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Par chezmamielucette le 11 Janvier 2021 à 00:00
Edwin Buttery 1839-1908, est né à St. Pancras, Londres le 23 décembre 1839, fils de Thomas Charles Buttery (1796-1869), qui était également artiste. Lors du recensement de 1861, il vivait avec ses parents au 40 Cheyne Walk, Chelsea.Il épousa sa femme Mary Ann (née Blythe) en 1862 et en 1871, ils eurent 2 filles et 1 fils et vivaient au 167 Hill Street, Newington Londres. Au total, ils ont eu 10 enfants, dont 8 ont survécu à la petite enfance.
En 1901, ayant vécu à Fulham à différentes adresses, ils vivaient au 108, avenue Gowan et il était répertorié comme restaurateur de tableaux et artiste.
Il mourut le 16 octobre 1908 au 32 Schubert Road, Putney.Il était un artiste professionnel tout au long de sa vie professionnelle et semblait ne peindre des paysages qu'à l'huile. Il n'a pas exposé à Londres et n'est donc pas répertorié dans les principaux annuaires Buttery Edwin a peint les scènes tranquilles et pastorales de la campagne de son temps, capturant la terre et ses habitants travaillant et vivant ensemble.
Un bel exemple de peinture de paysage anglaise montrant la compétence et la technique de Buttery et son attention aux détails et aux couleurs. Il a été un artiste professionnel tout au long de sa vie professionnelle et ne semblait peindre que des scènes de paysage à l'huile. Il n'a pas exposé à Londres, donc il n'est répertorié dans aucun des grands annuaires, c'est dommage car on peut évidemment voir une main talentueuse.
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Par chezmamielucette le 10 Janvier 2021 à 00:00
Gabrielle Bonheur « Coco » Chasnel voit le jour à Saumur en 1883. Orpheline à 12 ans, elle grandit dans un orphelinat avec ses sœurs. Elle apprend la couture auprès de sa tante à l’âge de 18 ans et débute sa carrière en 1903 dans un atelier qui fabrique des trousseaux et layettes. Dès 1907, attirée par la scène, Coco Chanel chante dans les cafés à Vichy. Elle garde de cette époque son surnom, « Coco » car elle chantait « Qui qu’a vu coco sur le Trocadéro ? ».
Elle y rencontrera son futur protecteur, Etienne Balsan, qui l’introduira dans la vie mondaine.
Il lui présente Arthur « Boy » Capel, le grand amour de Coco Chanel.
Boy la convainc de se lancer dans la fabrication de chapeaux et, en 1910, il lui prête de quoi ouvrir un salon de modiste. Sa boutique est située au 31 rue Cambon et s’appelle alors « Chanel Modes ».
Entre 1913 et 1915, ils ouvrent des boutiques à Deauville et Biarritz, villes d’exils pour la haute société pendant la guerre. Ses chapeaux simples et sophistiqués sont très appréciés.
Dans sa boutique de Biarritz, Coco Chanel installe sa première véritable maison de couture où elle dessine ses premières créations. La pénurie de tissu due à la guerre amène la créatrice à se fournir en jersey, une matière réservée alors aux sous-vêtements, c’est un succès. Coco Chanel retranscrit sa volonté de modernité pour la femme dans ses créations en lui conférant une allure androgyne, à travers des robes droites et le pantalon jusqu’alors réservé aux hommes. Au sortir de la guerre, son entreprise est prospère et emploie environ 300 ouvrières.
Son amant, Boy Capel décède en 1919. En 1921, Coco Chanel acquiert deux nouveaux immeubles rue Cambon, à côté du siège de la maison. Et devient la même année, la première créatrice à lancer son parfum, le célèbre N°5 de Chanel.
En 1926, Coco Chanel dessine la fameuse petite robe noire, couleur alors réservée au deuil, inspirée par l’uniforme qu’elle portait étant jeune. Le modèle devient un classique de la maison de couture, et plus généralement, dans la mode.
Coco Chanel est proche des artistes parisiens pendant l’entre-deux-guerres : elle dessine les costumes pour les pièces de Cocteau, est amie avec Marcel Proust, Toulouse-Lautrec et Auguste Renoir. En 1932, Coco Chanel, fervente adepte de perles et bijoux en tout genre, devient la première créatrice à lancer une ligne de Haute Joaillerie.À l’annonce de la Seconde Guerre Mondiale, Coco Chanel ferme les portes de sa maison de couture pour se consacrer uniquement aux parfums. À la libération, Coco Chanel s’installe en Suisse au moment où le New Look de Christian Dior s’impose fortement. C’est seulement en 1954 qu’elle se décide à revenir à Paris pour reprendre ses activités ; elle a alors 71 ans. Gabrielle Chanel s’installe définitivement dans ses appartements de l’Hôtel Ritz, devenus aujourd’hui la Suite Coco Chanel.
Elle crée des nouveaux modèles qui deviendront des classiques, comme le tailleur en tweed et les ballerines bicolores.
Pendant les années 60 et la révolution Hippie, Coco Chanel se fait discrète, elle vit confinée entre ses appartements et sa maison de couture, travaillant avec acharnement. Coco Chanel décède en janvier 1971, à l’âge de 87 ans, alors qu’elle prépare une nouvelle collection, qui sera présentée à titre posthume
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Par chezmamielucette le 9 Janvier 2021 à 00:00
Ingrédients
150 g de cerneaux de noix (40 noix environ selon la taille)
150 g de sucre (1/2 cup)
1 pincée de sel
100 g de beurre
3 œufs
1 cuillerée à soupe de rhum facultatif
2 grosses cuillerées à soupe de farine (1/2 cup)Pour le dessus
125 g de chocolat noir
25 g de beurre
4 cerneaux entiers.Préparation :
Faire fondre 100 g de beurre dans une petite casserole
Mixer les 150 g de cerneaux de noix, mais pas trop pour ne pas obtenir de “farine” huileuse ou mieux les mouliner
Préchauffer le four à 180°
Dans un saladier, mélanger les noix avec 150 g de sucre et 1 pincée sel. Ajouter le beurre fondu, puis les 3 œufs un à un en mélangeant entre chacun et terminer avec la cuillerée à soupe de rhum et les 2 grosses cuillerées à soupe de farineGarnir le moule à gâteau bien beurré et /ou mettre un papier cuisson au fond du moule
Enfourner à 180° pendant 25 mn puis laisser refroidir sur une grille
La décoration au chocolat : faire fondre le chocolat dans une petite casserole avec le beurre à feu tout doux et mélanger pour obtenir une crème lisse. Laisser le gâteau sur la grille et le napper de chocolat à l'aide d'une spatule et faire des stries à la fourchette
Déposer sur le plat de service, décorer avec quelques cerneaux et laisser durcir
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Par chezmamielucette le 8 Janvier 2021 à 00:00
Très répandue en Europe, à l'état sauvage comme dans les jardins, la matricaire (Matricaria recutita), appelée aussi camomille allemande, même si ce sont deux genres bien distincts, fait partie de la famille des Astéracées et du genre Matricaria qui compte d'autres espèces sauvages répandues.
Ses feuilles inférieures forment une rosette, les suivantes sont disposées de façon alterne sur les tiges. Elles sont fines et très découpées.
Les tiges à ramifications écartées sont glabres (sans poils) et mesurent de 15 à 20 cm pour les plants sauvages et jusqu'à 40 cm pour les plants cultivés, donnant à la plante un port buissonnant.
Les fleurs sont regroupées en capitules que l'on appelle improprement fleur en langage courant. Ces capitules très nombreux ressemblent à des petites marguerites et dégagent une forte odeur de camomille. Leur taille est plus petite que celle de la fleur de camomille romaine. La floraison dure longtemps de mai à fin octobre. Les fruits sont de tout petits akènes facilement dispersés par le vent.
Cette plante aromatique a des propriétés médicinales, stomachiques, fébrifuges, antispasmodiques, calmantes, ainsi qu'émollientes (qui calme les irritations) comparables à celles de la camomille romaine.
Connue et utilisée depuis l'Antiquité son histoire ancienne se confond avec celle de la camomille romaine.De nos jours, c'est d'elle principalement qu'on extrait l'huile essentielle de camomille et qu'on utilise en cosmétique, car sa récolte coûte nettement moins cher.
De plus, en infusion, la matricaire est moins amère que la camomille romaine.
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Par chezmamielucette le 7 Janvier 2021 à 00:00
Bidart, localisée au cœur de la côte basque, entre Biarritz et Saint-Jean-de-Luz,(Pyrénées-Atlantiques) la petite station balnéaire offre un vaste panel de loisirs allant du surf au golf, en passant par la pelote basque, l'équitation, le tennis, la randonnée pédestre le long du sentier du littoral ou encore la détente sur l'une de ses six plages de sable.
Bidart, c'est aussi son patrimoine bâti de caractère, que l'on découvre au gré de la pittoresque place Sauveur Atchoarena,
des chapelles Saint-Joseph
et de Sainte Madeleine,
et du vieux moulin de Bassilour où sont confectionnés de façon artisanale des gâteaux basques à la crème et à la cerise noire.
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Par chezmamielucette le 6 Janvier 2021 à 00:00
L'Epiphanie est une fête chrétienne ayant une signification différente pour les chrétiens d'Occident et les chrétiens d'Orient (Chrétiens orthodoxes). Pour les premiers, l'Épiphanie est l'adoration de Jésus par les rois mages, alors que pour les seconds, il s'agit de la date anniversaire du baptême du Christ. Le mot Epiphanie vient du grec epiphaneia qui signifie apparition ou avènement.
L'Épiphanie s'appelle aussi le jour des rois en l'honneur des rois mages qui, selon la tradition chrétienne, seraient venus offrir des cadeaux à Jésus lors de sa naissance. Selon la tradition, les rois mages étaient au nombre de trois : Melchior, Gaspard et Balthazar. L'éphiphanie est le jour de la galette des rois ! Si l'Épiphanie est une fête religieuse, l'origine de la galette des rois est elle totalement païenne. Elle trouve son origine dans la fête romaine des saturnales. La tradition romaine voulait, qu'à l'occasion des saturnales, un roi soit élu parmi les jeunes soldats.
Ce "roi" pouvait alors commander tout ce qu'il lui plaisait. Cette tradition a évolué et a perduré au cours des siècles en trouvant sa place le jour de l'Épiphanie. Selon les régions, la galette des rois est un gâteau rond en pâte feuilletée fourrée ou non, une couronne garnie de fruits confits à l'intérieur duquel a été placée une fève. Celui qui découvre la fève est le roi ou la reine. Selon la tradition , le plus jeune enfant de la famille se glisse sous la table et désigne la part revenant à chaque convive.
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Par chezmamielucette le 5 Janvier 2021 à 00:00
Montfort-l'Amaury est une commune française située dans le département des Yvelines, en région Île-de-France.
Dans cette petite ville vous pourrez y voir :
Le château fort de Montfort : construit au XIIe siècle, détruit au cours de la guerre de Cent Ans, il n’en subsiste que les ruines du donjon, appelé tour Anne-de-Bretagne, qu'on fit construire ultérieurement pour Anne de Bretagne. Les ruines sont classées MH depuis 1862 ;
L'église Saint-Pierre : Église des XVe et XVIe siècles, d’une taille impressionnante et rare pour une petite cité, reconstruite par Anne de Bretagne en 1491, en lieu et place d’une église médiévale du XIe siècle bâtie par Amaury Ier de Montfort. André de Foix, seigneur de Montfort de 1524 à 1540, amplifiera les aménagements entrepris sous le dernier règne breton. L'église est particulièrement intéressante par ses nombreuses gargouilles extérieures, ses clefs de voûte pendantes et sculptées dans les bas-côtés et surtout l'incomparable collection de vitraux Renaissance qui ornent les baies des bas-côtés et les fenêtres hautes du chœur. Quatre d'entre eux sont datés mais aucun n'est signé. Les archives locales ne donnent aucune indication sur les peintres et verriers à qui l'on doit ces chefs-d'œuvre. Classée Monument historique, depuis 1840, grâce à sa collection de vitraux datant de la deuxième partie du XVIe siècle, on y admire un ensemble de 37 verrières unique en Île-de-France ;
La maison de Maurice Ravel, le Belvédère, est une demeure du XXe siècle qui se trouve au pied des ruines du donjon et qui surplombe le sud de la ville. Maurice Ravel y a vécu de 1921 à sa mort à Paris en 1937. Après la mort du compositeur, la maison a été très bien conservée par volonté du frère cadet et unique héritier du compositeur, Édouard Ravel (1878-1960). Ce dernier légua la maison à la Réunion des musées nationaux dans son deuxième testament authentique du 18 juillet 1958. De 1937 à 1970, la maison fut confiée à la garde successive de Mme Marie Reveleau (fidèle gouvernante du compositeur depuis 1921) jusqu'à sa mort en 1952, puis à Céleste Albaret et sa sœur Marie Gineste jusqu'en 1970. Accepté par l’État en 1963, le legs du musée se concrétisa en novembre 1971 par la signature d’un bail emphytéotique de 99 ans entre la Réunion des musées nationaux et la ville de Montfort-l'Amaury, respectivement propriétaire et gestionnaire du musée. La maison-musée Maurice-Ravel ouvrit ses portes, après des travaux, le 18 mai 1973. La maison est inscrite aux monuments historiques ;
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Par chezmamielucette le 4 Janvier 2021 à 00:00
Sydney Mortimer Laurence (1865–1940) était un peintre de paysage romantique américain et est largement considéré comme l'un des artistes historiques les plus importants de l' Alaska .
Sydney Mortimer Laurence est né à Brooklyn , New York et a étudié à l' Art Students League de New York . Il épousa Alexandrina Fredricka Dupré en 1889.Il expose régulièrement à la fin des années 1880. Lui et sa femme voyagèrent en Angleterre , s'installant en 1889 dans la colonie d'artistes anglais de St. Ives , Cornwall de 1889 à 1898. Au cours de la décennie suivante, il exposa à la Royal Society of British Artists et fut inclus au Salon de Paris en 1890 , 1894 et 1895, remportant un prix en 1894.
Laurence abandonna sa famille et vint en Alaska en 1903 ou 1904Laurence a été le premier artiste de formation professionnelle à s'installer en Alaska. Il a déménagé en Alaska en 1904 pour des raisons encore inconnues. Les archives de 1907 montrent qu'il vivait dans le village de Tyonek sur la côte nord de Cook Inlet dans le sud de l'Alaska, à environ 60 miles de Ship Creek où Anchorage commencerait des années plus tard. Vivant la dure vie du prospecteur pionnier, il a peu peint dans ses premières années dans le district d'alors de l'Alaska , mais entre 1911 et 1914, il a commencé à se concentrer à nouveau sur son art. Il a déménagé de Valdez à la ville naissante d' Anchorage en 1915 et en 1920 était le peintre le plus en vue de l'Alaska.
Laurence a peint une variété de scènes de l'Alaska au cours de sa longue et prolifique carrière, parmi lesquelles des voiliers et des bateaux à vapeur dans les eaux de l'Alaska, des totems dans le sud-est de l'Alaska , des promontoires spectaculaires et les calmes criques et ruisseaux de Cook Inlet , des cabines et des caches sous les aurores boréales , et les autochtones de l'Alaska , les mineurs et les trappeurs engagés dans leur vie souvent solitaire dans la nature sauvage du nord.
Mais l'image de Denali des collines au-dessus des rapides de la rivière Tokositna est devenue sa marque de fabrique. C'est cette image plus que toute autre qui personnifie Laurence pour ses nombreux admirateurs et collectionneurs en Alaska et au-delà.Laurence a forgé un style personnel unique en appliquant les techniques tonalistes qu'il avait apprises à New York et en Europe à la nature sauvage du Nord. Lui, plus que tout autre artiste, a défini pour les Alaskiens et d'autres l'image de l'Alaska comme « la dernière frontière ».
En mai 1927, Laurence épouse Jeanne Kunath, une artiste d'origine française émigrée aux États-Unis en 1920. Il meurt à Anchorage le 10 décembre 1940.23 commentaires
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Par chezmamielucette le 3 Janvier 2021 à 00:00
Rivoyre, Christine, Berthe, Claude Denis de, Journaliste, Femme de lettres. Née le 29 novembre 1921 à Tarbes (Hautes-Pyrénées) décédée le 3 janvier 2019.
Fille de François Denis de Rivoyre, Officier, et de Mme, née Madeleine Ballande.Etudes : Institution du Sacré-Cœur à Bordeaux et à Poitiers, Faculté des lettres de Paris. Diplômes : Licenciée ès lettres.
Carrière : Etudiante à l’université de Syracuse aux Etats-Unis (1947-49), Journaliste au quotidien le Monde (1950-55), Directrice littéraire du magazine mensuel Marie-Claire (1955-66), Romancière, Membre du jury du prix Médicis (depuis 1970), Membre du Haut comité de la langue française (1969).
Œuvres :l’Alouette au miroir (1955),
la Mandarine (porté à l’écran) (1957),
la Tête en fleurs (1960),
la Glace à l’ananas (1962),
les Sultans (porté à l’écran) (1964),
le Petit Matin (porté à l’écran) (1968, rééd. 1998 et 2008),
le Seigneur des chevaux (en coll., 1969),
Fleur d’agonie (1970),
Boy (1973, rééd., 2003),
le Voyage à l’envers (1977),
Belle Alliance (1982),
Reine-Mère (1985),
Crépuscule taille unique (1989),
Racontez-moi les flamboyants (1995),
Archaka (2007).
Décoration : Officier de la Légion d’honneur et des Arts et des Lettres.
Distinctions : Prix des quatre jurys (1955) pour l'Alouette au miroir, prix Interallié (1968) pour le Petit Matin, prix des Trois-Couronnes (1973) pour Boy, grand prix de la Ville de Bordeaux (1973), grand prix littéraire Prince Rainier de Monaco (1982), prix Paul-Morand de l’Académie française pour l’ensemble de son œuvre (1984), Grand prix de la Ville de Paris (roman) (1989)13 commentaires
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Par chezmamielucette le 2 Janvier 2021 à 00:00
Ingrédients / pour 4 personnes
1 pamplemousse rose
2 poires william
4 clémentines
4 kiwis
2 sachets de sucre vanillé
4 cuillères à soupe de crème fraîche allégée à 15 %
1 cuillère à soupe de sucre glace
quelques pistaches pour la décoPréparation
1 Épluchez tous les fruits et détaillez-les en morceaux. Ajoutez le sucre vanillé et mélangez. Versez dans 4 verrines.
2 Fouettez la crème avec le sucre glace.
Pour finir
Disposez 1 cuillère à soupe de crème sur chaque verrine et décorez avec quelques pistaches.13 commentaires
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