• Peinture d'  Alfred Augustus Glendening

     

    Alfred Augustus Glendening était un peintre de paysage et de genre londonien (1840-1904) fils d'Alfred Augustus Glendening Senior, également peintre.

     

    Peinture d'  Alfred Augustus Glendening

    Peinture d'  Alfred Augustus Glendening

    Peinture d'  Alfred Augustus Glendening

    Peinture d'  Alfred Augustus Glendening

    Peinture d'  Alfred Augustus Glendening

    Peinture d'  Alfred Augustus Glendening

    Peinture d'  Alfred Augustus Glendening

     

    L'artiste a été enseigné par son père et il a travaillé à l'huile et à l'aquarelle. Le travail du père et du fils a souvent une ressemblance frappante.

     

    Peinture d'  Alfred Augustus Glendening

    Peinture d'  Alfred Augustus Glendening

    Peinture d'  Alfred Augustus Glendening

    Peinture d'  Alfred Augustus Glendening

    Peinture d'  Alfred Augustus Glendening

    Peinture d'  Alfred Augustus Glendening

    Peinture d'  Alfred Augustus Glendening

     

    Alfred Junior a exposé à la Royal Academy de 1881 à 1904 ainsi qu'à Suffolk Street. Son tableau «Haymaking» a été exposé à la Royal Academy en 1898

     

    Peinture d'  Alfred Augustus Glendening

     

    et a été acheté par la Chantry Bequest pour la nation en 1898.

     

    Peinture d'  Alfred Augustus Glendening

    Peinture d'  Alfred Augustus Glendening

    Peinture d'  Alfred Augustus Glendening

    Peinture d'  Alfred Augustus Glendening

    Peinture d'  Alfred Augustus Glendening

    Peinture d'  Alfred Augustus Glendening

    Peinture d'  Alfred Augustus Glendening

    Peinture d'  Alfred Augustus Glendening

     

    Glendening Junior jouissait d'une grande popularité à son époque, principalement parce qu'il savait ce que le public aimait et composait ses peintures

     

    Peinture d'  Alfred Augustus Glendening

    Peinture d'  Alfred Augustus Glendening

    Peinture d'  Alfred Augustus Glendening

    Peinture d'  Alfred Augustus Glendening

    Peinture d'  Alfred Augustus Glendening

    Peinture d'  Alfred Augustus Glendening

    Peinture d'  Alfred Augustus Glendening

    Peinture d'  Alfred Augustus Glendening

     

    Plus tard dans sa carrière, Glendening Junior est également devenu un peintre de décors de théâtre,

     

    Peinture d'  Alfred Augustus Glendening

    Peinture d'  Alfred Augustus Glendening

    Peinture d'  Alfred Augustus Glendening

    Peinture d'  Alfred Augustus Glendening

    Peinture d'  Alfred Augustus Glendening

    Peinture d'  Alfred Augustus Glendening

    Peinture d'  Alfred Augustus Glendening

    Peinture d'  Alfred Augustus Glendening

    Peinture d'  Alfred Augustus Glendening

    Peinture d'  Alfred Augustus Glendening

    Peinture d'  Alfred Augustus Glendening

    Peinture d'  Alfred Augustus Glendening

     

    Peinture d'  Alfred Augustus Glendening

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  •  

    Alfred de Musset est un poète et un dramaturge français. né le 11 décembre 1810 à Paris, où il meurt le 2 mai 1857

     

    2 mai 1857 : décès d'Alfred de Musset

    2 mai 1857 : décès d'Alfred de Musset

    2 mai 1857 : décès d'Alfred de Musset

     

    Lycéen brillant, Alfred de Musset abandonne ses études supérieures pour se consacrer à la littérature. Dès l'âge de 17 ans, il fréquente les poètes du Cénacle de Charles Nodier et publie à 19 ans, son premier recueil poétique qui révèle son talent.

     

    2 mai 1857 : décès d'Alfred de Musset

     

    Il commence alors à mener une vie de « dandy débauché ». En décembre 1830, sa première comédie "La Nuit Vénitienne" est un échec qui le fait renoncer à la scène pour longtemps.

     

    2 mai 1857 : décès d'Alfred de Musset

    2 mai 1857 : décès d'Alfred de Musset

     

    Il choisit dès lors de publier des pièces dans La Revue des Deux Mondes, avant de les regrouper en volume sous le titre explicite "Un Spectacle dans un fauteuil", spectacle qui n'est pas destiné à être joué.

     

    2 mai 1857 : décès d'Alfred de Musset

    2 mai 1857 : décès d'Alfred de Musset

     

    Il rencontre Georges Sand en 1833 avec laquelle il se lie amoureusement et part en Italie.

     

    2 mai 1857 : décès d'Alfred de Musset

    2 mai 1857 : décès d'Alfred de Musset

    2 mai 1857 : décès d'Alfred de Musset

     

    Leur relation mouvementée, se termine en mai 1835. Pendant cette relation avec Georges Sand, il écrit son chef-d'œuvre, un drame romantique, "Lorenzaccio" en 1834 (la pièce ne sera représentée qu'en 1896) ,

     

    2 mai 1857 : décès d'Alfred de Musset

    2 mai 1857 : décès d'Alfred de Musset

    2 mai 1857 : décès d'Alfred de Musset

    2 mai 1857 : décès d'Alfred de Musset

     

    ainsi que sa pièce la plus connue : "On ne badine pas avec l'amour".

     

    2 mai 1857 : décès d'Alfred de Musset 

    2 mai 1857 : décès d'Alfred de Musset

    2 mai 1857 : décès d'Alfred de Musset

    2 mai 1857 : décès d'Alfred de Musset

    2 mai 1857 : décès d'Alfred de Musset

     

    Il se fit aussi connaître par sa pièce "Les Caprices de Marianne",

     

    2 mai 1857 : décès d'Alfred de Musset

    2 mai 1857 : décès d'Alfred de Musset

    2 mai 1857 : décès d'Alfred de Musset

     

    par son recueil de poésies "Les Nuits"

     

    2 mai 1857 : décès d'Alfred de Musset

    2 mai 1857 : décès d'Alfred de Musset

    2 mai 1857 : décès d'Alfred de Musset

    2 mai 1857 : décès d'Alfred de Musset

     

    et par son ouvrage "La Confession d'un Enfant d'un Siècle".

     

    2 mai 1857 : décès d'Alfred de Musset

    2 mai 1857 : décès d'Alfred de Musset

    2 mai 1857 : décès d'Alfred de Musset

    2 mai 1857 : décès d'Alfred de Musset

     

    Dépressif et alcoolique, à 30 ans, Alfred de Musset écrit de moins en moins, mais reçoit la Légion d'honneur en 1845 et est élu à l'Académie française en 1852.

     

    2 mai 1857 : décès d'Alfred de Musset

     

    Mort à 46 ans, à peu près oublié, il est redécouvert au XXe siècle et considéré comme un des grands écrivains romantiques français. Son théâtre et sa poésie lyrique montrent une sensibilité extrême, une interrogation sur la pureté et la débauche, une exaltation de l'amour et une expression sincère de la douleur.

     

    2 mai 1857 : décès d'Alfred de Musset

     

    2 mai 1857 : décès d'Alfred de Musset

     

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  • Fleurs cultivées : Muguet

    Fleurs cultivées : Muguet

     

    Le muguet des bois ou Convallaria majalis appartient à la famille des Liliacées. Il est originaire du Japon, mais on le trouve en Europe et en Amérique du nord, où il pousse naturellement dans les sous-bois et les près montagneux ne dépassant pas 2 000 m d'altitude. Couramment appelé muguet, il a connu et connaît toujours plusieurs appellations : lys des vallées, clochettes des bois, grelot, grillet, amourette, gazon de Parnasse ou larmes de Sainte Marie.

     

    Fleurs cultivées : Muguet

    Fleurs cultivées : Muguet

    Fleurs cultivées : Muguet

    Fleurs cultivées : Muguet

    Fleurs cultivées : Muguet

    Fleurs cultivées : Muguet

     

    C'est une plante très rustique dont les feuilles sont insérées à la base de la tige non ramifiée. Elles sont disposées par paires autour du brin, dressées et ovales, d'un beau vert franc.

     

    Fleurs cultivées : Muguet

    Fleurs cultivées : Muguet

    Fleurs cultivées : Muguet

     

    Le muguet fleurit au printemps, en avril-mai, pendant seulement 3 ou 4 semaines.
    Il donne des brins ou hampes florales dressés qui portent en grappe de jolies clochettes pendantes (entre 6 et 10). Celles-ci d'un beau blanc ou parfois rose dégagent un parfum particulier et assez fort. Le muguet n'est pas une grande plante, il mesure le plus souvent entre 15 et 25 cm de hauteur et s'étale sur 10 à 50 cm.

     

    Fleurs cultivées : Muguet

    Fleurs cultivées : Muguet

    Fleurs cultivées : Muguet

    Fleurs cultivées : Muguet

    Fleurs cultivées : Muguet

    Fleurs cultivées : Muguet

     

    Le muguet est prolifique, voire envahissant. Il s'étend grâce à ses rhizomes horizontaux et ramifiés, mais sa croissance reste lente.

     

    Fleurs cultivées : Muguet

    Fleurs cultivées : Muguet

    Fleurs cultivées : Muguet

    Fleurs cultivées : Muguet

     

    Il se cultive en pleine terre et en pot, à l'extérieur et en intérieur. Il s'utilise en sous-bois, en tapis ou couvre-sols, en bordures, en jardinières, en potées et en fleurs coupées.

     

    Fleurs cultivées : Muguet

    Fleurs cultivées : Muguet

    Fleurs cultivées : Muguet

    La culture du muguet est souvent forcée, sous abris, dès le milieu de l'hiver. La région nantaise assure plus des ¾ de la production française ; le reste étant assurée majoritairement par la région bordelaise.

     

    Fleurs cultivées : Muguet

    Fleurs cultivées : Muguet

     

    Le muguet est très utilisé en parfumerie (parfums et savons)

     

     

    Fleurs cultivées : Muguet

    Fleurs cultivées : Muguet

     

    et aussi en médecine (plante tonicardiaque et diurétique).

     

    Fleurs cultivées : Muguet

     

    Fleurs cultivées : Muguet

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  • Moelleux à la rhubarbe et amandes

     

    INGRÉDIENTS

    Pour un moelleux de 6 personnes

    150 g de farine d’épeautre (**)
    75 g de poudre d’amande
    170 g de sucre roux (**)
    1 sachet de levure chimique
    100 g de beurre
    4 œufs
    50ml de lait d’amande (*)
    1 pincée de sel (si beurre non salé)
    600 à 700 g de tiges de rhubarbe

     

    Moelleux à la rhubarbe et amandes


    RÉALISATION


    1. Lavez et épluchez votre rhubarbe. Taillez là en morceaux d’environ 2cm de large puis disposez le tout dans un saladier. Ajoutez 50 g de sucre, mélangez, puis laissez mariner au moins une heure.
    2. Au bout de cette heure, dans un 2e saladier, fouettez les œufs avec le restant de sucre (soit 120 g) jusqu’à ce que le mélange blanchisse.
    3. Faites fondre le beurre, le sel puis mélangez le.
    4. Ajoutez farine, poudre d’amande, levure chimique puis mélangez jusqu’à former une pâte homogène.
    5. Ajoutez le lait d’amande et mélangez pour détendre la pâte.
    6. Incorporez les morceaux de rhubarbe marinés (avec le jus !!) , puis versez la pâte dans un moule à manqué préalablement beurré.
    7. Faites cuire à 180°C pendant 35 minutes (à ajuster selon le four). La pointe du couteau soit ressortir sèche (ie sans pâte dessus) quand vous l’y enfoncez.

    Servez à température ambiante. Pour ceux qui aiment les gâteaux bien sucrés, saupoudrez de sucre glace avant de servir.

     

    Moelleux à la rhubarbe et amandes

    Moelleux à la rhubarbe et amandes

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  • Gordes  (Vaucluse)

    Gordes  (Vaucluse)

     

    Dans les derniers kilomètres à l’approche de Gordes, la route sinueuse n’a pour horizon que ces murs de pierres sèches qui bordent les routes et protègent les maisons du mistral et des regards indiscrets. Puis, tout à coup, au détour d’un virage, le village surgit, majestueux, en vigie face au Luberon. Tel est pris qui croyait prendre… Une impression de force se dégage de ce site compact couronné par un imposant château dans une œuvre minérale où seuls oliviers et cyprès apportent le contraste de leurs vertes silhouettes. Son caractère défensif, le village l’acquiert dès l’époque gallo-romaine et le développe au Moyen Âge. Chargé de veiller sur la cité de Cavaillon, Gordes constitue un refuge pour les populations fuyant invasions et guerres de religion.

     

    Gordes  (Vaucluse)

    Gordes  (Vaucluse)

    Gordes  (Vaucluse)

    Gordes  (Vaucluse)

    Gordes  (Vaucluse)

    Gordes  (Vaucluse)

    Gordes  (Vaucluse)

     

    C’est à cette époque (1031) qu’est construit le château, largement remanié à la Renaissance.
    Le Château reconstruit en 1525, existait déjà en 1031. Bien conservé et restauré avec soin, il lie l'architecture de la période troublée du Moyen-Age au nouvel art de vivre de la Renaissance, La cheminée monumentale qui orne la remarquable salle d'honneur a été classée Monument Historique en 1902 et l'ensemble du Château en 1931.
    le chateau forme un rectangle allongé, orienté grosso modo est-ouest, avec trois tours d'angle et une quatrième dans le mur long nord. Une large échancrure dans le mur long sud forme une cour carrée séparant la partie occidentale du château de la partie orientale avec ses deux tours d'angle. L'angle sud-ouest ne comporte pas de tour. La façade nord, austère, de la partie occidentale est flanquée de deux tours rondes à mâchicoulis hautes de 20 m. Elle est percée de deux étages de fenêtres, celles du bas étant à traverse. La couronne de mâchicoulis des tours supporte une terrasse pour l'artillerie. La façade sud, tournée vers le soleil, de la partie occidentale est flanquée d'échauguettes et percée de deux étages de fenêtres à croisillon et d'un étage de fenêtres à meneau (au dernier niveau). Les murs, les tours et les échauguettes comportent des bouches à feu réparties de façon judicieuse. La tour de l'angle sud-est est une tour d'armes avec des bouches à feu et des fenêtres de confort percées tardivement.

     

    Gordes  (Vaucluse)

    Gordes  (Vaucluse)

    Gordes  (Vaucluse)

    Gordes  (Vaucluse)

    Gordes  (Vaucluse)

    Gordes  (Vaucluse)

    Gordes  (Vaucluse)

    Gordes  (Vaucluse)

    Gordes  (Vaucluse)

    Gordes  (Vaucluse)

    Gordes  (Vaucluse)

    Gordes  (Vaucluse)

     

    Au XIIème siècle, une église à contreforts vient elle aussi défier de sa silhouette imposante les assaillants potentiels.
    Au Moyen Age (XIe XIIe) les prieurs de l'abbbaye Bénédeictine de st Chaffrey (située dans la plaine), qui étaient aussi les curés primitifs de Gordes, firent construire une église dédiée à notre dame. Devenue trop petite et très vétuste, elle est réédifiée au milieu du 18eme siècle, elle est consacrée à Saint Firmin, Eveque d'Uzès mort en 552.
    La Tour carrée , qui date de la 1ere construction et qui sert aujourd'hui de clocher, était probablement un beffroi. Ses cloches étaient actionnées par les sonneurs de cloche, un des métiers municipaux, pour rythmer les heures et aussi pour dévier les orages ou crever les nuages. Au bas de cette tour une petite porte en bois fermé une prison. C'est à coté de cette porte qu'était le pilori. poteau avec un carcan ou l'on exposait les condamnés à la vue des villageois.

     

    Gordes  (Vaucluse)

    Gordes  (Vaucluse)

    Gordes  (Vaucluse)

    Gordes  (Vaucluse)

    Gordes  (Vaucluse)

    Gordes  (Vaucluse)

    Gordes  (Vaucluse)

     

    A l'intérieur : belles boiseries et grilles en fer forgé du XVIIIème.
    Sur les huit chapelles, certaines appartenaient à des confréries. A gauche en entrant, se trouve la chapelle des cordonniers, cette importante corporation regroupa au 19eme jusqu'à 400 ouvriers et tâcherons. Le tableau placé dans cette chapelle représente Saint Crespin, patron des cordonniers, St Crespin et St Simon, patron des carriers. On remarque aussi à droite la chapelle Saint Eloi, patron des forgerons et un tableau représentant Sainte Madeleine dans un somptueux cadre en bois doré.

     

    Gordes  (Vaucluse)

    Gordes  (Vaucluse)

    Gordes  (Vaucluse)

    Gordes  (Vaucluse)

    Gordes  (Vaucluse)

    Gordes  (Vaucluse)

    Gordes  (Vaucluse)

    Gordes  (Vaucluse)

     

    Gordes  (Vaucluse)

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  • "Chanson pour Avril" poème d'Anna de Noailles

     

    "Chanson pour Avril" poème d'Anna de Noailles

     

    "Chanson pour Avril" poème d'Anna de Noailles

     

    "Chanson pour Avril" poème d'Anna de Noailles

     

     

     

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  • Vaison-la-Romaine  (Vaucluse)  2eme partie

    Vaison-la-Romaine  (Vaucluse)  2eme partie

     

    Vaison-la-Romaine est une commune française située dans le département de Vaucluse, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

     

    Vaison-la-Romaine  (Vaucluse)  2eme partie

    Vaison-la-Romaine  (Vaucluse)  2eme partie

    Vaison-la-Romaine  (Vaucluse)  2eme partie

    Vaison-la-Romaine  (Vaucluse)  2eme partie

    Vaison-la-Romaine  (Vaucluse)  2eme partie

    Vaison-la-Romaine  (Vaucluse)  2eme partie


    Le château des Comtes de Toulouse : Campé au sommet d’un rocher à pic, le château de Vaison fut pendant des siècles une puissante forteresse du Comtat Venaissin. Bâti en 1195 par Raymond V, comte de Toulouse et marquis de Provence, il remplaça une tour détruite par l’évêque Bérenger de Reilhane. L’évêque ne parvint pas à chasser par excommunication les ouvriers employés par le comte Raymond qui passa outre aux foudres épiscopales et le château fort domina bientôt la ville.

     

    Vaison-la-Romaine  (Vaucluse)  2eme partie

    Vaison-la-Romaine  (Vaucluse)  2eme partie

    Vaison-la-Romaine  (Vaucluse)  2eme partie

    Vaison-la-Romaine  (Vaucluse)  2eme partie

    Vaison-la-Romaine  (Vaucluse)  2eme partie

    Vaison-la-Romaine  (Vaucluse)  2eme partie

    Vaison-la-Romaine  (Vaucluse)  2eme partie

     

    Le château, amputé de ses moyens de défense et de son donjon décapité, conserve de beaux bâtiments. Il rappelle les luttes qui opposèrent les comtes et les évêques usurpateurs de leurs droits. Alphonse de Poitiers, frère de Saint Louis, qui avait épousé la fille de Raymond VII, imposa aux évêques la restitution de ces mêmes droits en faisant rendre une sentence arbitrale le 30 décembre 1351.

     

     

    Vaison-la-Romaine  (Vaucluse)  2eme partie

    Vaison-la-Romaine  (Vaucluse)  2eme partie

    Vaison-la-Romaine  (Vaucluse)  2eme partie

    Vaison-la-Romaine  (Vaucluse)  2eme partie

    Vaison-la-Romaine  (Vaucluse)  2eme partie

    Vaison-la-Romaine  (Vaucluse)  2eme partie

    Vaison-la-Romaine  (Vaucluse)  2eme partie

    Vaison-la-Romaine  (Vaucluse)  2eme partie

    Vaison-la-Romaine  (Vaucluse)  2eme partie

    Vaison-la-Romaine  (Vaucluse)  2eme partie

     

    La cathédrale Notre-Dame de Nazareth de Vaison-la-Romaine (Vaucluse) date du XIIe siècle. L'influence romaine, omniprésente en Provence, est évidente sur la cathédrale de Vaison : on trouve de très nombreux remplois romains dans ses murs. Au cours du moyen âge, le centre de gravité de Vaison se déplace progressivement vers la ville haute.

     

    Vaison-la-Romaine  (Vaucluse)  2eme partie

    Vaison-la-Romaine  (Vaucluse)  2eme partie

    Vaison-la-Romaine  (Vaucluse)  2eme partie

    Vaison-la-Romaine  (Vaucluse)  2eme partie

    Vaison-la-Romaine  (Vaucluse)  2eme partie

    Vaison-la-Romaine  (Vaucluse)  2eme partie

    Vaison-la-Romaine  (Vaucluse)  2eme partie

    Vaison-la-Romaine  (Vaucluse)  2eme partie

    Vaison-la-Romaine  (Vaucluse)  2eme partie

    Vaison-la-Romaine  (Vaucluse)  2eme partie

    Vaison-la-Romaine  (Vaucluse)  2eme partie

     

    Le site de la cathédrale est le lieu d'une ancienne église construite au XIIe siècle. À la suite de la décision de la communauté de construire une nouvelle cathédrale dans la ville haute, pour avoir un lieu de culte plus proche de leur lieu de vie, cet emplacement fut choisi. La construction d'un nouvel édifice commença en 1464. Des pierres sont récupérées des ruines d'une ancienne chapelle, Saint-Laurent, située dans la plaine. Ces pierres sont reconnaissables dans les parements à leur marque de tâcheron. La cathédrale fut commencée par l'évêque Guillaume III de Cheisolme, qui y fit installer un orgue.

     

    Vaison-la-Romaine  (Vaucluse)  2eme partie

    Vaison-la-Romaine  (Vaucluse)  2eme partie 

    Vaison-la-Romaine  (Vaucluse)  2eme partie

    Vaison-la-Romaine  (Vaucluse)  2eme partie

     

    Cet édifice est modifié au fil du temps jusqu'au XVIIIe siècle. La cathédrale a été délaissée en 1897 au profit de l'ancienne cathédrale romane Notre-Dame-de-Nazareth. En conséquence, elle devient en 1897 une église paroissiale. Elle est dédiée à la Bienheureuse Vierge Marie, saint Quentin, saint patron de la ville de Vaison, et tous les saints tandis que dans la plaine, la cathédrale Notre-Dame-de-Nazareth de Vaison est dédiée à Notre Dame.

     

    Vaison-la-Romaine  (Vaucluse)  2eme partie

    Vaison-la-Romaine  (Vaucluse)  2eme partie

    Vaison-la-Romaine  (Vaucluse)  2eme partie

    Vaison-la-Romaine  (Vaucluse)  2eme partie

    Vaison-la-Romaine  (Vaucluse)  2eme partie

     

    Vaison-la-Romaine  (Vaucluse)  2eme partie

     

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  • Aquarelles de : Jean-Claude Golvin

     

    Jean-Claude Golvin né sous le ciel ensoleillé de Tunisie, à Sfax en 1942, est dès son plus jeune âge passionné par le dessin, l’histoire et la visite des sites antiques d’Afrique du Nord (Tunisie, Algérie)

     

    Aquarelles de : Jean-Claude Golvin

    Aquarelles de : Jean-Claude Golvin

    Aquarelles de : Jean-Claude Golvin

    Aquarelles de : Jean-Claude Golvin

    Aquarelles de : Jean-Claude Golvin

    Aquarelles de : Jean-Claude Golvin

    Aquarelles de : Jean-Claude Golvin

    Aquarelles de : Jean-Claude Golvin

    Aquarelles de : Jean-Claude Golvin

    Aquarelles de : Jean-Claude Golvin

     

    Il participe à des missions archéologiques après l’obtention de son diplôme d’architecte (Architecte DPLG en 1969, urbaniste DIUP en 1972). A partir de 1973, il collabore à la mise en valeur de l’amphithéâtre romain d’El-Jem en Tunisie. De là viendra son intérêt pour les amphithéâtres romains, ce qui lui permet d’obtenir son doctorat d’Etat en histoire en 1985 : « L’amphithéâtre romain, essai de théorisation de sa forme et de ses fonctions ».

     

    Aquarelles de : Jean-Claude Golvin

    Aquarelles de : Jean-Claude Golvin

    Aquarelles de : Jean-Claude Golvin

    Aquarelles de : Jean-Claude Golvin

    Aquarelles de : Jean-Claude Golvin

    Aquarelles de : Jean-Claude Golvin

    Aquarelles de : Jean-Claude Golvin

    Aquarelles de : Jean-Claude Golvin

    Aquarelles de : Jean-Claude Golvin

    Aquarelles de : Jean-Claude Golvin

     

    De 1979 à 1990, il réside en Egypte et dirige le Centre Franco-Egyptien d’Etude des Temples de Karnak à Louqsor. C’est après son retour en France en 1989 qu’il se consacre pleinement à la restitution du patrimoine ancien par le dessin à l’aquarelle. À partir de 1995, il participe régulièrement à des expositions, publie de nombreux ouvrages et contribue à plusieurs revues.

     

    Aquarelles de : Jean-Claude Golvin

    Aquarelles de : Jean-Claude Golvin

    Aquarelles de : Jean-Claude Golvin

    Aquarelles de : Jean-Claude Golvin

    Aquarelles de : Jean-Claude Golvin

    Aquarelles de : Jean-Claude Golvin

    Aquarelles de : Jean-Claude Golvin

    Aquarelles de : Jean-Claude Golvin

    Aquarelles de : Jean-Claude Golvin

    Aquarelles de : Jean-Claude Golvin

    Aquarelles de : Jean-Claude Golvin

     

    Aquarelles de : Jean-Claude Golvin

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  • 25 Avril 18     naissance de

     

    Né en 1873 à Lyon, Georges Ricard-Cordingley a passé sa vie comme capitaine au long cours à sillonner terres et mers. Artiste à la forte personnalité, il connaît, dès sa jeunesse à Paris, puis à Londres (la reine Victoria lui achète trois toiles), une gloire précoce à laquelle il renonce en embarquant pour Terre-Neuve. Où il fait naufrage... Une expérience décisive dans l'orientation de sa vie. De Londres à Sydney, en passant par Marrakech, de Boulogne-sur-Mer, « l'incontournable pôle de ses voyages maritimes », à Cannes, il a mené, comme un sacerdoce, une vie entièrement dévouée à la peinture, sa passion, son métier, sa raison de vivre.

     

    25 Avril 1873 :  naissance de Georges Ricard-Cordingley

    25 Avril 1873 :  naissance de Georges Ricard-Cordingley

    25 Avril 1873 :  naissance de Georges Ricard-Cordingley

    25 Avril 1873 :  naissance de Georges Ricard-Cordingley

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    25 Avril 1873 :  naissance de Georges Ricard-Cordingley

    25 Avril 1873 :  naissance de Georges Ricard-Cordingley

     

    L'infini naturel

     

    Navires à la mer ou posés sur la grève, tempêtes ou calmes plats, paysages de falaises surplombant l'océan, Ricard-Cordingley a privilégié toute sa vie, sous toutes les latitudes, un seul sujet, l'espace marin, dans un dialogue constant du ciel et de l'eau. Ainsi, il parcourt les océans, traduisant avec une sensibilité de poète ses méditations devant le mystère de la mer, la beauté des ciels. En Méditerranée, il trouvera une immensité douce, un champ d'investigation. Considéré surtout comme le peintre des gris colorés, Ricard-Cordingley adoptera, au contact des lumières du Sud, une palette plus sobre aux tons plus intenses.

     

    25 Avril 1873 :  naissance de Georges Ricard-Cordingley

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    25 Avril 1873 :  naissance de Georges Ricard-Cordingley

    25 Avril 1873 :  naissance de Georges Ricard-Cordingley

    25 Avril 1873 :  naissance de Georges Ricard-Cordingley

    25 Avril 1873 :  naissance de Georges Ricard-Cordingley

     

    Mers du Sud

     

    La passion de Ricard-Cordingley pour la Côte d'Azur se révèle au cours de son premier séjour tropézien en 1911, où il rencontre sa femme. Mais c'est dans les années 30 qu'il se familiarisera véritablement avec la région. Les tartanes traditionnelles de la Méditerranée sont un des sujets de prédilection de l'artiste, sans négliger pour autant les goélettes, cotres et autres yachts sous voile ou alanguis dans le vieux port de Cannes, « ultime étape de ses réflexions esthétiques et de son approche de la lumière ».

     

    25 Avril 1873 :  naissance de Georges Ricard-Cordingley

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    Pour la base du gâteau

    150 g de biscuits sucrés (type speculoos, biscuits Graham …)
    40 g de noix de coco séchée
    1 ½ cuillère à café de cannelle en poudre
    100 g de beurre fondu

     

    Pour la garniture

    250 g de fraises
    2 blancs d’œufs à température ambiante
    250 g de sucre en poudre
    1 cuillère à soupe de jus de citron
    2 cuillères à café d’extrait de vanille

     

    Pour la décoration


    1 poignée de framboises
    coulis de framboises

     

     

    Préparation

     

    Tapissez de papier sulfurisé un moule à fond amovible de 25 à 30 cm de diamètre pour faciliter le démoulage du gâteau.

    Préparez la base du gâteau. Placez les biscuits dans un sac en papier, puis réduisez-les en miettes à l’aide d’un rouleau à pâtisserie. Mettez celles-ci dans un saladier, ajoutez la noix de coco, la cannelle et le beurre, puis remuez pour mélanger le tout. Transvasez la préparation dans le moule et pressez-la de manière à former la base du gâteau. La couche de pâte n’a pas besoin d’être épaisse, mais doit simplement couvrir le fond du moule. Réservez au réfrigérateur.

    Préparez la garniture. Rincez les fraises, équeutez-les et coupez-les en morceaux, puis mettez-les dans un saladier avec les autres ingrédients. Fouettez le tout pendant 6 à 8 minutes à l’aide d’un batteur électrique à vitesse rapide pour dissoudre le sucre et obtenir une mousse – pour vérifier que la consistance de la mousse est bien homogène, prélevez une pincée de mousse et malaxez-la entre vos doigts : si vous sentez des grains de sucre, continuez à battre la préparation.

    Versez la garniture dans le moule, lissez sa surface, puis placez le gâteau au congélateur pendant au moins 4 heures. Ce gâteau peut se conserver dans une boîte hermétique au congélateur pendant 1 mois.

    Au moment de servir, parsemez le gâteau de framboises, puis coupez-le à l’aide d’un couteau trempé dans de l’eau chaude. Accompagnez-le de coulis de framboises.

     

     

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