• Juchées sur un promontoire rocheux, les ruines du chateau d'Angles-sur-l-Anglin veillent sur le village que sépare en deux l'Anglin. Au carrefour du Poitou, de la Touraine et du Berry, Angles reste célèbre pour ses "jours", un point de broderie ancéstral.

    La nuit est tombée sur la vallée de l'Anglin depuis quelques heures quand, soudain, un déluge de flammes et de fumée embrase l'imposante forteresse et les falaises alentours. Comme chaque premier dimanche d'Aout, dans un magnifique feu d'artifice Angles offre à ses visiteurs un spectacle pyromélodique, de plein pied dans la modernité mais dont les bruits font écho à ceux de la guerre de Cent Ans ! A Angles, un site magdalien baptisé le "roc aux sorciers" et qui abrite des frises scul^ptées en bas relief, témoigne de la présence de l'Homme il y a 15000 ans dans les environs ! Bien plus tard au Moyen Age, une imposante forteresse est construite au dessus de l'Anglin, donnant naissance au bourg.    UNE HISTOIRE ANCIENNE
    S'il devient un haut lieu de résistance à l'invasion anglaise, le village ne reniera pas pour autant son nom, qui viendrait d'une tribu saxonne ayant participé à l'invasion de l'Angleterre et dont les descendants, guidés par Charlemagne, se seraient installés près de la rivière. Un moment aux mains des Anglais, qui avaient creusé dans la roche une tranchée pour s'emparer du chateau (l'endroit, d'accès difficile, conduit à la rivière et s'emprunte toujours), la forteresse, reprise par DU Guesclin, est plus tard abandonnée avant de se transformer en carrière de pierres sous la révolution. 
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  • UN VILLAGE D'ARTISTES
    Outre Georges Sand, Claude Monet, Théodore Rousseau, Jules Dupré et d'autres peintres encore dans la lignée de Monet et de l'école de Crozant succombèrent au charme de Gargilesse et des paysages verdoyants de la vallée de la Creuse. Cette tradition perdure à travers de nombreux artistes qui possèdent une maison dans le village et s'en servent comme atelier, et à travers les fetes qui ponctuent l'année. Ouvrant la saison, le marché aux fleurs et aux produits fermiers de mai précède le festival d'été, en Aout. Dès les beaux jours également, les expositions de peinture se succèdent dans le village. Le dimanche qui précède le 15 aout, les artistesen herbe peuvent meme exposer leurs oeuvres dans la rue. Le dernier week-end de septembre, les journées du Livre regroupent écrivains, libraires et éditeurs pour de fructueux échanges qui rappellent la vocation littéraire de Gargilesse.

    A LA DECOUVERTE DE GARGILESSE

      Laissez votre voiture au parking et déambulez dans la rue principale, dont le cachet romantique provient de l'harmonie des maisons anciennes et des superbes paysages sur la vallée de la Creuse surgissant entre deux échappées. Les galeries d'artistes peuplent en majorité cette rue.
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  • Enfoui dans la verdure, Gargilesse-Dampierre aligne ses maisons de tuiles brunes sur un promontoire dominant les rives de la Creuse. Ici, tout est harmonieux et tranquille. Georges Sand en fit son refuge secret, loin de l'agitation mondaine qui régnait à Nohant.

    Les environs à la fois sauvages et paisibles de Gargilesse; baptisée par Georges Sand "la petite suisse", ont réussi à séduire la plus passionnée des femmes de lettres françaises du XIXe siècle. Pour en éloigner les curieux la romancière écrivait en parlant du petit bourg niché dans ce coin perdu de l'Indre : "Je me garde bien de nommer le village dont je parle...."

    UN ESPRIT ROMANTIQUE
    Un esprit romantique flotte sur ce village peuplé de vieilles maisons habillées de lierre et defleurs dont les façades blanches bordent des rues sans age, sur le petit torrent de la Gargilesse, qui fait le tour du bourg, puis dégringole plus bas dans les eaux de la Creuse, sur l'église romane enclavée dans l'enceinte du chateau d'origine médiévale, reconstruit au XVIe siècle, et qui abrite des trésors. Aucun élément architectural moderne ne perturbe cette harmonie de pierres et de toits enchevetrés qui séduisait tant Georges Sand. Dans le bas du bourg, on peut visiter sa maison paysanne, nommé Algira, du nom d'un papillon que la romancière avait déniché lors d'une promenade dans les environs. 
    des souvenirs d'elle, de son fils Maurice, de sa petite fille Aurore peuplent cette demeure toute simple où elle passait ses vacances en oubliant un temps les mondanités de Nohant. La romancière séjourna jusqu'à sa mort, en 1876, dans ce bourg qu'elle prit comme cadre pour certains de ses romans (Les beaux messieurs de Bois-Doré, le Péché de M. Antoine) etc.
    C'est en 1857 que Georges Sand (1804-1876) qui vit alors une liaison passionnée avec un jeune graveur, Auguste Manceau, délaisse Nohant pour venir s'établir dans cette modeste maison de Gargilesse . Celle-ci est aujourd'hui transformée en musée.  






    Portrait de Georges Sand
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  • UN PONT SUR LA CREUSE
    Le Moutier d'Ahun est un village qui s'étire entre la Creuse,à l'est, et les bois qui la séparent d'Ahun , à l'ouest. Le site était déjà fréquenté à l'époque gallo-romaine, car il se trouvait à l'intersection de plusieurs voies de communication. Une stèle funéraire du IIIe si-cle est d'ailleurs incrustée dans la façade de l'église, dont le jardin abrite aussi une borne qui indique la distance en lieues gauloises. Un vieux pont, plusieurs fois remanié  mais dont la structure remonte au XIe siècle, enjambe la Creuse : typiques du Limousin, ses avant-becs en forme d'amande lui ont permis de résister aux crues de la rivière. La rive droite de la Creuse a été aménagée pour accueillir pique-niqueurs et pecheurs. Enfin, une association, la Bergerie, organise en été des expositions et des soirées de discussions.

    A LA DECOUVERTE DE MOUTIER-d'AHUN
    L'arrivée par l'est, depuis Busseau notamment, offre le plus beau point de vue sur le village, avec le pont au premier plan et le clocher émergeant de la verdure. Traversez le pont puis remontez la rue principale du village, vous accédez à l'abbatiale par le splendide porche gothique, tandis qu'une rangée d'arbres marque l'emplacement de l'ancienne nef.......  
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  • A un jet de pierre du joli bourg d'Ahun, le village de Moutier d'Ahun s'inscrit dans le cadre verdoyant et boisé des collines de la Haute Marche. Plein de charme, il se blottit autour de son église, qui abrite un bel ensemble de boiseries du XVII e siècle.

    En 997, Bosson II, comte de la Marche, décide de fonder sur ses terres d'Ahun un monastère soumis à la règle bénédictine. La tache est confiée aux moines d'Uzerche, qui choisissent un site verdoyant proche de la Creuse où s'élève déjà une petite église à Notre Dame. Bientot indépendant de l'abbaye mère, le monastère (moutier en ancien français) gagne rapidement en importance.

    LE MONASTERE D'AHUN
    Réduits à une partie de l'abbaye, les actuels vestiges du monastère rendent difficilement compte de l'étendue que connut le lieu. Il est vrai que l'édifice ne fut pas épargné par les guerres. L'église, qui avait été rebatie au XIIe siècle dans le style roman, fut aussi largement détruite pendant la guerre de Cent Ans. Des reconstructions furent menées durant la période gothique, mais n'en subsiste que le porche, car la grande nef fut incendiée en 1591 durant les guerres de Religion, de meme que les batiments conventuels et le transept. Les habitants s'approvisionnèrent dans ces ruines, rebatissant et consolidant leurs habitations avec les matériaux qu'ils y empruntaient - quelques chapitaux sont encore visibles çà et là dans les murs du village. Ce n'est qu'au XVII e si-cle que l'abbatiale connut une véritable renaissance avec l'arrivée d'une nouvelle communauté, qui reconstruisit et consolida les parties les moins délabrées. Des murs furent élevés face aux parties de la nef et du transept laissées en ruine : la décoration du choeur de lautel et de l'abside fut confiée au sculpteur Simon Bauer et à ses compagnons qui réalisèrent entre 1673 et 1681 l'exceptionnel ensemble de boiseries en chene des murs et des stalles.....
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  • la photo du puits qui était floue hier.
    L'église de Charroux                                                             
    UN CLOCHER TRONQUE
    Partiellement fortifiée, l'église Saint-Jean-Baptiste, fondée au XIIe siècle par les templiers, a été largement ramaniée au XIVe siècle. Transition entre le baroque et le gothique, elle possède un beau portail polylobé. A l'intérieur, des chapiteaux sont ornés de figurines humaines. Selon la légende, ces figurines seraient celles des tanneurs qui contribuèrent à la reconstruction de la flèche, détruite à plusieurs reprises au cours de l'histoire. Elle a définitivement disparu au XVIIIe siècle, laissant un clocher octogonal à la sihlouette tronquée

    UN REVEIL PROGRESSIF
    Si cette cité ancienne ne compte plus que trois cents habitants, ceux-ci s'attachent à faire de Charroux un lieu vivant. De nombreuses maisons modestes ou bourgeoises, ont éré rénovées et une animation joyeuse s'empare du village dès les beaux jours. Les anciennes halles du XIXe siècle accueillent début juillet un marché nocturne de produits régionnaux, et plusieurs artisans se sont installés dans le bourg. Ainsi la découverte du riche patrimoine charlois peut etre ponctuée d'une halte à l'huilerie-moutarderie, où est produite dans la plus grande tradition une moutarde locale connue depuis le XVIIIe siècle. Dans le musée du Patrimoine, où sont notamment exposés des vestiges gallo-romains et mérovingiens, c'est toute l'histoire de Charroux qui renait grace aux nombreux objets présentés et aux documents d'archives.

    A LA DECOUVERTE DE CHARROUX
    En pénétrant dans le village, vous accédez rapidement à l'une des rues qui suivent l'enceinte circulaire. Faites le tour pour découvrir la Porte de l'horloge (sa cloche sonne les heures depuis 1549) , la porte d'Orient et les Halles du XIXe siècle pavées de grosses pierres. Rendez-vous à l'Eglise Saint-Jean-Baptiste, qui mérite une visite, puis empruntez les petites rues pour accéder à la minuscule cour des Dames. Gagnez enfin le belvédère où le point de vue de la Chaume des Vents pour découvrir la campagne environnante;



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  • Replié à l'abri de ses remparts, Charroux est situé aux confins de la Limagne et du Bourbonnais. Les rues pavées et les maisons anciennes s'organisent jusqu'au coeur intime du bourg, minuscule place herbeuse qui résume l'histoire du village.

    Ancienne ville franche Charroux fut jusqu'au XIXe siècle un bourg dynamique et fort peuplé où se tenaient d'importants marchés. On y vendaient des vollailles, du gibier, de la laine, du chanvre, du beurre et du fromage. Dès la fin de l'hiver, une foule de journaliers venus de la région gagnait le village pour les travaux agricoles.

    UNE VILLE-VILLAGE
    De cette période opulente Charroux a conservé de belles maisons de maitre et de grosses fermes closes. Dans les faubourgs, les places autrefois dévolues à l'accueil des carrioles et des chevaux forment des espaces de verdure où poussent des arbres majestueux, inscrit dans un rectangle jadis protégé par des enceintes, le village s'organise selon un plan en damier évoquant celui des bastides. Les rues convergent vers le vieux quartier médiéval qui a conservé des éléments de ses remparts circulaires et deux des huit portes qui en permettaient l'accès. Autrefois intégrée à ce systme de fortifications, l'église Saint-Jean-Baptiste date, pour sa partie la plus ancienne, du XIIe siècle. Non loin de là se trouve une maison du XVe siècle reconnaissable à ses encorbellements et à ses beaux colombages. Dans ce noyau très ancien, la rue de la Poulaillerie, la rue de l'Horloge ou la rue Hennequin, pavées de grosses pierres sont bordées de demeures datant pour certaines du XVe siècle. Par un petit passage on accède au coeur meme de Charroux, une jolie cour ronde cernée de batiments aux façades concaves. Baptisée la cour des Dames, cette placette envahie par l'herbe servait autrefois de lieu de rassemblement aux bourgeois de la ville et de citadelle en cas d'attaque.

    LES PUITS DE CHARROUX  On estime à près de trois cents le nombre de puits du village. Bien supérieure aux besoins de la population, meme au XIX e siècle losqu'elle dépassait deux mille habitants, cette densité exceptionnelle révèle l'opulence de l'ancienne cité. Chaque foyer, ou presque possédait son puits. On les découvre aujourd'hui au hasard des ruelles, avec leurs murets de pierres blanches et leurs fines ferronneries auxquelles s'accrochent des plantes fleuries.....
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  • AU CHEVET DE LA BASILIQUE
    Quelques maisons ornées de tourelles coiffées de poivrières et des hotels anciens témoignent
    du riche passé de ce bourg de montagne. C'est sur la place principale, au pied de la basilique, que se concentre la vie du village, avec ses commerçants, ses hotels et ses restaurants. Malgré sa taille modeste, Orcival compte un peu plus de trois cents habitants et accueille plusieurs bonnes tables à déguster la cuisine auvergnate. Souvent inscrite à la carte des desserts, la tarte à la myrtille, aux accents montagnards, rappelle que ces volcans éteints et verdoyants en été se transforment en hiver venu en vastes espaces blanchis de neige. Les environs sont alors propices aux promenades en raquettes et au ski de fond.  LE JOUR DES PELERINS
    attesté depuis le haut-Moyen-Age, le pélerinage d'Orcival réunit chaque année, le jour de l'Ascension, une foule nombreuse. Celle-ci accompagne la statue de la Vierge à l'Enfant pour une procession conduite par l'éveque de Clermont jusqu'au tombeau de la Vierge, le long d'un chemin de croix. Situé sur un petit promontoire au-dessus du village, ce "tombeau" est en fait un édicule daté de 1872  qui abrite  une réplique de la statue.  

    A LA DECOUVERTE D'ORCIVAL
    Débutez votre visite par la basilique. Avant d'y pénétrer, observez les murs du bras sud du transept dans lequel s'ouvre le porteil d'entrée : les menottes, les chaines et les boulets suspendus aux murs sont les ex-voto que déposaient les prisonniers remis en liberté après avoir prié Notre-Dame d'Orcival, qui était parfois aussi appelée pour cette raison Notre Dame des Fers. Poursuivez votre promenade dans le village par les petites rues.
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  • Enchassé dans les monts Dore, Orcival s'enorgueillit d'un des plus beaux joyaux de l'art roman auvergnat : la basilique Notre-Dame. Mais ce chef d'oeuvre ne doit pas occulter le patrimoine plus modeste du bourg, qui se découvre au gré des ruelles.

    Nichée dans un vallon verdoyant, la basilique d'Orcival domine le modeste enchevetrement des toits de lauzes du village. L'implantation de ce chef d'oeuvre, coincé entre la montagne et la rivière, a de quoi surprendre. Alors que l'espace ne manquait pas, il a fallu détourner le cours du Sioulot pour élever la basilique. Tout s'éclaire lorsqu'on apprend que le maitre d'oeuvre qui opéra au XIIe siècle décida de confier le choix du site à la Vierge. Il jeta son marteau du haut de la colline en déclarant : "Là où il tombera, nous édifierons la basilique, " Ainsi fut fait.....

    LA BONNE VIERGE D'ORCIVAL
    Elevée d'une seule traite au début du XIIe siècle par les moines de la Chaise-Dieu, la basilique d'Orcival, construite en andésite volcanique grise; a traversé les siècles sans grand dommage. Au XVe siècle pourtant, un tremblement de terre menaça sa vouteet, sous la Révolution, le clocher perdit sa flèche. C'est par le chevet, visible de loin que se découvre l'édifice. Les absidioles s'élèvent en cascade jusqu'à la coupole et au clocher octogonal, qui domine la place principale du bourg. Au gré des changements de luminosité, on découvre l'harmonieuse simplicité des volumes propice à la concentration et à la prière.
    Depuis des siècles, les pélerins affluent de toutes parts à l'Ascencion pour prier la Vierge d'Orcival, qui trone dans le choeur de l'église. Grace aux pretres qui la cachèrent dans le mur du narthex, cette statue en bois du XIIe siècle échappa à la fureur révolutionnaire. Recouverte de vermeil et d'argent, elle est ainsi, encore aujourd'hui, la plus vénérée des Vierges Auvergnates.   
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  • UN NOUVEL AGE D'OR
    Des nombreuses batisses en arkose qui constituaient le chateau et ses dépendances (il ne  subsiste aujourd'hui, outre le donjon primitif, que la tourelle polygonale qui lui fut accolée pour accueillir un escalier. Il y a quelques années encore, le donjon menaçait ruine. Restauré et aménagé  en chambres d'hotes par son actuel propriétaire, courinné de créneaux et entouré de jardins en terrasses soigneusement entretenus, il témoigne à nouveau de la grandeur passée des chevaliers de Montaigut. Au gré des ruelles bordées de maisons de pierre, sur lesquelles arbustes et fleurs mettent dès le printemps des touches colorées, un vieux four banal, une ancienne porte de la ville et des vestiges des remparts évoquent encore le Moyen-Age. Là, c'est la Renaissance qui surgit avec une maison dotée d'échauguettes et d'un chemin de ronde; ailleurs, le XVIe siècle se matérialise dans une tourelle surmontant une maison bourgeoise. Quelquesmaisons vigneronnes, reconnaissables à leur escalier extérieur, rappellent le passé viticole du village. C'était au XIXe siècle avant la crise du phyloxéra ne réduise à néant cette activité.  UN DESSIN POUR LA MEMOIRE
    Dans son Armorial paru en 1456, dans lequel sont rassemblées les armoiries des nobles familles d'Auvergne, du Forez et du Bourbonnais, Guillaume Revel intégra un croquis du chateau de Montaigut-le-Blanc. On y voit le donjon, couronné de créneaux et flanqué d'une chapelle. Enserrant le village, une enceinte percée d'archères et rythmée par des tours imposantes épouse les sinuosités de la pente; l'église, qui se situe à l'extérieur des remparts, était surmontée d'un clocheton polygonal aujourd'hui disparu.

    A LA DECOUVERTE DE MONTAIGUT-LE-BLANC
    Il faut voir le donjon, l'église paroissiale établie en contrebas sur un petit replat, le four banal, les anciens remparts et les vestiges de la porte gothique. Au pied de la butte près de la Couze, le village "bas" accueille les commerces et les installations touristiques.....



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