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Par chezmamielucette le 29 Juin 2019 à 00:00
Gâteau renversé aux abricots
Pour 8 personnes
Le caramel
100 g de sucre
Le gâteau
100 g de farine
90 g de beurre
100 g de sucre
2 oeufs
1 sachet de levure chimique
1 grande boite d’abricots au sirop
PréparationPréchauffez votre four à 180°.
Réalisez tout d’abord le caramel. Faites cuire le sucre dans une casserole avec un peu d’eau jusqu’à l’obtention d’un caramel blond. Puis versez-le immédiatement dans un moule à manquer en veillant bien à tapisser tout le fond du moule de caramel. Laissez refroidir le caramel.
Egouttez les abricots et disposez-les sur le caramel.
Dans un saladier, mélangez la farine, le sucre et la levure puis ajoutez les œufs et enfin le beurre mou. Mélangez bien jusqu’à ce que la pâte soit homogène. Versez la pâte sur les abricots et enfournez 30 minutes.
Laissez refroidir un peu le gâteau renversé aux abricots avant de le démouler. N’attendez pas trop longtemps sinon le caramel va figer et vous ne pourrez plus le démouler.
Bon appétit !
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Par chezmamielucette le 28 Juin 2019 à 00:00
La giroflée d’été ou giroflée quarantaine (Matthiolia incana) est très proche d’espèces du genre Erysimum mais appartient au genre Matthiolia qui comprend 55 espèces et fait partie également de la famille des Brassicacées. Elle ne doit pas être confondue en particulier avec la giroflée ravenelle.
C’est une plante vivace sous des climats doux qui à l’origine pousse naturellement, entre autres, sur le pourtour méditerranéen. Elle peut s’adapter à tous les types de terrains ensoleillés où on la cultive habituellement comme une annuelle ou une bisannuelle.
Elle forme des touffes de feuilles entières vertes (parfois blanchâtres) oblongues d’environ 6 à 10 cm de long. De ces touffes s’élèvent des hampes florales de 30 à 60 cm de hauteur. Les tiges sont ligneuses à leur base.
Les fleurs, simples ou doubles selon les variétés, sont groupées en grands épis dressés. Leurs couleurs varient du blanc pur au mauve-violet en passant par le rose ainsi que le rouge et le jaune. Très parfumées, elles apparaissent soit au printemps soit en été, entre mai et septembre, selon les variétés et leur période de semis. Elles donnent naissance à des fruits secs : les siliques (sorte de petites bourses desséchées) qui contiennent des graines ailées.
La racine pivotante est relativement peu développée par rapport au reste de la plante et assez fragile en cas de repiquage.
Dans les jardins, on l’utilise directement semée en place dès avril-mai pour sa belle floraison estivale en massifs et platebandes. Les horticulteurs la cultivent dès mi-novembre en serre pour la production de fleurs à couper printanières.
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Par chezmamielucette le 27 Juin 2019 à 00:00
Désaignes, classé " village de caractère " en 2007 par le Conseil Général de l’Ardèche, se situe au cœur de la vallée du Doux, à 7 km de Lamastre et 14 km de Saint Agrève.
Village médiéval, inscrit à l’inventaire des Monuments Historiques en 1972, Désaignes a su garder certaines traces de son passé.
En nous promenant dans le village, nous pouvons contempler les quelques fragments de remparts qui ont résisté au temps; trois des quatre portes d’entrées,
le temple au centre du bourg, il est adossé à la forteresse du XIe siècle dont il a gardé le donjon pour clocher. Construit entre 1820 et 1844, il remplace un premier temple détruit en 1684 sur ordre de l'évêque de Valence. on peut y voir de belles fenêtres romanes ainsi qu'une pierre gravée, provenant du premier temple et placée au-dessus de la porte : « Ma maison est la maison d'oraison ».
et l'église romane,
de nombreuses maisons de style gothique,
la fontaine Barbière
et bien sûr son château du 14 ème siècle, restauré. Il est ouvert au public de Pâques à la Toussaint. Le château abrite, sur quatre étages, le musée municipal qui propose des expositions riches et variées (voir rubrique Association - "Les Amis du Vieux Désaignes").
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Par chezmamielucette le 26 Juin 2019 à 00:00
L'été
C'est une fête en vérité,
Fête où vient le chardon, ce rustre ;
Dans le grand palais de l'été
Les astres allument le lustre.
On fait les foins. Bientôt les blés.
Le faucheur dort sous la cépée ;
Et tous les souffles sont mêlés
D'une senteur d'herbe coupée.
Victor HUGO
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Par chezmamielucette le 25 Juin 2019 à 00:00
Feneu est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.
Sur le site de Sautré, le château de Sautré, belle construction du XVIIIe siècle, prend son assise sur une forteresse du XIIIe siècle. Construit par le seigneur Guillaume de Feneu, il est implanté sur un éperon rocheux et possède un parc paysager avec de grands arbres (séquoias, cèdres du Liban, tulipier), de nombreux rosiers et autres fleurs. Il faut ajouter a cela, une cour d’honneur entourée par des douves aujourd’hui asséchées, une loggia à l’italienne ouverte sur la Suine et un petit verger en bordure de la Mayenne, face à un moulin.
Le château de Montriou appartient à la seigneurie des Beauvau, il est considéré comme étant une demeure amie du roi René.
Le château se compose d'un escalier tour, d'une chapelle et d'un corps de bâtiment antérieur au XVéme.
Il est entouré d'un parc à l'anglaise avec des arbres tricentenaires.
Les communs ont été bâtis en 1860, ils comprenaient à l'époque une orangerie, un logement pour le jardinier, une remise pour les voitures, des écuries, la chambre du cocher et la sellerie.
En 1860, un jardin potager est créé. Puis en 1998, le Jardin de la Princesse pour la culture d'une collection de cucurbitacées.
Une futaie de chêne et une forêt enchantée entoure une pièce d'eau alimenté par la Suine.L'église saint Martin est une fondation datant de 1064 construite en forme de croix latine et vraisemblablement sur l'emplacement d'un fanum, temple gallo-romain dont la commune tirerait son nom.
La nef, le transept et le clocher furent reconstruits au XVIIIe siècle et une chapelle en saillie, collatérale au choeuur, fut édifiée.
La sacristie actuelle fut construite en 1962 en remplacement de deux bâtiments voisins vétustes.
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Par chezmamielucette le 24 Juin 2019 à 00:00
MALFROY Henri ou MALFROY-SAVIGNY est un peintre de paysages, marines. Postimpressionniste.
Né le 15 janvier 1895 à Martigues (Bouches-du-Rhône) . Mort en 1942 .Il fit son apprentissage à l'Ecole des Beaux-Arts de Paris auprès de son père Charles Malfroy, avec lequel il est souvent confondu.
Il exposa régulièrement à Paris, au Salon des Artistes Français et au Salon des Indépendants jusqu'en 1934.
Adoptant une technique proche de l'impressionnisme, il peint les côtes et les ports des Bouches-du-Rhône et du Var, mais aussi des paysages de Paris et des bords de Seine.
Installé à Martigues, il élargit sa touche, éclaire ses compositions, se rapprochant des paysagistes provençaux, comme Ziem.
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Par chezmamielucette le 23 Juin 2019 à 00:00
Marie-Josèphe Rose Tascher de la Pagerie (1763-1814) naquit à la Martinique dans une famille installée aux Iles depuis un demi-siècle. Après une jeunesse libre et oisive, elle épousa en France, en 1779, le chevalier Alexandre de Beauharnais. De cette union naquirent Eugène et Hortense. Séparée de son époux six ans plus tard, elle vécut à Paris la vie d’une mondaine désargentée et poursuivie par ses créanciers. Emprisonnée comme Beauharnais sous la Révolution, elle fut libérée le 9 thermidor alors que son mari avait été guillotiné. Par l’intermédiaire de Barras, l’un de ses amants, elle connut Bonaparte qui l’épousa en 1796, avant la campagne d’Italie. Rose devint alors Joséphine. Son inconduite pendant l’absence de Napoléon, lors de la campagne d’Egypte, lui fit frôler le divorce.
Couronnée impératrice en 1804, elle subit la haine du clan Bonaparte. Elle exerça néanmoins une grande influence sur Napoléon et sut l’aider dans sa politique d’apaisement : restée royaliste au fond du cœur, elle n’avait jamais rompu avec son ancien milieu et put ainsi établir un lien précieux entre l’Empereur et la noblesse d’Ancien Régime. Incapable de donner un héritier au trône, elle dut accepter le divorce en 1809. Grâce aux deux millions que lui versait chaque année le Trésor, elle vécut dès lors dans une demi-retraite dorée au château de la Malmaison qu’elle avait acquis en 1799.
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Par chezmamielucette le 22 Juin 2019 à 00:00
Ingrédients pour 4 verrines:
4 pêches (2 jaunes et 2 rouges ici),
Sucre selon l'acidité des fruits,
250 ml de crème liquide à monter (chantilly),
2 c à s de sucre glace,
1 c à c d'eau de fleur d'oranger (facultatif),
4 boudoirs.
Préparation:
Couper les pêches en petits dés et les cuire avec du sucre à feu moyen,
Au bout de quelques minutes, elles vont être submergés par leur jus,
Hors du feu ajouter l'eau de fleur d'oranger,
Récupérer le sirop à part et mettre le tout dans le réfrigérateur,
Quand les fruits et le sirop auront complètement froidi, monter la crème en chantilly en la sucrant vers la fin,
Monter les verrines en commençant par les boudoirs trempés dans le sirop, puis une couche de pêches et en terminant par de la chantilly,
Refaire l'opération sans les boudoirs cette fois,
Décorer et garder au frais jusqu'au moment de servir
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Par chezmamielucette le 21 Juin 2019 à 00:00
Lathyrus palustris se rencontre naturellement dans les prairies humides, les marécages, les marais, des fossés humides, souvent à proximité de lacs, dans une grande partie de l'Amérique du Nord, ainsi qu'en Eurasie. En France, sa répartition est inégale et la gesse des marais reste peu commune : elle est protégée et réglementée dans plusieurs régions. Avec l'urbanisation et le drainage des terres, cette proche des pois de senteur est inscrite sur la Liste Rouge de l'UICN.
L'habitat de la gesse des marais est large, mais avec des écarts. Ainsi, dans certains endroits, la plante est courante, tandis que dans d'autres endroits, même à proximité, elle devient rare ou ne se développe pas du tout : ce n'est pas une espèce migratrice. Son habitat est submergé, il est inutile de la chercher en dehors de zones très humides. L'altitude de croissance est basse, avec un maximum mondial enregistré à environ 1 000 m (maximum 500 m en France).
La gesse des marais exige une terre riche qui devrait rester humide tout au long de son cycle de croissance. Elle est une de ces rares espèces qui réussit à croître le long d'une végétation composée du roseau commun.
Les critères d'identification de la gesse des marais en milieu naturel parmi les membres du genre Lathyrus sont, outre son biotope humide, son petit nombre de paires de folioles et la tige souvent ailée. La gesse des marais expose deux caractéristiques claires : ses feuilles ont seulement 3-4 paires de folioles et le côté opposé de la tige a une aile étroite, sous la forme d'une projection mince verte, qui est capable d'assimiler la lumière (photosynthèse) de la même façon que ses feuilles. La gesse des marais ressemble à Lathyrus linifolius, bien que ce dernier pois de senteur n'a aucune vrille et ne nécessite pas un sol humide.
Ainsi, les principaux marqueurs d'identification de la gesse des marais consistent en une plante de 30 à 80 cm de haut, une tige légèrement ailée, ainsi que le pétiole des feuilles, lesquelles sont divisées en 4-8 folioles elliptiques et terminées par une vrille.
Les fleurs, roses-violettes au début, deviennent bleuâtres avant la fructification, et sont groupées par 2 à 8 en grappe lâche. Les stipules sont assez grandes, en forme de lance, étroites. Chaque fleur mesure de 12 à 18 mm, avec une floraison s'étalant de juin à août.
La fructification est identifiable, caractéristique des pois de senteur, avec des fruits plats de 25-50 mm de long, glabre, brun, contenant 6-12 graines (gousse typique des légumineuses). Le fruit est sec (déhiscent) et se fend à maturité. Les graines, assez lisses, sont brun rougeâtre et presque sphériques avec un diamètre d'environ 3,5
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Par chezmamielucette le 20 Juin 2019 à 00:00
Suèvres est une commune française située dans le département de Loir-et-Cher, en région Centre-Val de Loire.
Elle compte un grand nombre de moulins et des parcours ont été aménagé pour les découvrir. Ces moulins sont privés, la plupart sont habités et ont fait l'objet d'une restauration soignée
La présence d'un aussi grand nombre de moulins s'explique par les sept petites rivières aux eaux très claires qui parcourent la commune et qui ajoutent encore au charme du village. Elle s'explique aussi par la proximité des plaines de Beauce et la nécessité pour les producteurs de céréales de faire moudre leur grain. Beaucoup de ces moulins sont mentionnés depuis le Moyen Âge et ont été transformés au cours de l'histoire, en particulier au XIX esiècle avec la mécanisation. Leur activité principale était d'écraser le blé pour en faire de la farine, mais elle a souvent évolué: le moulin de la Motte a été un moulin à tan qui écrasait l'écorce de chênes pour les tanneries,
le moulin de Ruabourg a fait tourner une scie à bois,
le Grand moulin a même été équipé d'une machine à vapeur et faisait travailler une vingtaine d'employés dans les années 50: il traitait le crin destiné aux banquettes automobiles.
Au cœur du bourg, la promenade permettra de s'arrêter avec plaisir devant le Moulin-pont construit sur la rivière. Un adorable petit lavoir en bois a été construit là, juste au confluent de deux bras de la Tronne.
Un peu plus loin, ce sont les masses imposantes des Grands moulins, séparés par un gué bucolique que pouvaient traverser les charrettes, ou encore le petit moulin de Gastines, dont le jardin fleuri est traversé par la rivière en cascade.
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