Anna Homchick ou Khomchik est née en 1976 à Kiev en Ukraine.
Elle est née dans une famille d'artistes.

En 1997, elle est diplômée du collège, d'arts appliqués de Shkriblayaka Vizhnitsky (département des arts de tissage).

 

En 2006, elle a reçu un diplôme de l'Université nationale de Tchernivtsi (Faculté des arts appliqués). Depuis 2007; elle est un membre actif de l'association internationale des artistes "Granic Sztuka bez".

 

 

Expositions personnelles, collections privées et des galeries en Europe et en Amérique.
Ses oeuvres se retrouvent dans de nombreuses galeries et collections à Berlin, Varsovie, Moscou, Toronto et Sydney

 

Depuis 1997, elle vit et travaille à Lviv

C'est une artiste pleine de gaité et de joie et adore voyager.

 

 

" La joie et la liberté - c'est ce que j'ai besoin de créer..."

 

 

 

Un petit mot d'une grande importance

 

Jésus dit : "[…] tout est possible à Dieu". Marc 10.27

 

 

Remarquez le mot "tout" dans ce verset. Quelle est sa signification ? "Tout" exprime la totalité sans exception, il désigne un ensemble dont aucun cas de figure n'est exclu. "Tout" n'a pas de limite et évoque une notion d'infini. TOUT veut dire TOUT !

 

 

Nous devons prêter attention à ce petit mot dans la Bible.

- Il est dit dans Psaumes 103.3 : "C'est lui qui pardonne toutes tes fautes, qui guérit toutes tes maladies."
- Dieu est le Seigneur Tout-puissant (Psaumes 91.1).
- Jésus a toute autorité dans le ciel et sur la terre (Matthieu 28.18).
- En Christ, nous avons autorité sur toute la puissance de l'ennemi (Luc 10.19).
- Dieu est capable de faire infiniment au-delà de tout ce que nous demandons ou pensons, par la puissance qui agit en nous (Éphésiens 3.20).
- Dieu pourvoit à tous nos besoins selon sa richesse, avec gloire, en Christ-Jésus (Philippiens 4.13).
- Nous pouvons tout par celui qui nous fortifie (Philippiens 4.13).
- Dieu a fait habiter en Christ toute la plénitude et a tout réconcilié avec lui-même, par le sang de la croix (Colossiens 1.19-20).

 

 

Nous connaissons ces versets et proclamons souvent : "Jésus est Seigneur sur tout. Il a tout pouvoir et il pardonne tous nos péchés." Et pourtant nous avons du mal à croire à ce "tout". Nous nous inquiétons, nous sommes stressés et accablés, et nous essayons de trouver une solution par nous-mêmes à nos problèmes. Nous avons besoin d'une révélation de la toute-puissance et de la toute-suffisance de Dieu, afin de jouir de son repos.

Dieu veut vous aider et vous donner sa paix, sa force, sa joie et sa sagesse dans votre vie de tous les jours.

 

Une action pour aujourd'hui

Faites confiance à Dieu en tout temps : quand vous ne comprenez pas, quand ce qui arrive n'a aucun sens, quand votre souffrance est si vive qu'il vous semble que vous ne tiendrez pas une minute de plus et quand la vie vous paraît injuste. Dieu est tout ce dont vous avez besoin et avec lui, tout est possible !

Joyce Meyer

 

 

Ingrédients:

•250 g de farine
•100 g de sucre en poudre
•3 oeufs
•15 g de levure de boulanger
•80 g de beurre ramolli + un peu pour le moule
•5 cl de lait
•1 pincé de sel
•1 c. à soupe de rhum
•2 c. à soupe de fleur d'oranger
•quelques gouttes d'arôme de vanille
•le zeste d'un citron bio
•du sucre en grain

 

Préparation :

 

•Emiettez la levure dans le lait tiède. Dans un robot mélangez à petite vitesse la farine, les oeufs, la levure délayée, le sucre et le sel. Au bout de 5 minutes passez à la vitesse supérieure et battez jusqu'à ce que la pâte soit homogène. Si besoin rajoutez une cuillère ou deux de farine, mais la pâte doit rester assez souple. Ajoutez alors le beurre ramolli, pétrissez encore une dizaine de minutes. Puis ajoutez le rhum, la vanille, la fleur d'oranger et le zeste de citron. Battez la pâte à nouveau puis couvrez d'un torchon et laissez lever la pâte pendant 3 heures à température ambiante.

•Beurrez largement un moule à flan ou à charlotte, attention de le choisir un peu haut car la brioche va monter. Deposez la pâte dans le moule, et laissez gonfler à nouveau au moins 1 heure.

 

 

•Préchauffez le four th.160° C. parsemez le sucre en grain sur le dessus de la brioche et enfournez pour 25 minutes. Démoulez et laissez refroidir.

 

 

Bonne dégustation

 

 

 

 

L'hiver, dans les sous-bois désolés, on distingue de loin les taches sombres et brillantes du petit houx égayées par le rouge vif de ses fruits. C'est un arbrisseau vivace qui forme des buissons touffus rendus souvent impénétrables par la dureté de ses fausses feuilles épineuses portant les fleurs en leur centre et que les botanistes appellent des cladodes. La plante est peu exigeante : elle s'accommode de la sécheresse; des terrains calcaires et pauvres, mais elle craint fortement le gel.

 

L'utilisation médicinale du petit houx était connue de Discoride, qui l'appelait déjà "ruscus".

 

 

Les médecins classiques, tout autant que les phytothérapeutes, utilisent les propriétés thérapeutiques de la plante en employant ses feuilles et surtout son rhizome. Ce dernier, oblique et noueux, exhale une faible odeur de térébenthine. Il est diurétique, fébrifuge et très actif pour le système veineux, sur lequel il exerce un effet tonique plus énergique encore que celui du marronnier d'Inde.

 

 

On l'utilise pour préparer le Sirop des cinq racines accompagné des rhizomes du fenouil sauvage, de l'ache, de l'asperge et du persil.

 

 

HABITAT

- Europe centrale et méridionale, terrains calcaires, bois, jusqu'à 700 mètres

 

 

IDENTIFICATION

- Hauteur :0,30 à 0,90 m. Arbrisseau

 

- Tige verte, dressée, glabre, rameuse, densément fournie au sommet de feuilles cladodes, vert sombre, coriaces, alternes, sessiles, ovales, terminées par une épine

 

- Fleurs violacées ou verdâtres (septembre-avril), très petites, par 1 ou 2 à l'aisselle d'une petite bractée parcheminée au centre des cladodes, dioïques, 3 sépales, 3 pétales libres et persistants, fleurs mâles à 3 étamines, femelles à 1 ovaire à 3 loges

 

- Baie ronde, rouge, à 1-2 grosses graines jaune

 

- Rhizome oblique, rampant, blanc-gris, noueux, garni de racines brunâtres

- Odeur faible de térébenthine

- Saveur douceâtre puis amère

 

PARTIES UTILISEES

- rhizome et racine (automne), feuilles

 

 

CONSTITUANTS

- Huile essentielle, résine, saponoside, calcium, potassium

 

 

PROPRIETES

- Apéritif, diurétique, fébrifuge, vaso-constricteur

 

 

 

Durant la décennie de 1663 à 1673, près de neuf cents filles sont recrutées en France pour venir se marier aux colons et peupler le Canada. Il y en aura sept cent soixante qui s'établiront au Canada, près d'une centaine mourra lors de la traversée en mer, et quelques autres qui sont retournées en France.

 

On les appelle "filles du roi" parce que leur transport et leur établissement en Nouvelle-France sont payés par le roi. Chaque candidate dotée d'une somme variant entre 500 livres à 50 livres selon la classe sociale, la plupart des filles destinées aux colons recevaient généralement une dot de 50 livres, soit 100 jours de salaire. Les quelques jeunes filles de la bourgeoisie, voire de la noblesse étaient destinées aux officiers du régiment ou aux célibataires d'origine bourgeoise ou noble. Aussitôt arrivées, les "filles du roi" sont réparties entre les trois bourgs de la colonie : 70% à Quebec, 12% à Trois-Rivières et 18% à Montréal. Dans chacun de ces bourgs, les filles sont présentées aux garçons de l'endroit.

 

 

En général elles n'éprouvaient pas de difficulté à se trouver un mari, il n'y avait qu'une seule femme pour six hommes dans la colonie, mais quelques-unes ont eu du mal à s'adapter à la vie quotidienne en Nouvelle-France. Le problème venait du fait que ces filles étaient à 75% des citadines peu ou pas préparées au travail de la terre, alors que les immigrantes débarquées au début de la colonie avec leur famille venaient davantage de la campagne.

 

 

En 1668, une femme de la ville de Québec fut désignée pour le recrutement des filles du roi. Elle se rendit plusieurs fois en France afin de sélectionner des recrues présentant le meilleur potentiel d'adaptation aux conditions de Nouvelle-France. La majorité des filles du roi étaient originaires de la région parisienne et de l'ouest de la France..

 

Texte extrait du livre : Le grand Almanach de la France...

 

 

Les trois chansons

Entends la chanson de l'eau...
Comme il pleut, comme il pleut vite !
Il semble que des grelots
Dans la gouttière s'agitent.

 

A l'abri dans ton dodo
Entends la chanson de l'eau !

 

Entends la chanson du vent...
Comme les branches s'agitent !
Les nids d'oiseaux, bien souvent,
Sont bercés, bercés trop vite.

 

A l'abri des rideaux blancs
Entends la chanson du vent.

 

Entends la chanson du feu...
Comme les flammes s'agitent
Le feu jaune, rouge et bleu
Pour te chauffer brûle vite.

 

Quand tes yeux clignent un peu,
Entends la chanson du feu.

 

Ecoute les trois chansons
Qui se font toutes petites
Et douces comme un ronron
Pour que tu dormes plus vite.

 

Si tu veux, bébé, dormons
Au bruit léger des chansons.

 

Sabine SICAUD (1913-1928)

 

 

Le bouddha Padmapani tient avec grâce une fleur de lotus bleue entre le pouce et l'index de la main gauche, sa tête s'incline sous le poids d'une couronne trop lourde, et de ses grands yeux noisette mi-clos émane une merveilleuse sensation de paix. Il est entouré d'une joyeuse cour de musiciens, d'amantes, de singes et de paons.

 

L'épisode du "Simhala" en revanche, est plus sombre : on y voit un bodhisattva sauver un groupe de naufragés des griffes d'une tribu de voluptueuses et sanguinaires diablesses anthropophages.
Ces scènes, et beaucoup d'autres, illustrent les "jataka", les récits des vies successives du Bouddha au cours de son long parcours vers l'Eveil. Peintes dans les 30 grottes d'Ajanta, elles offrent un extraordinaire témoignage artistique et religieux. Ce sont en même temps de précieux documents, très vivants, sur les us et coutumes de l'Inde à l'époque de la dynastie Gupta.

 

Creusées dans une falaise en fer à cheval bordant une anse du fleuve Waghora, dans la plaine du Deccan, les grottes d'Ajanta ont abrité, du IIe au VIe siècles, une importante communauté monastique et offert un abri aux voyageurs pendant les moussons.

 

 

Certaines grottes étaient des temples (chaitya), d'autres des monastères (vihara). L'iconographie des plus anciennes se conforme aux préceptes de l'école Hinayana - le Bouddha ne pouvait être représenté que par des symboles - tandis que, dans les plus récentes, c'est l'école Mahayana, plus libérale qui l'a emporté, et les vies du Bouddha ont été dépeintes de façon figurative, avec un grand luxe de détails. Ce sont de splendides scènes d'ensemble - sereines, cruelles, sensuelles, avec parfois des sous-entendus érotiques- peuplées d'une infinité de personnages.

 

Des femmes, des hommes, des démons, des créatures au visage humain et au corps d'oiseau (yakhas), des musiciens (gandharvas) et des danseuses célestes (apsaras), avec des fleurs, des fruits, des arbres et des animaux. Beaucoup de grottes comportent des éléments d'architecture et des sculptures qui se fondent à la perfection avec les peintures, créant des espaces extraordinaires. Les fresques manifestent aussi un remarquable syncrétisme iconographique, car, surtout au IVe et Ve siècle _ à l'époque où 200 moines vivaient en permanence à Ajanta - les artisans qui les ont réalisés étaient en majeure partie hindous.

 

 

On a utilisé la technique de la tempera sec. Les parois des grottes étaient enduites d'un mélange d'argile, de bouse de vache et de fibres végétales de 7 centimètres d'épaisseur, puis d'une très fine couche de boue. Avant que cette dernière soit sèche, l'artiste traçait le dessin avec une baguette de cinabre. Ensuite, il se mettait à le colorier à l'aide de pigments naturels, et, enfin, il fixait le tout à l'aide d'une couche de gluten.

 

Vers 650, les grottes d'Ajanta ont été abandonnées, soit à cause du recul du bouddhisme au profit de l'hindouisme, soit à cause de l'importance croissante de la communauté religieuse voisine d'Ellora. Et elles ont été oubliées pendant des siècles, à moitié cachées par la végétation. Un groupe d'officiers britanniques les a découvertes par hasard en 1819, les traces du tigre qu'ils étaient en train de chasser les a menés à l'entrée d'une de ces grottes.

 

Pourtant, après cet heureux hasard, la malchance a poursuivi ceux qui ont étudié les chefs-d'oeuvre des grottes.
En 1866, l'artiste anglais Robert Gill, qui avait passé 26 ans à Ajanta à copier les peintures sur papier, a vu tout son travail disparaître en fumée lors de l'incendie du Crystal Palace de Londres.

 

 

Et le sort s'est acharné à nouveau, 10 ans après lorsqu'un autre incendie, au Victoria and Albert Museum, a réduit en cendres les travaux de son assistant. Et les premières tentatives maladroites de restauration entreprises en 1920 par le nizam d'Hyderabad, qui régnait à l'époque sur la région d'Ajanta, ont fait plus de mal que de bien.

 

 

Aujourd'hui, le sortilège semble avoir pris fin : l'oeuvre de conservation de l'Archaeological Survey of India donne d'excellents résultats.

 

 

Texte extrait du live : Les plus beaux sites du patrimoine mondial de l'Unesco

 

 

Pantelis Zografos est né à Athènes en 1949, dans une famille avec une longue tradition de lignée de bons artistes. Dans la langue grecque le nom Zografos signifie artiste et suivant la coutume grecque, Pantelis a pris le nom de son grand-père paternel, un iconographe de renommée. Ses deux parents étaient artistes professionnels, et il a passé une grande partie de sa jeunesse dans leur studio à Athènes.

 

 

En 1971, après avoir servi dans l'Armée de l'Air grecque, Pantelis émigre en Amérique. Il étudie à l'Université du Wisconsin à Madison et peint des paysages pendant ses temps libres. En 1979, Pantélis déménage à Raleigh, en Caroline du Nord et neuf ans plus tard, il a décidé de poursuivre son amour de l'art et de la peinture professionnellement. Il a rapidement trouvé un accueil favorable à son travail qui est maintenant largement distribué à travers les USA.

 

 

Pantélis peint parfois des huiles, mais utilise principalement l'aquarelle pour peindre les paysages colorés et marins de la Grèce. Il peint également des scènes locales et accepte un travail commandé.

 

 

La plupart de ses aquarelles sont publiées dans une série de giclées en édition limitée. L'image originale est scannée, redimensionnée et améliorée en utilisant seulement les meilleurs encres d'archives et 100% papier d'aquarelle de chiffon ou de toile. Ce processus se fait entièrement par l'artiste lui-même. Les giclées sont ensuite signées et numérotées.

 

 

Récemment, il a peint une icône byzantine de l'Archange Gabriel à la North Carolina Muséum d'Histoire de Raleigh

 

 

 

Puisez dans la puissance de Dieu

 

"Afin qu’étant enracinés et fondés dans l’amour, vous puissiez comprendre avec tous les saints quelle est la largeur, la longueur, la profondeur et la hauteur, et connaître l’amour de Christ." Éphésiens 3.17-18

 

Êtes-vous dans une relation que vous sentez finie, une relation qui vous semble “morte” ?

Jésus veut vous dire qu'il a le pouvoir sur la mort. L'amour de Dieu va apporter la vie à cette relation et l'amener à une tout autre dimension. L'amour de Dieu peut ramener à la vie ce qui vous semblait mort.

 

 

Peut-être avez-vous l'impression que c'est une situation sans issue, ou peut- être pensez-vous que votre vie n'a aucun avenir, et que vous errez sans but. Nous voulons vous encourager aujourd'hui !

La même puissance qui a ressuscité Jésus d'entre les morts peut revitaliser votre carrière et vous placer sur un chemin de succès. Nous savons que le plan de Dieu pour vous est bon, plein d'espoir et d'avenir. Son amour pour vous ne s'altèrera jamais. Votre foi, aussi petite soit-elle, peut déclencher sa puissance dans chacune de vos situations

 

 

Une prière pour aujourd'hui

 

Seigneur, aujourd'hui je désire être entouré de ta faveur et je sais que toute arme forgée contre moi sera sans effet. Tu as la victoire sur la mort et je crois que ta puissance régénératrice apporte l'espoir, la paix, la joie et une vie de plénitude. Au nom de Jésus. Amen.

 

Joël Osteen

 

 

Ingrédients

•1 beau canard de 1,7 kg environ ;
•6 oranges ;
•100 g d'échalotes ;
•1 cuillère à café de vinaigre ;
•1 cuillère à soupe de sucre ;
•50 g de beurre ;
•2 cuillères à soupe d'huile ;
•1 verre à liqueur de curaçao ;
•Sel, poivre au moulin.

 

 

Préparation :

étape 1
Brossez deux oranges à l'eau chaude. Réservez les quartiers. Détaillez les zestes en fines lamelles.

étape 2
Salez et poivrez le canard, à l'intérieur et à l'extérieur. Introduisez à l'intérieur la moitié des zestes et la chair des deux oranges.

étape 3
Dans une cocotte, faites fondre le beurre et l'huile. Faites revenir le canard à feu vif, en le retournant afin qu'il soit bien saisi. Ajoutez les échalotes hachées. Laissez-les prendre couleur, puis versez le jus d'une orange. Couvrez la cocotte et laissez cuire à feu moyen 1 heure environ.

étape 4
Faites bouillir, pendant 3 minutes, dans un peu d'eau, l'autre moitié des zestes d'oranges.

étape 5
Dans une petite casserole, faites caraméliser le sucre dans la cuillerée de vinaigre. Réservez.

étape 6
Lorsque le canard est cuit, ôtez-le de la cocotte et réservez-le.

étape 7
Versez alors, dans le jus de cuisson, l'eau aromatisée au zeste d'orange, le caramel au vinaigre et le curaçao. Laissez réduire, à feu moyen, 10 minutes, en raclant bien le fond pour décoller les sucs. Puis passez au chinois.

étape 8
Otez la farce à l'orange du canard. Placez la volaille sur un plat de service. Nappez-la légèrement de la sauce, et présentez le reste de la sauce en saucière.

étape 9
Epluchez trois oranges, et décorez le canard, tout autour, avec les quartiers.