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    " Beau soir d'hiver " poème de Jules Breton

     

    " Beau soir d'hiver " poème de Jules Breton

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  • Bourges : sa cathédrale et le Palais Jacques Coeur

    Bourges : sa cathédrale et le Palais Jacques Coeur

     

    On sait peu de choses sur les édifices qui ont précédé la cathédrale Saint-Étienne. Le légendaire saint Ursin aurait établi un sanctuaire, au début de notre ère, à l'emplacement du monument actuel. Un autre aurait été construit par saint Pallais. Néanmoins, une chose est sûre : au VIIe siècle, il existait bien à Bourges une cathédrale voisine des remparts. Et l'on a retrouvé des vestiges d'une cathédrale du XIe siècle. Toujours est-il que, vers la fin du XIIe, le chapitre veut lancer la construction d'un nouvel édifice plus vaste que la cathédrale romane dont il dispose. Celui-ci débordera l'ancien à l'est et à l'ouest. À l'est, la déclivité du terrain conduit à bâtir une église basse (vers 1194-1195) sur laquelle reposera le futur chœur. L'archevêque, Henri de Sully, va donner 500 livres tournois pour la construction. Après le chœur, la nef suivra, puis la façade occidentale (vers 1250). L'architecte du chantier est inconnu, mais sa compétence, voire son génie, sont certains. Il restera dans l'Histoire sous le nom de maître de Bourges.

    L'édifice, sans transept ni cloisonnement, privilégie l'unité d'ensemble et le volume. Le maître de Bourges révolutionne l'art de l'élévation : il supprime les tribunes, implante un circuit d'arcades démesurées (19 mètres de haut) de l'avant-nef jusqu'à l'abside et assure l'équilibre de l'ensemble par des arcs-boutants idoines. On en tire l'impression que l'élévation de la nef possède cinq niveaux. Cette prouesse technique et artistique ne sera reprise nulle part ailleurs. La cathédrale est enfin consacrée le 13 mai 1324. Elle possède déjà une magnifique galerie de vitraux dans son déambulatoire.

     

    Bourges : sa cathédrale et le Palais Jacques Coeur

    Bourges : sa cathédrale et le Palais Jacques Coeur

    Bourges : sa cathédrale et le Palais Jacques Coeur

    Bourges : sa cathédrale et le Palais Jacques Coeur

    Bourges : sa cathédrale et le Palais Jacques Coeur

    Bourges : sa cathédrale et le Palais Jacques Coeur

     

    Dans un monument de cette taille (117 mètres de long), les périls sont permanents : un énorme «pilier butant» est bâti au XIVe siècle pour contrebuter la tour sud qui menace de s'écrouler. La tour nord s'écroulera en 1506 (dégradant les deux portails nord de la façade ouest). Tout sera reconstruit au début du XVIe siècle et les maçons laisseront à la postérité la tour de beurre. Aux XVe et XVIe siècles, à la suite de donations (dont celle de Jacques Cœur), les chapelles latérales viennent évider les murs droits au nord et au sud. De beaux vitraux, dont l'Annonciation (XVe siècle) et la présentation des Tullier (XVIe) les illuminent. En 1562 , les huguenots saccagent les portails. Au XVIIIe siècle, ce sont les chanoines eux-mêmes qui se chargent des dégradations : démolition du jubé du XIIIe ; suppression du maître-autel (qui datait de 1526) ; suppression de dix-huit lancettes des verrières du XIIIe siècle représentant des saints évêques de Bourges. Stalles et tapisseries disparaissent aussi. Le mobilier et l'aspect intérieur du chœur sont mis à la mode. À son tour, la Révolution va tout saccager. Le mobilier disparaît, vendu ou volé. La cathédrale devient temple de la Raison.

    Le XIXe siècle fut celui des restaurations. Parfois pas très heureuses quand elles portent sur des verrières du XIIIe siècle ou des petites sculptures des portails, elles deviennent rigoureuses quand elles sont menées par l'architecte Bœswillwald de 1882 à 1890, selon un principe impérieux : refaire et restaurer le gros œuvre tel qu'on le trouve.

    La cathédrale Saint-Étienne de Bourges est un monument incontournable parmi les grands édifices français. Ceci pour deux merveilles : les portails

     

    Bourges : sa cathédrale et le Palais Jacques Coeur

    Bourges : sa cathédrale et le Palais Jacques Coeur

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    Bourges : sa cathédrale et le Palais Jacques Coeur

    Bourges : sa cathédrale et le Palais Jacques Coeur

    Bourges : sa cathédrale et le Palais Jacques Coeur

    Bourges : sa cathédrale et le Palais Jacques Coeur

    Bourges : sa cathédrale et le Palais Jacques Coeur

    Bourges : sa cathédrale et le Palais Jacques Coeur

     

    et les vitraux (qui offrent un historique de l'art du vitrail du XIIIe au XVIIe siècle).

     

    Bourges : sa cathédrale et le Palais Jacques Coeur

    Bourges : sa cathédrale et le Palais Jacques Coeur

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    Bourges : sa cathédrale et le Palais Jacques Coeur

     

    Incontournable aussi pour la nef et son élévation, unique au monde.

     

    Bourges : sa cathédrale et le Palais Jacques Coeur

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    Bourges : sa cathédrale et le Palais Jacques Coeur

    Bourges : sa cathédrale et le Palais Jacques Coeur

    Bourges : sa cathédrale et le Palais Jacques Coeur

     

    On peut rajouter un quatrième point qui enchante bien des visiteurs : l'atmosphère de féerie qui règne dans le déambulatoire grâce aux 25 grandes verrières du XIIIe siècle. Pour les passionnés d'art sacré, déambuler dans le déambulatoire de la cathédrale de Bourges est un incontournable.

     

    Bourges : sa cathédrale et le Palais Jacques Coeur

     

    Avec la cathédrale Saint-Étienne, le palais Jacques Cœur demeure un monument incontournable de la ville de Bourges.

     

    Bourges : sa cathédrale et le Palais Jacques Coeur

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    Bourges : sa cathédrale et le Palais Jacques Coeur

     

    C'est l'édifice privé le plus somptueux construit en France au XVe siècle. En 1443, Jacques Cœur achète le fief de la Chaussée, accolé au rempart de la ville, et deux maisons voisines. Les travaux sont rondement menés. On ignore le nom des architectes. En 1453, la construction, ou plutôt l'embellissement n'était pas encore achevé. Cependant Jacques Cœur y avait déjà donné des dîners et des fêtes. Le grand argentier est arrêté en 1451, sa «grand'maison» confisquée par Charles VII. Le roi la rendra à ses fils en 1457. Le bien va passer à la famille Laubespine en 1552 et connaître une vie brillante pendant cent vingt-cinq ans. En 1682, la ville de Bourges achète le bâtiment et en fait son hôtel de ville. Cette situation va durer jusqu'en 1858. Malheureusement, entre 1820 et 1830, la ville y entreprend des travaux jugés déplorables par les historiens actuels. Elle veut y installer la Cour d'appel et le tribunal de première instance. À cette fin, elle modifie bien des pièces : partage des galeries, division de la chapelle, destruction de cheminées et de sculptures.

     

    Bourges : sa cathédrale et le Palais Jacques Coeur

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    Bourges : sa cathédrale et le Palais Jacques Coeur

    Bourges : sa cathédrale et le Palais Jacques Coeur

     

    En 1858, la ville revend le palais Jacques Cœur à l'État et au département. Une restauration partielle y est entreprise sous la direction de Bailly, architecte des monuments historiques. En 1920, le département revend à son tour à l'État la partie qui lui appartenait. Une restauration générale et sérieuse du palais peut enfin commencer.

     

    Bourges : sa cathédrale et le Palais Jacques Coeur

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    Bourges : sa cathédrale et le Palais Jacques Coeur

    Bourges : sa cathédrale et le Palais Jacques Coeur

    Bourges : sa cathédrale et le Palais Jacques Coeur

     

    Ajoutons que toutes les parties extérieures ont été restaurées aux alentours des années 2010..

     

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  • Aquarelles de :

    Aquarelles de : Joëlle Krupa

     

    Joëlle Krupa est originaire d’Alsace : diplômée des Beaux-Arts de Mulhouse. Elle se consacre entièrement à l’aquarelle. Artiste passionnée, elle ne se contente pas de mettre en couleur sa propre vision de choses, elle aide également les autres à découvrir leurs talents.

     

    Aquarelles de : Joëlle Krupa

    Aquarelles de : Joëlle Krupa

    Aquarelles de : Joëlle Krupa

    Aquarelles de : Joëlle Krupa

    Aquarelles de : Joëlle Krupa

    Aquarelles de : Joëlle Krupa

    Aquarelles de : Joëlle Krupa

    Aquarelles de : Joëlle Krupa

     

    Tout en nuances et profondeurs, reflets d’une expérience picturale personnelle, l’Artiste nous donne un instant de sa vie. L’eau, la fluidité, le mouvement, l’émotion, une naissance qui prend dans l’instant le sujet choisi ; patience, observation, une route vers le mystère de l’aquarelle, une poésie musicale mise en scène qui nous transporte et nous fait rêver dans l’élan du pinceau comme une partition à regarder attentivement.

     

    Aquarelles de : Joëlle Krupa

    Aquarelles de : Joëlle Krupa

    Aquarelles de : Joëlle Krupa

    Aquarelles de : Joëlle Krupa

    Aquarelles de : Joëlle Krupa

    Aquarelles de : Joëlle Krupa

    Aquarelles de : Joëlle Krupa

    Aquarelles de : Joëlle Krupa

     

    Avec beaucoup d’humilité elle se livre à corps perdu dans l’alchimie de la couleur.

     

    Aquarelles de : Joëlle Krupa

     

    Elle jongle entre figuratif et abstrait ; ses pinceaux dansent sur la toile laissant tour à tour des couleurs vives ou diffuses, construisant son œuvre de volumes rigoureux noyés dans de fines harmonies de tons subtils ou très denses mais toujours avec cette transparence qui confère à ces œuvres charme et poésie.

     

    Aquarelles de : Joëlle Krupa

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    Aquarelles de : Joëlle Krupa

    Aquarelles de : Joëlle Krupa

    Aquarelles de : Joëlle Krupa

    Aquarelles de : Joëlle Krupa

    Aquarelles de : Joëlle Krupa

     

    Membre de la Société française de l’Aquarelle « S.F.A »Membre Fondateur Aquarelle en Midi Pyrénées.

    Elle a sorti plusieurs livres techniques

     

    Aquarelles de : Joëlle Krupa

    Aquarelles de : Joëlle Krupa

    Aquarelles de : Joëlle Krupa

    Aquarelles de : Joëlle Krupa

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  • 17 février 199  : mort d'Hervé Bazin

     

    Hervé Bazin, de son nom de naissance Jean-Pierre Hervé-Bazin, est un écrivain et poète français, il est né le 17 avril 1911 à Angers et décédé le 17 février 1996 dans la même ville.

     

    17 février 1996  : mort d'Hervé Bazin

    17 février 1996  : mort d'Hervé Bazin

     

    Hervé Bazin passe son enfance dans le Maine-et-Loire, à Marans. L'année de ses vingt ans, il rompt avec sa famille, et part étudier à la faculté de lettres de la Sorbonne. En parallèle de ses études, il exerce de nombreux petits métiers et écrit de la poésie, durant une quinzaine d'années

     

    17 février 1996  : mort d'Hervé Bazin

     

    En 1947, il obtient le prix Apollinaire pour "Jour", son premier recueil de poèmes, qui sera suivi d'"À la poursuite d'Iris" en 1948. Sur le conseil de Paul Valéry, il se détourne alors de la poésie pour se consacrer à la prose.

     

    17 février 1996  : mort d'Hervé Bazin

    17 février 1996  : mort d'Hervé Bazin

     

    Les rapports conflictuels qu'il a eus avec sa mère pendant son enfance lui inspirent le roman "Vipère au poing" en 1948.

     

    17 février 1996  : mort d'Hervé Bazin

     

    Ce roman connait un immense succès après-guerre et est suivi de nombreux autres qui décrivent, avec un certain naturalisme et un art du portrait psychologique, les mœurs de son époque. D'autres romans ont comme héros les personnages de "Vipère au poing" : "La mort du petit cheval" (1950)

     

    17 février 1996  : mort d'Hervé Bazin

     

    et "Cri de la chouette" (1972).

     

    17 février 1996  : mort d'Hervé Bazin

     

    Ses romans ont fait l'objet de films pour le cinéma et la télé;

     

    17 février 1996  : mort d'Hervé Bazin

    17 février 1996  : mort d'Hervé Bazin 

    17 février 1996  : mort d'Hervé Bazin

     

    Hervé Bazin est considérée comme "le romancier de la famille", thème commun et central à bon nombre de ses romans . On lui doit également quelques recueils de nouvelles et quelques essais, comme "Ce que je crois" en 1977.

     

    17 février 1996  : mort d'Hervé Bazin

     

    Hervé Bazin devient membre de l'Académie Goncourt en 1960, élu au couvert de Francis Carco. Il en devient président en 1973. 

     

    17 février 1996  : mort d'Hervé Bazin

    17 février 1996  : mort d'Hervé Bazin

     

    De 1959 à 1960, Hervé Bazin réside à Anetz dans la maison de l'Emeronce avec une vue imprenable sur la Loire et la rive opposée située en Anjou. C'est en ce lieu qu'il écrira son roman  "Au nom du fils ".

     

    17 février 1996  : mort d'Hervé Bazin

    17 février 1996  : mort d'Hervé Bazin

    17 février 1996  : mort d'Hervé Bazin

     

    De 1984 à 1992, Hervé Bazin vit à Mont-Saint-Aignan. Il passe les dernières années de sa vie à Cunault sur les bords de la Loire.

     

    17 février 1996  : mort d'Hervé Bazin

     

    17 février 1996  : mort d'Hervé Bazin

     

    Il meurt le 17 février 1996 à Angers. Conformément à son souhait, il est incinéré et ses cendres sont dispersées dans la Maine. Toutefois, une pierre tombale à son nom est visible au cimetière de Cunault.

     

    17 février 1996  : mort d'Hervé Bazin

     

     

    17 février 1996  : mort d'Hervé Bazin

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    Ingrédients (pour 6 personnes) :

     

    – Environ 50 spéculoos,

    – 20 cl de crème liquide (pas légère attention),

    – 300 g de crème de marron,

    – café léger.

     

     Préparation :

     

    Tremper chaque spéculoos un à un dans le café léger et tapisser un moule à cake.

    Diviser la crème de marron en trois partie de 100 g chacune.

    Monter la crème liquide en chantilly (la crème et le saladier doivent être très froids) et ajouter 100 g de crème de marron en incorporant délicatement.

    Tapisser le fond du moule avec 100 g de crème de marron pure.

    Recouvrir avec la moitié du mélange chantilly.

     

    Retapisser avec des spéculoos trempés dans le café léger.

     Re-tapisser avec les 100 g de crème de marron restant et recouvrir avec la seconde partie de la chantilly.

     Recouvrir enfin avec des spéculoos trempés dans le café.

     

    Tasser avec un linge et poser une assiette sur le moule. Mettre au frigo pendant au moins 2 heures.

     

    PS : pour démouler, passer un couteau tout autour du moule, poser une assiette dessus, retourner et secouer fermement en tenant bien l’assiette et le moule.

     

     

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  • Fleurs cultivées

    Fleurs cultivées

     

    La baptisie et plantes du genre Baptisia

     

    Les baptisies sont des plantes vivaces du genre Baptisia qui comprend environ une trentaine d'espèces.

     

    Fleurs cultivées

    Fleurs cultivées

    Fleurs cultivées

    Fleurs cultivées

     

    Ce sont des plantes qui aiment le plein soleil et un sol neutre bien drainé.

     

    Fleurs cultivées

    Fleurs cultivées

    Fleurs cultivées

    Fleurs cultivées

     

    Elles développent de longues racines qui l'aident en temps de sécheresse, mais qui la rendent difficile à transplanter une fois installée.

     

    Fleurs cultivées

    Fleurs cultivées

    Fleurs cultivées

     

    On en fait la culture pour le feuillage qui ressemble au trèfle, et les fleurs papilionacées qui ressemblent aux pois.

     

    Fleurs cultivées

     

    Peu d'espèces sont cultivées, mais ce sont des plantes assez rustiques qui offrent un port arbustif.

     

    Fleurs cultivées

     

    Baptisia alba

    Baptisie blanche

    Plante de plein soleil Plante rustique de zone 7

     

    La Baptisia alba est une plante vivace dressée peu rustique qui aime le plein soleil. La floraison, au début de l'été, produit des fleurs blanches qui s'ouvrent le long des tiges florales. Le feuillage vert-bleu est fait de feuilles trilobées. Jusqu'à 1.5 mètre de hauteur.

     

    Fleurs cultivées 

    Fleurs cultivées

    Fleurs cultivées

    Fleurs cultivées

    Fleurs cultivées

    Fleurs cultivées

    Fleurs cultivées

    Fleurs cultivées

      

    Baptisia australis

    Lupin indigo

    Faux indigotier

    Plante de plein soleil Plante de mi-ombre Fleurs coupées Sol au pH acide ou neutre Plante rustique de zone 3

     

    Le lupin indigo, ou faux indigo, est une plante vivace vigoureuse qui pousse en plein soleil, mais tolère la mi-ombre, dans un sol neutre ou acide. On la cultive pour le feuillage vert vif qui ressemble à la luzerne, et les fleurs en épi. La floraison estivale produit des épis de fleurs bleu-violet qui ressemblent au lupin, qui deviennent des gousses décoratives. On l'utilise pour la fleur coupée. C'est une plante dressée qui n'aime pas la transplantation, mais qui est bien résistante au froid. Jusqu'à 1.2 mètre de haut par 75 cm d'étalement

     

    Fleurs cultivées

    Fleurs cultivées

    Fleurs cultivées

    Fleurs cultivées

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    Fleurs cultivées

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  • 14 février  : c'est la fête des amoureux

     

    Le jour de la Saint-Valentin, est considéré à divers endroits dans le monde comme la fête des amoureux, ou l’occasion pour les couples de s’échanger cadeaux et de célébrer leur amour. Pourtant, cette fête n'a pas toujours été synonyme de romantisme et de cadeaux…

     

    14 février  : Saint Valentin,c'est la fête des amoureux

    14 février  : Saint Valentin,c'est la fête des amoureux

    14 février  : Saint Valentin,c'est la fête des amoureux

    14 février  : Saint Valentin,c'est la fête des amoureux

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    14 février  : Saint Valentin,c'est la fête des amoureux

    14 février  : Saint Valentin,c'est la fête des amoureux

     

    Les origines païennes de la St-Valentin

     

    Les origines de la Saint-Valentin ne font pas consensus, mais la majorité des historiens s'accordent sur le fait que cette fête trouve son origine dans la Rome antique. Dans le calendrier de la Grèce antique, la période de mi-janvier à mi-février était après tout consacrée au mariage sacré de Zeus et d’Héra…

     

    14 février  : Saint Valentin,c'est la fête des amoureux

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    14 février  : Saint Valentin,c'est la fête des amoureux

     

    Du 13 au 15 février se tenait aussi la fête des Lupercales en l’honneur du dieu Lupercus. Toutefois, pas de mots doux et de fleurs en cadeau, mais plutôt des sacrifices et rituels plutôt étranges. Le 15 février, douze ''prêtres'' sacrifient un bouc dans une grotte où, selon la légende, la louve avait allaité Romulus et Rémus. Couteaux ensanglantés à la main, et peaux d’animaux sur le dos, les prêtres enduisaient ensuite les jeunes gens issus de familles nobles du sang des bêtes sacrifiées.

    Ils courent ensuite dans la ville armés de lanières de peau de bouc, pour fouetter les femmes qui se mettent sur leur passage, un rituel qui aiderait à les rendre fécondes! La fête prend aussi la forme d’une "loterie de l'amour"; les jeunes gens tirent au sort le nom de leur partenaire avec qui ils formeront un couple pour le reste de l'année, à leur grand bonheur ou non... Le pape fait abolir les Lupercales vers 495 et choisit saint Valentin comme saint patron des amoureux et décrète que le 14 février sera son jour de fête.

     

    14 février  : Saint Valentin,c'est la fête des amoureux

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    14 février  : Saint Valentin,c'est la fête des amoureux

     

    Valentin, un homme romantique au destin tragique?

     

    Il s’agirait probablement du martyr Valentinus, qui vécut sous l'empereur romain Claudius II. Sous les ordres de l’empereur, tous les mariages de l'empire furent interdits, afin que ses soldats ne soient pas tentés de rester avec leur famille et partent en plus grand nombre à la guerre. Le prêtre Valentin, aurait cependant continuer de marier secrètement les amoureux, jusqu'à ce qu'il se fasse prendre, emprisonné, puis exécuté... un 14 février.

     

    14 février  : Saint Valentin,c'est la fête des amoureux

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    14 février  : Saint Valentin,c'est la fête des amoureux

     

    Laissons l'antiquité pour retrouver nos amoureux

    si bien représentés par Peynet

     

    14 février  : Saint Valentin,c'est la fête des amoureux 

    14 février  : Saint Valentin,c'est la fête des amoureux

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    14 février  : Saint Valentin,c'est la fête des amoureux

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  • " Février " poème de William Chapman

     

    Février

     

    Le soleil maintenant allonge son parcours;

    L'aube plus tôt sourit aux bois impénétrables;

    Mais l'air est toujours vif, l'autan rugit toujours

    Parmi les rameaux nus et glacés des érables.

    " Février " poème de William Chapman

    L'avalanche sans fin croule du ciel blafard;

    Nos toits tremblent au choc incessant des tempêtes.

    Cependant à travers bise, neige, brouillard,

    Nous formons de nos jours une chaîne de fêtes.

    " Février " poème de William Chapman

    Et tous les rudes sports d'hiver battent leur plein

    Au milieu de clameurs follement triomphales;

    Sur des flots dont le gel fit un cirque opalin

    Les grands trotteurs fumants distancent les rafales.

    " Février " poème de William Chapman

    Sur le ring ou l'étang par le vent balayé

    Le gai patineur file ou tourne à perdre haleine.

    Le sourire à la lèvre et la raquette au pied,

    Des couples d'amoureux cheminent dans la plaine.

    " Février " poème de William Chapman

    Par un souffle inconnu chacun est emporté.

    Dans tous les yeux le feu du plaisir étincelle;

    Et dans le bourg naissant comme dans la cité

    Le bruyant Carnaval agite sa crécelle.

    " Février " poème de William Chapman

    Les hôtels sont bondés de lointains visiteurs.

    Maint pierrot dans la rue étale sa grimace.

    La nuit, torches aux poings, les fougueux raquetteurs

    S'élancent à l'assaut des grands palais de glace.

    " Février " poème de William Chapman

    A d'émouvants tournois la multitude accourt.

    Tout le peuple s'ébat, tout le peuple festoie,

    Car, puisque Février est le mois le plus court,

    Il voudrait s'y griser de la plus longue joie.

     

    William Chapman.

     

    " Février " poème de William Chapman

     

    " Février " poème de William Chapman

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  • Villefranche de Conflent ( Pyrénées Orientales )

    Villefranche de Conflent ( Pyrénées Orientales )

     

    Villefranche de Conflent (Vilafranca de Conflent en catalan) est une commune française, située dans le département des Pyrénées Orientales à environ 50 km à l’ouest de Perpignan dans le Languedoc Roussillon. Ses habitants sont les Villefranchois et les Villefranchoises.

     

    Villefranche de Conflent ( Pyrénées Orientales )

     

    Villefranche de Conflent se trouve dans une vallée profonde, au confluent de deux rivières, le Cady et de la Têt, au pied du Massif du Canigou qui sépare la France de l’Espagne.

     

    Villefranche de Conflent ( Pyrénées Orientales )

     

    Villefranche de Conflent est une ville importante, à la fois pour son important patrimoine mais aussi pour son histoire qui est au centre de celle de la région, le village est classé parmi les plus beaux villages de France et fait parti des 12 sites Vauban inclus dans la liste du patrimoine mondial de l’Unesco.

     

    Villefranche de Conflent ( Pyrénées Orientales )

     

    La cité de Villefranche de Conflent, construite en marbre rose est toujours entourée par son enceinte fortifiée, d’origine médiévale et grandement remaniée au fil des siècles, notamment au 17ème siècle par Vauban, qui fait bâtir le fort Libéria qui domine toujours la ville. Ses rues ont conservé leur caractère médiéval, avec de nombreux bâtiments remontant à cette période.

     

    Villefranche de Conflent ( Pyrénées Orientales )

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    Villefranche de Conflent ( Pyrénées Orientales )

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    Villefranche de Conflent ( Pyrénées Orientales )

    Villefranche de Conflent ( Pyrénées Orientales )

     

    Elle a développé une activité touristique essentiellement estivale. On y trouve ainsi de nombreuses échoppes d’artisans, présentant des produits locaux (poterie, pâtisserie et savons entre autres).

     

    Villefranche de Conflent ( Pyrénées Orientales )

     

    Sur un site architectural d’exception, vous pourrez vous promener librement et visiter la Cité Médiévale, ses remparts encerclant Villefranche de Conflent,

     

    Villefranche de Conflent ( Pyrénées Orientales )

     Villefranche de Conflent ( Pyrénées Orientales )

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    Villefranche de Conflent ( Pyrénées Orientales )

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    Le Fort Libéria ,

     

    Villefranche de Conflent ( Pyrénées Orientales )

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    Villefranche de Conflent ( Pyrénées Orientales )

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    Villefranche de Conflent ( Pyrénées Orientales )

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    le Souterrain dits « des 1000 Marches » reliant le village au Fort,

     

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     l‘artisanat local, les commerces et les boutiques, les galeries d‘Art

     

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  • Peintures de : Raymond Allègre

     

    Raymond Allègre, est un peintre français né à Marseille (Bouches-du-Rhône) en 1857 et mort en cette même ville en 1933. Elève d’Alexis Vollon, Léon Bonnat et J.P. Laurens, il exposa au Salon des Artistes Français de 1881 à 1932, et obtint le prix Raigecourt-Goyon en 1893 ainsi qu’une médaille de bronze à l’Exposition Universelle de 1900. Il fut promu Chevalier de la Légion d’Honneur en 1903. 

     

    Peintures de : Raymond Allègre

    Peintures de : Raymond Allègre

    Peintures de : Raymond Allègre

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    Peintures de : Raymond Allègre

    Peintures de : Raymond Allègre

    Peintures de : Raymond Allègre

     

    Peintre des paysages de la Provence il est également classé dans les Orientalistes. Il apprend le métier à l'École des beaux-arts de Marseille avec Jean-Paul Laurens, Il est l'ami de Jean-Baptiste Olive, (1848-1936), avec lequel il va participer à la décoration du célèbre restaurant de la Gare de Lyon, Le Train bleu à la demande de Stéphane Adolphe Dervillé, (1848-1925) directeur du PLM, (Paris-Lyon-Méditerranée) et à l'architecte Marius Toudoire, (1852-1912) chargé des travaux d'aménagement et de la décoration.

     

    Peintures de : Raymond Allègre

     

    Il monte se perfectionner à Paris et intègre à l'École nationale supérieure des beaux-arts de Paris l'Atelier d'Alexis Vollon (1865-1945) et celui de Léon Bonnat. Peint des paysages de la région parisienne et de la Normandie depuis 1875. Il retourna en Provence où il peint Martigues, que l'on appelle la Petite Venise provençale, Monaco et ses environs.

     

    Peintures de : Raymond Allègre

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    Peintures de : Raymond Allègre

    Peintures de : Raymond Allègre

    Peintures de : Raymond Allègre

    Peintures de : Raymond Allègre

     

    Il expose au Salon de 1880 à 1932 un an avant sa disparition. En 1901 il dédicace un tableau, La ferme de Quiberville, à Madame H. Gautier qui vivait avec son époux à Marseille et qui étaient les amis du peintre ainsi que de son confrère Joseph Garibaldi.

    Il remporte de très nombreux prix et l'État lui achète des toiles pour différents musées.

     

    Peintures de : Raymond Allègre

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    Peintures de : Raymond Allègre

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    Peintures de : Raymond Allègre

    Peintures de : Raymond Allègre

    Peintures de : Raymond Allègre

     

    Il découvre Venise à l'occasion d'un voyage qu'il effectue en 1900 et devient amoureux de cette ville qui lui inspire un grand nombre de toiles. Il subit l’influence de Vollon, mais à la suite de son voyage à Venise, il décide de son orientation. Il ne cessera de multiplier les vues de la cité des Doges, qu’il répète de « chic » dans son atelier parisien.

     

    Peintures de : Raymond Allègre

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    Peintures de : Raymond Allègre

    Peintures de : Raymond Allègre

    Peintures de : Raymond Allègre

     

    Très habile il se révèle capable de restituer l’impression, la spontanéité du motif pris sur le vif. Il a aussi peint des paysages de Martigues et provençaux mai également des vues de la région de Paris.

    Il avait envoyé 3 tableaux à l’Exposition décennale de Paris en 1900, et présenta 19 toiles à l’Exposition Coloniale de Paris en 1906.

     

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