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Pour ceux qui ne connaissent pas encore la dimension de ce peintre, JOUENNE est né " Peintre " à Boulogne sur Seine en 1933. En 1955, il passe le professorat de dessin de la Ville de Paris. C'est à Meudon qu'est ancré son formidable atelier mais c'est à Eygalières, en Provence, qu'est sa maison de cœur.
Le peintre peut être imagé à une tornade artistique en perpétuelle activité. Son exceptionnelle puissance de travail lui confère aujourd'hui plus de 3000 œuvres dispersées à travers le monde entier.
Michel JOUENNE accumule les distinctions ; fait chevalier de la Légion d'Honneur en 1990, devenu peintre officiel de la Marine en 1991, bardé de plus de soixante médailles dont celle en or des Artistes Français et la grande Médaille de Vermeil des Arts, Sciences et Lettres, puis celle de la Ville de Paris, JOUENNE n'a plus de distinctions à recevoir que celle de la reconnaissance du plus grand nombre à aimer sa peinture..
" Je suis un terrien qui aime le soleil, le vent, la pierre et l'eau. Ma peinture en est imbriquée comme la vie, la nature est ma maîtresse ! Je tire d'elle, de ma relation physique avec les paysages auxquels je m'identifie et avec les quatre éléments fondamentaux qui la composent, une jouissance librement sensorielle. Et je n'ai pas d'autre message à traduire dans ma peinture que l'expression du plaisir que cette pénétration me procure
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La garrigue
Hirsutes buissons gris, cailloutis et rocaille,
Chaos de galets blancs et rochers dénudés
Sous le grand soleil fou qui cure et qui fouaille
De ses rayons d’acier les plantes assoiffées :C’est un monde très sec où la pierre étincelle,
Cinglé par le mistral, ravagé de lumière ;
Un monde à la beauté primitive et austère,
Engourdi sous la voûte marine du ciel.Monde aride et brûlant mais jamais silencieux,
Car inlassablement les cigales y criquent.
Univers gris et blanc sous un ciel toujours bleu ;
Un monde sans douceur aux accents archaïquesDu tout-début des temps. Les fleurs y sentent bon,
Comme si leur parfum pouvait les protéger
Contre l’excès en tout. Et leur exhalaison
Flotte dans l’air limpide en effluves légers.Aujourd'hui, il y a deux autres articles à voir : un sur les beaux villages de France et l'autre sur de la peinture, à vous de choisir ........
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La plaine de Caen descend doucement, les champs de blé et de sainfoin viennent mourir dans la mer. De petits cultivateurs profitent du climat pour faire prospérer la production maraîchère. On y pratique également avec succès l'élevage de superbes trotteurs. Aux abords des villages, une ceinture d'ormeaux assure un rôle protecteur contre les vents qui soufflent sur la plaine dénudée.
En bordure littorale, les villas épousent le goût normand; quelques unes pourraient rivaliser d'élégance avec celles des grandes plages de Beuzeval ou de Trouville.
Le chateau se dresse sur un coteau, il a été construit par Guillaume Le Sens à l'emplacement d'un château féodal dont il ne reste que les fondations et les caves. Avec ses hautes toitures, ses cheminées sculptées, son charmant pavillon Renaissance flanqué d'une tourelle d'escalier et de deux échauguettes, l'édifice a belle allure. Gyp, la romancière, y recevait Anatole France.
La côte bénéficie de la commodité de la ligne Decauville qui fait la liaison avec Luc, Caen, Cabourg et Dives. Les wagons de ce charmant joujou ont du style et, sur le parcours, les haltes en poutrelles et en briques relèvent d'une architecture pittoresque.
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La petite rue
Au fin-fond de Tallard une petite rue
Où dorment des maisons aux recoins biscornus.
Des maisons rose et ocre aux angles adoucis
Et que désavoueraient les maçons d’aujourd’hui.Devant quelques maisons un tout petit jardin
Qui croule sous les fleurs dès que l’été revient ;
Ici c’est une cour grande comme un patio
Où roucoule le soir le chant d’un tourtereau.Une fontaine y coule à longueur de journée,
De journée et de nuit… Tout au long de l’année !
Et le bruit de la rue c’est le soupir de l’eau
Qui chuinte dans la vasque où boivent des oiseaux.Nul n’y passe jamais. Silencieuse et autiste,
Elle a su échapper aux hordes de touristes
Déferlant en été sur la Haute-Provence.
Une rue d’autrefois, taiseuse et en dormanceOù vivent peu de gens. Ils sont vieux et fanés
Et leur vie sans douceur les a pas mal usés,
Les oubliant pourtant au fond de leur impasse.
Ils ne font pas de bruit, attendant qu’elle passe…Si le coeur vous en dit vous pouvez regarder également de la peinture et un beau village de France.......
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C'est une aubaine pour la station : le chemin de fer de Caen rencontre la mer à Luc et 300 mètres séparent la gare de la plage. L'argument est intéressant à faire valoir pour Luc, qui revendique à la fois une certaine ancienneté et le privilège de la plage la plus étendue et la plus connue de la Cote de Nacre.
De petites falaises jaunatres percées de nombreuses grottes encadrent le rivage de sable fin, situé en face des Rochers du Calvados qui furent jadis perfides pour le "Salvador", navire de l'invincible Armada.
Les cures marines jouissent d'une réputation fortifiante pour combattre l'anémie : l'air, le soleil, le barbotage dans les flaques, les bains chauds d'eau de mer, de varech et d'algues brunes combinent leurs effets bénéfiques.
La digue-promenade aligne ses cabines et, de cette terrasse, rien n'échappe aux parents qui surveillent leur progéniture.
Le casino cultive l'éclectisme : le programme pendant la saison s'ouvre à la danse, la musique, le théatre et le cinéma, sans oublier les jeux.
Les barques de pêche trouvent un abri naturel dans le port. Des pêcheries et des salaisons prospèrent et, chose moins courante, Luc a l'avantage d'un laboratoire de zoologie maritime qui a pignon sur rue.....
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À l'heure où Jésus passait de ce monde à son Père, il disait à ses disciples : « Ne soyez donc pas bouleversés : vous croyez en Dieu, croyez aussi en moi.
Dans la maison de mon Père, beaucoup peuvent trouver leur demeure ; sinon, est-ce que je vous aurais dit : Je pars vous préparer une place ?
Quand je serai allé vous la préparer, je reviendrai vous prendre avec moi ; et là où je suis, vous y serez aussi.
Pour aller où je m'en vais, vous savez le chemin. »
Thomas lui dit : « Seigneur, nous ne savons même pas où tu vas ; comment pourrions-nous savoir le chemin ? »
Jésus lui répond : « Moi, je suis le Chemin, la Vérité et la Vie ; personne ne va vers le Père sans passer par moi.
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Tu pensais que je ne te regardais pas !
J'ai vu que tu mettais mon premier dessin sur le frigidaire
J'ai appris que tu étais fière de moi
J’ai vu que tu nourrissais un chat errant
J’ai appris qu’il faut bien soigner les animauxTu pensais que je ne te regardais pas !
J’ai vu des larmes couler de tes yeux
J’ai appris que parfois des petites choses nous blessent,
Et il est permis de pleurer.Tu pensais que je ne te regardais pas !
J’ai vu que tu faisais mon gâteau préféré
J’ai appris que des petites choses sont très agréables dans la vieTu pensais que je ne te regardais pas
J’ai senti un baiser sur ma joue pour me souhaiter bonne nuit
Je me suis senti protégé par ton amourTu pensais que je ne te regardais pas !
J’ai vu que tu faisais à manger pour le voisin malade et alité
J’ai appris que nous devons aider et soigner les autresTu pensais que je ne te regardais pas !
J’ai vu que tu nettoyais bien partout
J’ai appris que l’on doit respecter ce que nous avonsQuand tu pensais que je ne te regardais pas !
J’ai appris des leçons de la vie que je devais apprendre
Comme toi, je dois être une personne bonne, gentille, et courageuse quand je serais grand !Je t’ai regardé et j’ai voulu te dire…
Merci pour toutes ces choses que j’ai vu
Quand tu croyais que je ne te regardais pasMaman,
J'ai trouvé ce poème sur le net, j'espère que vous l'aimerez...........
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Né en 1968 à honfleur, Autodidacte, je commence à peindre mes premiéres toiles à l'âge de 16 ans, prend des cours de peinture avec le peintre éric boudet de dramart connu des quais honfleurais, puis trouve enfin mon style
mon domaine de prédilection les paysage de normandie, sa verdure et ses pommiers, ses maison aux de toits de chaume, honfleur et son vieux bassin…
Plusieurs voyages en provence et en bretagne m'ont inspiré pour d'autres paysages où la Lumiére et les ombres font un contraste à ma région natale.
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On est le douze juin. On a mis dans la cour
Une bassine d’eau tiédie par le soleil.
Pas trop chaud, pas trop froid : c’est une vraie merveille
Que ce temps idéal dont on oublie toujoursQu’il est le privilège de ce doux mois d’été…
Assise dans son bain la petite Lison
Se plaît à barboter avec ses canetons.
Piscine en réduction, baignoire pour bébés,La bassine lui donne tout autant de joie
Qu’un plus vaste bassin de marbre ou de porphyre.
Le soleil y miroite en paillettes saphir
Et la brise y ondule en froissements de soie.Germain le canard jaune a coulé tout au fond
De l’eau chaude où patauge la petite fille.
Plus de peur que de mal, ce n’est qu’une broutille :
Il est indestructible, il est tout en nylon !L’enfant gazouille et rit, égayant le jardin
De ses doux crix d’oiseau. Le soleil la caresse,
La baignant de ses rais d’une infinie tendresse.
Flottant sur la cour rôde une odeur de jasmin.
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L'église de Langrune dresse une flèche élégante, véritable point de mire qui sert d'amer aux navigateurs. Les bains de la petite station visent une clientèle de robuste constitution que l'air iodé et l'exercice aident à "se refaire"....
Bien stimulés, les plus hardis des baigneurs ne rechignent pas à se hasarder jusqu'au Raz, un banc d'écueils sur la ligne des hauts fonds que la mer découvre à chaque marée. Les crêtes noires des rochers coiffés de varech laissent à sec un monde de poissons, homards, coquillages, crabes et crevettes, retenus prisonniers dans les anfractuosités et les trous. L'important est d'arriver promptement sur les lieux, de ne pas prolonger la récolte au delà du raisonnable et de regagner rapidement car la mer revient au galop. Elle garde en effet la facheuse réputation de piéger les barques imprudemment engagées dans les défilés aux arêtes acerées.
Langrune se réclame de la proximité avec Luc, où le chemin de fer rencontre la mer, ainsi que d'une philosophie souriante : "pas de soucis, ni de toilettes, la vie libre chez soi comme au dehors, nul compte à rendre qu'à l'aubergiste et à Dieu".....
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