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Par chezmamielucette le 18 Avril 2019 à 00:00
Le village de Carcheto-Brustico est situé en plein cœur de la Castagniccia.
Au départ de sa magnifique église baroque « Ste Marguerite » un chemin vous mènera vers sa superbe cascade de la « Struccia » avec sa chute de 15 m de haut qui se déverse dans une eau émeraude. Pour vous y rendre, prenez à gauche sur la place de l’église.
Vous trouverez en premier lieu la fontaine « di l’Onda », puis 100 m plus bas la cascade.
Cette fontaine se trouve sur le sentier qui part du cimetière pour rejoindre la cascade de la Struccia.
Construite en pierres de schiste, c'est une fontaine couverte possède des bancs de pierre de chaque côté ainsi qu'une niche intérieure et un court rebord en hauteur qui permet de poser ses équipements si nécessaire.
L'église, de style baroque fût construite par des artisans locaux de la Castagniccia aux XIIe et XVIIIe siècles. Elle est flanquée d'un immense clocher ajouré et sa façade présente une harmonieuse composition avec ses pierres aux teintes chaudes. L'intérieur baroque est d'une simplicité touchante mais les peintures sont assez détériorées. Sa situation en fait l'une des Églises les plus pittoresque de la région...
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Par chezmamielucette le 16 Avril 2019 à 00:00
Sur les bords de l’Oust, Josselin est une étape importante de la route des Ducs. L’histoire de la ville est intimement liée à celle de son château qui domine la cité.
De style gothique flamboyant, il offre un témoignage fort intéressant de l’architecture féodale et de la Renaissance. Fondé au début du 11e siècle, il est aujourd’hui encore habité par les descendants de ses fondateurs, la famille Rohan.
un petit tour dans les appartements
Prenez le temps d’une balade dans ses jardins. Il sont signés Achille Duchesne, paysagiste qui œuvra également à Vaux-le-Vicomte
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Par chezmamielucette le 15 Avril 2019 à 00:00
Si vous le voulez bien nous allons faire un tour dans la résidence que j'habite et découvrir toutes les jolies fleurs qu'elle renferme.
Pour commencer nous sortons de chez nous et les fleurs nous accueillent : pétunia, pourpier, iris, forsythia, fraises des bois et muguet
Sortie du jardin, c'est en premier le lilas de mon voisin que j'aperçois
en avançant je découvre ce petit coin bien arrangé
et de l'autre côté, cette glycine
voici l'escalier qui va vers d'autres immeubles
je continue ma promenade et je reviens vers la petite place qui termine l'impasse et qui se trouve juste à côté de chez moi
sur la dernière photo vous voyez le portail de ma maison
et un morceau de la clôture...
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Par chezmamielucette le 14 Avril 2019 à 00:00
Qu’est-ce que le Dimanche des rameaux ?
Six jours avant la fête de la Pâque juive, Jésus vient à Jérusalem. La foule l’acclame lors de son entrée dans la ville. Elle a tapissé le sol de manteaux et de rameaux verts, formant comme un chemin royal en son honneur.
C’est en mémoire de ce jour que les catholiques portent des rameaux (de buis, d’olivier, de laurier ou de palmier, selon les régions. Ces rameaux, une fois bénis, sont tenus en main par les fidèles qui se mettent en marche, en procession : marche vers Pâques du peuple de Dieu à la suite du Christ.
La foule nombreuse venue pour la fête apprit que Jésus venait à Jérusalem ; ils prirent les rameaux des palmiers et sortirent à sa rencontre et ils criaient : Hosanna ! Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur !
Ces paroles sont chantées comme antienne d’ouverture au lieu où les fidèles se sont réunis : après une brève allocution, le célébrant bénit les rameaux et l’on lit le récit évangélique de l’entrée messianique de Jésus avant de se rendre en procession jusqu’à l’église.
La tradition chrétienne veut que l’on emporte, après la messe, les rameaux bénits, pour en orner les croix dans les maisons : geste de vénération et de confiance envers le Crucifié.
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Par chezmamielucette le 13 Avril 2019 à 00:00
Ingrédients
600 g de cerise
40 g de beurre semi-sel + 20 g pour le moule
4 oeufs
20 cl de lait
100 g de farine
60 g de sucre en poudre
1 sachet de sucre vanillé
1 pincée de sel
Sucre glace
Préparation :
Préchauffez le four à 210°C (thermostat 7). Lavez rapidement les cerises sous un filet d'eau fraîche, équeutez-les et égouttez-les. Personnellement j'enlève les noyaux, mais la recette traditionnelle veut qu'on les laisse, donc c'est à vous de voir si vous les laissez ou pas... Faites fondre les 40 g de beurre dans une petite casserole à fond épais. Mélangez dans un grand bol la farine, le sucre, le sel et le sucre vanillé. Incorporez les oeufs peu à peu puis le lait petit à petit en continuant de mélanger. Ajoutez le beurre fondu.
Beurrez grassement le plat, rangez les cerises puis versez la pâte à clafoutis. Mettez au four pendant 10 mn à 210°C puis baissez à 180°C et cuisez encore
Servez le clafoutis froid ou tiède, saupoudré de sucre glace.
Bonne dégustation
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Par chezmamielucette le 12 Avril 2019 à 00:00
Le gaura fait partie de la famille des Onagracées. Il forme un buisson de rameaux souples dont la hauteur varie de 0,60 à 1,50 m selon les variétés et s’il se plaît bien dans son environnement. Si on le classe parmi les vivaces, ses rameaux verts sont durs et ligneux, ce qui explique qu’on le trouve parfois répertorié parmi les sous-arbustes…
Le gaura vivace, Gaura lindheimeri, produit de mai à octobre de longs pédoncules souples portant des boutons floraux roses qui éclosent généralement en fin de journée. Les fleurs à 4 pétales plats, blancs à roses, ressemblent à un nuage de papillons au-dessus du buisson
Au printemps, les rameaux portent des pousses vert pomme. Celles-ci se déploient en feuilles allongées comme celles des saules, dont le le limbe arbore une teinte vert foncé. Ces petites feuilles sont duveteuses sur les deux faces.
S’il existe sous une forme annuelle, le gaura est surtout apprécié à travers son espèce vivace, Gaura lindheimeri. Incontournable en massifs dans les jardins de grand-mère ou ceux à l’ambiance sauvage et naturelle.
C’est en outre une plante qui tolère bien les embruns, et qui est donc adaptée au bord de mer. Parfaitement rustique jusqu’à -20 °C, le gaura trouve sa place dans la plupart des jardins. Attention, seul le type peut cependant se passer de protection hivernale sur sa souche.
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Par chezmamielucette le 11 Avril 2019 à 00:00
Le château de Belvoir est un château fort du XIIe siècle à Belvoir dans le département du Doubs. Il fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 6 septembre 1956
La construction d’un premier château remonte à la fin du XIIe et au début du XIIIe siècle, comme l’indique encore le millésime de 1224 provenant d’une clef de voûte de la tour du Nord. Les armées de Louis XI investiront par deux fois les deux bourgs de Belvoir et prirent le château en mai 1480 avec ordre d’y mettre le feu et d’abattre les murailles. Sur sa ruine Thiebaut de Cusance rebâtira à la fin du XVe siècle un nouveau château dont les tours seront couvertes de toit « à l’impériale » avec lanternes sur colonnes. l’aile orientale et la porterie furent modernisées au début du XVIIe siècle par le baron Claude-François de Cusance pour y accueillir sa jeune épouse flamande Ernestine de Withem. Repris par les armées du maréchal de Luxembourg lors de la seconde conquête de la Franche-Comté en 1674, il ne doit sa survie qu’à l’intervention du Prince de Lillebonne, cousin germain du roi soleil car tous deux petit-fils d’Henri IV, de son épouse Anne de Lorraine ainsi que de son frère Charles-Henri de Lorraine, Prince de Vaudémont,défenseur de Besançon.
Transformé en maison de culture au XIXe siècle puis abandonné, le château sera racheté par le peintre Pierre Jouffroy qui se consacra à son sauvetage de 1955 à 2000. Ses enfants et petit-enfants ont repris le flambeau.
Le château était protégé par un bourg fortifié dont l'entrée se faisait par un pont-levis jeté sur le second fossé. La porterie actuelle datée de 1620 comporte une porte voiturière et une porte piétonne portant la trace des pont-levis à poutres.
Le corps de logis forme un long rectangle finissant par la nouvelle chapelle, la grande salle (actuel salon Marsan), l'antichambre, la salle d'honneur (qui a succédé à quatre anciennes pièces à la suite de l'incendie de 1968), puis la chambre de Madame (la marquise de Berghes op Zoom) et le cabinet de Madame, actuel salon Béatrix de Cusance où l'on peut admirer son portrait en pieds par Anton Van Dyck et son atelier, enfin la pièce donnant sur la porterie semble être celle que les inventaires appellent "la chambre Dorée " où fut mis à l'abri le trésor de la Maison de Lorraine par le duc Charles IV pendant la guerre de "Trente ans". Cet étage repose sur plusieurs grandes salles voûtées dont les ouvertures ont été pratiquées au XIXe siècle pour les besoins du séminaire. À l'origine il s'agissait de cave à vins, la famille de Belvoir puis celle de Cusance furent propriétaires vignes à Mouthier-Hautepierre dans la vallée de la Loue depuis 1280 jusqu'après la révolution française. On visite également à ce niveau l'actuelle cuisine, autrefois boulangerie ou panneterie avec l'emplacement du four banal, la salle des gardes et le cachot.
Le second bâtiment implanté à l'ouest de l'éperon rocheux commence par la tour dite de "Madge-fâ" (fin du XVe siècle) qui fut d'abord coiffée d'un toit à l'impériale couvert de tavaillons ou tuiles d'épicéa. Au dernier étage subsiste une"lanterne" soutenue par un personnage accroupi, "le Madge-fâ, qui repose sur un grotesque pleurant pendant que deux autres grotesques moqueurs participent à ce qui semble être une vengeance des seigneurs de Belvoir contre l'envahisseur français qu'a été Louis XI.
Un long bâtiment d'un trentaine de mètres sépare cette première tour d'une seconde: le Donjon. Ce bâtiment appelé l'arsenal était un ""grenier" destiné à conserver les denrées périssables et les graines (blé, orge, etc) richesse du seigneur. Ruiné, l'étage a été aménagé au XXe siècle avec des matériaux anciens pour former la belle façade sur cour. Le donjon, maintes fois reconstruit au cours des siècles a été couronné d'une superbe charpente. Les deux tours sont couvertes aujourd'hui de tavaillons.
Un bâtiment joignant le donjon à la porterie paraît avoir été détruit au début du XIXe siècle: il abritait les cuisines et une écurie, et il ne subsiste qu'un importante citerne. Enfin fermant la porterie au nord, une tour à "bossage" ne laisse apparaître aujourd'hui qu'un unique étage .
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Par chezmamielucette le 9 Avril 2019 à 00:00
Le GR 652 est un sentier de 30 km permettant la découverte des Gorges de la Cère.
Au départ de La Roquebrou, il suit le cours de la rivière jusqu'à Laval de Cère.
Au cœur d'une nature sauvage, se côtoient un univers minéral exceptionnel et une faune et une flore préservées.
Le GR 652 suit les traces de la Via Arverna, itinéraire secondaire du Chemin de Saint-Jacques de Compostelle. Ce chemin traverse le Cantal sur 178 km de Blesle-Massiac jusqu'à Laroquebrou et les Gorges, qui figure parmi les plus beaux parcours du Massif Central.
Cet itinéraire permet de rejoindra la Via Podiensis (au départ du Puy en Velay). Il s'agit de l'une des quatre routes décrites dès le XIIème siècle pour rejoindre le sanctuaire espagnol de Saint-Jacques-de-Compostelle.
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