• Une série de tableaux parallèles évoque les rois de Juda et d'Irael; qualifiant chacun d'eux en fonction de sa fidilité à l'égard de Dieu. Trop souvent, la note est mauvaise : " Il fit ce qui déplait à Yahvé."
    En ces temps d'infidélité, un prophète surgit, Elie, qui se pose témoin de Yahvé, le seul vrai Dieu. Parmi d'autres textes, un récit populaire le montre aux prises avec les prophètes de Baal (divinité locale). Chacun dresse un autel. Sur lequel tombera le feu du ciel ? Les prophètes de Baal n'obtiennent de leur dieu aucune réponse.

    Au milieu du jour, Elie se moqua d'eux en disant :" Criez plus fort, puisque c'est un dieu : il a des soucis ou des affaires, ou bien il est en voyage ; ou bien dort-il, mais il va se réveiller !"Ils crièrent donc plus fort et, selon leur coutume, ils se tailladèrent jusqu'au sang avec des épées et des lances. Dans l'après-midi, ils se livrèrent à des transes prophétiques jusqu'à l'heure du sacrifice du soir, mais il n'y eut ni voix, ni réponse, ni le moindre signe.
    Alors Elie dit à la foule :" Approchez", et toute la foule s'approcha de lui. Il releva l'autel du Seigneur, qui avait été démoli. Il prit douze pierres, selon le nombre des tribus des fils de Jacob à qui le Seigneur avait dit : "Ton nom sera Israel."
    la suite demain........ 
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  • Van Gogh Twelve Sunflowers

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    Vincent Willem van Gogh[(né le 30 mars 1853 à Groot-Zundert aux Pays-Bas - mort le 29 juillet 1890 à Auvers-sur-Oise en France) est un peintre et dessinateur néerlandais.

    Vincent grandit au sein d'une famille d'ancienne bourgeoisie. L'artiste tente d'abord une carrière de marchand d'art chez Goupil & Cie. Cependant, refusant de voir l'art comme une marchandise, il est licencié. Il aspire alors à devenir pasteur mais il échoue aux examens pour étudier la théologie. A l'approche de l'an 1880, il décide de faire une carrière artistique dans la peinture.

     

     

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     Pendant ces années de maturité, il voyage des Pays-Bas en Belgique, puis en France. Autodidacte, Vincent prend néanmoins des cours de peinture. Passionné, il ne cesse d'enrichir sa culture picturale : il analyse le travail des peintres de l'époque, il visite les musées et galeries, il échange des idées avec ses amis artistes

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     il étudie les estampes japonaises, les gravures anglaises, etc. Sa peinture reflète ses pas et l'entendu de ses connaissances artistiques. Toutefois, cette carrière est parsemée de crises qui révèlent l'instabilité mentale de Vincent van Gogh. L'une d'elle l'amène finalement au suicide, à l'age de 37 ans.

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    L'œuvre de Van Gogh est composé de plus de deux mille toiles et dessins datant principalement des années 1880 à 1890. Elle fait écho au milieu artistique de la fin du XIXe siècle. Vincent van Gogh est influencé par ses amis proches peintre notamment Van Rappard, Bernard et Gauguin. Il échange aussi des points de vue avec son frère Theo, un marchand d'art connu. Il admire Millet, Rembrandt, Hals, Anton Mauve, Delacroix mais s'inspire aussi de Hiroshige, Monet, Monticelli, Cézanne, Degas, Signac et de nombreux autres artistes mondialement reconnus. Son œuvre pleine de naturalisme, inspirée par l'impressionnisme et le néo-impressionnisme, annonce le fauvisme et l'expressionnisme.

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  • Perché sur un éperon granitique surplombant de plus de 6OO mètres les gorges de la Loire en amont de barrage de Grangent, le village de Chambles jouit d'une situation géographique exceptionnelle qui met remarquablement en valeur les vestiges médiévaux.

    Les Chamblous ont décidemment l'esprit convivial. La particularité topographique de leur commune - un bourg central autour duquel gravitent une dizaine de hameaux - les  incitent à organiser des pique-niques tous les ans dans chaque lieu-dit : une façon chaleureuse d'accueillir les nouveaux venus qui, régulièrement, emménagent dans cette bourgade de plus de sept cent cinquante habitants.
     
    A VOL D'OISEAU
    Chambles est certainement l'un des sites les plus remarquables des gorges de la Loire. Cette plate forte médiévale s'est développée à partir du XIe siècle, quand fut érigée la tour ronde de 18 mètres de hauteur qui flanque les vestiges du mur d'enceinte protégeant autrefois le bourg.Du sommet de cette tour, on jouit d'un panorama magnifique sur le Forez, le Lyonnais et le lac artificiel qui retient les eaux du barrage de Grangent. Sur cette étendue rocheuse s'avance une mince langue rocheuse portant les ruines du Chatelet (début du XIIe siècle) ainsi que la petite chapelle Sainte-Foy au toit de tuile amarante. Le lac est ouvert à la pratique de la voile et du ski nautique. Les Chambous aiment aussi y pécher. Autour du bourg, le paysage est montagneux : le relief et les nombreux sentiers balisés autorisent la pratique de la randonnée, du parapente et du quad (des promenades sont organisées pour les groupes par l'Association "Les chemins de traverse").....
    la suite demain......
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  • L'unité du royaume sous David et Salomon  cachait bien des tensions. La maladresse de Roboam, fils de Salomon, provoque la rupture. Les tribus du Nord (Israel) demandent un allègement de leurs charges. Roboam refuse.

    Quand tout Israel vit que le roi ne les écoutait pas, le peuple répondit au roi en ces termes :" Quelle part avons-nous avec David?
    Nous n'avons pas d'héritage avec le fils de Jessé.
    A tes tentes, Israel !
    Maintenant, pourvois à ta maison, David !"
    Et Israel s'en fut à ses tentes. Quant aux fils d'Israel qui habitaient dans les villes de Juda, c'est Roboam qui régna sur eux.
    Le roi Roboam envoya Adoram, qui dirigeait la corvée, mais tous les Israélites l'assommèrent avec des pierres, et il mourut. Et le roi Roboam se vit contraint de monter sur un char pour s'enfuir de Jérusalem. 
    C'est ainsi qu'Israel s'est détaché de la maison de David jusqu'à ce jour. 

    Désormais les deux royaumes de Juda et d'Israel mèneront une vie séparée. Le schisme politique se double d'un schisme religieux : le sanctuaire de Béthel concurrence le Temple de Jérusalem.
    Décidement, "la paix n'est jamais qu'un intervalle entre deux guerres" ! Qui pourrait nous sortir de cette impasse ?  
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  • Frédéric BAZILLE est né à Montpellier en 1841 dans une famille bourgeoise . Il commence ses études de médecin, mais la vocation est pressante. En 1859, il suit des cours de dessin dans l'atelier du peintre Bausson. En 1862, il s'installe à Paris et s'inscrit à l'atelier Gleyre où il rencontre Monet, Renoir, Degas, Sisley, Manet, Cézanne et Pissaro. Ils forment un groupe d'amis. Il expose en 1866, sans grand succès. Sa palette s'éclaircit et se colore. 
    En Aout 1870, il s'engage comme zouave, il est tué au combat à 29 ans, à Baune-la-Rolande.
    Ses toiles seront exposées en 1874 au Salon, 4 ans après sa mort.  

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    LA RICHESSE D'UN PATRIMOINE
    Enparcourant les rues du village, on aperçoit de nombreux éléments se rapportant à la vie quotidienne d'autrefois, comme la pompe, située sur la place principale, qui a remplacée un puits assurant l'approvisionnement collectif de l'eau. Les maisons, dont beaucoup ont conservé, au niveau de leur grenier, la poulie qui servait à monter le bois, abritaient pour la plupart un atelier de lissage du chanvre, logé au rez-de-chaussée, et certaines, à l'étage, des métiers à tisser la soie. Datant du XVIIe siècle, les halles, aujourd'hui transformées en salle des fetes, témoignent de la vocation commerciale du bourg qui, au XIX e siècle, après l'ouverture d'une gare à l'Abresle, abrita plusieurs hotels de voyageurs, maintenant affectés à d'autres usages. Fier de ce patrimoine préservé, Montrottier, où l'agriculture occupe encore une place importante, a su s'ouvrir au tourisme en développant l'accueil en chambre d'hotes et en aménageant de nombreux sentiers balisés.

    UN SANTUAIRE COMPOSITE
    L'église paroissiale Saint-Etienne date en partie de XVe siècle et a conservé son portail gothique ainsi qu'une tourelle pentagonale qui permettait de monter au clocher. Sa nef a été agrandie en 1821 et de nouveaux percements ont été réalisés à cette époque. Le clocher actuel, de style gréco-byzantin, fut édifié dans les années 1880. Sur la face est de clocher est apposé le blason des Albon, seigneurs de Saint-Forgeux. Au-dessus du portail, on trouve un écusson aus armes de Guillaume de Pavie, qui fut prieur commendataire de Montrottier au XVe siècle.

    A LA DECOUVERTE DE MONTROTTIER
    Commencez votre visite par l'église paroissiale Saint-Etienne puis admirez la façade du presbytère et le portail de l'ancien prieuré. En face de l'église se trouve la place de la Dime, depuis laquelle vous gagnerez la rue de la Dime, déambulez dans les rues du village et ne manquez pas de faire le tour des halles. La route de Saint-Martin-les-Périls vous conduira au hameau et à la chapelle du meme nom..............
       
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  • Les tentations de la richesse et du pouvoir inclinent Salomon vers l'infidélité.

    Le Seigneur s'irrita contre Salomon parcequ'il s'était détourné du Seigneur Dieu d'Israel. Pourtant celui-ci était apparu deux fois, et lui avait défendu de suivre d'autres dieux ; mais Salomon avait désobéi. Le Seigneur lui déclara:" Puisque que tu t'es conduit de cette manière, puisque tu n'as pas gardé mon Alliance ni observé mes prescriptions, je vais t'enlever le royaume et le donner à l'un de tes serviteurs. Seulement à cause de ton père David, je ne ferai pas cela durant ta vie; c'est de la main de ton fils que j'enlèverai le royaume. Et encore, je ne lui enlèverai pas tout, je laisserai une tribu à ton fils, à cause de mon serviteur David et de Jérusalem, la ville que j'ai choisie."
    Le reste des actes de Salomon et tout ce qu'il a fait, ainsi que sa sagesse, cela n'est-il pas écrit dans le livre des Actes de Salomon ?
    Le temps que Salomon régna à Jérusalem sur tout Israel fut de quarante ans. Puis Salomon se coucha avec ses pères, et il fut enseveli dans la cité de David, son père. Et Roboam, son fils, régna à sa place................ 
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  • Auguste RENOIR  est l'un des plus célèbres peintres français. Il est difficilement classable, il a fait parti des impressionnistes puis s'en écarte en 1880, il peint des portraits et des nus féminins, peu intéressé par les paysages. Il a peint environ 6000 toiles.
    En 1862 , il entre à l'école des Beaux-Arts et à l'atelier Gleyre, il y rencontre Monet, Bazille, Sisley. Il expose au Salon en 1864-1868-1874-1878; mais en 1880 la misère est trop grande et il change de style pour faire des portraits et vendre des toiles. De 1890 à 1900 son style de peinture change à nouveau 'mélange d'impressionnisme et inspiration d'Ingres). En 1903, il s'installe à Cagnes-sur-Mer et il y reste jusqu'à sa mort en 1919.

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  • Situé à 700 mètres d'altitude, le village de Montrottier offre un magnifique panorama sur les monts du Lyonnais et, par temps clair, sur la chaine des Alpes. La localité, qui s'est développée autour d'un prieuré fondé au XIe siècle, a conservé des témoignages de son passé.
    Au début du XVe siècle, le roi de France ordonne à Guillaume d'Albon, seigneur de Saint-Forgeux de fortifier les chateaux de Saint-bel, Vindy et Montrottier et d'y mettre garnisons suffisantes pour réprimer les courses des Anglais et des Bourguignons qui désolent le pays. L'époque est à l'insécurité et, plus que jamais, les chateaux servent de refuges pour les populations qui ont tout à craindre des incursions hostiles. 

    UN VILLAGE ET SON CHATEAU
    Comme souvent, c'est autour de son chateau que le village de Montrottier est né est s'est développé. Ce chateau, fondé vers 985 par l'abbaye de Savigny à l'époque où les comtes de Forez étaient en rivalité avec les éveques de Lyon pour le controle de la région, permettait de surveiller la route de Feurs et servait de résidence à un prieur. A l'abri d'épaisses murailles s'installent bientot des familles de cultivateurs et d'artisans qui, pour prix de la protection, que leur accorde leur seigneur, lui doivent le service du guet et certaines redevances sur le produit de leur activité. Si le chateau, victime d'un incendie au XIXe siècle, a aujourd'hui pratiquement disparu, le bourg a conservé sa structure médiévale circulaire ainsi que de nombreuses constructions rappelant son passé. A coté du presbytère qui ouvre sur une terrasse reposant sur le mur d'enceinte, une vieille porte ogivale, s'encadrant entre deux maisons, n'est autre que l'ancienne entrée du prieuré. Plus loin, l'église, d'origine romane mais très remaniée au XIXe siècle, était à l'origine la chapelle des prieurs, alors que la chapelle Saint-Martin-des-Périls, isolée à l'ouest du bourg, au coeur d'un hameau, resta le siège de la paroisse jusqu'en 1802.
    Avec ses vieilles maisons directement adossées aux remparts la place de la Dime rappelle par son nom l'impot que les paysans versaient aux prieurs....... 
    La suite demain....... 
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  • Si donc, à cause de ton Nom, un étranger, qui n'est pas de ton peuple Israel, vient d'un pays lointain prier dans ce temple, toi, au ciel où tu résides, écoute-le. Exauce toutes les demandes de l'étranger. Ainsi, tous les peuples de la terre, comme ton peuple Israel, vont reconnaitre ton Nom et t'adorer. Et ils sauront que ce Temple que j'ai bati est le lieu où ton Nom est invoqué!"
    Yahvé dit :" J'ai entendu ta prière et la supplication que tu as proféré devant moi : j'ai consacré cette Maison que tu as batie pour y mettre mon Nom à jamais , mes yeux et mon coeur y seront toujours.
    Pour toi, si tu marches devant moi comme a marché David, ton père, en intégrité de coeur et de droiture, agissant selon tout ce que je t'ai commandé, observant mes décrets et mes jugements, je maintiendrai ton trone royal sur Israel, à jamais, selon que je l'ai déclaré à David, ton père en disant : Tu ne manqueras jamais de quelqu"un sur le trone d'Israel.
    Mais si vous entendez vous détourner de derrière moi, vous et vos fils, si vous n'observez pas mes commandements et mes décrets que j'ai placés devant vous, devant eux, alors je retrancherai Israel de dessus la face du sol que je lui ai donné, et la Maison que j'ai consacrée à mon Nom, je la rejetterai loin de ma face, et Israel deviendra une fable et une risée parmi tous les peuples."............ 
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