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    Pebdant les grandes  marées, les navires montent à Isigny - un port qui dispose de quais accostables, d'une cale de radoub - et s'échouent sur un fond de sable et de vase. Ils empruntent le chenal alimenté par deux rivières, l'Aure et la Vire qui se jette dans la baie des Veys. Isigny, le port des métairies normandes, est le débouché naturel de toute la production agricole du pays.

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    L'activité se traduit par un mouvement annuel de 150 à 200 navires qui arrivent chargés de charbons anglais, en bois du Nord et en sels. Le trafic à l'exportation consiste principalement en une énorme quantité de beurre pour une valeur estimée à 1 500 000 francs, mais les pommes, le colza, les salaisons complètent les cargaisons ainsi que la tangue (sable vaseux et coquillier dont l'agriculture est très demandeuse). Le chemin de fer se charge des expéditions de beurre frais et de petits caboteurs viennent du Havre prendre livraison du beurre salé pour les destinations lointaines. Une partie de la production s'écoule par Carentan, par Saint-Vaast-la -Hougue et par Cherbourg avec le beurre du Cotentin.

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    La prospérité d'Isigny, épicentre du commerce de la vallée de l'Aure, repose sur la renommée de son beurre et sur la réputation de ses chantiers navals. Le marché aux veaux fait régner une vive animation sur la place. L'hotel de ville monumental, la présence d'un tribunal de commerce dans une petite ville de 3 000 habitants confortent sa notoriété......

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  • cartes-postales-photos-Le-Quai-Vauban-ST-VAAST-LA-HOUGUE-50

    Le combat naval de la Hougue fit entrer Saint-Vaast dans l'Histoire. Le vice amiral Tourville y mena en 1692 un combat courageux. Mais la coalition des flottes d'Angleterre et de Hollande conféra aux ennemis de la France une supériorité numérique qui se révvélera déterminante. Conscient de l'impérieuse néccessité de fortifier la baie de la Hougue, Vauban confia à l'ingénieur du Roi, Benjamin de Combes, l'édification des tours de Tatihou et de la Hougue. La construction d'un port de guerre fut même envisagée. C'est en fait Cherbourg qui sera aménagé à la fin du WVIIIe siècle.

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    En 1920, Saint-Vaast perdra son quartier maritime. Les bateaux amarrés au quai de Tourville ne porteront plus sur leur coque des numéros de matricule précédés des initiales "LH", c'est à dire La Hougue, mais de "CH", pour Cherbourg, auquel son quartier maritime est désormais rattaché.

    Cette évolution administrative est le reflet de l'évolution des activités liées à la mer. A Saint-Vaast, l'âge s'or de la pêche relève maintenant du passé..... Elle reste néanmoins une cité commerçante et active. Clovis Gosselin y est à la tête d'une épicerie de renom sans pouvoir imaginer encore qu'il va fonder une dynastie........

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  • TATIHOU 0460

    La grande peste qui sévit à Marseille en 1720 conduisit Louis XIV a créer des lazarets sur les côtes de France. Ainsi , Tatihou permit de décongestionner celui du Havre avant d'être utilisé comme zone de quarantaine pour les navires. Cargaisons et cales y bénéficiaient d'une fumigation purificatrice.

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    Tombé en désuétude vers 1870, le site fut converti en 1888. On y installa un laboratoire maritime pour les chercheurs du Muséum d'histoire naturelle. Vingt -sept naturalistes purent ainsi bénéficier de conditions de travail sans commune mesure avec celles qu'ils avaient connues jusqu'alors dans l'auberge de Saint-Vaast réquisitionnée pour la promotion de la cause scientifique. Ils disposaient désormais d'équipements performants à la hauteur de leur ambition : de grandes salles avec des aquariums alimentés en eau de mer, une bibliothèque, une salle de conférence, un cabinet noir pour la photographie. Un moteur de neuf chevaux fournissait l'électricité.

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    Les travaux conduits à Tatihou étaient consacrés plus particulièrement aux annélides, aux mollusques, aux arthropodes, à l'algologie et au plancton. La recherche fondamentale favorisa la recherche appliquée. Les chercheurs de Tatihou firent avancer considérablement l'aquaculture, et plus particulièrement la reproduction du turbot. La guerre de 1914-1918 empêcha cependant de concrétiser le projet de création d'une pisciculture industrielle et entraîna la fermeture définitive du laboratoire, qui avait été en partie détruit à la fin du premier conflit mondial. C'està Dinard que les scientifiques poursuivent leur mission.

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    Dans les Années Folles, les hygiénistes sont écoutés et entendus. On prend alors conscience de l'importance de la qualité de l'air, de la lumière, de l'exercice, d'une alimentation saine et équilibrée pour la croissance des enfants. Tatihou devenait le lieu idéal pour y installer un aérium. Les laboratoires vont être convertis en "colonie scolaire et école de plein air". L'aquarium deviendra de très pratiques bains-douches. Les enfants remplaceront les poissons..... En un mois, les jeunes pensionnaires "profitent bien". Un inspecteur se réjouit de constater qu'ils "prennent en moyenne, par mois, 1,4 kilogramme contre 200 grammes habituellement". Tatihou se révèle un excellent fortifiant !.........

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  • photos-carte-barfleur-manche-PH033167-F

    Ala pointe du Val de Saire, Barfleur offre un patrimoine architectural de qualité autour de son vieux bassin qui a inspiré bien des peintres, dont certains de renom.

    Au bout du quai s'élève sur un éperon rocheux la massive église Saint-Nicolas, entourée de son cimetière, battue par les flots. Elle conserve des reliques de sainte Marie-Madeleine Postel. Originaire du hameau de la Bretonne, elle avait fondé au XIXe siècle la congrégation des soeurs de la Miséricorde.BARFLEUR3

    Le bel édifice, solide, trapu, fait face au grand large. La mer a beaucoup apporté aux Barfleurais mais elle leur a imposé également bien des sacrifices. Si elle sait séduire, elle sait être hostile et rebelle. Tout particuliérement ici. Vents, courants, bancs de sable, récifs constituent autant de danger pour les marins, même les plus expérimentés. Phares, feux, bouées et balises jalonnent les côtes n'empêchent pas les drames.

    Lorsque la tempête se déchaine, les paquets de mer heurtent les jetées, la brume ne permet plus de se repérer. S'il le faut, les sauveteurs sortent, fidèles à leur engagement. Certains vivent parce que d'autres consentent à exposer leur vie. C'est le cas des sauveteurs qui vivent le danger en grandeur réelle.

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    La fin de l'année 1893 est terrible à Barfleur. Le canot "Sophie et Jeanne de Saint Faron doit régulièrement sortir, parfois coup sur coup, laisssant bien peu de répit à son équipage. Dans la nuit du 19 au 20 décembre 1893, le vent souffle en tempête. Lessauveteurs se portent au secours d'un bateau de Barfleur "la Maria" qui rencontre des difficultés au large. Tandis qu'ils rentraient au port, ils sont à nouveau sollicités par des pêcheurs du même bateau. Aussi font-ils demi-tour pour à nouveau leur venir en aide. Sur le chemin du retour, un rafale particulièrement violente s'abattit sur le canot de sauvetage. Il chavira sous les voiles. Deux membres de l'équipage furent engloutis. Le corps de l'un fut retrouvé, il repose au cimetière. La mer n'a jamais rendu l'autre corps........BARFLEUR

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  • 48891514

    Le cap Lévi marque l'entrée du Val de Saire. Ce pays doit son nom à un petit fleuve côtier qui se jette dans la Manche, près de Réville : il a été chanté par Marie Ravenel. Cette femme poète d'origine rurale a connu une belle popularité. Comment aurait-elle pu ne pas être séduite et inspirée par la beauté des lieux ?

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    Au cap Lévi, le fort veille sur la mer. Construit sous le premier Empire, il était sestiné à protéger le cabotage en mettant les navires à l'abri de son artillerie. Plusieurs fois remanié mais jamais achevé, le fort fut déclassé en 1875 avant d'être converti en résidence privée. Léchée par l'écume des vagues, cette batisse, qui constituaitavec onze autres batteries les défenses des Côtes du Cotentin contre la marine britannique, offre un panorama remarquable sur la rade de Cherbourg.

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  • 1870-RECTO

    La pointe de Barfleur, comme le Cap de la Hague, subit l'assaut de courants violents. Associés à des tempêtes d'une rare intensité, ils sont redoutés des marins les plus avertis. Aussi, dès la fin du XVIIe siècle, fut-il décidé d'ériger un phare de 27 mètres sur la pointe de Gatteville, près de Barfleur.

    Vers 1830, un plan de modernisation de l'éclairage des côtes de France nécessita la construction d'un nouveau phare, à 60 mètres du précédent, converti en sémaphore. D'une hauteur de 75 mètres, il était alors le plus haut de France et l'un des plus hauts du monde.

    Sa réalisation et sa conception furent confiées à l'ingénieur poly-technicien Charles Félix Morice de la Rive, sans doute très sensible au rythme calendaire. Son phare compte autant de marches que de jours dans l'année et autant de fenêtres que de semaines. Onze mille blocs de granit furent nécessaires à son édification qui dura cinq ans.

    Le phare de Gatteville est classé dans la catégorie des feux de grand atterrage.

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    A ce titre, il fit partie des treize premiers phares choisis pour être dotés d'un appareil lenticulaire électrique en remplacement de l'appareil à huile originel. Le phare électrique fut allumé pour la première fois le 17 Janvier 1893. Ses faisceaux lumineux, qui ont une portée de 55 kilomètres voire 100 par temps clair, croisent ceux du phare de l'ile de Wight.....

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  • ariadne1gw5

    Face à la Grande-Bretagne; à mi-chemin entre l'Atlantique et la mer du Nord, Cherbourg bénéficie d'une situation idéale dans les relations transatlantiques maritimes. De nombreuses compagnies de navigation anglaises, allemandes, néerlandaises et américaines choisirent le grand port du Cotentin pour y faire escale avec de nombreuses retombées économiques pour la contrée.

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    Les intérets économiques du port de commerce n'allèrent cependant pas toujours de pair avec les intérêts stratégiques du port militaire. Deux hommes jouèrent un rôle déterminant dans l'avenir de la vie maritime du nord Cotentin : l'ingénieur Minard, qui conçut un port en eau profonde susceptible de conforter le trafic transatlantique en lui apportant les améliorations techniques indispensables, et Camille Théodore Quoniam, cherbourgeois de naissance, il prépara l'école navale et devint capitaine au long cours. Des problèmes de santé le contraignent rapidement  à mettre sac à terre. C'est aux affaires commerciales maritimes qu'il consacrera sa vie.

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    Les transatlantiques toujours plus grands, au tirant d'eau sans cesse croissant pourraient être accueillis non plus en rade mais à quai. Quelle patience ne fallut-il pas au président Quoniam pour voir se concrétiser son projet, pourtant indispensable à l'avenir du trafic maritime au long cours.

    En attendant, une modeste gare maritime fut construite en 1905, sur le quai de l'ancien arsenal. Sept ans plus tard, la chambre de commerce inaugura une autre au nord de la précédente. Elle était desservie par une voie ferrée et permettant le transbordement des voyageurs, de leurs bagages et des sacs postaux avec des transbordeurs des compagnies de navigation vers les paquebots qui faisaient escale dans la grande rade.

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  • Pgm-port-arsenal

    Inauguré par Napoléon III en 1858, l'Arsenal occupe une place toute particulière dans l'économie locale comme dans le coeur des Charbourgeois. Lequel d'entre eux n'a pas eu ou espère avoir des siens à l'Arsenal, cette véritable institution devenue rapidement la première entreprise industrielle de Basse-Normandie. Sa sinistre sirène rythme la vie de la cité

    Pendant plusieurs décennies l'Arsenal de Cherbourg fut consacré à la construction de frégates, corvettes ou vaisseaux.

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    A la fin du XIXe siècle, il se consacrera à la conception et à la construction de sous-marins pour la marine nationale. Une nouvelle ère s'ouvre en 1897 avec la mise en chantier du "Morse". Conçu par l'ingénieur Romazotti à qui l'on devra plus tard les chaines d'ancre en acier. Ce premier submersible autonome équipé d'un lance-torpilles de 36,50 mètres de long, d'un tirant d'eau de 2,82 mètres et d'un déplacement de 143 tonnes en surface est servi par treize hommes. Il sera lancé en 1899 en même temps que le "Narval, premier sous-marin à ballasts extérieurs.

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    Cette innovation est due à l'ingénieur polytechnicien Maxime Laubeuf qui fut primé en 1896 dans un concours ouvert par le ministère.

    Son idée simple mais fort pertinente consistait à concevoir un sous-marin à deux coques : l'une, épaisse, capable de résister aux fortes pressions de plongée, l'autre, mince, avec des formes assurant aux navires de bonnes qualités nautiques en surface. Les résultats constatés étant à la hauteur des espérances de son concepteur, le principe fut universellement adopté.

    Rapidement, l'Arsenal de Cherbourg se spécialisera dans la construction des sous-marins. C'est quarantes submersibles qui sortiront de ses ateliers entre 1899 et 1918, dont le "Gustave-Zédé", un sous-marin de haute mer d'une longueur de 74 mètres équipé de huit lance-torpilles. Son équipage est composé de quarante-sept hommes.

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  • 7FQX1BXOMMCELOFHRCRZG9GSLLD08N

    Cherbourg compte au début du XXe siècle 40 000 habitants. L'agglomération en regroupe près de 60 000.

    Le port devenant une escale importante dans le trafic transatlantique, il convient de doter la ville des attraction et services à la hauteur de son ambition nouvelle.

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    Le casino situé en bord de mer, d'inspiration orientale, bénéficie de profonds réaménagements : les salles de jeu sont restaurées, la salle de spectacle est mise au goût du jour. Chaque après-midi, un grand orchestre y donne un concert.

    En 1907, le cinématographe arrive à Cherbourg ! Le casino présente en partenariat avec Pathé "La fille du Corse". C'est un énorme succès. Les Cherbourgeois découvrent avec enthousiasme le septième art. Trois ans plus tard, une vraie salle de cinéma, l'Omnia ouvre rue de la Paix.

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    Le théatre à l'italienne a été construit en 1852 sur les plans de Charles de Lalande à qui l'on doit à Paris, le théatre de la Renaissance et le théatre des Nouveautés. Avec ses statues, ses bronzes et son plafond peint par Georges Clairin qui contribua à la décoration du Palais Garnier, le Théatre de Cherbourg reflète le parisianisme qui influençait alors beaucoup la province. En 1900, la scène est éclairée à l'électricité et le rideau de scène arbore des ... publicités que l'on appelait encore "réclames"........

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  • DK502081

    Qui n'a jamais vu, sur un calendrier de la Poste, sur une boite à biscuits ou sur une étiquette de camembert, ce couple de paysans figés au milieu d'un champ, l'Angélus, les Glaneuses, le Semeur sont des oeuvres universellement connues, symboles d'une ruralité. On les doit à Jean-François Millet, fils ainé d'une famille de paysans établis au hameau de Gruchy à Gréville_Hague.

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    Celui que l'on surnommera plus tard le "Michel-Ange des paysans" fut élevé dans un climat religieux empreint de rigorisme moral. Un grand-oncle prêtre retiré à Gruchy contribua à sa formation spirituelle, humaine et intellectuelle. Il bénéficia à Cherbourg des enseignements du peintre Dumouchel.

    Convaincu de sa vocation artistique Jean-François Millet monta à la capitale grâce aux aides que lui accordèrent la ville de Cherbourg et le Conseil Général de la Manche. Il intégrera l'atelier de Paul Delaroche où il s'illustra principalement dans les portraits et les nus. En 1849, il s'installe à Barbizon, le village des peintres de la nouvelle école du paysage, où il se consacra au "chant de la terre". Sa vision sans concession révèle cependant une très pertinente observation de la ruralité, celle de son enfance, qui le rapproche du réalisme d'un Courbet.

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     Tout au long de sa vie, qui s'acheva à Barbizon en 1875, après plusieurs retours fructueux dans la Hague, Jean-François Millet connut bien des difficultés matérielles, espérant toujours une consécréation qui arrivera tardivement.

    Une souscription nationale permit l'érection, face à l'église de son baptême, d'une statue en hommage au plus célèbre enfant de Gréville. Elle est due aux talents du sculpteur cherbourgeois Marcel Jacques.......

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