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Par chezmamielucette le 8 Octobre 2018 à 00:00
Nicky Boehme est une artiste peintre illustratrice née et élevée un Californie
Elle a toujours su que la peinture était sa vocation.
Depuis son enfance elle a aimé le dessin et la peinture
Elle a reçu de nombreux prix pour son art, gravures et affiches comme illustratrice et graphiste.
Les peintures de Boehme Nicky vous transportent dans une aventure romantique ,un petit port distant ,un ruisseau de montagne ou un paysage de neige
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Par chezmamielucette le 7 Octobre 2018 à 00:00
Le Salon de l'Automobile fête son cinquantième anniversaire en octobre 1948, au Grand Palais à Paris, et est inauguré par le président de la République Vincent Auriol.
Ce Salon est surtout marqué par le lancement de la 2 CV Citroën, qui éclipse les autres nouveaux modèles automobiles. Réalisée après dix ans d'études, cette automobile s'inscrit dans la continuité de la 4 CV Renault présentée au Salon de l'automobile 1946, à savoir un véhicule utilitaire destiné à tous les Français quels que soient leurs revenus.
Le cahier des charges de la 2 CV précisait qu'il fallait construire "quatre roues sous un parapluie", "une voiture devant transporter deux cultivateurs en sabots, 50 kilos de pommes de terre, un panier d'oeufs sans les casser, le tout à 60 km/h et pour trois litres au cent". Pierre-Jules Boulanger, son concepteur, organise une mise en scène théâtrale pour sa première présentation au public au Salon de l'Automobile le 7 octobre 1948 : la 2 CV est introduite de nuit dans le Grand Palais. Elle étonne et intrigue la plupart des visiteurs, et de nombreux commentaires sont de prime abord railleurs.
Pourtant dès sa mise en vente en juillet 1949, la 2 CV connaît un succès foudroyant, répondant à une réelle attente des Français. La production atteint en 1950 les 400 pièces par jour. Mais cela ne suffit pas : en 1952 vingt mois d'attente sont nécessaires pour pouvoir en acquérir une, et les 2 CV d'occasion se vendent plus cher que les neuves. Le déclin de la 2 CV s'amorce cependant dans les années 1960, notamment face au lancement de la R 4 par Renault en octobre 1961.
Ce n'est pourtant que le 27 juillet 1990 que la dernière 2 CV est produite par les usines Citroën, soit une longévité de 42 ans, ce qui est exceptionnel pour une automobile. Jusqu'à son retrait du marché, plus de 3,8 millions d'exemplaires ont ainsi été vendus. La 2 CV apparaît donc comme l'une des plus grandes réussites de l'industrie automobile française et, voiture populaire par excellence, elle a accédé au rang de véritable mythe.
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Par chezmamielucette le 6 Octobre 2018 à 00:00
Ingrédients pour 4 personnes :
400 gr fromage blanc
6 poires
3 cuill. à soupe de sucre en poudre
100 g de crème de marrons
6 à 8 palets bretonsPréparation :
Peler les poires et les couper en gros dès.
Mettre les poires et le sucre dans une poêle et laisser cuire une quinzaine de minutes à feu doux (les poires doivent être tendre) puis laisser refroidir.
Émietter les palets bretons.
Déposer une couche de biscuits émiettés au fond de chaque verrine.
Déposer une couche de poires par dessus, puis une couche de fromage blanc.
Déposer par dessus une couche de crème de marrons, recouvrir d’une couche de fromage blanc.
Continuer avec une deuxième couche de poires puis recouvrir de fromage blanc.
Ajouter enfin un peu de crème de marrons.
Réserver au frais jusqu’au moment de servir.
Au dernier moment saupoudrer les verrines de biscuits émiettés et décorer avec un cube de poire.
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Par chezmamielucette le 5 Octobre 2018 à 00:00
Le pied d'alouette est représenté sous une multitude de formes et de couleurs dans la gamme des bleus, avec plus de 400 espèces différentes.
Les appellations Delphinium et dauphinelle proviennent de la forme des hampes florales similaires à celles d'un dauphin. La majorité de ces plantes sont vivaces, mais on peut également trouver des pieds d'alouette annuels ou bisannuels. Ses racines sont charnues, fibreuses ou tubéreuses, selon les espèces. La rusticité du delphinium est excellente.
Regroupées sous forme de panicules ou de grappes étirées, les fleurs sont idéales pour la conception de bouquets.Ces hampes florales portent des épis de fleurs comptant 5 pétales, accompagnées d'un éperon allongé, dans un large éventail de bleus.
Les feuilles palmées constituent une touffe , elles sont très découpées en 3 à 7 lobes, et dentées.
Toutes les parties du pied d'alouette sont toxiques pouvant provoquer des troubles digestifs ou des irritations simplement par contact.
Famille : Renonculacées
Type : vivace
Origine : Asie
Couleur de la fleur : bleu, violet, rose, blanc
Semis : oui
Bouture : oui
Plantation : printemps ou automne
Floraison : juin à octobre
Hauteur : jusqu'à 1,8 m
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Par chezmamielucette le 4 Octobre 2018 à 00:00
Caux est facilement reconnaissable : il est sur une colline surmontée par son étonnant clocher-porche appartenant à L’église Saint-Gervais-Saint-Protais et entourée par des vignes. Il s’agit d’une petite commune viticole de 2600 habitants dont les origines remontent à la préhistoire.
De son héritage médiéval, Caux a conservé d’importants vestiges chargés de poésie. La ville a conservé des vestiges des remparts qui entouraient le fort au XII ème siècle.
Vous pourrez déambuler dans le centre ancien pour voir corniches moulurées, fenêtres à meneaux, linteaux de portes en contre-courbe, porte à bossages,…, qui forment un décor que l’imagination peuple de chevaliers et d’accortes servantes mais aussi de savetiers, bourreliers ou tisserands, de fileuses, repasseuses et brodeuses, de maréchaux ferrants.
Imposante par ses dimensions dans la petite et paisible cité de Caux, l'église St Gervais et St Protais voit son origine remonter à l'époque
romane, vers le milieu du XIIe siècle.
La proximité de restes de murailles, de vieilles maisons et de belles portes donne à l'ensemble un caractère médiéval bien affirmé.
L'église de style lombard est construite en pierre de calcaire doréqui donne à l'édifice une belle couleur chaude sous le soleil du midi.
La façade nord est imposante mais finement scandée d'une succession d'arcs peu profonds qui renforcent le caractèremonumental de l'édifice.
Un clocher puissant domine l'ensemble du haut de ses 45 m, avec à son sommet un élégant campanile en fer forgé et sa cloche du XVIIe siècle.
Enfin de très belles marques de tâcherons sont visibles sur la façade.L’un des nombreux monuments du village sont d’ailleurs le menhir de Peyreficade
et quelques capitelles
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Par chezmamielucette le 2 Octobre 2018 à 00:00
Le château de Nemours, situé dans la ville du même nom à l'extrême sud de la région parisienne dans le département de Seine-et-Marne, est une forteresse bâtie au XIIe siècle sur la rive gauche du Loing, au niveau d'un ancien passage à gué. Cet édifice est l’un des seuls châteaux de ville en Île-de-France parvenu jusqu’à nous. Contrairement aux châteaux construits à la même époque, il a échappé au démantèlement par la royauté grâce à la relation privilégiée des seigneurs de Nemours avec celle-ci.
Les premières pierres de l'édifice ont été posées vers 1120 par Orson sur la rive gauche du Loing. Un village est établi sur une colline voisine depuis l'époque mérovingienne (d'après l'exhumation en 1898 de sarcophages mérovingiens) à Saint-Pierre-lès-Nemours, rive gauche du Loing. Les premiers seigneurs avaient probablement installé un château-motte (en bois) en hauteur sur la rive droite du Loing dans un lieu encore dénommé "le chatelet". L'établissement d'un tel ouvrage en bord de Loing se justifie par la présence d'un gué qui permettait son passage avant la construction d'un pont par la suite.
Le château est composé d'un donjon ceinturé de quatre tours rondes et d'une tour de guet carrée de 28 mètres de haut, qui veille sur la vallée du Loing. La cour d'honneur est entourée de maisons qui constituent le cœur du patrimoine historique de la ville entre les moulins banaux, l'église Saint-Jean-Baptiste et le quartier des clercs.
En 1170, le deuxième seigneur de Nemours, Gauthier Ier de Villebéon, chambellan des rois Louis VII et Philippe Auguste, obtient une charte de franchise pour sa commune.
Lors de la guerre de Cent Ans, la ville est incendiée en 1359 par les troupes de Jean de Grailly et le captal de Buch. En 1404, la ville devient un duché-pairie mais elle retombera 16 ans plus tard aux mains des Anglais. Elle sera libérée de leur emprise en 1437 par Jacques d'Anjou. Le château ne connaîtra que peu de modifications au cours des siècles qui suivent. Il sera remanié au XVe siècle par Jacques d'Armagnac qui fait percer des fenêtres à meneau pour rendre le donjon plus agréable à vivre.
Lors des guerres de religion qui opposent catholiques et protestants, il sera le lieu de la signature du Traité de Nemours en 1585 entre Catherine de Médicis et le duc de Guise, qui entérine les progrès de la Ligue Catholique et enjoint aux protestants de quitter le royaume, avant que le roi Henri IV ne mette fin aux querelles pour près d'un siècle par l'Édit de Nantes.
Au milieu du XVIIe siècle, il se verra agrémenter d'un auditoire de justice lors du passage de Anne Hédelin, lieutenant général du duc d'Orléans. Ce dernier va aussi changer l'entrée du château pour l'ouvrir sur la cour d'honneur et son perron monumental.
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Par chezmamielucette le 1 Octobre 2018 à 00:00
Nello Iovine est né à Cava dei Tirreni (Salerne), en Italie, en 1935. Il a vécu à Salerne et à Verbania, sur les rives du lac Majeur. Après plusieurs années, il est retourné à Battipaglia, en Italie.
Iovine est spécialisé dans les peintures figuratives et les portraits. Peintre de style classique, il a fréquenté l'Académie des beaux-arts de Naples, où il a été l'élève du professeur Guido Casciaro.
Sa carrière artistique débute en 1954 à l'âge de 18 ans lors de sa première exposition personnelle à Salerne.
Dans les années 1960, il fut découvert par Arnot Gallery, qui commanda une longue série de peintures.
En 1967, Arnot Gallery organise une exposition. En 1973, Iovine expose à l'Académie Tibériade de Rome. En 1979 et 1981, il expose à Milan, en 1989 à Messine, en 1990 à Cesenatico en 1992 à Casalpusterlengo.
L'acteur Ciccio Ingrassia a commandé un portrait nu en 1976.
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Par chezmamielucette le 30 Septembre 2018 à 00:00
Marie-Françoise Thérèse Martin, en religion sœur Thérèse de l'Enfant-Jésus et de la Sainte-Face, également connue sous les appellations sainte Thérèse de Lisieux, sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus ou encore la petite Thérèse, est une religieuse carmélite française née à Alençon dans l'Orne en France le 2 janvier 1873 et morte à Lisieux en France le 30 septembre 1897.
Dernière née d'un couple tenant commerce d'horlogerie et de dentelles d'Alençon, Louis et Zélie Martin, Thérèse perd sa mère à quatre ans et demi.Elle est élevée par ses sœurs aînées Marie et Pauline, qui tour à tour entrent au carmel de Lisieux, faisant revivre à l'enfant le sentiment d'abandon ressenti lors de la perte de leur mère. Cependant, elle ressent très tôt un appel à la vie religieuse. Elle fait un pèlerinage à Rome pour demander l'accord d'entrer au Carmel, alors qu'elle n'en a pas encore l'âge légal. Mais le pape refuse, elle doit donc attendre.
Elle entre au Carmel de Lisieux à quinze ans.
Après neuf années de vie religieuse,
dont les deux dernières passées dans une « nuit de la foi », elle meurt de tuberculose le 30 septembre 1897 à l'âge de vingt-quatre ans.
Le retentissement de ses publications posthumes, dont Histoire d'une âme publiée peu de temps après sa mort, en fait l'une des plus grandes saintes du XIXe siècle. La dévotion à sainte Thérèse s'est développée partout dans le monde.
Considérée par Pie XI comme l'« étoile de son pontificat », elle est béatifiée puis canonisée dès 1925. Religieuse cloîtrée, elle est paradoxalement déclarée sainte patronne des missions et, avec Jeanne d'Arc, canonisée en 1920, proclamée « Patronne Secondaire de la France ».
Enfin, elle est proclamée Docteur de l'Église par Jean-Paul II en 1997 pour le centenaire de sa mort.
Édifiée en son honneur, la basilique de Lisieux est le deuxième plus grand lieu de pèlerinage de France après Lourdes.
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Par chezmamielucette le 29 Septembre 2018 à 00:00
Ingrédients :
200 g de sucre cristal
2 œufs
200 g de cerneaux de noix
50 g de farinePréparation :
Mélanger le sucre avec les œufs et fouetter jusqu’à obtention d’une pâte souple et mousseuse.
Ajouter la farine et mélanger soigneusement.
Piler ou mixer les cerneaux de noix et les incorporer à la pâte.
Beurrer et fariner un moule dans lequel on verse la pâte.
Enfourner à four doux (180 °) et laisser cuire environ 30 mn.
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