Adriaan Joseph Heymans, né le 11 juin 1839 à Anvers, mort à Bruxelles, en décembre 1921, est un dessinateur et artiste peintre de genre, de marine, paysagiste belge, ayant pratiqué l'aquarelle et la miniature. Peintre de l'École de Barbizon, il est considéré comme le père spirituel de l'École de Kalmthout. Il fut l'un des principaux peintre impressionniste belge.

 

Sixième enfant de Gaspard Peter Heymans, vitrier, et d'Elisabeth Wouters son épouse, qui se retrouve veuve en 1846. C'est son oncle, maire de Wechelderzande, un petit village près d'Anvers qui va l'élever et éveillé son goût pour la nature.

 

 

En 1853, alors âgé de 14 ans, il intègre l'Académie royale des beaux-arts d'Anvers et entre à l'atelier du peintre Jacob Jacobs (1812-1879), et se lie d'amitié avec son condisciple Isidore Meyers (nl) (1836-1917). Il s'inscrit un peu plus tard à l'Académie royale des beaux-arts de Bruxelles.

 

Avec son ami Meyers, ils viennent à Paris en 1855, pour pouvoir se perfectionner auprès de Théodore Rousseau, Camille Corot, Charles-François Daubigny (1817-1878) et Jean-François Millet. Ils y resteront jusqu'en 1858, allant peindre en forêt de Fontainebleau et à Barbizon.

 

 

Il fut l'un des fondateurs de L'Art contemporain et avec Émile Claus du cercle d'art des Luministes : « Vie et Lumière » (1904) et, en 1905, du groupe « Art d'aujourd'hui ».

 

 

 

Dans les années 1890, il revient s'installer à Kalmthout, son style est devenu post-impressionniste, mais à la fin de sa vie il retournera à un style influencé par le réalisme. En 1913, sa santé va se détériorer et il est contraint de renoncer à la peinture.

 

 

 

Septembre

 

C’est certainement le plus doux
Des douze enfants du père Temps.
Il est vêtu d’or et de roux,
Et puis de vert, et puis de vent .

Après la fureur de son frère,
Août l’indompté et le sauvage,
Malgré quelques coups de tonnerre,
Septembre est un mois presque sage.

Le ciel ne se déchaîne plus,
Fatigué de tous ses excès.
L’aube est fraîche. Et l’été perclus,
Assagi, s’est enfin calmé .

Un mois déjà que les cigales
Ne stridulent plus dans les bois.
Le grand été est en cavale,
Le doux septembre fait la loi.

 

Vette de Fonclare

 

 

 

 

LES INGRÉDIENTS

Pour 6 personnes
Groseille(s) : 100 g
Mûre(s) : 100 g
Myrtille(s) : 100 g
Fraise(s) : 100 g
Jaune(s) d'oeuf(s) : 6 pièce(s)
Sucre en poudre : 70 g
Crème liquide entière : 10 cl
Sucre glace : 20 g
Champagne : 5 cl

 

DESCRIPTIF DE LA RECETTE

ETAPE 1
Laver délicatement les fruits. Équeuter les groseilles et les fraises. Couper les fraises en 2.

ETAPE 2
Dans un cul-de-poule, battre les jaunes d'oeufs avec le champagne, puis ajouter le sucre semoule et fouetter vigoureusement à l'aide d'un fouet électrique. Lorsque le mélange est bien mousseux, le cuire au bain-marie tout en continuant de fouetter pour incorporer de l'air. Lorsque le sabayon devient plus dense, le sortir du bain-marie et continuer de fouetter jusqu'à ce qu'il refroidisse.

ETAPE 3
Fouetter la crème liquide avec le sucre glace pour obtenir une chantilly.
Mélanger ensuite les 2 appareils.

ETAPE 4
Avant de servir, parsemer le sabayon de sucre glace, puis enfourner les gratins sous le gril pendant 5 min.

 

 

 

La passiflore est une liane grimpante à feuillage persistant. Les fleurs spectaculaires présentent des coloris somptueux : blanc, rose, rouge, bleu ou violet. Les passiflores, dotées de vrilles, garniront vos murs, tonnelles, treillages, arcades…

 

 

Les passiflores appartiennent à la famille des Passifloracées qui regroupent plus de 600 espèces de plantes grimpantes le plus souvent à vrilles et à feuilles persistantes ou semi-persistantes.

 

 

Elles sont originaires des zones tropicales d’Amérique et pour quelques-unes d’Asie ou d’Australie. Les passiflores sont cultivées pour leurs fleurs ou pour leurs fruits (maracuja, fruits de la passion, grenadille…).

 

 

Peu de passiflores peuvent être plantées à l’extérieur en climat tempéré. La plupart redoutent les hivers rigoureux et doivent être cultivées en pot et rentrées à l’abri (serre ou véranda).

 

 

Selon les variétés les feuilles peuvent être plus ou moins ornementées. Leur forme est entière, digitée ou lobée.

 

 

Les fruits de Passiflora sont de la taille d’un oeuf de pigeon, et sont orangés à maturité. Ils ne sont pas particulièrement appréciés même si ils sont comestibles. Il faut dire que ces fruits sont généralement insipides. Certaines recettes ont été élaborée, notamment des réalisations de tartes, mais cela reste très marginal.

 

 

 

Grasse est une commune française provençale, située dans le département des Alpes-Maritimes en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

 

 

Depuis le XVIIe siècle, la ville est considérée comme la capitale mondiale du parfum. Elle a obtenu trois fleurs au Concours des villes et villages fleuris et a été promue « Ville d'Art et d'Histoire ». Elle est également « Ville Internet ».

 

Les parfumeries : étape incontournable dans la visite de Grasse. Trois d'entre elles, Fragonard, Galimard et Molinard ouvrent leurs portes au public et proposent des visites guidées gratuites afin d'expliquer les procédés de fabrication du parfum. Il y est possible de créer soi-même son parfum ou son eau de toilette et de participer à toutes les étapes de sa fabrication allant du ramassage de fleurs à la mise en flacon du parfum.

La parfumerie Galimard, créée en 1747 par Jean de Galimard fournissait la Cour en pommades et parfums160. Elle a été relancée après-guerre par Gaston de Fontmichel et Joseph Roux.

 

 

 

La parfumerie Molinard présente des flacons anciens signés Baccarat ou Lalique, des séries d'étiquettes. L'atelier de tarinologie permet de créer son propre parfum

 

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La parfumerie Fragonard est installée depuis 1926 dans une des plus anciennes fabriques de la ville. Son musée présente des objets rares qui évoquent l'histoire de la parfumerie depuis plus de 5 000 ans

 

Le domaine de Manon cultive les roses et les jasmins

 

 

 

 

L'ancienne cathédrale fut construite en plusieurs étapes. Appartenant à l'art roman alpin (XIIIème siècle), l'édifice présente aussi de nombreux éléments caractéristiques de l'Italie du Nord. Remaniée au XVIIème et au XVIIIème siècle, la cathédrale renferme des oeuvres de l'école de Bréa, Rubens, Fragonard, Nègre...

 

 

 

 

Mon rayon de soleil

 

Quand je t’ai rencontrée au début de l’été,
Mon cœur était empli d’un si aigre venin
Que tu en as eu peur. Car mon hostilité
S’appliquait nettement à tout le genre humain.

Et pourtant alentour c’était l’hymne à la joie :
Le soleil, la lumière et l’ineffable odeur
De la mer qui battait sur ses plages en fleurs ;
Le ciel clair où flottait une brume de soie,

Une soie d’un bleu pâle extrêmement léger.
Mais mon âme était sombre et mon cœur était gris ;
Je me sentais si seul, la haine me rongeait :
Misanthrope reclus, éternel incompris

Qui avais supporté tant et tant de déboires…
Puis tu es apparue ; un rayon de soleil
Tellement tendre et chaud ; ton sourire vermeil
A métamorphosé ma nature si noire

Et fait de moi un autre, un peu plus bienveillant.
Tu m’as appris tout doux à savoir profiter
Des simples vrais plaisirs et du bonheur ambiant.
Mon bel ange si pur du début de l’été,

Tu m’as été donnée sans que je te mérite
Et je sais que jamais tu ne me décevras ;
Car j’en suis convaincu : notre amour survivra.
Mais profitons en bien : le temps passe si vite !

 

Vette de Fonclare

 

 

 

Carros est une commune française située dans le département des Alpes-Maritimes, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

 

 

Carros est la porte d’entrée au sud-est du parc naturel régional des Préalpes d'Azur.
Le village, perché sur son piton, domine la vallée du Var. De son passé, elle aurait hérité son nom oronymique qui pourrait vouloir dire rocher ainsi que sa position de ville carrefour. Porte naturelle des Alpes, dans la plaine du Var, entre mer et montagne, elle bénéficie d'une position privilégiée.

 

 

Le vieux château entièrement réhabilité abrite le centre international d'art contemporain. Au sommet du village, dominant la vallée du Var, le château de Carros s'élève sur un site qui offre une vue qui va de la mer aux montagnes. Élevé durant le Moyen Âge, les premiers témoignages écrits attestent sa présence dès le début du XIIe siècle. Son premier occupant est le seigneur Rostaing de Carros. La famille de ce dernier possède depuis le Xe siècle le Haut-Pays d’Apt à Glandèves et à la Tinée. Rostaing Carros, allié aux vicomtes de Nice et à la famille souveraine des Baux, édifie un donjon de forme quadrangulaire avec un pan coupé au sud-est. Cet ensemble constitue le tiers du château féodal définitif. Bien qu'il ait subi des destructions successives, dont de nombreuses au XVIIe siècle, il a tout de même gardé sa stature médiévale, et entre autres choses, on peut observer sur sa façade est, l'alignement des corbeaux, ou encore, ses contreforts. Le bâtiment a échappé aux destructions de la période révolutionnaire et, après que les seigneurs aient pris la fuite, il sera divisé et vendu à neuf propriétaires différents, qui s'en servent comme local. Encore entretenu au XIXe siècle, le début du XXe siècle verra sa dégradation. Mais aujourd'hui en grande partie acquis par la commune, il a été rénové.

 

 

Vieux moulin Briquet.
19e s. Moulin à vent construit par Pierre Briquet qui lui donne son nom.
1856. Un document cadastral confirme l’achèvement de sa construction.
Bâti sur un belvédère dominant la vallée du Var.

 

 

Eglise Saint-Claude.
16e s. Agrandissement.
19e s. Remaniement.
Ancienne chapelle castrale jouxtant le château.
Clocher-Tour quadrangulaire à 2 étages surmontée d’une pyramide.
Nef unique.
Tabernacle en bois sculpté et doré avec reliquaire de St-Claude.
Reliquaire de Ste-Colombe.
Ostensoir en argent.
17e s. Croix.

 

 

 

Hubert Clerget naît à Dijon le 29 juillet 1818, rue du Château, au foyer de Nicolas Clerget, menuisier, et de Marguerite Janiard, originaire de Couchey.

 

 

Dans sa jeunesse et tout au long de sa vie, il sillonne la Bourgogne pour en peindre les paysages. Élève de l’École des beaux-arts de Dijon avec Félix Ziem, il suit les cours du peintre Anatole Devosge et de l’architecte Claude Saint-Père. Clerget expose au Salon dès 1843 : , Saint-Germain-l’Auxerrois (1851),

 

 

Visite de S. M. l’Empereur aux tombeaux des Ducs de Bourgogne, à Dijon (1865).

 

 

Après une vie de voyages très féconds sur le plan artistique : Fontainebleau, Barbizon, les côtes normandes, les pays d’Europe centrale et l’Asie (Chine, Inde), Hubert Clerget est nommé professeur de dessin à l’École impériale d’état-major de 1849 à 1878 et à la Maison d’éducation de la Légion d’honneur à Saint-Denis, jusqu’en 1888.

 

 

Dessinateur et aquarelliste remarquable, il témoigne des beautés architecturales de notre patrimoine : Beaune (Beffroi de Beaune, 1843), Couchey (Église et Calvaire de Couchey), Dijon (Escalier contre la Tour de Bar à Dijon), La Rochepot, mais également Semur (Porte Madeleine à Semur), Auxerre, Paris, Venise et Rome. Il a, notamment, pour élèves ses trois filles Jeanne, Mathilde et Valentine, qui exposent leurs dessins dans différents salons.

 

 

Graveur et lithographe recherché, Clerget collabore comme illustrateur à l’ouvrage des Voyages pittoresques et romantiques de l’ancienne France du baron Taylor (volume consacré à la Bourgogne, 1863) et à des périodiques comme Le Tour du Monde et Le Magasin pittoresque.

 

 

Correspondant de l’Académie des sciences, arts et belles-lettres de Dijon depuis 1869, il est élu membre non résidant en 1877. Officier d’académie, chevalier de la Légion d’honneur, il est également chevalier de l’Ordre de Léopold. Clerget laisse de nombreux dessins du siège de Paris et décède à Vanves (Hauts-de-Seine) le 4 mars 1899.

 

 

 

 

Ingrédients

 

Gâteaux
▢130 grammes de dés de mangue congelés.
▢40 grammes d'huile de tournesol
▢60 grammes de sucre en poudre
▢2 jaunes d'oeufs
▢30 grammes de farine
▢1 cuillère à café rase de levure chimique
▢30 grammes de poudre d'amandes
▢40 grammes de lait

Sirop

▢30 grammes de sucre en poudre
▢4 cuillères à café de jus de citron
▢30 grammes d'eau

 

Instructions

 

Beurrer 4 empreintes d'un moule à muffins (même s'il est en silicone) et le poser sur une plaque perforée.
Sortir les dés de mangue du congélateur et les répartir dans les empreinte.
Préchauffer le four à 180°c, chaleur tournante.
Dans un saladier, fouetter le sucre avec l'huile.
Ajouter les jaunes d'oeufs et fouetter.
Ajouter la farine, la levure chimique et la poudre d'amandes. Fouetter.
Ajouter le lait, fouetter, puis le rhum.
Répartir la préparation dans les empreintes, sur les fruits (remplir aux 3/4).
Enfourner 30 minutes.
Pendant ce temps, préparer le sirop
Mettre dans une petite casserole le sucre, le jus de citron et l'eau.
Mettre à bouillir sur feu vif en remuant. Arrêter le feu quand le sucre est bien dissout.
Dès que les muffins sont cuits
Retirer le moule du four et verser immédiatement le sirop sur les gâteaux.
Laisser refroidir 10 minutes dans le moule.
Démouler délicatement et les poser, retournés, sur le plat de service. Laisser refroidir 20 minutes et les mettre sous cloche jusqu'à dégustation.