Le murmure du vent

Si vous tendez l'oreille et savez écouter...

Vous entendrez le vent...ce qu'il veut raconter...

En passant dans les arbres...caressant leurs feuillages...

De son doux bruissement, il parle de voyages...

Il raconte comment, dans bien d'autres pays,

Lorsqu'il y a du chagrin, les larmes coulent aussi..

Il raconte comment, se croisent les regards..

Et les amants qui s'aiment dans la douceur du soir...

Il raconte les peines et les chagrins d'amour...

Car souvent lorsqu'on aime...ce n'est pas pour toujours...

Mais il raconte aussi les amours éternels...

Qui de toute une vie se sont restés fidèles...

Ce soir je vais m'asseoir sous le ciel étoilé...

Attendre sagement qu'il vienne me parler...

Et on ne sait jamais...Peut-être par hasard...

 

 

 

D'après les chroniques l'ambassadeur chinois Zhou Ta-Quan est arrivé à Angkor en août 1296. Il y est resté un an, notant dans son journal tous les secrets de l'Empire khmer. "Au centre du royaume se dresse une tour dorée.... A l'est, il y a un pont doré gardé par deux lions d'or... Une vision prodigieuse..." Le souverain, traité comme un demi-dieu, vivait entouré de serviteurs, d'épouses et de concubines. Toute une foule de ministres, de généraux, de prêtres gouvernaient en son nom. L'Empire khmer avait déjà commencé à décliner, mais le témoignage de Zhou Ta-Quan - le seul disponible sur la civilisation qui a dominé le Sud-Est asiatique du IXe au XIVe siècle - décrit un univers en pleine floraison, dont l'art est sans équivalent au Moyen-Âge.

 

Officiellement, le premier Européen à découvrir Angkor a été Henry Mouhot, qui a visité l'Indochine dans les années 1860. "L"un des temples - a-t-il affirmé à propos d'Angkor Vat - est plus grandiose que n'importe quel édifice laissé par les Grecs ou les Romains."

 

En réalité, son "voyage à Siam et dans le Cambodge" a été publié une dizaine d'années après le récit tombé dans l'oubli, du missionnaire Charles-Emile Bouillevaux.

 

En outre, des voyageurs portugais avaient déjà atteint Angkor au XVIe siècle, la décrivant comme une ville entourée de murailles. Et, à l'époque où Mouhot l'a "découvert", Angkor Vat abritait un millier de moines...

 

On a présenté des oeuvres d'art khmer à l'Exposition universelle de Paris en 1878, et Angkor a rapidement suscité de nombreuses expéditions archéologiques françaises.

 

 

En 1901, on a même fondé l'Ecole française d'Extrême Orient, dont le principal objectif était d'étudier les monuments de l'Empire khmer.

 

 

Très vite, les premiers touristes aisés sont également arrivés d'Europe, et les pierres d'Angkor ont été convoitées par des collectionneurs sans scrupules, ainsi que par un jeune écrivain français entreprenant, André Malraux. En 1924, il s'embarque pour l'Extrême-Orient en quête d'aventures. Peu scrupuleux, il subtilise à Angkor plusieurs blocs sculptés du Banteay Srel, le temple des Femmes, pour les revendre en France. Mais les choses ne se passent pas comme prévu. Il est arrêté pour contrebande d'antiquités et s'en sort uniquement parce que sa femme, rentrée en France, demande à ses amis influents d'intervenir. Malraux tire de cette expérience un roman autobiographique, la "voie royale" publié en 1930. Ce sera son premier succès littéraire.

 

Historiquement, l'installation des Khmers dans la région date de 802 : le roi Jayavarman II établit alors sa capitale sur une colline, le Phnom Kulen, à 28 kilomètres au nord-est d'Angkor. Mais les Khmers ne commencent à construire les grands temples du secteur de Roluos qu'à la fin du IXe siècle : le Preah Ko, aux six tours de briques décorées de sculptures de grès et de reliefs en stuc, le Bakong, une pyramide flanquée de huit tours et de sanctuaires mineurs, et le Lolei, érigé sur un îlot au centre d'un grand bassin.

 

 

C'est l'architecture qui constitue l'intérêt majeur d'Angkor, mais il convient d'évoquer le système hydraulique remarquable et complexe. Au coeur des 400 kilomètres carrés occupés aujourd'hui par les ruines de des deux côtés de la citadelle d'Angkor Thom, se trouvaient les "baray", les deux grands bassins -de 8 kilomètres de longueur et de 2 kilomètres de largeur - vers lesquels on détournait l'eau des crues du lac voisin, le Tonlé Sap, qui servai ensuite à irriguer la riche plaine alluviale dans laquelle était bâtie la ville.

 

Le pôle d'attraction d'Angkor est Angkor Vat, le magnifique temple édifié par Suryavarman II, qui régna de 1112 à 1152. Entouré d'un fossé de 190 mètres de largeur formant un gigantesque quadrilataire de 1,50 kilomètre su 1,30, Angkor Vat est un immense temple - montagne en grès et en latérite - les deux matériaux de prédilection de Khmers -comportant trois niveaux.

 

 

Aux angles du deuxième et du troisième étage, comme au centre de ce dernier, se dressent des tours surmontées de coupoles en pointe. Angkor Vat est un temple de pure inspiration hindouiste, comme l'attestent les merveilleux bas-reliefs ornant les 800 mètres du périmètre du temple central.

 

En parcourant les couloirs, on rencontre au fur et à mesure une représentation de la bataille de Kurukshetra opposant les armées des Kaurava et des Pandava, tirée du " Mahabharata" le poème épique hindou, et des scènes de Ramayana.

 

 

Une paroi célèbre la geste de Suryavarman II, représenté à dos d'éléphant en train de passer somptueusement entre les files de ses soldats,

 

 

une autre propose une vision de l'enfer et du paradis hindous.

 

 

On peut voir enfin l'épisode du "barratage de la mer de lait" où 88 démons -les asuras- et 92 dieux -les deva- baratent la mer pour en extraire l'élixir d'immortalité.

 

 

 

Texte extrait du livre : Les plus beaux sites du patrimoine mondial de l'Unesco

La suite de cet article la semaine prochaine

 

 

Michel Guillemette s'est construit une vie hors du commun. À 19 ans, en pleine forme, il a fait un plongeon qui l'a rendu paraplégique. Confiné à son fauteuil roulant, il a cependant repris sa vie en main... et en bouche! Il a appris à peindre et est, depuis des années, membre de l'Association canadienne des artistes peintres de la bouche et du pied.

 

 

Comment j’en suis venu à la peinture à la bouche:
En 1993 j'ai perdu complètement l'usage de mes membres supérieurs et des complications respiratoires m'ont obligées à être sous assistance respiratoire 24 heures sur 24. Suit à cette nouvelle situation les journées étaient devenues longues, il fallait les combler.

 

 

J'avais étant plus jeune quelques aptitudes pour le dessin, c'est pour ces raisons que je me suis investi dans cette nouvelle forme d'expression. J'ai réalisé plus de deux cents tableaux à la gouache, j'utilise souvent des cartes, photos, images pour m'exprimer. Il m'arrive d'honorer des commandes et de participer à des expositions.

 

 

Je n’ai pas un rythme de travail régulier, tout dépend de mon état de santé et de mon besoin de m’évader. Depuis 1999 je fais parti de l’ASSOCIATION DES ARTISTES PEINTRES DE LA BOUCHE ET DU PIED

 

 

 

Le dimanche des Rameaux précède Pâques. Il célèbre l'entrée de Jésus à Jérusalem. Il est sur un âne. La foule l'acclame en brandissant des rameaux et en criant : Hosanna !

 

 

Matthieu XXI, 8

Le peuple, en foule, étendit ses vêtements sur la route ;
 certains coupaient des branches aux arbres et en jonchaient la route.
 Les foules qui marchaient devant lui et qui suivaient, criaient :
 « Hosanna au fils de David !
 Béni soit celui qui entre au nom du seigneur !
 Hosanna au plus haut des cieux ! »

 

 

Jean XII, 12

La grande foule venue pour la fête apprit que Jésus venait à Jérusalem ;
 ils prirent les rameaux des palmiers et sortirent à sa rencontre. Ils criaient :
 « Hosanna ! Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur, le roi d'Israël ! »

 

Cette fête s'implante en Europe vers le VIIIe siècle : on se rend à l'église avec un rameau à la main. C'est une palme, un rameau de palmier ou un équivalent selon la végétation du lieu. En général il s'agit d'un rameau de buis, ou de laurier en Bretagne notamment. On appelle souvent ce dimanche Pâques fleuries car ce rameau de buis ou de laurier doit être fleuri.

 

 

On disait aussi Pâques à buis en Picardie, ou bien Hozanne, Dimanche Ozannier dans le Limousin, Dimanche des Paumes en Lorraine (paume : variante de palme).

On décorait les croix de carrefour et des cimetières avec des rameaux : elle portait alors le nom de Croix Hosannière. 

On l'appelle aussi dans certaines régions croix Buisée, croix Boisée.

 

 

 

 

Ingrédients :

 

Un paquet de biscuits à la cuillère

Du sirop de fruits ou du jus d’orange

20cl de crème liquide entière (30% matières grasses)

250g de mascarpone

6 cuil. à soupe de sucre

Des fruits frais au choix

 

Préparation

Commencer par préparer la crème chantilly/mascarpone

Pour obtenir une chantilly ferme : Mettre la crème liquide une bonne demi-heure au congélateur, le bol et le fouet au frais également

Battre la crème au robot ou au batteur électrique, ajouter le sucre, quad la chantilly et bien ferme ajouter le mascarpone et continuer à battre pendant 2 minutes

On obtient une crème onctueuse bien ferme.

il est donc très important que la crème soit bien ferme, comme sur cette photo (si ce n'est pas le cas, votre charlotte sera ratée et s'écroulera au démoulage)

 

 

Tapisser le fond et les parois d’un moule haut ici clic avec les « biscuits à la cuillère » imbibés rapidement dans le sirop ou le jus, vous pouvez les couper si nécessaire.

Verser la moitié de la crème, l’étaler en une couche lisse, ajouter les fruits de votre choix coupés, moi j’ai utilisé deux pêches et des framboises

 

Répartir par-dessus une couche de biscuits imbibés puis le reste de la crème

Recouvrir d’une couche de biscuits et tasser la charlotte avec une petite assiette par exemple.

 

 

Protéger la charlotte avec du film alimentaire et placer au frais pendant au moins 5 heures ou toute une nuit

Démouler et décorer selon votre goût

 

 

Recette copiée sur le net...

 

 

 

Son nom lui vient soit de la teinte grise et confuse de ses feuilles, soit de son goût de fumée et de suie, soit de la tradition populaire qui prétend que la plante naît non d'une graine, mais d'une émanation de la terre. En effet, lorsque sa silhouette floue se révèle aux regards dans les ruines, à la lisières des champs abandonnés, il est bien certain qu'elle apparaît comme une plante de songe qu'il est nécessaire de toucher pour croire à sa réalité. Si, avec la cruelle malice paysanne, on l'appelle dans les campagnes "herbe de la veuve", c'est que l'odeur de son suc est si âcre qu'elle aiderait les yeux les plus secs à pleurer.

 

La plante est connue depuis l'Antiquité pour ses propriétés médicinales : Dioscoride au 1er siècle,

 

 

Galien au 2eme citent son action sur la secrétion biliaire et les fonctions hépatiques,

 

 

au Xe siècle, ce sont les médecins arabes qui vantent les vertus de la plante, et Matthiole, au XVIe siècle, en fait la louange comme remède spécifique des troubles des viscères abdominaux.

 

 

Mais son secret le plus important est qu'avec l'angélique et le frêne elle fait partie des simples qui rendent centenaires.

 

HABITAT

- Europe, terrains vagues, talus, champs, bords des chemins, jusqu'à 1 700 mètres

 

 

IDENTIFICATION

- Hauteur : 0,15 à 0,70 mètre, annuelle

 

- Tige verte, grêle, glauque, dressée, rameuse

 

- Feuilles gris-vert, 2 à 3 fois divisées en segments ténus, glabres, pétiolées

 

- Fleurs roses tachées de pourpre (avril-septembre), petites, allongées, réunies en épi, 2 sépales pétaloïdes, pétales irréguliers prolongés en éperon court, 6 étamines en 2 faisceaux

 

- Fruit globuleux, sommet déprimés

 

- Racine pivotante, blanc jaunâtre

- Odeur âcre

- Saveur très amère, salée

 

PARTIES UTILISEES

- Plante fleurie sauf la racine (mai-septembre) séchage rapide en couche mince ou en bouquets

 

 

- CONSTITUANTS

- Tanin, alcaloÏdes, potassium, acide fumarique

 

 

- PROPRIETES

- Antiscorbutique, apéritive, dépurative, détersive, diurétique, laxative, stomachique, tonique

 

 

 

 

Nous avons tous entendu parler de Mimi Pinson, personnage mythique de la Butte Montmartre. Elle habitait une chambre dans une maison modeste, que les habitants du quartier pouvaient vous désigner avant qu'elle ne soit détruite en 1925, et qui fut représentée par Utrillo, et même sur une carte postale.

 

Pourtant Mimi Pinson n'a jamais existée, elle est née de l'imagination d' Alfred de Musset "Mademoiselle Mimi Pinson" est en effet une nouvelle de cet écrivain, parue en 1845 dans  "Le diable à Paris", recueil de nouvelles sur des personnages de la vie parisienne, publié par Hetzel en 1845 et 1846. Les nouvelles qui composent ces recueils ont été écrites par différents auteurs de l'époque, tels Balzac, George Sand, Théophile Gautier ou Gérard de Nerval.

 

Dans ce conte, Alfred de Musset fait le portrait de deux jeunes filles de condition modeste, Mimi Pinson et son amie Rougette, qui travaillent dans la couture. Ces grisettes, comme on les appelle, sont dépeintes comme des jeunes filles coquettes, gaies, insouciantes et frivoles, mais très solidaires et généreuses. C'est ainsi que Mimi Pinson est prête à mettre engage le seul bien qu'elle possède : sa robe...

 

 

En conclusion de son conte Alfred de Musset fait dire à l'un de ses personnages :
"Je t'en prie, quand tu diras du mal des grisettes, fais une exception pour la petite Pinson. Elle nous a conté une histoire à souper, elle a engagé sa robe pour quatre francs, elle s'est fait un châle avec un rideau, et qui dit ce qu'il sait, qui donne ce qu'il a, qui fait ce qu'il peut, n'est pas obligé à davantage".
Le personnage de Mimi Pinson sera repris dans un film, une opérette et dans des chansons.

 

 

Sous la plume de Georges Brassens dans "Supplique pour être enterré sur la place de Sète" et "Honte à qui peut chanter", chanson qu'il n'a jamais interprétée mais qui le sera par Maxime Le Forestier, il évoque toujours en compagnie de Gavroche notre personnage fictif de la vie parisienne :
" Quand mon âme aura pris son vol,
Vers celles de Gavroche et de Mimi Pinson
Celles des titis, des grisettes, (...)..

 

 

Texte extrait du livre : Le grand almanach de la France

 

 

Cascades

 

Fontaine, dont l'eau cristalline,
D'amont le rocher tombe en aval,
Murmurant parmi la colline,
Puis tombe paisible en son sal,
Où d'une trace continue
Torse en serpent, se traîne et pousse,
Et, à travers l'herbe menue,
Passe, arrosant l'épaisse mousse,
Mille et mille oiseaux qui te hantent,
Le flateux bruit, le frais des eaux,
Et les nymphes qui autour chantent
Répondant au chant des oiseaux.

 

Louis des Masures

 

 

Louis Des Masures, est un poète français d'origine wallonne,
né à Tournai vers 1515 et mort à Eschery (Sainte-Marie-aux-Mines) le 17 juin 1574.

 

 

Mais l'architecture khmère atteint son apogée sous Jayavarman VII (1181-1201). C'est à lui que l'on doit Angkor Thom, ceint d'une muraille carrée de 8 mètres de hauteur et de 12 kilomètres de longueur. L'intérieur abrite un grand nombre d'édifices extraordinaires.

 

 

A commencer par le Bayon, où le bouddhisme prend le pas sur l'hindouisme, avec les 216 gigantesques visages en pierre du souverain figuré assimilé au bodhisattava  Avalokitesvera veillant sur le royaume dans toutes les directions.

 

 

Sur les parois du Bayon également, de précieux bas-reliefs narrent la guerre menée par Jayavarman pour triompher des Chams, les ennemis historiques de Khmers, et illustrent la vie quotidienne d'Angkor.

 

 

La citadelle abrite de nombreux temples de facture admirable, comme le Baphuon

 

o

 

le Preach Palilay,

 

 

le Tep Pranam,

 

 

mais surtout la terrasse du roi lépreux - une plate-forme de 7 mètres de hauteur décorée de cinq niveaux de sculptures raffinées qui servait probablement de crématorium aux souverains khmers -

 

 

et encore la terrasse des Eléphants, une longue tribune utilisée lors des revues militaires, ainsi nommée à cause des pachydermes qui ornent les parois.

 

 

Mais, parmi la centaine de temples d'Angkor, d'autres joyaux méritent d'être mentionnés, comme le Ta Prohm, dont les pierres sont disjointes par des racines de kapokiers séculaires,

 

 

le Preah Neak Pean, un singulier petit temple édifié sur un îlot, au centre d'un grand bassin,

 

 

ou encore le Banteay Stei, ce temple des Femmes considéré comme le joyau de l'art khmer classique à cause de la délicatesse de ses sculptures et du raffinement de ses gravures.

 

 

C'est sans doute pour cela qu'il avait attiré l'attention d'un esthète comme Malraux. Mais les temps n'ont pas vraiment changé depuis les années 1920. En 1992, en inscrivant Angkor sur la liste du patrimoine mondial, l'Unesco a considéré que la capitale khmère figurait parmi les monuments en péril. Les Nations unies venaient à peine d'intervenir dans le pays après la guerre entre le Cambodge et le Vietman, et les bandes armées étaient toujours présentes dans la région. Sans compter qu'une bonne partie de la zone avait été minée par les Kmers rouges de Pol Pot.

 

 

Aujourd'hui, la situation politique s'est stabilisée mais les vols d'objets d'art reste préoccupants. Difficile à surveiller à cause de son étendue, le site est exposé à de fréquents vols de sculptures et de fragments d'une valeur inestimable, et les conditions de vie pénibles de la population cambodgienne ne contribuent pas à la sauvegarde des trésors d'Angkor. Ainsi, bien que plus de 7 000 statues aient été mises à l'abri dans des dépôts interdits au public et remplacées par des copies modernes, chaque année, de précieux témoignages de la plus brillante civilisation du Sud-Est asiatique prennent le chemin de l'Occident..

 

Texte extrait du livre :  Les plus beaux sites du patrimoine mondial de l'Unesco

 

 

Chen Chong Ping est né en 1944. C'est un peintre chinois

 

 

Il commence à peindre pour se débarrasser de la monotonie de la vie quotidienne.

 

 

Il se met à peindre de belles femmes et des jeunes filles en costumes régionaux et pourtant elles ressemblent à des occidentales.

 

 

Les couleurs sont vives et dynamiques.