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D’origine lyonnaise, Pascal s’intéresse au dessin dès son enfance. A l’âge de 20 ans, il se tourne naturellement vers la peinture et apprend au fil de ses propres expériences. Autodidacte, il part à la rencontre de l’art lors de ses nombreuses visites dans les musées. Une première exposition dans une galerie lyonnaise rencontre le succès et l’incite à se consacrer à la peinture à titre professionnel.
Il intègre l’académie de peinture de Pierre Jean Chaffrey où il suit l’enseignement des peintres André Didier, Pascale Paradis et Norbert Vaginay. Il apprend de façon intensive et après quelques années il devient membre permanent à la galerie de l'Olympe à Lyon.
En 2008, il quitte sa région du Rhône pour ouvrir son atelier en Provence. Pascal rencontre la luminosité spécifique du Sud qui devient un élément essentiel de sa peinture.
Son thème de prédilection est le paysage (urbain, champêtre ou maritime). La Nature reste ce qui l’inspire le plus par sa diversité. Il est inspiré par les peintres de l’Ecole de Barbizon tels que Picasso, Jean-Baptiste Corot ou Eugène Boudin. Pascal s’inscrit dans la continuité des Impressionnistes et privilégie la peinture sur le motif (en plein air devant le sujet). La plupart du temps, il marche à la recherche du bon endroit et de la bonne lumière. Il s’arrête, installe son chevalet et peint le paysage qui a capté son attention. C’est un moment fugace et sublime qui donne tout son sens à sa peinture.
La technique picturale "Alla Prima" que Pascal utilise découle naturellement de ce contexte. Il s’agit d’une technique de peinture à l’huile grâce à laquelle les étapes de la sous-couche et du glacis sont supprimées pour peindre plus vite. Rendue célèbre par les Impressionnistes, cette façon de peindre particulièrement appropriée au travail en extérieur à la lumière naturelle changeante.
Les œuvres de Pascal retranscrivent la sérénité de l’artiste dans son décor naturel.
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Émile Zola est un écrivain et journaliste français, né le 2 avril 1840 à Paris, où il est mort le 29 septembre 1902.
chef de file du mouvement naturaliste.
Il naît à Paris mais passe son enfance à Aix-en-Provence.
La mort du père à laissé la famille en difficulté financière, et Émile est très vite contraint d’abandonner ses études. Il travaille comme commis chez Hachette et y finira sa carrière comme chef de publicité.
En 1866, décide de vivre de sa plume. En 1867 paraît Thérèse Raquin qui fait scandale pour la noirceur de l’histoire et le caractère dépravé de ses personnages. Ce roman jette surtout les prémices du mouvement naturaliste, qui associe au récit une étude quasi scientifique du comportement humain.
L’Assommoir, septième roman du cycle des Rougon-Macquart, publié en 1877 est son premier grand succès littéraire.
En 1894, l’affaire du capitaine Dreyfus éclate et divise la France et Émile Zola prend sa défense dans un article historique, J’accuse … ! publié dans l’Aurore et qui lui vaut une condamnation pour diffamation le poussant à l’exil.
Il meurt peu après son retour à Paris et ses cendres sont déplacées au Panthéon en 1908.
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Ingredients
300 g de raisin de table noir (muscat de Hambourg par ex car bien sucré)
2 cuillerées à soupe de rhum (facultatif)
350 g de fromage blanc
100 ml de miel liquide
4 zestes d’orange confitsPréparation
Laver, sécher, égrener les raisins. Mettre les grains dans une assiette creuse, les arroser de rhum et laisser macérer
Fouetter le fromage blanc pour avoir un fromage blanc lisse
Dans un bol, verser le miel et mélanger avec les zestes d’oranges confites coupés en petits morceauxRepartir le mélange dans 4 verres et mettre au réfrigérateur 30 mn
Sortir les verres du réfrigérateur ajouter le fromage blanc et par dessus les raisins
Remettre au réfrigérateur. Servir bien frais
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L'halimiocistus appartient à la famille des Cistacées. Il a été obtenu par croisement entre les genres Halinium et Cistus. C'est la raison de sa grande ressemblance avec la famille des cistes dont il a quasiment le même feuillage vert clair ou duveteux, et les mêmes fleurs légères à 5 pétales, bien ouvertes sur un cœur d'étamines jaunes. La différence se situe au niveau des dimensions de cet arbuste, plus petit que la majorité des cistes.
Son port assez touffu sur 0,80 à 1 m de large commence par monter en dôme puis s'arrondit et devient plus lâche pour couvrir davantage de surface sur une hauteur maximale de 0,50 à 0,60 m. Il s'étale donc en couvre-sol au bout de 2 à 3 ans de culture.
Les fleurs sont blanches. Elles se renouvellent tout au long du printemps ou de l'été selon les espèces.
En dehors de la longue floraison estivale, le feuillage a également un effet décoratif que l'on peut utiliser en massif, le long des allées, en rocaille ou en bac sur terrasse et balcon.
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L'automne est arrivé
Les feuilles des platanes de la petite place commencent à jaunir ,en attendant ma fille qui postait le courrier j'en ai profité pour les photographier, nous ne voyons pas tellement la différence car il y a beaucoup de résineux dans la région et peu d'arbres caduques.Sur le chemin du retour ma fille m'a arrêtée au début de la rue qui va chez nous pour que je fasse le reste à pied pour me promener.
Arrivée à mi-chemin,
je me retourne pour photographier la rue en sens inverse
je reprends mon chemin
Me voici arrivé à l'entrée de la résidence, il y a un grenadier
et à côté un magnolia
ensuite j'arrive au parking des grands immeubles
la petite côte est monté j'arrive bientôt au bout de ma promenade
Voici les petites maisons qui finissent l'impasse
la petite place qui se trouve juste devant chez nous..
La promenade se termine là...
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Septembre que j'affectionne
Septembre se nomme, le Mai de l'automne
Et ce n'est pas sans raison que je l'affectionne.
La température s'adoucit, dans nos contrées
Pour permettre à l'automne de faire son entrée
Dans un étalage de couleurs dorées et chaudes
Afin d'envoyer l'été bouler, d'une chiquenaude.
La pluie bénéfique refait son apparition,
Rafraîchissante véritable bénédiction.
On a l'impression, que la nature en souffrance
Avant de s'endormir ramène l'abondance
En ajoutant diverses touches de vert,
Dans les prés et les vallons, avant l'hiver.
Et, les grappes de raisin sur les ceps de vigne,
Arrivées à maturité, restent le signe
Que l'heure des vendanges vient de sonner
Et qu'elles sont, enfin prêtes à se donner.
Septembre se nomme, le Mai de l'automne
Et ce n'est pas sans raison que je l'affectionne.Dominique Sagne.
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Perriers-sur-Andelle est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normande.
Vous y découvrirez :
L'église romane Saint-Étienne (XIe, XIIIe et XIVe siècles).
L'édifice actuel est une vaste construction cruciforme en silex d'origine romane. A la fin du 11 e siècle appartiennent le plan de l'édifice, le transept, la tour clocher sur la croisée du transept et les murs de la nef. Les contreforts de la nef ont été ajoutés au 13 e siècle. La façade occidentale a été reconstruite après 1868 par l'architecte Simon, dans le style du 13 e siècle, comme les baies de la nef. Au 14e siècle, la croisée a été voûtée d'ogives et le choeur doté d'un chevet plat. A l'intérieur, la nef est couverte en charpente avec entraits et poinçons apparents, sablières moulurées et décor peint de la fin du 16e siècle. Dans le choeur se trouve un retable du 18 e siècle peint et doré, et une grande verrière du 19 e siècle due à Duhamel Marette.
Le Calvaire (devant l'église) dont le socle en pierre est de 1679Le manoir, dit de Colmont, a été inscrit en tant que monument historique le 29 septembre 2000. La protection comprend le logis, le terrain du manoir, sa clôture et les dépendances. Le site de Perriers est mentionné au milieu du XIe siècle, lorsque Guillaume, comte d'Arques, fait don de la paroisse et de terres à l'abbaye Saint-Ouen de Rouen. Un manoir est évoqué dès le XIIe siècle, ainsi qu'une chapelle. La construction du logis actuel, selon un plan rectangulaire, pourrait dater de la fin du XVe siècle et permettait d'assurer la gestion du domaine agricole. L'édifice repose sur un soubassement en damier de grès et de silex et est couronné par une haute toiture en ardoises. Le manoir se distingue par ses magnifiques façades en briques polychromes formant des motifs de chevrons et de croisillons. La pierre de taille est aussi employée pour les chaînes d'angle harpées, la corniche et les encadrements de baies. De nombreux aménagements tant intérieurs qu'extérieurs ont été conservés tels que les baies à meneaux, un escalier à vis ou la bretèche au dessus du portail d'entrée orné d'un écu. Le manoir est accompagné de dépendances des XVIe (pressoirs, étables), XVIIe (cellier,colombier octogonal) et XIXe siècles (grange). Ces bâtiments reprennent un langage similaire au logis (matériaux, mise en œuvre) avec un usage ponctuel de pans de bois. Le domaine appartenait toujours à l'abbaye Saint-Ouen lorsqu'il fut vendu comme bien national en 1791. Le manoir est demeuré une exploitation agricole jusqu'à son acquisition par la commune en 1996.
Le manoir, en plus des dépendances et de l'église, forme un superbe ensemble patrimonial au cœur du village. Bien mis en valeur, les édifices possèdent un cadre rural valorisant avec les berges de l'Andelle. La qualité architecturale est à préserver autour de ces monuments
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Bernard Guédon est né à Angoulême en 1963 et a grandi dans la campagne boisée du sud Charente, en limite de la Haute Saintonge et de la Dordogne.??Le milieu paysan de son enfance lui a permis d'être en contact régulier avec la nature et les animaux et c'est vers l'âge de 10 ans qu'il a délaissé les crayons de couleur pour la peinture à l'huile en peignant ses premières natures mortes qui sont depuis restées accrochées aux murs de la maison familiale de son enfance.
Très attaché au respect du vivant et de la sensibilité animale mais également passionné d'escalade et de randonnées en montagne, il excelle à représenter les vieux arbres, la montagne et la faune avec un réalisme étonnant qui fait de lui un peintre naturaliste accompli dont l'oeuvre présente quelques similitudes avec celles d'artistes de renommée outre Atlantique comme Robert Bateman, ou plus proche de nous comme Manuel Sosa.
C'est en autodidacte que Bernard Guédon peint à l'huile et à l'acrylique dans le calme de son atelier en s'inspirant de ses nombreuses photos et croquis pris sur le vif dans la nature ou parfois en parc animalier ,ses paysages de brume sont inondés de lumière et l'animal y est parfois simplement suggéré ou de passage.
Son objectif est de représenter une ambiance qu'il a vécu et ressenti dans un coin de nature, une vie croisée au détour d'un chemin qui peut très bien être le sommet d'une montagne après plusieurs jours de marche et sans le ( trop encombrant ) matériel du peintre.
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Alain-Fournier, pseudonyme d'Henri-Alban Fournier, né le 3 octobre 1886 à La Chapelle-d'Angillon dans le Cher et tué au combat le 22 septembre 1914 (à 27 ans) à Saint-Remy-la-Calonne, est un écrivain français, dont l’œuvre la plus célèbre est Le Grand Meaulnes (1913)
Il est l'ami d'enfance de l'homme de lettres Jacques Rivière, qui épousera plus tard sa soeur cadette, Isabelle. Chroniqueur littéraire puis secrétaire de l'ancien président de la République Claude Casimir-Périer, il est également écrivain. En 1913, il publie "Le Grand Meaulnes" qui rate d'une seule voix le prix Goncourt. Écrit à la Belle Époque, son roman reprend de nombreux détails de sa vie, du décor de sa jeunesse dans le Berry et de son premier amour, une certaine Yvonne de Quièvrecourt. "Le Grand Meaulnes" est l'unique roman d'Alain-Fournier achevé et publié de son vivant.
Lieutenant de réserve durant la Seconde Guerre mondiale, Alain Fournier est mobilisé dès le 4 août 1914. Quittant le Pays basque, il écrit à sa soeur : "Je pars content". Deux mois après, le 22 septembre 1914, le jeune écrivain âgé de seulement 27 ans est porté disparu dans les Hauts de Meuse avec 20 autres de ses compagnons. Son second roman, "Colombe Blanchet" restera inachevé.
En 1924, des nouvelles et poèmes écrits par Alain Fournier sont rassemblés sous le titre "Miracles" et publiés à l'initiative de Jacques Rivière.
Mort pour la France, Alain-Fournier a été nommé chevalier de la Légion d'honneur et décoré de la Croix de guerre avec palme, à titre posthume.
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Ingrédients
3 oeufs
500 g de fromage blanc
100 g de sucre
90 g de farine
Préparation:Allumer le four sur 180°C
Mélanger dans une saladier le fromage blanc et le sucre. Séparer les blancs des jaunes d'oeufs. Incorporer les jaunes d’œufs au mélange fromage blanc / sucre.
Ajouter la farine et mélanger.Ajoutez les zestes de citron, ou la vanille.
Montez les blancs en neige très ferme, et les incorporer délicatement au mélange.
Verser la préparation fromage blanc, sucre oeuf dans un moule à charnière de 20 cm de diamètre environ, préalablement beurré ou tapissé de graisse à la bombe.
Mettre le gâteau au four à 180°C pendant 30 min.Sortir du four et laisser refroidir 1 heure avant de démouler
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