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    Maurice Utrillo, né Maurice Valadon le 26 décembre 1883 à Paris XVIIIe et mort le 5 novembre 1955 à Dax, est un peintre français de paysages animés, paysages urbains, peintre à la gouache, aquarelliste, illustrateur, peintre de décors de théâtre.

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    Maurice Utrillo

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    L'enfance de Maurice se déroule auprès de sa grand-mère, à qui sa mère l'a confié, Villa Auchat à Pierrefitte-sur-Seine[2] (actuelle Seine-Saint-Denis). À partir de l'âge de 18 ans, il fait plusieurs séjours à l'asile. Il sombre progressivement dans l'alcool, qui provoque chez lui de nombreux troubles (violence, démence). Ses études en sont affectées. Cependant, ses occupations thérapeutiques contribuent peut-être à révéler son génie. En tout cas, il reçoit les encouragements de sa mère lorsqu'elle pense découvrir en lui du talent.

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    Maurice Utrillo rencontre le peintre Alphonse Quizet et commence à peindre régulièrement à partir de 1910 année où il commence à vivre de sa peinture. Il produit des centaines de toiles en plusieurs décennies et il est beaucoup plagié (il existe une multitude de faux et d'œuvres douteuses).

    Dès les années 1920, il devient un peintre célèbre et le gouvernement français le décore de la croix de la Légion d'honneur en 1929.

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    Sans doute poussé par sa mère, il épouse en 1935, à l'âge de 51 ans, Lucie Valore avec laquelle il s'installe au Vésinet[3]. Celle-ci joue un rôle dans la gestion des finances du couple et surveille Maurice afin d'éviter sa rechute dans l'alcoolisme et le faire travailler. Sa mère meurt 3 ans plus tard.

    Il meurt âgé de 71 ans, le 5 novembre 1955 à l'hôtel Splendid de Dax où il est en cure avec sa femme. Il est enterré au cimetière Saint-Vincent à Montmartre, Paris, face au Lapin Agile.

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  • Saint Augustin (354-430), évêque d'Hippone (Afrique du Nord) et docteur de l'Église
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    « Il interpella le vent avec vivacité et dit à la mer : ' Silence, tais-toi ' »



          Tu es en mer et c'est la tempête. Il ne te reste qu'à crier : « Seigneur, sauve-moi ! » (Mt 14,30) Qu'il te tende la main, celui qui marche sur les flots sans crainte, qu'il soulève ta peur, qu'il fixe en lui-même ton assurance, qu'il parle à ton cœur et qu'il te dise : « Pense à ce que j'ai supporté. Tu as à souffrir d'un mauvais frère, d'un ennemi du dehors ? N'ai-je pas eu les miens ? Au dehors ceux qui grinçaient des dents, au-dedans ce disciple qui me trahissait ».

          C'est vrai, la tempête fait rage. Mais le Christ nous sauve « de la petitesse d'âme et de la tempête » (Ps 54,9 LXX). Ton navire est secoué ? C'est peut-être parce qu'en toi le Christ dort. Sur une mer furieuse, la barque où naviguaient les disciples était secouée, et cependant le Christ dormait. Mais le moment est venu enfin où ces hommes ont réalisé qu'ils avaient avec eux le maître et le créateur des vents. Ils se sont approchés du Christ, ils l'ont éveillé : le Christ a commandé aux vents et il s'est fait un grand calme.

          Ton cœur se trouble à juste titre, si tu as oublié celui en qui tu as cru ; et ta souffrance devient insupportable si tout ce que le Christ à souffert pour toi reste loin de ton esprit. Si tu ne penses pas au Christ, il dort. Réveille le Christ, fais appel à ta foi. Car le Christ dort en toi si tu as oublié sa Passion ; et si tu te souviens de sa Passion, en toi le Christ veille. Quand tu auras considéré de tout ton cœur ce que le Christ a souffert, ne supporteras-tu pas tes peines à ton tour avec fermeté ? Et avec joie, peut-être, tu te trouveras par la souffrance un peu semblable à ton Roi. Oui, lorsque ces pensées commenceront à te consoler, à te donner de la joie, sache que c'est le Christ qui s'est levé et qui a commandé aux vents ; de là le calme qui s'est fait en toi. « J'attendais, dit un psaume, celui qui me sauverait de la petitesse d'âme et de la tempête ».

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