt de la flotte à Toulon, puis passe en Algérie française où il se retrouve à Alger. Il ne s'y attarde guère, pressé de rejoindre le Sud qu'il pressent être son véritable pays, et où il rejoint son oncle Marcel Augiéras, militaire colonial en retraite, qui vit à El Goléa, dans le Sahara.

     

    18 juillet 1925 : naissance de François Augérias

     

    François Augiéras est alors abusé sexuellement par son oncle, découvrant par là ses propres penchants homosexuels. Augiéras s'inspire de cet épisode pour écrire en 1949, Le Vieillard et l'Enfant, qu'il publie à compte d'auteur sous le pseudonyme d'Abdallah Chaamba. L'ouvrage retient l'attention d'André Gide qui, quelques mois avant son décès, rencontre le jeune écrivain. Le Vieillard et l'Enfant est publié en 1954 par les éditions de Minuit.

     

    18 juillet 1925 : naissance de François Augérias

     

    Solitaire et révolté, Augiéras multiplie les voyages, parcourant notamment l'Algérie et la Grèce, et faisant retraite au mont Athos. En 1957-1958, il participe à la revue Structure, que dirige Pierre Renaud à Paris, puis s'engage dans une compagnie de méharistes du sud algérien.

     

    18 juillet 1925 : naissance de François Augérias

    18 juillet 1925 : naissance de François Augérias

     

    Ses livres s'inspirent de sa vie mouvementée. D'un tempérament panthéiste, Augiéras évoque ouvertement dans ses écrits l'attirance sexuelle à la fois pour les garçons et les jeunes filles.

     

    18 juillet 1925 : naissance de François Augérias

    18 juillet 1925 : naissance de François Augérias

    18 juillet 1925 : naissance de François Augérias


    Détestant la religion chrétienne, il se rattachait aux dieux païens antérieurs à cette ère. Persuadé d'avoir eu plusieurs vies, il se pensait immortel et croyait fermement être venu sur Terre, non pas du lointain passé, mais du... futur. Son âme, selon lui, était une partie du cosmos. Miné par la pauvreté et la malnutrition, prématurément vieilli par ses conditions de vie, il s'installe dans une maison de repos à Fougères, puis dans un hospice pour indigents à Montignac.
    Un voyage au Mont Athos est publié en 1970.

     

    18 juillet 1925 : naissance de François Augérias

    18 juillet 1925 : naissance de François Augérias

    18 juillet 1925 : naissance de François Augérias

    18 juillet 1925 : naissance de François Augérias

     

     

    Usé du coeur, François Augiéras meurt le 13 décembre 1971 à l'hôpital de Périgueux.

     

    18 juillet 1925 : naissance de François Augérias

     

    Augérias était également peintre, 

     

    18 juillet 1925 : naissance de François Augérias

    18 juillet 1925 : naissance de François Augérias

    18 juillet 1925 : naissance de François Augérias

    18 juillet 1925 : naissance de François Augérias

    18 juillet 1925 : naissance de François Augérias

     

     

    18 juillet 1925 : naissance de François Augérias

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  • Coupe pêche melba au coulis de framboises

     

    Ingrédients pour 6 personnes:

     

    - 6 pêches jaunes ou blanches
    - 300 gr de framboises
    - le jus de 1/2 citron
    - de la chantilly en bombe
    - glace vanille
    - 100 gr de sucre glace
    - 1 c à c de vanille en poudre
    - amandes effilées 50 gr

     

    Coupe pêche melba au coulis de framboises

     

    Préparation

     

    1. Pelez, dénoyautez et coupez en morceaux les pêches.

    2. A l'aide d'un mixeur, mixer les framboises avec le sucre glace, la vanille et le jus de citron.

    3. Mettez de côté au frigo.

    4. Faites dorer les amandes à la poêle, attention elles dorent très vite. ( vous pouvez aussi les servir non dorées)

    4. Dans de jolis verres ou coupes, répartissez le coulis de framboises puis la glace à la vanille et les morceaux de pêches.

    5. Répartissez dessus la chantilly, décorez de framboises et d'amandes.

     

    Coupe pêche melba au coulis de framboises

     

    Coupe pêche melba au coulis de framboises

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  • Fleurs cultivées : Odontoglossum

     

    Fleurs cultivées : Odontoglossum

     

    Très en vogue dès la fin du XIXe siècle, les Odontoglossum sont des plantes extrêmement prisées. Il n'est pas exclu que cette courbe de popularité se superpose à celle du « modern style » avec lequel beaucoup de fleurs d'Odontoglossum sont en parfaite harmonie.

     

    Fleurs cultivées : Odontoglossum

    Fleurs cultivées : Odontoglossum

    Fleurs cultivées : Odontoglossum

    Fleurs cultivées : Odontoglossum

     

    Ils sont au nombre d'une centaine d'espèces (un chiffre qui varie selon les sources et la prise en compte ou non des hybrides naturels). Elles sont réparties dans les régions montagneuses d'Amérique, du Mexique au Pérou.

     

    Fleurs cultivées : Odontoglossum

    Fleurs cultivées : Odontoglossum

    Fleurs cultivées : Odontoglossum

     

    Les Odontoglossum (de la famille des Orchidacées) sont des plantes épiphytes sympodiales à pseudo-bulbe compressé. Leurs fleurs présentent une originalité dans le dessin, qui n'est atteinte par aucune autre espèce.

     

    Fleurs cultivées : Odontoglossum

    Fleurs cultivées : Odontoglossum

    Fleurs cultivées : Odontoglossum

    Fleurs cultivées : Odontoglossum

    Fleurs cultivées : Odontoglossum

    Fleurs cultivées : Odontoglossum

     

    Leurs pseudo-bulbes sont ovales, vert clair à vert foncé, et portent 4 feuilles étroitement ovales, la paire centrale mesurant de 15 à 23 cm de long.

     

    Fleurs cultivées : Odontoglossum

    Fleurs cultivées : Odontoglossum

    Fleurs cultivées : Odontoglossum

    Fleurs cultivées : Odontoglossum

     

    Le système racinaire est particulièrement vigoureux, et les racines sont fines et abondantes.

     

    Fleurs cultivées : Odontoglossum

    Fleurs cultivées : Odontoglossum

    Fleurs cultivées : Odontoglossum

    Fleurs cultivées : Odontoglossum

     

    Ces plantes, très hybridées entre elles, l'ont également été avec les genres voisins (Miltonia, Brassia, Oncidium, Cochlioda, etc.). Ce sont toutes des orchidées de serre tempérée. La plupart de ces genres hybridables entre eux sont considérés, par les botanistes, comme faisant partie d'un même groupe phylogénétique, rattaché à une forme primitive d'Oncidium.

     

    Fleurs cultivées : Odontoglossum

    Fleurs cultivées : Odontoglossum

    Fleurs cultivées : Odontoglossum

     

    Fleurs cultivées : Odontoglossum

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  • Pontivy (Morbihan)

     

    Pontivy est une commune française, chef-lieu d'arrondissement du département du Morbihan en région Bretagne.

     

    Pontivy (Morbihan)

     

    Pontivy est située dans le centre de la péninsule bretonne (en Argoat), à l'intérieur des terres, à 48,5 km au nord-ouest de Vannes, sa préfecture de rattachement, à 46,5 km au nord-est de Lorient, et à 51,5 km au sud de Saint-Brieuc. La ville la plus proche est Loudéac, distante seulement de 20 km.

     

    Pontivy (Morbihan)

    Pontivy (Morbihan)

    Pontivy (Morbihan)

    Pontivy (Morbihan)

     

    Pontivy adopte une structure fréquente dans les villes bretonnes qui se développent aux XIe et XIIe siècles et qui est liée à l'encellulement : un château, une église dédiée à son saint fondateur légendaire, une enceinte urbaine et, dans les différents faubourgs, des fondations monastiques


    Le château des Rohan et ses douves : chef-d'œuvre de l'art militaire de la fin du XVe siècle

    Le plan quadrangulaire irrégulier (d'environ 90 mètres sur 75 mètres) du château, flanqué de quatre tours d'angle circulaires reliées par une courtine de 20 mètres de haut, reste traditionnel. L'épaisseur des murs atteint par endroits plus de 5 mètres de large, afin de résister aux progrès de l'artillerie et aux tirs des canons. L'appareil est de schiste jusqu'à hauteur des mâchicoulis bretons sculptés en granite. À l'étage du chemin de ronde crénelé et couvert ont été ajoutées au début du XVIe siècle des lucarnes à frontons aigus. L'accès à la cour intérieure s'effectue par un pont dormant qui a remplacé les deux pont-levis jetés sur les douves jamais mises en eau. La contrescarpe est arasée au début du XXe siècle, la terre ainsi récupérée ayant servi à combler le fossé.

     

    Pontivy (Morbihan) 

    Pontivy (Morbihan)

    Pontivy (Morbihan)

    Pontivy (Morbihan)

    Pontivy (Morbihan)

    Pontivy (Morbihan)

    Pontivy (Morbihan)

    Pontivy (Morbihan) 

    Pontivy (Morbihan)

    Pontivy (Morbihan)

    Pontivy (Morbihan)

    Pontivy (Morbihan)

    Pontivy (Morbihan)

    Pontivy (Morbihan)

    Pontivy (Morbihan)

    Pontivy (Morbihan)

    Pontivy (Morbihan)

     

    La basilique Notre-Dame-de-Joie, gothique, du XVe siècle, abritant un orgue Cavaillé-Coll ; l'église était primitivement dédiée à saint Ivy, patron de la cité ; c'est au XVIIe siècle, à la suite d'un vœu fait à la Vierge par la ville pour demander la fin d'une grave épidémie, que l'église a été dédiée principalement à Notre-Dame-de-Joie ; l'église a été élevée au rang de basilique en 1950 (un vitrail rappelle ce couronnement).

     

    Pontivy (Morbihan)

    Pontivy (Morbihan)

    Pontivy (Morbihan)

    Pontivy (Morbihan)

    Pontivy (Morbihan)

    Pontivy (Morbihan)

    Pontivy (Morbihan)

    Pontivy (Morbihan)

    Pontivy (Morbihan)

    Pontivy (Morbihan)

    Pontivy (Morbihan)

    Pontivy (Morbihan)

    Pontivy (Morbihan)

    Pontivy (Morbihan)

    Pontivy (Morbihan)

    Pontivy (Morbihan)

    Pontivy (Morbihan)

    Pontivy (Morbihan)

    Pontivy (Morbihan)

    Pontivy (Morbihan)

     

    Le centre-ville de Pontivy a conservé de nombreuses maisons à colombages datant du Moyen Âge et de la Renaissance. Elles sont situées place du Martray et dans les rues adjacentes (rue du Fil et rue du Pont).

     

    Pontivy (Morbihan)

    Pontivy (Morbihan)

    Pontivy (Morbihan)

    Pontivy (Morbihan)

    Pontivy (Morbihan)

    Pontivy (Morbihan)

    Pontivy (Morbihan)

    Pontivy (Morbihan)

    Pontivy (Morbihan)

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    Pontivy (Morbihan)

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  • 14 juillet poème de Sabine

    14 juillet poème de Sabine Aussenac 

    14 juillet poème de Sabine Aussenac

     

     

    14 juillet poème de Sabine Aussenac

    14 juillet poème de Sabine Aussenac

    14 juillet poème de Sabine Aussenac

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  • Josselin (Morbihan)

     

    Josselin est une commune française, située en Argoat dans le département du Morbihan en région Bretagne.

     

    Josselin (Morbihan)


    La ville de Josselin est située sur les rives de l' Oust, une rivière dont le cours canalisé constitue une section du canal de Nantes à Brest. Josselin se situe à 12 km à l'ouest de Ploërmel, à 34 km à l'est de Pontivy, à 44 km au nord de Vannes, à 73 km au nord-est de Lorient et à 81 km à l'ouest de Rennes.

     

    Josselin (Morbihan)

    Josselin (Morbihan)

    Josselin (Morbihan)

    Josselin (Morbihan)

     

    La basilique Notre-Dame-du-Roncier, également église paroissiale, construite à la fin du XIIe siècle et plusieurs fois agrandie et modifiée est inscrite monument historique depuis 1927 puis 1929.
    Au coeur de la ville, elle s'impose par ses dimensions et son style gothique flamboyant et offre la particularité d'admirer de son clocher, le panorama sur la ville et les alentours.

     

    Josselin (Morbihan)

    Josselin (Morbihan)

    Josselin (Morbihan)

    Josselin (Morbihan)

    Josselin (Morbihan)

    Josselin (Morbihan)

    Josselin (Morbihan)

    Josselin (Morbihan)

    Josselin (Morbihan)

    Josselin (Morbihan)


    A l'intérieur, la Basilique recèle des trésors : les gisants d'Olivier de Clisson et de son épouse, de magnifiques vitraux, les grandes orgues restaurées en 1990 et révisées durant l'hiver 2010-2011, la chair à prêcher en fer forgé réalisée par un ferronnier d'art josselinais, Eustache Roussin.

     

    Josselin (Morbihan)

    Josselin (Morbihan)

    Josselin (Morbihan)

    Josselin (Morbihan)

    Josselin (Morbihan)

    Josselin (Morbihan)

    Josselin (Morbihan)

    Josselin (Morbihan)

     

    Dominant la vallée de l'Oust avec sa gracieuse silhouette, le château de Josselin demeure l'un des plus beaux de Bretagne. Avec son donjon, ses hautes tours en pierre et sa façade de style gothique flamboyant, cette forteresse offre un témoignage architectural saisissant. Edifié au 14e siècle par le Connétable Olivier de Clisson, le château de Josselin a traversé les époques, mêlant avec finesse, style médiéval et Renaissance. Berceau de la famille Rohan, toujours propriétaire du château, cette demeure seigneuriale raconte l'âge d'or de cet héritage historique.

     

    Josselin (Morbihan)

    Josselin (Morbihan)

    Josselin (Morbihan)

    Josselin (Morbihan)

    Josselin (Morbihan)

    Josselin (Morbihan)

    Josselin (Morbihan)

    Josselin (Morbihan)

    Josselin (Morbihan)

    Josselin (Morbihan)

    Josselin (Morbihan)

    Josselin (Morbihan)


    Dans un décor entièrement restauré, les souvenirs de famille, tableaux de renom et mobilier du 17e siècle conservent la mémoire du château et de son illustre famille. Pièce maîtresse du logis, le grand salon recèle une cheminée Renaissance monumentale et une bibliothèque qui rassemble plus de 3 000 ouvrages.

     

    Josselin (Morbihan)

    Josselin (Morbihan)

    Josselin (Morbihan)

    Josselin (Morbihan)


    Aux alentours des remparts, la promenade dans le jardin à la française, la splendide roseraie ou le parc à l'anglaise niché dans un vallon, apporte un souffle de plénitude à la visite.

     

    Josselin (Morbihan)

    Josselin (Morbihan)

    Josselin (Morbihan)

    Josselin (Morbihan)

     

    Petit moment de nostalgie, le musée des poupées, situé dans les anciennes écuries, expose plus de 5 000 modèles, issus de la collection privée des Rohan.

     

    Josselin (Morbihan)

    Josselin (Morbihan)

    Josselin (Morbihan)

    Josselin (Morbihan)

     

    Et pour terminer cette visite à Josselin allez faire un tour dans ses petites rues où vous découvrirez des maisons médiévales.

     

    Josselin (Morbihan)

    Josselin (Morbihan)

    Josselin (Morbihan)

    Josselin (Morbihan)

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    Josselin (Morbihan)

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  • Peinture de : Georges Clairin

     

    Georges Jules Victor Clairin, né à Paris le 11 septembre 1843, et mort dans la station balnéaire du Pouldu le 2 septembre 1919, est un peintre et illustrateur orientaliste français.

     

    Peinture de : Georges Clairin

    Peinture de : Georges Clairin

    Peinture de : Georges Clairin

    Peinture de : Georges Clairin

    Peinture de : Georges Clairin

    Peinture de : Georges Clairin

    Peinture de : Georges Clairin

    Peinture de : Georges Clairin

     

    Georges Clairin entre en 1861 à l'École des beaux-arts de Paris où il se forme dans les ateliers d'Isidore Pils et de François-Édouard Picot. Il débute au Salon de 1866. Il voyage en Espagne avec le peintre Henri Regnault et la sculptrice Marcello, en Italie avec les peintres François Flameng et Jean-Léon Gérôme. Il rencontre le peintre catalan Marià Fortuny lors d'un séjour au Maroc où ils visitent ensemble Tétouan. En 1895, il voyage en Égypte avec le compositeur Camille Saint-Saëns.

     

    Peinture de : Georges Clairin

    Peinture de : Georges Clairin

    Peinture de : Georges Clairin

    Peinture de : Georges Clairin

    Peinture de : Georges Clairin

    Peinture de : Georges Clairin

    Peinture de : Georges Clairin

    Peinture de : Georges Clairin

     

    Il est connu surtout pour ses portraits de Sarah Bernhardt, à laquelle il est lié par une longue amitié et qu'il dépeint dans nombre de rôles dans lesquels elle s'est illustrée, tels celui de la reine dans Ruy Blas (1879), de Mélisande dans La Princesse lointaine (1895 et 1899), de Cléopâtre (1900), de Theodora (1902) et de sainte Thérèse d'Avila ; il la représente aussi dans des poses plus intimes (Portrait de Sarah Bernhardt, 1876, Paris, Petit Palais), offert au musée à la mort de la comédienne, par son fils en 1923.

     

    Peinture de : Georges Clairin

    Peinture de : Georges Clairin

    Peinture de : Georges Clairin

    Peinture de : Georges Clairin

    Peinture de : Georges Clairin

    Peinture de : Georges Clairin

    Peinture de : Georges Clairin

    Peinture de : Georges Clairin

     

    Il a également peint plusieurs plafonds : foyers de l'Opéra Garnier à Paris (1874) et du théâtre de Cherbourg ; grand théâtre de Tours, coupole de la Bourse de commerce de Paris (L'Afrique et l'Asie), plafond du théâtre d'Épernay. Clairin avait fait aussi une vingtaine des panneaux pour le palais Cousiño (Santiago), mais un incendie a détruit en 1968 la plupart d'eux ; il reste huit à le vestibule : quatre avec les saisons de l’année et 4 peintures florales ; 10 toiles brûlées représentant des scènes de la vie de la famille Cousiño Goyenecha à Santiago et à Paris ont été remplacées par des copies.

     

    Peinture de : Georges Clairin

    Peinture de : Georges Clairin

    Peinture de : Georges Clairin

    Peinture de : Georges Clairin

    Peinture de : Georges Clairin

    Peinture de : Georges Clairin

    Peinture de : Georges Clairin

    Peinture de : Georges Clairin

    Peinture de : Georges Clairin

     

    Peinture de : Georges Clairin

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    11 juillet 1920 : décès d'Eugénie de Montijo

     

    María Eugenia Ignacia Agustina de Palafox y Kirkpatrick, 19e comtesse de Teba — dite Eugénie de Montijo — née le 5 mai 1826 à Grenade (Espagne) et morte le 11 juillet 1920 à Madrid (Espagne), est l'épouse de Napoléon III, empereur des Français. À ce titre, elle porte le titre d'impératrice des Français du 29 janvier 1853 au 4 septembre 1870.

     

    11 juillet 1920 : décès d'Eugénie de Montijo

     

    D'origine espagnole, elle rencontre le tout premier président de la République française, Louis-Napoléon Bonaparte, en 1849 et l'épouse en 1853,

     

    11 juillet 1920 : décès d'Eugénie de Montijo

    11 juillet 1920 : décès d'Eugénie de Montijo

    11 juillet 1920 : décès d'Eugénie de Montijo

    11 juillet 1920 : décès d'Eugénie de Montijo

     

    après qu'il a été proclamé empereur ; elle devient alors l'Impératrice des Français.

     

    11 juillet 1920 : décès d'Eugénie de Montijo

    11 juillet 1920 : décès d'Eugénie de Montijo

    11 juillet 1920 : décès d'Eugénie de Montijo

    11 juillet 1920 : décès d'Eugénie de Montijo

    11 juillet 1920 : décès d'Eugénie de Montijo

     

    Après avoir rencontré une certaine difficulté à enfanter, elle donne naissance en 1856 à Louis Napoléon, fils unique du couple impérial et héritier de l'Empire.

     

    11 juillet 1920 : décès d'Eugénie de Montijo

    11 juillet 1920 : décès d'Eugénie de Montijo

     

    Les années 1870 sont difficiles pour Eugénie. Le régime disparaît en effet à la suite de la guerre franco-prussienne de 1870-1871,

     

    11 juillet 1920 : décès d'Eugénie de Montijo

    11 juillet 1920 : décès d'Eugénie de Montijo

     

    puis elle voit successivement le décès de son époux en 1873 et de son fils unique en 1879.

     

    11 juillet 1920 : décès d'Eugénie de Montijo

     

    Réfugiée en exil à Menton depuis la fin du Second Empire,

     

    11 juillet 1920 : décès d'Eugénie de Montijo

    11 juillet 1920 : décès d'Eugénie de Montijo

    11 juillet 1920 : décès d'Eugénie de Montijo

     

    elle meurt à 94 ans au palais de Liria à Madrid, dans son pays natal. Eugénie est inhumée dans la crypte impériale de l'abbaye Saint-Michel de Farnborough, en Angleterre, avec son époux et son fils.

     

    11 juillet 1920 : décès d'Eugénie de Montijo

     

    11 juillet 1920 : décès d'Eugénie de Montijo

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  • Tarte aux fruits d'été

     

    La pâte sablée :


    – 250 g de farine,
    – 125 g de beurre,
    – 100 g de sucre,
    – 1 oeuf,
    – 1 pincée de sel,
    – Les graines d’une gousse de vanille.

     

    La crème diplomate :


    – 250 g de lait entier,
    – 65 g de sucre,
    – 40 g de jaunes d’oeufs (soit ≈ 2 jaunes),
    – 25 g de Maïzena,
    – 1 gousse de vanille,
    – 250 g de crème liquide,
    – 2 g de gélatine (soit ≈ 1 feuille).

     

    La garniture :


    Des fruits frais en fonction de vos goûts (personnellement, j’ai mis : des cerises, des fraises, des framboises, des pêches blanches, des brugnons jaunes, des abricots et des kiwis.

     

    Tarte aux fruits d'été

     

    La pâte sablée


    1. Dans un saladier, on met le sucre, la farine, le sel et les graines de vanille. On ajoute le beurre coupé en dés. Du bout des doigts, on sable le beurre dans les poudres. Une fois que la pâte a une texture sableuse, on ajoute un oeuf. On amalgame la pâte sans trop la travailler.
    2. On forme une galette épaisse avec la pâte, on la filme au contact et on place le tout au réfrigérateur pour au moins 2h.

    Tarte aux fruits d'été

    3. On préchauffe le four sur 180°C. Pendant ce temps, on fonce le moule. On cuit alors la pâte à blanc (la durée de la cuisson variera énormément en fonction de la méthode que vous utiliserez pour cuire votre pâte à blanc). Au besoin, à l’aide d’un économe, on égalise les bords de la pâte.


    La crème diplomate


    1. Il s’agit ni plus, ni moins que d’une crème pâtissière collée à la gélatine et enrichie de crème fouettée. Par conséquent, dans une casserole, on fait chauffer le lait avec la gousse de vanille grattée. Parallèlement, on blanchit les jaunes, la Maïzena et le sucre et on réhydrate la gélatine.
    2. Quand le lait bout, on verse sur la préparation oeufs/sucre sans cesser de fouetter. On replace sur le feu pour faire épaissir. Une fois que la crème pâtissière est cuite, on enlève la gousse de vanille, on ajoute la gélatine bien essorée et on réserve dans un cul de poule que l’on filme au contact

    Tarte aux fruits d'été

    .3. Une fois que la crème pâtissière est quasiment froide (entre 10 et 15°C), on monte la crème liquide en chantilly. On mélange alors intimement les deux préparations que l’on verse ensuite sur le fond de tarte. On réserve au frais.


    Le montage de la tarte aux fruits


    1. On lave les fruits, on en épluche certains, on en coupe une partie et on les dépose harmonieusement sur la tarte. On réserve au frais.

    Tarte aux fruits d'été

     

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  • Fleurs cultivées : Nymphoides peltata

    Fleurs cultivées : Nymphoides peltata


    Le faux nénuphar, Nymphoides peltata, apparaissant comme une forme naine de nénuphar, avec de petites feuilles en forme de cœur et de petites fleurs en forme d’étoile, est une plante aquatique robuste et vivace.

     

    Fleurs cultivées : Nymphoides peltata

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    Moins spectaculaire que les « vrais » nénuphars, Nymphoides peltata ou faux nénuphar n'est cependant pas dépourvue d'intérêt. L'espèce présente une souche rhizomateuse mince de laquelle partent des tiges et pétioles plus ou moins flottants. Les feuilles immergées sont petites et cordiformes sur des tiges plus courtes que les feuilles flottant à la surface. Ces dernières ressemblent à celles des nénuphars, mais sont plus petites. Elles sont circulaires, vert clair maculé de noir sur la face supérieure, rouge-violet sur la face inférieure.

     

    Fleurs cultivées : Nymphoides peltata

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    Ses petites fleurs, blanches, mais le plus souvent jaune doré de 3 cm, en forme d'étoile, s'épanouissent de mai-juin à juillet-août. Elles comportent cinq pétales velus et dentés sur les bords. La floraison émerge à 10 cm au-dessus de l'eau. Il est préférable d'éliminer les fleurs fanées pour éviter la fructification et forcer la plante à refleurir durant l'été.

     

    Fleurs cultivées : Nymphoides peltata

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    De nature envahissante, il est préférable d'isoler le faux nénuphar dans un panier de culture ou de le planter seul dans un baquet. Il prend naturellement pour habitat des milieux où l'eutrophisation est proche, si possible calcaire, dans des rivières s'écoulant relativement lentement et de larges fossés.

     

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    Cependant, le faux nénuphar est utile car sa végétation abondante limite la prolifération des algues vertes dans un plan d'eau fermé. De plus, il pousse là où les vrais nénuphars refusent de se développer en raison d'un courant trop important. Cette espèce est donc une alternative appréciable dans les bassins de jardin animés de cascades ou jets d'eau puissants. Il peut aussi remplacer avantageusement les nymphéas si la profondeur manque

     

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