• La montagne Sainte Victoire et Paul Cezanne

    La montagne Sainte Victoire et Paul Cezanne

     

    Ce sommet, Cézanne va l’atteindre dans la dernière partie de son œuvre. Fasciné par cette muse aux rondeurs exigeantes, il résoud une à une les contradictions inhérentes à son désir de représenter objectivement la réalité de la nature tout en restant fidèle aux sensations fluctuantes. Le face à face entre Sainte Victoire et sa palette se métamorphose en épopée sublime.

     

    La montagne Sainte Victoire et Paul Cezanne

    La montagne Sainte Victoire et Paul Cezanne

    La montagne Sainte Victoire et Paul Cezanne

    La montagne Sainte Victoire et Paul Cezanne

    La montagne Sainte Victoire et Paul Cezanne

    La montagne Sainte Victoire et Paul Cezanne

    La montagne Sainte Victoire et Paul Cezanne

    La montagne Sainte Victoire et Paul Cezanne

    La montagne Sainte Victoire et Paul Cezanne

    La montagne Sainte Victoire et Paul Cezanne

    La montagne Sainte Victoire et Paul Cezanne

    La montagne Sainte Victoire et Paul Cezanne

    La montagne Sainte Victoire et Paul Cezanne

    La montagne Sainte Victoire et Paul Cezanne

    La montagne Sainte Victoire et Paul Cezanne

     

    Pour lui, donc, un tableau n’est pas une image, c’est un objet avec son poids de matière, sa fermeté, sa structure particulièrement sensible dans « la Montagne Sainte Victoire vue des Lauves », une toile terminée quelques mois avant sa mort. Comme dans les précédentes, plusieurs espaces y sont contenus. Au premier plan, la plaine, entre les Lauves et la Sainte Victoire, s’étale comme un canapé douillet. Instinctivement, on devine qu’un un spectacle éblouissant nous attend.

     

    La montagne Sainte Victoire et Paul Cezanne

    La montagne Sainte Victoire et Paul Cezanne

    La montagne Sainte Victoire et Paul Cezanne

    La montagne Sainte Victoire et Paul Cezanne

    La montagne Sainte Victoire et Paul Cezanne

    La montagne Sainte Victoire et Paul Cezanne

    La montagne Sainte Victoire et Paul Cezanne

     

    Les noirs, les bruns, les verts et les violets dessinent leurs arabesques joyeuses sur un plan vertical destiné à lever le rideau sur une autre scène. Soudain, comme par magie, Cézanne fait surgir dans un décrochement de bleu fantastique, la montagne Sainte Victoire. Entre temps, un ange est passé. En effet, une tache de lumière chaude enfouie au centre du tableau indique clairement la présence indissoluble du soleil. Astre bienveillant, irradiant de bonté les éléments constitutifs du paysage.

      

    La montagne Sainte Victoire et Paul Cezanne

    La montagne Sainte Victoire et Paul Cezanne

    La montagne Sainte Victoire et Paul Cezanne

    La montagne Sainte Victoire et Paul Cezanne

    La montagne Sainte Victoire et Paul Cezanne

    La montagne Sainte Victoire et Paul Cezanne

    La montagne Sainte Victoire et Paul Cezanne

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    La montagne Sainte Victoire et Paul Cezanne

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  • Peinture de : Nicholas Watts

    Peinture de : Nicholas Watts

     

    Nicholas Watts est un artiste peintre britannique réputé et très talentueux né à Tunbridge dans la région du Kent en Angleterre en 1947.

     

    Peinture de : Nicholas Watts

    Peinture de : Nicholas Watts

    Peinture de : Nicholas Watts

    Peinture de : Nicholas Watts

    Peinture de : Nicholas Watts

    Peinture de : Nicholas Watts

     

    C'est un artiste pratiquement autodidacte qui dès son plus jeune âge était fasciné l’aviation en raison de la proximité de son domicile d’une base de la Royal Air Force. C’est donc en dessinant très jeune des Spitfire, des Hurricanes et autres gloires de la seconde guerre mondiale qu’il s’entraîne au dessin ....

     

    Peinture de : Nicholas Watts

    Peinture de : Nicholas Watts

    Peinture de : Nicholas Watts

    Peinture de : Nicholas Watts

    Peinture de : Nicholas Watts

    Peinture de : Nicholas Watts

    Peinture de : Nicholas Watts

     

    N’habitant pas loin non plus du circuit de Brands Hatch, Nicholas Watts se passionne pour les courses automobiles. Après un cursus scolaire plutôt classique il va tout naturellement se tourner dans cette voie en étudiant l'automobile à fond, y compris sa structure, sa forme et sa fonction.

     

    Peinture de : Nicholas Watts

    Peinture de : Nicholas Watts

    Peinture de : Nicholas Watts

    Peinture de : Nicholas Watts

    Peinture de : Nicholas Watts

    Peinture de : Nicholas Watts

    Peinture de : Nicholas Watts

     

    Au fil des années, Nicholas a réussi à se construire un univers particulier car ses peintures se consacrent à maîtriser l'art de capturer une brève seconde dans le temps, non seulement à travers l'événement et l'environnement local, mais aussi l'aspect émotionnel

     

    Peinture de : Nicholas Watts

    Peinture de : Nicholas Watts

    Peinture de : Nicholas Watts

    Peinture de : Nicholas Watts

    Peinture de : Nicholas Watts

    Peinture de : Nicholas Watts

    Peinture de : Nicholas Watts

     

    Peinture de : Nicholas Watts

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  • 14 octobre 1952 : inauguration de la  " cité radieuse "  à Marseille

     

    La reconstruction de l'après-guerre fut propice à l'urbanisme et permit à quelques architectes de premier plan de mettre en pratique leur volonté d'ériger des constructions plus modernes et plus rationnelles (Auguste Perret au Havre, Le Corbusier à Marseille).

     

    14 octobre 1952 : inauguration de la  " cité radieuse "  à Marseille

    14 octobre 1952 : inauguration de la  " cité radieuse "  à Marseille

     

    Le Corbusier s'était fait connaître dans l'entre-deux-guerres en élaborant les principes d'un urbanisme fonctionnaliste et d'une architecture de masse (il fut notamment l'un des principaux rédacteurs de la Charte d'Athènes en 1934 codifiant les principes d'une architecture moderne). Ayant à plusieurs reprises sollicité les pouvoirs publics pour se voir confier des commandes de grands chantiers, il obtient finalement du gouvernement en 1946 la réalisation d'un ensemble d'habitations à Marseille, ce qui lui permettra de mettre en pratique ses idées d'organisation spatiale et sociale.

     

    14 octobre 1952 : inauguration de la  " cité radieuse "  à Marseille

    14 octobre 1952 : inauguration de la  " cité radieuse "  à Marseille

    14 octobre 1952 : inauguration de la  " cité radieuse "  à Marseille

    14 octobre 1952 : inauguration de la  " cité radieuse "  à Marseille

    14 octobre 1952 : inauguration de la  " cité radieuse "  à Marseille

    14 octobre 1952 : inauguration de la  " cité radieuse "  à Marseille

    14 octobre 1952 : inauguration de la  " cité radieuse "  à Marseille

    14 octobre 1952 : inauguration de la  " cité radieuse "  à Marseille

    14 octobre 1952 : inauguration de la  " cité radieuse "  à Marseille

    14 octobre 1952 : inauguration de la  " cité radieuse "  à Marseille

    14 octobre 1952 : inauguration de la  " cité radieuse "  à Marseille

    14 octobre 1952 : inauguration de la  " cité radieuse "  à Marseille

     

    La construction de la "Cité radieuse" est terminée en 1952 : il s'agit aux yeux de Le Corbusier d'une cité-jardin "verticale", rassemblant en un même immeuble 347 appartements, et offrant à chaque famille indépendance et services communs. Cette réalisation ne créa cependant pas l'unanimité et les détracteurs de Le Corbusier surnommeront cette construction "la maison du fada".


    Fabrice Grenard

     

    14 octobre 1952 : inauguration de la  " cité radieuse "  à Marseille

    14 octobre 1952 : inauguration de la  " cité radieuse "  à Marseille 

    14 octobre 1952 : inauguration de la  " cité radieuse "  à Marseille

    14 octobre 1952 : inauguration de la  " cité radieuse "  à Marseille

    14 octobre 1952 : inauguration de la  " cité radieuse "  à Marseille

    14 octobre 1952 : inauguration de la  " cité radieuse "  à Marseille

    14 octobre 1952 : inauguration de la  " cité radieuse "  à Marseille

    14 octobre 1952 : inauguration de la  " cité radieuse "  à Marseille

     

    14 octobre 1952 : inauguration de la  " cité radieuse "  à Marseille

     

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  • Gâteau de floraline aux raisins secs

     

    Ingrédients

     

    1 litre de lait
    3 oeufs
    100 g de raisins secs
    150 g de semoule de blé
    30 g de beurre
    150 g de sucre en poudre
    1 sachet de sucre vanillé
    Rhum

     

    Préparation

     

    Mettre à macérer les raisins secs dans du rhum.
    Verser le lait dans une casserole, ajouter le beurre, le sucre vanillé et le sucre en poudre. Porter à ébullition, verser la semoule en pluie et tourner vivement au fouet.
    Laisser cuire à feu doux 10 à 15 minutes, sans cesser de remuer jusqu'à que la préparation s'épaississe. Retirer du feu et laisser refroidir.
    Casser les oeufs, les battre en omelette et les incorporer à la semoule. Ajouter les raisins secs (égouttés) et bien mélanger.
    Beurrer un moule à manqué, y mettre la préparation et mettre au four 30 à 35 minutes à 180°C (thermostat 6).

     

    Gâteau de floraline aux raisins secs

     

    Gâteau de floraline aux raisins secs

     

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  • Fleurs cultivées : Diascia

     

    Le diascia appartient à la famille des Scrofulariacées. Il est originaire d’Afrique du Sud, du Lesotho et du Kwazulu Natal. Toujours appelée par son nom latin, cette plante est connue sous les deux appellations diascia ou diasca.

     

    Fleurs cultivées : Diascia

    Fleurs cultivées : Diascia

    Fleurs cultivées : Diascia

    Fleurs cultivées : Diascia

     

    Le diascia est considéré comme une plante annuelle ou une vivace dans les climats doux. Son feuillage persistant ou semi-persistant se compose de petites feuilles vertes droites ou en forme de cœur. De mai à novembre, il produit de très nombreuses petites fleurs en grappes, non parfumées, aux couleurs tendres : rose, rouge, abricot, jaune ou blanc. Leur gorge possède deux éperons de taille variable, situés au fond.

     

    Fleurs cultivées : Diascia

    Fleurs cultivées : Diascia

    Fleurs cultivées : Diascia

    Fleurs cultivées : Diascia

     

    Le diascia se cultive en pleine terre et en pot, en isolé ou mélangé à d’autres espèces. Compte tenu de son port buissonnant, érigé ou retombant, il s’utilise aussi bien en massif, en plate-bande, en couvre-sol, dans une rocaille, en jardinière, en composition ou en suspension.

     

    Fleurs cultivées : Diascia

    Fleurs cultivées : Diascia

    Fleurs cultivées : Diascia

    Fleurs cultivées : Diascia

     

    Fleurs cultivées : Diascia

    Fleurs cultivées : Diascia

     

    Variétés

     

    - Diascia barberae : Hauteur : 20 à 30 cm. Floraison : juin à novembre
    Végétation dense, vigoureuse, étalée. Fleurs roses, aux éperons bien marqués.

    Fleurs cultivées : Diascia

    - Ruby Field : grandes fleurs rose foncé.

    Fleurs cultivées : Diascia

    - Blackthorn Apricot : floraison abricot nuancé de saumon.

    Fleurs cultivées : Diascia


    Diascias hybrides

     

    -‘Blue Bonnet’ : 40 cm, des fleurs presque bleues ! Les pétales rosés ont des reflets ardoise.

    Fleurs cultivées : Diascia

    - ‘Iceberg’ : 20 à 30 cm, grandes fleurs blanches.

    Fleurs cultivées : Diascia

    - ‘Red Ace’ : 20 à 30 cm, fleurs rouge cerise à végétation retombante.

    Fleurs cultivées : Diascia

     

    Fleurs cultivées : Diascia

     

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  • Les soeurs jumelles: place Ducale et place des Vosges

     

    La place Ducale est la place principale de Charleville-Mézières. Construite en 1606 par Clément Métezeau, elle est aussi la sœur jumelle de la place des Vosges à Paris.

     

    Les soeurs jumelles: place Ducale et place des Vosges

    Les soeurs jumelles: place Ducale et place des Vosges

    Les soeurs jumelles: place Ducale et place des Vosges

    Les soeurs jumelles: place Ducale et place des Vosges

    Les soeurs jumelles: place Ducale et place des Vosges

    Les soeurs jumelles: place Ducale et place des Vosges

     

    C'est grâce à l'effort financier de Charles de Gonzague, neveu d'Henri IV, duc de Nevers et du duc de Rethel, gouverneur de la Champagne, que la place a vu le jour.

     

    Les soeurs jumelles: place Ducale et place des Vosges

     

    La place Ducale est un rectangle de 127 mètres de long et large de 90 mètres, dotée de 27 pavillons de style Henri IV ou Louis XIII obéissant à la règle de 4 : 4 travées, 4 baies à chaque étage, 4 lucarnes et 4 oculi sur le toit..

     

    Les soeurs jumelles: place Ducale et place des Vosges

    Les soeurs jumelles: place Ducale et place des Vosges

    Les soeurs jumelles: place Ducale et place des Vosges

    Les soeurs jumelles: place Ducale et place des Vosges

    Les soeurs jumelles: place Ducale et place des Vosges

    Les soeurs jumelles: place Ducale et place des Vosges

    Les soeurs jumelles: place Ducale et place des Vosges

    Les soeurs jumelles: place Ducale et place des Vosges


    Initialement pavée, elle est ensuite longtemps recouverte par du goudron pour être repavée en 1999. L'élément central a également souvent été modifié : une fontaine jusqu'en 1899 qui laisse sa place à une statue représentant Charles de Gonzague. La place est classée monument historique en 1936.

     

    Les soeurs jumelles: place Ducale et place des Vosges

    Les soeurs jumelles: place Ducale et place des Vosges

     

    La statue de Charles de Gonzague a été à nouveau déplacée en 1999 afin d'y mettre une copie de la fontaine originale.

     

    Les soeurs jumelles: place Ducale et place des Vosges

     

    La similitude des deux places vient du fait que leurs architectes étaient frères : Louis Métezeau en 1607 pour Paris et Clément Métezeau en 1606. La principale différence des deux places vient du fait que la place de Charleville ne possède aucun terre-plein central. Dans la place Ducale, il n'y a que de la pierre, contrairement à la place des Vosges, où furent planté des arbres

     

    Les soeurs jumelles: place Ducale et place des Vosges

    Les soeurs jumelles: place Ducale et place des Vosges

    Les soeurs jumelles: place Ducale et place des Vosges

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    Les soeurs jumelles: place Ducale et place des Vosges

    Les soeurs jumelles: place Ducale et place des Vosges

    Les soeurs jumelles: place Ducale et place des Vosges

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  • Faiencerie de Longwy ( Meurthe et Moselle)

    Faiencerie de Longwy ( Meurthe et Moselle)

     

    Célèbre par sa puissante empreinte sur l’industrie de la céramique, la famille Boch est à l’origine de la fondation en 1798 de la Faïencerie de Longwy dans un ancien couvent.

     

    Faiencerie de Longwy ( Meurthe et Moselle)

    Faiencerie de Longwy ( Meurthe et Moselle)

    Faiencerie de Longwy ( Meurthe et Moselle)

    Faiencerie de Longwy ( Meurthe et Moselle)

    Faiencerie de Longwy ( Meurthe et Moselle)

    Faiencerie de Longwy ( Meurthe et Moselle)

    Faiencerie de Longwy ( Meurthe et Moselle)

     

    Sa production gagnera en renommée après la visite de l’Empereur Napoléon 1 er qui commandera à Longwy les services de table destinés aux Maisons Impériales de la Légion d’Honneur. En 1835, la famille d’Huart devient propriétaire de la faïencerie et la fera prospérer durant tout le 19 ème siècle.

     

    Faiencerie de Longwy ( Meurthe et Moselle)

    Faiencerie de Longwy ( Meurthe et Moselle)

     

    Vers 1870, en pleine époque orientaliste et pour riposter aux importations croissantes en provenance du Japon et de Chine, on fait venir à Longwy le directeur même des usines du Mikado, l’italien Amédée de Carenza qui apporte avec lui ses idées exclusives : prenant pour modèle les émaux métalliques trouvés en Chine et au Japon, de Carenza imagine leur équivalent céramique : les premiers émaux de Longwy sont nés et leur renommée ira grandissant.

     

    Faiencerie de Longwy ( Meurthe et Moselle)

    Faiencerie de Longwy ( Meurthe et Moselle)

    Faiencerie de Longwy ( Meurthe et Moselle)

    Faiencerie de Longwy ( Meurthe et Moselle)

    Faiencerie de Longwy ( Meurthe et Moselle)

    Faiencerie de Longwy ( Meurthe et Moselle)

    Faiencerie de Longwy ( Meurthe et Moselle)

     

    A la même époque, la faïencerie continue à produire des faïences “d’usage” aux motifs de fleurs et d’oiseaux.

    Vers 1918, le style Art Déco, au travers de la collaboration avec Printemps-Primavera, marque une période féconde dont le point culminant sera la participation à l’exposition des Arts Décoratifs de 1925. Ce style passera ensuite lentement de mode pour disparaître à la fin des années 30

     

    Faiencerie de Longwy ( Meurthe et Moselle)

    Faiencerie de Longwy ( Meurthe et Moselle)

    Faiencerie de Longwy ( Meurthe et Moselle)

    Faiencerie de Longwy ( Meurthe et Moselle)


    Après une période de sommeil, la faïencerie a travaillé, au cours des vingt dernières années, à un renouveau profond des formes et des décors. Des relations se sont créées avec de nombreux artistes et designers contemporains apportant un nouveau souffle au sein de cette vénérable maison.

    Depuis plus d’un siècle, Longwy détient l’exclusivité des émaux cloisonnés sur faïence. Toutes les pièces issues de notre maison portent le tampon historique et sont accompagnées d’un certificat d’origine. La faïencerie a entamé son troisième siècle d’existence en 1998.

     

    Faiencerie de Longwy ( Meurthe et Moselle)

    Faiencerie de Longwy ( Meurthe et Moselle)

    Faiencerie de Longwy ( Meurthe et Moselle)

    Faiencerie de Longwy ( Meurthe et Moselle)

    Faiencerie de Longwy ( Meurthe et Moselle)


    En 2015, l’histoire de la Manufacture continue grâce au groupe Emblem. L’ambition est à la préservation des savoir-faire, au renouveau de la création et à la reconquête des marchés internationaux.

     

    Faiencerie de Longwy ( Meurthe et Moselle)

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  • Peinture de : Nicky Boehme

     

    Nicky Boehme est une artiste peintre illustratrice née et élevée un Californie

     

    Peinture de : Nicky Boehme

    Peinture de : Nicky Boehme

    Peinture de : Nicky Boehme

    Peinture de : Nicky Boehme

    Peinture de : Nicky Boehme

    Peinture de : Nicky Boehme

    Peinture de : Nicky Boehme

    Peinture de : Nicky Boehme

     

    Elle a toujours su que la peinture était sa vocation.

     

    Peinture de : Nicky Boehme

    Peinture de : Nicky Boehme

    Peinture de : Nicky Boehme

    Peinture de : Nicky Boehme

    Peinture de : Nicky Boehme

    Peinture de : Nicky Boehme

    Peinture de : Nicky Boehme

    Peinture de : Nicky Boehme

     

    Depuis son enfance elle a aimé le dessin et la peinture

     

    Peinture de : Nicky Boehme

    Peinture de : Nicky Boehme

    Peinture de : Nicky Boehme

    Peinture de : Nicky Boehme

    Peinture de : Nicky Boehme

    Peinture de : Nicky Boehme

    Peinture de : Nicky Boehme

    Peinture de : Nicky Boehme

     

    Elle a reçu de nombreux prix pour son art, gravures et affiches comme illustratrice et graphiste.

     

    Peinture de : Nicky Boehme

    Peinture de : Nicky Boehme

    Peinture de : Nicky Boehme

    Peinture de : Nicky Boehme

    Peinture de : Nicky Boehme

    Peinture de : Nicky Boehme

    Peinture de : Nicky Boehme

     

    Les peintures de Boehme Nicky vous transportent dans une aventure romantique ,un petit port distant ,un ruisseau de montagne ou un paysage de neige

     

    Peinture de : Nicky Boehme

    Peinture de : Nicky Boehme

    Peinture de : Nicky Boehme

    Peinture de : Nicky Boehme

    Peinture de : Nicky Boehme

    Peinture de : Nicky Boehme

    Peinture de : Nicky Boehme

     

    Peinture de : Nicky Boehme

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  • 9 octobre 1949 : Salon de l'Automobile

    9 octobre 1949 : Salon de l'Automobile

     

    Le Salon de l'Automobile fête son cinquantième anniversaire en octobre 1948, au Grand Palais à Paris, et est inauguré par le président de la République Vincent Auriol.

     

    9 octobre 1949 : Salon de l'Automobile

    9 octobre 1949 : Salon de l'Automobile

     

    Ce Salon est surtout marqué par le lancement de la 2 CV Citroën, qui éclipse les autres nouveaux modèles automobiles. Réalisée après dix ans d'études, cette automobile s'inscrit dans la continuité de la 4 CV Renault présentée au Salon de l'automobile 1946, à savoir un véhicule utilitaire destiné à tous les Français quels que soient leurs revenus.

     

    9 octobre 1949 : Salon de l'Automobile

    9 octobre 1949 : Salon de l'Automobile

    9 octobre 1949 : Salon de l'Automobile

     

    Le cahier des charges de la 2 CV précisait qu'il fallait construire "quatre roues sous un parapluie", "une voiture devant transporter deux cultivateurs en sabots, 50 kilos de pommes de terre, un panier d'oeufs sans les casser, le tout à 60 km/h et pour trois litres au cent". Pierre-Jules Boulanger, son concepteur, organise une mise en scène théâtrale pour sa première présentation au public au Salon de l'Automobile le 7 octobre 1948 : la 2 CV est introduite de nuit dans le Grand Palais. Elle étonne et intrigue la plupart des visiteurs, et de nombreux commentaires sont de prime abord railleurs.

     

    9 octobre 1949 : Salon de l'Automobile

    9 octobre 1949 : Salon de l'Automobile

    9 octobre 1949 : Salon de l'Automobile

    9 octobre 1949 : Salon de l'Automobile

     

    Pourtant dès sa mise en vente en juillet 1949, la 2 CV connaît un succès foudroyant, répondant à une réelle attente des Français. La production atteint en 1950 les 400 pièces par jour. Mais cela ne suffit pas : en 1952 vingt mois d'attente sont nécessaires pour pouvoir en acquérir une, et les 2 CV d'occasion se vendent plus cher que les neuves. Le déclin de la 2 CV s'amorce cependant dans les années 1960, notamment face au lancement de la R 4 par Renault en octobre 1961.

     

    9 octobre 1949 : Salon de l'Automobile

    9 octobre 1949 : Salon de l'Automobile

    9 octobre 1949 : Salon de l'Automobile

    9 octobre 1949 : Salon de l'Automobile

     

    Ce n'est pourtant que le 27 juillet 1990 que la dernière 2 CV est produite par les usines Citroën, soit une longévité de 42 ans, ce qui est exceptionnel pour une automobile. Jusqu'à son retrait du marché, plus de 3,8 millions d'exemplaires ont ainsi été vendus. La 2 CV apparaît donc comme l'une des plus grandes réussites de l'industrie automobile française et, voiture populaire par excellence, elle a accédé au rang de véritable mythe.

     

    9 octobre 1949 : Salon de l'Automobile

    9 octobre 1949 : Salon de l'Automobile

    9 octobre 1949 : Salon de l'Automobile

    9 octobre 1949 : Salon de l'Automobile

     

    9 octobre 1949 : Salon de l'Automobile

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