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Par chezmamielucette le 21 Août 2018 à 00:00
La Propriété Caillebotte est un jardin public situé en centre ville, il est autant un lieu de repos qu’une invitation à découvrir un riche patrimoine historique : les fameuses fabriques d’ornementation qui parsèment son beau parc d’agrément ont presque toutes été restaurées.
C’est ici, dans la villégiature familiale, que le peintre planta son chevalet en plein air, peignant plus de 80 toiles au cours des étés des années 1870.
En vous promenant dans le parc de 11 hectares, vous pourrez faire « le tour du monde » comme le voulaient les paysagistes du XIXe siècle et remonter le temps. Vous découvrirez ainsi la Maison Caillebotte (totalement réhabilitée et rouverte au public en juin 2017, villa palladienne,
le Chalet Suisse qui abritait la laiterie,
la Ferme Ornée,
la Volière,
l’Orangerie,
la Chapelle Notre Dame du Lierre,
la Chaumière,
la Glacière surmontée du Kiosque oriental
et le Banc couvert japonais.
Vous pourrez enfin découvrir le potager représenté par Gustave Caillebotte dans plusieurs toiles,
vous promener en barque ou canoë.
Aujourd’hui, malgré les pertes cruelles de la tempête de 1999, on peut apprécier la présence d’arbres remarquables anciens (en tout plus de trente espèces) : cèdre du Liban, platane à trois branches, chênes bicentenaires, acers, marronniers, hêtres, charmes, aussi des tilleuls, des bouleaux, des ginkgos, etc.
Le parc Caillebotte possède de nombreux arbres remarquables. Deux d’entre eux en particulier méritent le détour : le cèdre du Liban, situé à proximité du Casin ou Maison Caillebotte,et le platane, situé plus au fond du parc. Leurs âges sont estimés à environ 200 ans.
Le cèdre du Liban, visible depuis la rue, mesure près de 45 mètres de hauteur. Il a pu être planté par la famille Caillebotte dans les années 1860, sachant que celle-ci était particulièrement attentive à l’embellissement du domaine, notamment au niveau de sa richesse arboricole.
De son côté, le platane à trois troncs, de 43 mètres de hauteur, n’était pas un sujet isolé, puisqu’il possédait un “frère” de même aspect, abattu suite aux tempêtes de 1999 et 2000. Le platane est une espèce rencontrée fréquemment dans la région, mais aussi au sein même du parc Caillebotte.
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Par chezmamielucette le 20 Août 2018 à 00:00
Richard S. Johnson est un peintre américain contemporain primé basé à Chicago, Illinois. Johnson est né à Chicago d'une famille d'artistes en 1953. Alors qu'il était encore à l'école primaire, Johnson a été accepté en tant que chercheur à l'Art Institute of Chicago. Diplômé de l'American Academy of Art, il entreprend une carrière d'illustrateur. Le style de Johnson a été considéré comme ayant l'excellence technique du romantisme préraphaélique mélangé avec l'expressionnisme contemporain et l'abstraction.
Johnson a également fait des portraits de personnalités historiques, tels que l'ancien président américain John F. Kennedy et l'ancien administrateur de la NASA Richard H. Truly. Son portrait de JFK est maintenant accroché à la bibliothèque présidentielle et au musée John F. Kennedy à Boston, Massachusetts. Il a également été chargé de créer une peinture commémorative honorant les anciens présidents américains. La peinture est actuellement exposée au Conseil du Président sur la forme, le sport et la nutrition à Washington, DC
Les coups de pinceau sûrs de Johnson, l'utilisation audacieuse de la couleur et de l'empâtement, et le rendu délicat du visage humain et de la forme travaillent tous ensemble en harmonie pour créer " l'Intimité Poétique ".
« Quand je peins, j'espère aller au-delà de la toile et engager le spectateur, me connecter sur le plan d'expériences partagé, hocher la tête et dire:« Oui, c'est comme ça que la jeunesse est, c'est ce qu'est une rose comme, c'est ce que ressent la lumière du matin. "Je cherche à créer des moments partagés" - Richard Johnson.
Prix :
Mention honorable, 2005 - Salon International, Musée international des Maîtres contemporains des beaux-arts, Galerie Greenhouse, San Antonio, TX
2003 - Prix d'excellence, Oil Painters of America, Exposition du Midwest Regional Juried, Hilligoss Gallery, Chicago IL
Prix ??du public 2003, Salon International, Musée international des Maîtres contemporains des beaux-arts, Galerie Greenhouse, San Antonio, TX
Lauréat 1998 - Prix commémoratif Janet Ross pour les paysages, Société nationale des peintres d'huile et d'acrylique
1997 - Lauréat, ARTemis Award, Romance Writers of America
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Par chezmamielucette le 19 Août 2018 à 00:00
Gustave Caillebotte, né à Paris le 19 août 1848 et mort à Gennevilliers le 21 février 1894. Gustave Caillebotte, dont les oeuvres personnelles furent, jusqu'à peu, oubliées, fut à la fois un peintre reconnu et un mécène généreux du mouvement impressionniste.
Il naquit en 1848 dans une famille très aisée qui batit sa fortune dans les textiles puis dans les biens immobiliers à l'occasion du redéveloppement du Paris du Baron Haussmann.
Ingénieur de profession, mais aussi ancien élève de l'Ecole des Beaux-Arts de Paris où il fut l'élève de Léon Bonnat, il rencontra Edgar Degas, Claude Monet, et Pierre Auguste Renoir dès 1874 et les aida à organiser la 1 ère exposition des Impressionnistes à Paris cette même année.
En 1873, il hérite de la grande fortune de son père et sera financièrement indépendant pour le restant de ses jours.
En 1875, souhaitant faire ses débuts publics comme peintre, il soumit une oeuvre au Salon Officiel qui fut refusée, ce qui l'incita à exposer, soutenu par Renoir, dans le cadre -plus favorable- de la deuxième exposition du groupe impressionniste, en 1876. Ses oeuvres et en particulier les "Raboteurs de parquet" y furent remarquées et appréciées. Il participera dès lors aux expositions ultérieures des Impressionnistes
Riche et généreux, Caillebotte aidera financièrement tout au long de sa vie ses amis impressionnistes en leur achetant leurs oeuvres à des prix élevés et en supportant les frais de leurs expositions. Il sera co-organisateur et co-financier des 3 ème, 4 ème, 5 ème et 7 ème expositions impressionnistes, auxquelles il participera.
En 1881, il achète une maison avec jardin au Petit-Gennevilliers où il réalisera nombre de ses oeuvres. Horticulteur émérite, il correspond avec Monet à Giverny et crée des orchidées dans ses serres.
Caillebotte peignit quelque 500 oeuvres dans un style souvent plus réaliste que celui de ses amis impressionnistes. Le peintre s'illustrera particulièrement dans des vues des rues de Paris faites depuis des balcons élevés,
dans des scènes de la vie ouvrière, dans des paysages naturels de jardins et parcs,
et dans des scènes nautiques (sur la Seine à Argenteuil et sur l'Yerres).
Son souci du détail, ses notes colorées, et son rendu de la lumière font bien de lui un grand peintre impressionniste à l'oeuvre originale et diverse.
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Par chezmamielucette le 18 Août 2018 à 00:00
Ingrédients pour deux personnes
La base biscuit
60 g de petit-beurre ou autres biscuits de votre choix
20 g de beurreLa crème
100 g de fromage frais
100 g de mascarpone
7 cl de pulpe d'ananas (soit 300 g d'ananas mixé avec 2 glaçon et 2 cas de sucre)
1 cas de sucre (ou plus selon votre convenance)
1 cac d'agar agarLa gelée
3 cl de jus d'ananas
1 cas de sucre
1/2 cac d'agar agarPréparation
Mixer les biscuits avec le beurre et tapisser les fonds de cercles à entremet déposer chacun sur les assiettes de service. Bien tasser et mettre au frais en attendant.
Faire chauffer la pulpe d'ananas, lorsque cela boue, ajouter l'agar agar et mélanger non stop pendant 1 min. Oter du feu.
Mélanger le fromage frais, le mascarpone, le sucre et la pulpe chaude d'ananas. Bien battre.
Répartir sur les fonds biscuités.
Faire chauffer le jus d'ananas avec l'agar agar jusqu'à épaississement (pendant 1 min environ).
Répartir sur le mélange au fromage.
Mettre au frais pendant au moins 6 h (c'est un minimum), 12 h (une nuit c'est pas mal), 24 h c'est le top.
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Par chezmamielucette le 17 Août 2018 à 00:00
Le cosmos est une fleur annuelle qui se cultive très facilement et se prête très bien aux bouquets. Ils donnent de la légèreté aux massifs de fleurs dans lesquels on aime les utiliser, notamment avec des fleurs vivaces.
Ils craignent le gel, bien évidemment, à part une variété vivace qui est un bulbe. Les cosmos appartiennent à la famille des marguerites et fleurissent tout l'été sans aucun souci, jusqu'aux gelées !
Bonne surprise, les cosmos se ressèment naturellement d'une année sur l'autre, généralement !Famille : Astéracées
Type : annuelle
Origine : Mexique
Couleur : fleurs blanches, roses, pourpres, jaunes, oranges
Bouture : non
Plantation : semis en mai
Floraison : étéHauteur: jusqu'à 1,20 m pour certaines variétés
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Par chezmamielucette le 16 Août 2018 à 00:00
Classé parmi les plus beaux villages de France, Gordes s'élève face au massif du Luberon. Il fut l'inspiration de beaucoup d'artistes tels que Marc Chagall, Victor Vasarely, André Lhote ou Pol Mara, ils tombèrent tous sous le charme de ce village perché et s'y installèrent pour y vivre.
Gordes est l'un des villages les plus renommés de la Provence et aussi l'un des plus visités, ancré sur les hauteurs d'un piton rocheux et adossé sur le flanc sud des contreforts des Monts du Vaucluse, c'est une des communes les plus étendues de la région.
Le patrimoine de Gordes n'est que splendeur, le diamant du village cette pierre blonde que l'on retrouve à travers de nombreux hameaux anciens, des maisons, des édifices tels que deux abbayes, des moulins à eau et à vent et des centaines de cabanes en pierre sèches font de ce village un joyau de la Provence.
Les pentes escarpées de la montagne dévoilent des maisons enracinées depuis des générations.
Les milliers de visiteurs ne se lassent pas de déambuler les charmantes ruelles étroites et pavées où durant la saison estivale, le village est le coeur de multiples manifestations culturelles, d'incontournables festivals, concerts, musées et nombreuses expositions.
Le Château
Le château reconstruit en 1525, existait déjà en 1031. Bien conservé et restauré avec soin, il lie l’architecture de la période troublée du Moyen Age au nouvel art de vivre de la Renaissance.
L’imposant édifice est puissamment défendu par de grosses tours rondes dont la couronne de mâchicoulis supporte une terrasse pour l’artillerie, les hauts murs ont percés de trois étages de fenêtres « renaissance », on remarque aussi sur les murs, les tours et les échauguettes, les ouvertures des bouches à feu judicieusement réparties.
La façade sud du château s’ouvre au soleil face au vieux Gordes ; derrière la fontaine, une porte voûtée percée dans la muraille accède par une cour intérieure à l’escalier monumental qui dessert le bâtiment.
L'église Saint Firmin
L’église consacrée à Saint Firmin, saint patron du village, a été construite au 18ème siècle.
A cette époque la population gordienne est importante et l’église médiévale devenue trop exiguë est rasée ainsi qu’une vingtaine d’habitations pour permettre la construction de l’église actuelle. L’imposant édifice aux allures de forteressetrône au sommet du rocher et donne au village son allure de citadelle.
L’intérieur est remarquable par ses boiseries et ses peintures murales riches en couleurs.
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Par chezmamielucette le 15 Août 2018 à 00:15
Aux bains de mer
Sur la plage élégante au sable de velours
Que frappent, réguliers et calmes, les flots lourds,
Tels que des vers pompeux aux nobles hémistiches,
Les enfants des baigneurs oisifs, les enfants riches,
Qui viennent des hôtels voisins et des chalets,
La jaquette troussée au-dessus des mollets,
Courent, les pieds dans l’eau, jouant avec la lame.
Le rire dans les yeux et le bonheur dans l’âme,
Sains et superbes sous leurs habits étoffés
Et d’un mignon chapeau de matelot coiffés,
Ces beaux enfants gâtés, ainsi qu’on les appelle,
Creusent gaîment, avec une petite pelle,
Dans le fin sable d’or des canaux et des trous;
Et ce même Océan, qui peut dans son courroux
Broyer sur les récifs les grands steamers de cuivre,
Laisse, indulgent aïeul, son flot docile suivre
Le chemin que lui trace un caprice d’enfant.Non loin d’une maman brodant sous son ombrelle,
Et trouvent, à coup sûr, chose bien naturelle,
Que la mer soit si bonne et les amuse ainsi.
– Soudain, d’autres enfants, pieds nus comme ceux-ci,
Et laissant monter l’eau sur leurs jambes bien faites,
Des moussaillons du port, des pêcheurs de crevettes,
Passent, le cou tendu sous le poids des paniers.
Ce sont les fils des gens du peuple, les derniers
Des pauvres, et le sort leur fit rude la vie.
Mais ils vont, sérieux, sans un regard d’envie
Pour ces jolis babys et les plaisirs qu’ils ont.
Comme de courageux petits marins qu’ils sont,
Ils aiment leur métier pénible et salutaire
Et ne jalousent point les heureux de la terre;
Car ils savent combien maternelle est la mer
Et que pour eux aussi souffle le vent amer
Qui rend robuste et belle, en lui baisant la joue,
L’enfance qui travaille et l’enfance qui joue.François Coppée, Le Cahier Rouge
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Par chezmamielucette le 15 Août 2018 à 00:00
Une croyance, une fête, un dogme
Que fete-t-on a l'Assomption? Malgré la discrétion des Évangiles, les premiers chrétiens n’ont pas mis longtemps à réfléchir à la place de Marie dans leur foi. Ils ont rapidement voulu célébrer ses derniers moments, comme ils le faisaient pour honorer leurs saints. À cause du caractère unique de sa coopération, une croyance se répand : son « endormissement » – sa Dormition – consiste en réalité en son élévation, corps et âme, au ciel par Dieu.
La fête exprime cette croyance : chaque 15 août, les chrétiens célèbrent à la fois la mort, la résurrection, l’entrée au paradis et le couronnement de la Vierge Marie.
En 1950, le pape Pie XII estime utile de proposer une définition plus précise : « La Vierge immaculée, préservée par Dieu de toute atteinte de la faute originelle, ayant accompli le cours de sa vie terrestre, fut élevée corps et âme à la gloire du ciel, et exaltée par le Seigneur comme la Reine de l’univers, pour être ainsi plus entièrement conforme à son Fils, Seigneur des seigneurs, victorieux du péché et de la mort ». La définition fait partie des dogmes de l’Église.
L’Assomption de Marie dans le sillage de l’Ascension du Christ
On associe souvent l’Assomption de Marie avec l’Ascension du Christ ; de fait, les mots se ressemblent et il y a dans les deux cas une montée mystérieuse au ciel dans la gloire de Dieu.
Pourtant, « assomption » ne vient pas du verbe latin « ascendere » (monter, s’élever), qui a donné « Ascension », mais d’« assumere » (assumer, enlever). L’étymologie souligne l’initiative divine : Marie ne s’élève pas toute seule vers le ciel, c’est Dieu qui fait le choix de l’« assumer », corps et âme, en la réunissant à son Fils sans attendre la résurrection finale, tant elle a su s’unir, corps et âme, à Lui dès sa vie terrestre.
Dans le sillage de l’Ascension, Marie inaugure le destin ouvert aux hommes par la résurrection de son Fils et anticipe ce qui deviendra la condition des sauvés à la fin des temps.
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Par chezmamielucette le 14 Août 2018 à 00:00
Le mont Granier est un sommet situé dans les Alpes françaises, entre la commune de Chapareillan (département de l'Isère) et celle d'Entremont-le-Vieux (département de la Savoie), limitant au nord-est le massif de la Chartreuse. Il domine la vallée du Grésivaudan et la combe de Savoie de sa face est d'une part, et la cluse de Chambéry de sa face nord d'autre part.
Cette face nord est constituée d'une falaise de près de 900 m de hauteur, apparue dans la nuit du 24 au 25 novembre 1248 à la suite d'un gigantesque glissement de terrain ayant fait disparaître une partie de la montagne. C'est probablement le plus grand éboulement connu de l'histoire de l'Europe. Le nombre de victimes est estimé à près de 1 000, et cette catastrophe a donné naissance à l'une des plus grandes falaises calcaires de France avec 700 mètres d'à-pic.
Il y a eu un nouvel éboulement en 2016
Le mont Granier domine le col du Granier, qui relie la vallée des Entremonts à la cluse chambérienne.
Randonnée et escalade
La partie haute de la face nord du Granier fut gravie pour la première fois en 1967 par le guide chamoniard Yannick Seigneur et quatre équipiers.L'intégralité de la falaise ne fut vaincue, en hivernale, que par le guide chambérien Benoît Robert, 30 ans, et son équipier Jérémie Ponson, 23 ans, du 12 au 17 février 2003. Les deux hommes ont profité de la formation d'une langue de glace sur les 350 mètres de la partie inférieure de la falaise, la piètre qualité de la paroi n'autorisant pas son escalade en condition normale.
Pour atteindre le sommet, il existe quatre principaux itinéraires pédestres :
Le départ de randonnée par la voie facile se situe au village de La Plagne. De La Plagne, allez au Col de l'Alpette, puis à gauche en longeant la paroi jusqu'au Pas des Barres (équipé) pour se retrouver sur le plateau. En serpentant entre les barres rocheuses, il est possible d'arriver jusqu'au sommet sud (1 933 m) puis jusqu'à la croix
.
Toujours en partant de La Plagne, le deuxième itinéraire part sur la gauche, à travers les prés, en direction de la grotte aux ours de la Balme à Colon (également orthographiée Balme à Collomb). Peu après la grotte, le sentier mène jusqu'au plateau, puis jusqu'au sommet.
Le troisième itinéraire gravit quant à lui la face est. De la cabane des forestiers, située sur la route qui monte de Chapareillan au Col du Granier, suivre quelques centaines de mètres la route forestière, puis prendre un sentier sur la droite qui évite les larges serpentins de la piste, jusqu'au Pas de la porte. De là, le sentier de droite mène directement au sommet en longeant le sommet de la falaise.
Toujours en face est, le quatrième itinéraire, le plus long, part de Bellecombe et rejoint la Porte de l'Alpette. Prendre le passage équipé du Pas des Barres, peu après sur la gauche, qui mène sur le plateau.En 1938, une croix est installée par des membres de la Jeunesse agricole chrétienne (JAC) originaire d'Entremont-le-Vieux.
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