• Déployant ses maisons au seuil de l'embouchure de la Gironde, Talmont doit sa renommée à son église. Surgissant des remparts où viennent se brisr les vagues; il est considéré comme le plus beau sanctuaire roman du Saintonge.

    Une légende raconte qu'au Moyen-Age, un pirate avait établi son repaire dans l'une des grottes creusées dans la falaise, à Meschers, tout près de Talmont. La nuit, sortait en barque avec un bélier noir dont les cornes incandescentes attiraient les navires qui venaient alors se briser sur les récifs. Le naufrageur pillait ses proies et n'avait plus qu'à rejoindre sa grotte chargé de son sinistre butin.

    LE BRUIT DES ARMES
    La beauté exceptionnelle du site de Talmont se double d'une position stratégique qui excita longtemps les convoitises. Occupé depuis la préhistoire, le bourg charentais fut au cours des siècles la proie des Celtes, des Romains, des Sarrasins et des Anglais. Lorsqu'en 1284 Talmont est édifié en ville fortifiée sur l'ordre du roi Edouard 1er d'Angleterre, les Anglais sont les maitres de l'Aquitaine et des bords de la Gironde depuis un siècle et demi. Construit sur un promontoire rocheux qui domine l'embouchure du fleuve, il conserve tout au long de la guerre de Cent ans une importance stratégique pour l'Angleterre. Mais le temps a bien cicatrisé les plaies de cette longue succession de troubles : le village semble avoir toujours vécu dans la douce sérénité qui l'enveloppe aaujourd'hui.  
    UN SITUATION PERILLEUSE
    Posée au bord d'un précipice balayée par le vent, l'église Sainte-Radegonde fut construite en 1094 dans le style roman saintongeais. Menacée d'éffondrement par le courant qui rongeait le calcaire de la falaise sur laquelle elle s'élève elle a été consolidée. Au XVe siècle, la nef perdit une de ses deux travées. outre sa position spéctaculaire au-dessus des flots, l'église doit également son intéret à la richesse de son décor sculpté notamment sur les voussures du portail nord montrant l'agneauu mystique en compagnie des anges. Sur l'arc de gauche, on distingue des monstres à gueule de crocodiles et sur la frise qui prolonge les chjapitaux, une femme allongée face à un lion.....
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  • Ancienne plate-forte, Aubeterre s'étage dans un amphithéatre naturel au dessus de la verdoyante vallée de la Dronne. Accrochée à une falaise blanche, ses maisons à balcons bordent les ruelles en pente, dominées par un chateau

    "Il vit arriver en cette ville d'Aubeterre plusieurs bandes et compagnies de gens de guerre avec enseignes et tambourins de la nouvelle secte et religion que l'on appelle huguenots : à leur arrivée , ils se mirent à rompre les croix, les églises, autels, images et autres parements : en ladite église Saint-Jacques, ils rompirent et brisèrent tout le choueur".

    UN PARFUM MERIDIONAL

    Seule la belle façade de l'église Saint-Jacques survécut à cette attaque en 1562, sécrite par un témoin de cette époque. Reconstruit au XVIIe siècle, l'ancien édifice roman a conservé les arcades et les arcatures finement sculptées autour du portail représentant les travaux des mois, des régions et des motifs géométriques de style hispano-mauresque. Ttaditionnellement, on pense que cet ornement fut inspiré par le passage à Aubeterre des pélerins de Saint-jacques-de-Compostelle, lesquels auraient influencé l'ensemble de l'architecture du village qui dégage un vrai parfum méridional, inattendu en Charente. La végétation luxuriante qui envahit les balcons et les jardinets des maisons en cascade, débordant par endroits dans le lacis des ruelles, contribue à renforcer cet agréable sentiment d'exotisme.

    L'EGLISE SOUTERRAINE

    la très mystérieuse église monolithique, taillée dans le roc dès le XIe siècle pour abriter les reliques rapportées de Jérusalem par les croisés, participe à la magie ambiante d'Aubeterre. Creusée dans le coteau calcaire, sous le chateau, cette "sombre vastité", comme la décrit Montaigne, est le plus grand sanctuaire de ce type en Europe. L'église souterraine, dédiée à Saint-Jean et reliée au chateau par des galeries creusées dans la falaise, servit d'église paroissiale jusqu'à la révolution, puis fut transformée un temps en atelier de salpetre. En 1958, une vaste nécropole contenant quatre-vingts sarcophages fut mise à jour au sud de la nef. Aujourd'hui on se rassemble dans "la grotte" durant les soirées d'été pour assister au festival des Nuits musicales d'Aubeterre. Le programme de concerts de musique classique du monde, ou de chorales, est alors mis en valeur par l'accoustique exceptionnelle de ce lieu remarquable dont il n'esiste en France que deux autres exemples : l'un à Saint-Emilion, en Gironde, l'autre à Gurat, en Charente. 
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  • LE CHARME OPERE
    Rares sont les visiteurs qui restent insensibles au charme de ce petit village haut perché au-dessus des eaux de la Dordogne. Certains lui trouvent meme un petit air toscan lorsque les derniers rayons du soleil caressent les tuiles dorées des vieilles  batisses. Les restes des remparts médiévaux, percés de portes sont encore visibles à certains endroits. Mais Bourg n'a plus à se défendre car, désormais, seuls les touristes s'y pressent dans un but des plus pacifiques : gouter son vin et apprécier son art de vivre.... Dans le port, les yoles des pecheurs, qui remplacent les gabares d'autrefois, oscillent au gré du courant.

    A LA DECOUVERTE DE BOURG-SUR-GIRONDE
    Commencez la visite au départ du petit port/ La place du Chenal conduit au vieux lavoir, alimenté par une fontaine. Suivez ensuite la rampe Cahoreau, qui vous fera passer sous la Porte le la Mer (XIIIe siècle), la seule qui subsiste de l'enceinte fortifiée. Vous voilà au coeur de la partie haute du bourg. Plantée de tilleuls et d'ormeaux, la Place du District offre un superbe panorama sur les toits de la ville basse et le fleuve. Le chateau de la Citadelle (XVIIIe siècle) est tout proche 'jardins et musée hippomobile)
    Vous aurez ensuite tout loisir de flaner dans les ruelles du village, de visiter l'écomusée du Bourgeais qui retrace l'histoire de Bourg, et de faire une halte à la Maison des Vins, qui propose une sélection de plus de cents crus........
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  • Au coeur d'une région de vignobles, Bourg-sur-Gironde cultive la douceur de vivre. Constitué d'une "ville haute" et d'un port, ce village tourné vers le cours de la Dordogne est réputé pour ses vins. Ses paysages et sa lumière lui ont valu le surnom de " Petite Suisse Girondine".

    Contrairement à ce que son nom pourrait laisser croire, Bourg-sur-Gironde est situé sur les bords ....de la Dordogne. Mais la Gironde n'est pas loin. A l'origine, elle baignait le village qui se trouvait au confluent de la Dordogne et de la Garonne. Ce changement de situation est lié à un phénomène  naturel : nourri par les alluvions des deux cours d'eau, le  Bec d'Ambès s'est allongé au fil des siècles, faisant avancer la ligne de séparation des eaux. L'estuaire de la Gironde se trouve donc aujourd'hui plus loin qu'il ne l'était autrefois, et Bourg-sur-Gironde n'est plus sur la Gironde.

    UN VILLAGE FORTIFIE
    Connu à l'époque gallo-romaine, Bourg, dont le nom dérive sans doute de l'occitan borc. "ville fortifiée", est ceinturée de fortifications dès le Ve siècle. Le petit village s'affranchit au Moyen-Age, obtenant le statut de commune à l'image des cités italiennes comme le précise sa charte. Au XIIIe siècle, Bourg fait partie d'une chaine de bastides fortifiées destinées à défendre la région et l'embouchure de la Garonne. Quelques siècles plus tard, le village profite du développement du vignoble : la petite cité commerçante prospère autour d'une activité à laquelle elle doit toujours sa renommée et sa fortune. Car Bourg-sur-Gironde est établi au coeur d'un vignoble qui couvre 3 000 ha sur la rive droite de la Dordogne, englobe quinze communes et regroupe 550 viticulteurs.

    LES COTES DE BOURG   Les cotes de bourg rouges sont issus des cépages melot, cabernet sauvignon et malbecs, les blancs, encore peu connus, des cépages sauvignon, sémillon, muscadelle et colombar. Ils sont à découvrir dans tous les restaurants, chez les cavistes ou mieux encore, directement à la propriété.  
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  • UN CALME TROMPEUR
    Par bonheur, Saint Emilion a pansé ses plaies. Auréolé de la réputation prestigieuse des ses grands crus, il peut s'énorgueillir depuis 1999 d'etre classé, avec les sept communes qui l'entourent, au Patrimoine mondial de l'UNESCO. La pierre ocre, comme dorée par le soleil, donne son unité à ce bourg qu'il faut arpenter à pied en montant et en redescendant les escaliers, ces ruelles médiévales qui réservent aux promeneurs de splendides points de vue. Au loin, la flèche de l'église monolithe domine les paisibles maisons couvertes de tuiles, datant pour la plupart des XVIIIe et XIXe siècles. La cité n'a rien d'une belle endormie : l'animation de la rue Guadet, la principale artère commerçante, n'a rien à envier à l'effervescence colorée du marché qui se tient tous les dimanches place Bouqueyre, ni à celle des grandes fetes annuelles placées sous le signe du vin et de la gastronomie.   
     
    A LA DECOUVERTE DE SAINT-EMILION
    Vous pouvez pénétrer dans le bourg par la place du Maréchal Leclerc , en laissant à votre gauche les Grandes Murailles, vestiges d'une église gothique détruite durant la Guerre de Cent Ans. Franchissant la porte Bourgeoise, vous gagnez ensuite la rue du Clocher qui conduit à la collégiale (XIIe et XVe siècles). Reprenant la rue Madame Bouquey, vous parvenez à l'église monolithe, en contrebas de la place des Crépeaux et à la chapelle de la Trinité (XIIe siècle).  Par la place du Marché, engagez-vous enfin dans la rue Cadène, dans laquelle s'élève une belle maison à pans de bois ; avant d'emprunter la rue de la Porte Brunet, que longe le couvent des Cordeliers........
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  • Au coeu du prestigieux vignoble auquel il a donné son nom, bati en amphithéatre sur les flancs d'une colline calcaire dominant la Dordogne, cultive cette noblesse souveraine qui est l'apanage des lieux chargés d'Histoire.

    Qui pourrait imaginer qu'à l'emplacement de la ville actuelle s'étendai au VIIIe siècle une foret touffue. C'est pourtant dans ce lieu retiré qu'un moine breton du nom d'Emilien vint se réfugier dans un ermitage, modeste abri qu'il creusa de ses mains à meme la roche. Bientot, pélerins et disciples accoururent, attirés par la réputation du saint homme, auquel on prete de nombreux miracles. 

    UN PATRIMOINE A LA LUMIERE DE L'HISTOIRE
    Batie à la fin du XIe siècle à proximité de l'ermitage de saint Emilien, l'église monolithe qui dresse son clocher dans le ciel d'Aquitaine a donné naissance au bourg. Cette église creusée dans un seul rocher fait partie du réseau des catacombes et des souterrains d'une ampleur exceptionnelle qui quadrille le village. A ciel découvert, de nombreux monuments religieux -église collégiale, couvent des Cordeliers, chapelle de la Trinité - témoignent du rayonnement spirituel du site dès l'époque médiévale. Très tot, la ville (qui a reçut au XIIe siècle une charte de franchise) s'affirme également comme une métropole commerciale dont les vins commercialisés jusqu'en Angleterre, font la réputation. Fière de son indépendance, elle s'entoure au XIIIe siècle de puissants remparts fortifiés . Cette liberté, jalousement défendue, n'empeche pas Saint-Emilion d'etre assiégé pendant la guerre de Cent Ans et de subir l'affront d'un pillage durant les guerres de Religion.     
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  • UN CHARME AUTHENTIQUE
    L'influence spirituelle de l'abbaye se fait toujours sentir à Brantome. La grotte du Jugement dernier ancrée au plus profond de la falaise, laisse filtrer une impression de mystère à laquelle les mythes fantastiques et l'imaginaire des cavernes ne sont pas étrangers. Dans les petites rues, des maisons d'époque et de style différents se succèdent : batisses gothiques, édifices Renaissance, demeures médiévales, salles troglodytiques.....Un point commun : elles sont toutes aussi noires les unes que les autres ! Les vieilles ruelles n'ont jamais été décapées, et les demeures chargées de souvenirs sont enduites d'un "jus" d'époque.

    A LA DECOUVERTE DE BRANTOME
    Commencez la visite par l'abbaye, plus précisément par le clocher, du haut duquel vous découvrirez un point de vue remarquable sur Brantome. Puis traversez la Dronne par le pont Coudé, faites le tour des logettes du Jardin des Moines et du Chemin du Vet-Galant, avant de rejoindre le quai Bertin. Vous pourrez découvrir les édifices du XIIe au XVIIe siècle de la petite ile. Levez les yeux sur les façades fleuries. Dans la rue de la Boétie, on peut admirer une ravissante cheminée médiévale du XIIIe siècle. Ne manquez pas le chateau de la Hierce 'XVIe siècle) et son jardin botanique, ainsi que l'ancien hospice. Quittez l'ile au bout de l'allée Henri-IV pour atteindre les grottes, parfois aménagées en boutiques. Ne quittez pas  Brantome sans y avoir déjeuné ou diné : le bourg est réputé pour sa cuisine !....   
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  • Etablie au pied d'une falaise, la petite cité de Brantome, surnommée la "venise du Périgord", est tout entière entourée par la Dronne. Entre sites préhistoriques et mégalithiques, abbaye bénédictine, jardins et chateaux Renaissance, elle invite à un incroyable voyage dans le temps.

    "Tu construiras ta maison sur le rocher" : tel était l'ordre donné par saint Benoit à ses disciples. Au VIIIe siècle, le choix des premiers moines bénédictins se porte sur une falaise de Dordogne, avec ses abris et ses grottes, à l'emplacemnet actuel de Brantome. La tradition assure que cette abbaye bénédictine fut fondée à l'initiative de Charlemagne qui la consacra en y déposant les reliques d'un enfant martyr, Sicaire, un des Saints Innocents.

    UNE ABBAYE PROSPERE
    Mais les bénédictins ne sont pas les premiers habitants du lieu : les traces d'une architecture troglodytique attestent qu'il était habité dès la prehistoire. La première abbaye a été construite dans le rocher. La pierre de la falaise constitue alors un matériau idéal pour l'édification du sanctuaire, puis du bourg. Car l'austère règle de Saint Benoit n'empeche pas l'abbaye de devenir le centre d'un réseau d'échanges et de pouvoirs : les reliques attirent les pélerins, les foires favorisent le développement du commerce. Le village prospère dès le Moyen-Age. Protégée par les seigneurs de Bourdeille, l'abbaye résiste à la guerre de Cent Ans , meme si elle est prise et reprise tour à tour par les Anglais et les Français. Pendant les guerres de Religion, elle échappe grace à Pierre de Bourdeille aux pillages des réformés. Ruiné sous la Révolution, le lieu est entiérement rénové au XIXe siècle: il abrite aujourd'hui la mairie, l'office de tourisme et le musée municipal.  
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  • LE MUSEE NATIONAL DE LA PREHISTOIRE
    Inauguré en 1923, le musée primitif, aménagé dans le chateau des Eysies, présentait les trouvailles réalisées sur les sites de la Vézère. De nouveaux batiments ony ouvert leurs portes depuis l'été 2004. Plud de dix huit mille objets y sont tassemblés, parmi lesquels des piéces exceptionnelles comme une lampe provenant de Lascaux et des sépulturs du Roc-de-Marsal. Ces batiments dotés d'une muséographie contemporaibe (bornes interactives...) communiquent avec le castel ruiné par une rampe.

    UN DEVELOPPEMENT CONTINU
    En 1905, alors que le village des EYZIES s'est développé et que TAYAC est demeuré un petit bourg, la commune a été rebaptisée LES EYSIES-DE-TAYAC. En 1973, le village de SIREUIL à l'est des EYZIES lui est rattaché. On parle ainsi des EYZIES-DE-TAYAC-SIREUIL meme si la continuité de l'ensemble est interrompue par la rivière Beune, dont les deux bras, la Petite et la Grande Beune enserrent SIREUIL

    A LA DECOUVERTE DES EYSIES-DE -TAYAC-SITEUIL
    Partez du bas des Eysies, depuis le quartier de la Beune. Sur la gauche vous trouverz le musée national de la Préhistoire. Toute la zone est dédiée aux premiers habitants du lieu. Après la gare, la rue de Tayac permet d'atteindre le coeur du village de Tatac, dont vous ne manquerez pas de remarquer l"égliseet le chateau. En revenant vers les Eyzies, vous parviendrez à la promenade qui suit la rivière.
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  • Au cours de la vallée de la Vézère, le village des EYZIES-de-TAYAC-SIREUIL est considéré comme la capitale mondiale de la préhistoire. Nombreux sont les visiteurs séduits par son nouveau musée inauguré en 2004, occasion d'un voyage aux sources de l'humanité.

    Il n'est guère étonnant que la vallée de la Vézère, avec son climat agréable et sa nature généreuse, ait séduit les hommes préhistoriques du Nord. Dans ces relifs qui recèlent de nombreuses grottes naturelles, ils ont pu aménager un habitat sur et relativement confortable.

    UN BOURG QUI PROSPERE
    Mais, au Moyen-Age, plus personne ne pense aux hommes préhistoriques. Les Eyzies sont alors un petit hameau  dépendant de la paroisse de Tayac, un village compact à flanc de coteau , rassemblé derrière son église fortifiée ( XIIe-XVe siècle). Face à cette impressionnante construction, couverte de lauzes et percée de meurtrières, se dresse un chateau (XIVe siècle), propriété de la chatellerie de Beynac. Adossé à la falaise, le lieu   qui surplombe la Vézère, vase développer rapidement et devenir une seigneureie autonome. Dès le XVI e siècle, le village tire parti de la navigation sur le rivière où transitent les gabares chargées de marchandises. Puis, au XVIIIe xiècle et au XIXe siècle, l'industrie du Kaolin connait un grand essor, renforçant la prospérité du bourg. En 1836; on dénombre six meuniers pour 1229 habitants.

    UNE DECOUVERTE DUE AU HASARD
    Le passé préhistorique de la région se révèle en 1863, à l'occasion de la constructiob du chemin de fer entre les Eyzies et Tayac. Les découvertes, dont les plus importantes sont réalisées au début de XXe siecle, établissent la réputation internationale de ces sites, inscrits au patrimoine mondial de l'Humanité par l'Unesco en 1979. Les fouilles qui se poursuivent encore aujourd'hui, ont révélé une occupation qui se serait étendue entre 400 000 et 9000  ans avant note éré. Da,s le petit village, dont les rues baignées de lumière si douce du Périgord, sont bordées de larges maisons aux murs clairs et aux toits bruns, les touristes se pressent aujourd(hui pour découvrir le nouveau musée national de la Préhistoire qui a ouvert ses ortes en 2004,     le batiment rectangulaire collé à la falaise est l'oeuvre de l'architecte Jean Pierre Buffi. L'essentiel de l'activité des Eyzies repose désormais sur l'exploitation de ce patrimoine fragile et irremplaçable qui permet de mieux connaitre nos lointains ancetres.
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